Le blog de ma vie sexuelle, passée et présente...

Soirée chez des amis de Clarisse… elle m’a informé dès le début qu’elle voulait que l’on y aille ensemble, mais qu’elle ne voulait pas que l’on passe pour un couple. Évidemment, certaines personnes savaient que l'on était ensemble, mais pas tout le monde... En fait, elle avait un objectif pour moi : savoir si un gars en particulier était gay ou non. Évidemment, elle a vu que j’avais l’air surpris… Alors elle m’a expliqué qu’elle et ses ami(e)s se demandent depuis des années si un gars de leur « groupe » est gay ou non… Elle m’a dit que si j’arrivais à lui apporter la preuve qu’il l’est, elle fera ce que je voudrais, et ce pour toute la nuit… Dans le fond, ça ne change rien aux autres nuits, on fait toujours ce qu’on a envie de faire, mais quand c’est clairement dit, c’est toujours agréable…

 

Je lui ai demandé d’où vient ce doute sur la sexualité du gars… Elle m’a dit qu’ils ne lui ont connu qu’une seule copine en dix ans, une ancienne amie à eux qui a déménagé depuis en Ontario… et cette fille leur disait que la seule façon de le faire bander, c’était en lui mettant quelque chose dans l’anus… même les fellations devaient s’accompagner d’au moins un doigt dans le cul, sinon elle n’arrivait à rien… C’est un des indices… Les autres indices, c’est que comme je l’ai dit il n’a jamais été vu avec une autre fille, ni un autre gars d’ailleurs, mais que souvent il semble regarder les mecs avec plus d’insistance que les filles. Mais jamais il n’a dit être gay. Alors c’est l’incertitude…

 

Lorsque nous sommes arrivés à la soirée, elle m’a aussitôt montré qui est le gars en question. Plutôt beau mec, et au premier abord il ne semble pas avoir l’air gay. Mais cette idée se base sur des clichés, ce qui ne vaut pas grand-chose… Après me l’avoir montré, elle a glissé un préservatif dans ma poche et m’a dit « au cas où ça serait utile… », avec un regard qui en disait long…

 

Après avoir identifié ma « cible », je me suis mis à découvrir la maison : une belle grande maison de banlieue… En fait ce n’est pas que j’étais vraiment intéressé par la maison, mais plutôt par dénicher d’éventuels coins où je pourrais potentiellement faire quelque chose avec mon amant imposé… J’ai trouvé des chambres à l’étage, bien sûr, dont deux possédaient un grand walk-in, des salles de bains avec toilettes au sous-sol et à l’étage, des toilettes au rez-de-chaussée, la salle où il y a laveuse et sécheuse (lave-linge et sèche-linge pour les non québécois) au sous-sol, et un petit espace derrière un genre de salon à l’étage.

 

Rapidement au cours de la soirée j’ai pu éliminer les toilettes du rez-de-chaussée et du sous-sol comme lieu de débauche : il y a toujours trop de monde. Par contre personne ne semblait monter à l’étage, ce qui est bon à savoir, et l’accès à la salle de lavage au sous-sol semblait toujours libre. Bref, je pouvais commencer à entrer en contact plus intime avec ma « cible », ayant trouvé des lieux où obtenir la preuve nécessaire…

 

Le premier contact a été assez simple : c’est le propre des soirées de ce genre… le plus difficile a été de trouver comment lancer le sujet délicat, ou tout du moins comment montrer que je serais intéressé à en parler… Finalement la solution m’est venue par un couple : une femme vraiment laide, avec un homme vraiment beau…Alors qu’ils passaient devant nous et qu’il n’y avait que le gars et moi, personne d’autre, j’ai dit : « quel gâchis ». Il m’a demandé pourquoi je disais ça. Alors j’ai répondu que de voir un mec « aussi bien foutu et avec une belle gueule avec une fille aussi laide, c’est du gâchis ». Il a souri et m’a dit que c’est vrai que c’est étrange, mais que chaque personne a ses propres goûts. J’ai alors continué en disant que « j’imagine la fille nue, le corps flasque, les seins tombant alors qu’elle est encore jeune, le ventre pendouillant, de la cellulite partout, devant ce gars qui doit avoir un beau corps musclé, des belles petites fesses bien fermes »… Ma « cible » m’a regardé et m’a dit « t’es gay ? » Je lui ai répondu : « non, je n’aime que les femmes, mais à l’occasion j’aime bien jouer avec un beau sexe d’homme. Et là ça fait longtemps que ce n’est pas arrivé… » J’ai arrêté de parler. Et quelques secondes plus tard, j’ai dit : « pourquoi je t’ai dit ça… je couche régulièrement avec une des filles qui est présente à la soirée… ma femme ne le sait pas… si ma maitresse qui est très homophobe apprend que parfois j’aime savourer un homme, ça va la dégoûter, et elle va sûrement dire à ma femme que je la trompe pour se venger… alors je t’en prie, n’en parle à personne… » Il m’a regardé, m’a souri et m’a dit que je n’avais pas à m’en faire, que lui aussi avait ses petits secrets que personne ne connait… il n’en a pas dit plus… Bien sûr vous qui me suivez savez que je n’ai pas de femme, mais lui ne le savait pas.

 

On a continué à parler un peu, puis il a dit qu’il voulait aller aux toilettes. J’ai alors risqué le tout pour le tout : « je peux venir avec toi? » Il m’a regardé et m’a souri de la même façon qu’après mes pseudo-aveux, et a dit « si tu veux »

 

Il se dirigeait vers les toilettes du sous-sol, mais je lui ai dit qu’en haut ce serait plus tranquille… En montant les marches, j’ai vu que Clarisse me regardait de loin, avec une grand sourire… je lui ai envoyé un baiser du bout des lèvres…

 

Mon amant d’un soir m’a laissé entrer dans la salle de bain, puis a fermé la porte derrière nous. Je me suis assis sur les toilettes, il est venu se mettre devant moi. Il a ouvert sa braguette et a sorti son sexe que j’ai aussitôt pris en bouche pour une fellation… dans ma tête je me disais « voilà, le plus dur est fait »

 

Pendant que son sexe entrait et sortait de ma bouche, il caressait mes cheveux…

 

J’ai failli le faire jouir dans ma bouche, mais une chose m’en empêchait : c’est sûr que j’aurais à lui parler avant de redescendre, donc que je serai obligé d’avaler… je n’aurais donc aucune preuve à donner à Clarisse…

 

Au bout d’un certain temps j’ai donc sorti son sexe de ma bouche… j’ai pris le préservatif… j’ai ouvert le sachet… je le lui ai déroulé sur le sexe… je me suis debout, j'ai baissé mon pantalon et mon boxer, et je me suis placé face au lavabo, jambes légèrement écartées… dans le miroir, je le voyais approcher de moi… il a léché un de ses doigts… il l’a passé entre mes fesses… puis l’a enfoncé lentement mais profondément en moi… il a fait quelques va-et-vient, l’a léché à nouveau, en en rajoutant un deuxième dans sa bouche… puis j’ai eu la visite des deux doigts en moi… quand il a retiré ses deux doigts pour les lécher à nouveau, j’ai senti le contact du préservatif contre mon anus… et il a poussé lentement…

 

Ses deux mains sur mes hanches, il m’a sodomisé, dans la salle de bain, lentement, presque sensuellement… puis il accéléré jusqu’à jouir… c’était intense…

 

Évidemment il était important que je récupère moi-même le préservatif… alors dès qu’il est sorti de moi, j’ai fait demi-tour et je me suis accroupi devant lui pour une dernière petite fellation… je l’ai sucé par-dessus le préservatif tout en le lui retirant d’une main… j’ai fini par une fellation de « nettoyage » de sexe, que j’ai adorée…

 

En se rhabillant il m’a dit : « ne dis rien à personne s’il te plait… si ma copine apprend ça, je suis mort. Elle n’est pas là ce soir, tant mieux, mais comme elle est proche de mes ami(e)s je ne veux pas que ça risque de lui revenir aux oreilles ». Il a menti comme moi, parce qu’il n’a pas de copine, comme dit au début de cet article… mais ce n’est pas grave : on a joué tous les deux un jeu. Je l’ai rassuré, et je l’ai laissé sortir en premier.

 

Lorsque je suis descendu, Clarisse me guettait… Quand je l’ai rejointe elle m’a dit « ça m’excitait d’imaginer ce que vous faisiez là-haut… dis-moi que vous faisiez ce que j’imaginais… Fais-moi sentir ton haleine…» Elle a senti, puis a dit, sur un ton déçu : « ça ne sent pas le sperme… tu n’as pas réussi ? » J’ai souri… je nous ai mis dos à un mur, collé l’un à l’autre, et je lui ai dit de mettre sa main dans mon caleçon, discrètement… Je me suis légèrement décollé du mur pour lui laisser la place de bouger sa main… Une fois sa main là où je voulais, elle m’a dit « Et? Ça apporte quoi comme preuve? » Je lui ai alors dit : « glisse un doigt en moi ». En mettant un puis deux doigts très facilement en moi, son visage s’est illuminé, et elle a murmuré : « tu t’es fait défoncer! » Je n’ai pas pu répondre, parce que quelqu’un est venu nous parler… On est resté plusieurs minutes, sans bouger, collés l’un à l’autre hanche contre hanche et collés au mur, avec deux de ses doigts en moi… Quand enfin la personne est partie, Clarisse a retiré sa main, léché ses doigts, et m’a dit « je t’adore… » Je l’ai regardée… j’avais envie de l’embrasser, mais on avait convenu qu’on ne serait pas un couple ce soir en public… je me suis donc contenter de prendre sa main, et d’y déposer le préservatif usagé en lui disant de l’utiliser comme bon lui semble… et je suis parti discuter avec d’autres gens…

 

Quelques minutes plus tard j’ai retrouvé Clarisse, qui avait deux verres en main : un pour elle, et un pour moi. Dans les verres il y avait du punch, et des filaments blancs-jaunes flottaient à la surface… Elle m’a dit : « on partage ton butin… », et on a bu…

 

 

Lun 27 jui 2015 Aucun commentaire