Le blog de ma vie sexuelle, passée et présente...

Dans le cadre de mon travail, je parle souvent à des citoyens de la ville où je suis, mais parfois aussi à des entrepreneurs. Dans le cas présent, une entrepreneure. La compagnie qu’elle représente a obtenu un gros contrat des autorités de la ville, et il y a besoin d’accords avec différents services pour quelle puisse réaliser ledit contrat.

 

Nous nous parlons régulièrement depuis environ un an (régulièrement mais pas souvent, je dirai pas plus d’une fois aux deux mois) pour mettre au point l’exécution du projet. Parfois au téléphone, parfois à mon lieu de travail. C’est toujours plaisant. On s’amuse d’un rien et, bien évidemment puisque je vous en parle, je dois dire que je la trouve très agréable à regarder. Ce n’est pas une fille magnifique, mais elle a beaucoup de charme, et un corps avec des formes très agréables. Plus précisément elle est plutôt mince, mais avec une poitrine plus généreuse que la moyenne par rapport aux restes de ces mensurations. Je l’avais très bien constaté cet été, lors d’une de nos rencontres où elle n’était habillée que d’un haut léger…

 

Avant-hier, elle est venue au bureau pour finaliser le dossier. On s’est rencontré comme on le fait à chaque fois dans une petite pièce fermée, mais qui possède quand même une insertion en verre d’environ un mètre de largeur sur tout la hauteur d’un mur qui fait que nous ne sommes pas isolés du regard de gens qui passent dans le couloir.

 

Aujourd’hui nous étions donc assis face-à-face dans cette salle, avec un bureau entre nous, bureau sur lequel est posé un ordinateur. Nous avons commencé par parler un peu de la journée, parce que c’était une journée un peu spéciale : beaucoup de pluie verglaçante, donc les écoles étaient fermées (au Québec quand il est considéré que les conditions routières sont trop dangereuses, les écoles n’ouvrent pas). Elle m’a raconté que c’est son conjoint qui est resté à la maison pour s’occuper des enfants, parce qu’elle ne voulait pas prendre congé elle-même pour ne pas rater notre rendez-vous. C’était dit sur le ton de la blague, comme souvent quand on se parle… Je lui ai dit que de mon côté n’ayant pas d’enfant la problématique ne se présentait pas. C’était encore une fois sur un ton bien agréable…

 

Nous avons commencé à parler travail, et après une vingtaine de minutes de discussion, nos jambes se sont touchées. Qui a touché qui, aucune idée. Toujours est-il qu’aucun de nous n’a retiré sa jambe… Elles sont donc restées collées…

 

Lorsque nous avons dû tout les deux regarder l’écran de l’ordinateur pour expliquer des détails, elle est venue s’asseoir sur une chaise à côté de moi, c’était beaucoup plus pratique que de tourner l’écran et de voir chacun complètement en diagonale. Je sentais son parfum, qui était exquis…

 

Après quelques minutes côte-à-côte, nos jambes se sont à nouveau touchées… nos cuisses étaient collées l’une à l’autre… Le contact de nos jambes, même habillées, jumelés à l’odeur de son parfum que je trouvais excitante a fait que j’ai eu une érection… Mon uniforme de travail n’étant pas fait d’un tissu particulièrement épais, elle s’en est rendue compte…

 

Elle a commencé par poser doucement ma main sur ma cuisse, sûrement pour voir comment j’allais réagir, puis elle l’a remontée jusqu’à cette bosse… Elle caressait mon sexe lentement, à travers mon pantalon, tout en continuant à parler travail…

 

J’ai fini par moi-aussi caresser sa cuisse, à l’intérieur… c’est l’une des parties du corps féminin que j’adore, l’intérieur des cuisses… Et tout comme elle, je ne me suis pas gêné pour remonter et caresser son sexe à travers son pantalon…

 

Nous avons continué à travailler… Avec des caresses vraiment douces…

 

Au bout d’un certain temps, j’ai regardé vers la partie vitrée du mur… Je me suis dit que le bureau nous cacherait… j’ai regardé l’entrepreneure… Je lui ai sourie puis j’ai déboutonné et ouvert mon pantalon…

 

Elle m’a regardé le regard pétillant, un sourire aux lèvres… Elle a fait la même chose que moi… Elle a déboutonné sans pantalon et l’a ouvert le plus possible pour me faciliter l’accès à son entre-jambes… Le temps qu’elle finisse, mon sexe était sorti et était fièrement dressé vers le plafond… Bien dur…

 

Elle a posé sa main dessus et a commencé à le caresser…

 

J’ai plongé ma main dans sa culotte, et j’ai commencé à la caresser…

 

Tout en continuant à travailler…

 

Nos mouvement étaient lents, mais c’était terriblement agréable…

 

Je n’arrivais pas à bien glisser mes doigts en elle du fait de nos positions, donc principalement je caressais son clitoris… Par moment j’allais un peu plus bas et je la pénétrais d’une phalange… je ne pouvais pas faire beaucoup plus… Elle était très humide…

 

Au bout d’un certain temps je l’entends qui me dit « J’ai besoin d’une pause »… Je commence alors à retirer doucement ma main de sa culotte mais elle me dit « non non, une pause du travail, pas de ça… »

 

J’ai souri… j’ai replacé ma main exactement là où elle était… elle a avancé un peu plus ses fesses sur le bord de la chaise, en se penchant un peu plus en arrière… ça m’a dégagé et ouvert son sexe… J’y ai glissé deux doigts, la paume de ma main caressant son clitoris… elle s’est aussitôt mise à trembler, et j’ai senti une légère coulée chaude… pas grand-chose, mais j’aurais donné beaucoup pour qu’à la place de ma main ce soit ma bouche…

 

Elle m’a regardé… m’a souri… je lui caressais à nouveau doucement le clitoris, sans doigt en elle… Elle m’a murmuré un « merci… », elle s’est redressée et on a continué à travailler, sa main sur mon sexe, ma main dans sa culotte… culotte qui était maintenant trempée…

 

À plusieurs reprises son corps s’est remis à trembler quelques instants… je ne glissais pas mes doigts en elle, je caressais juste son clitoris… est-ce que c’était à chaque fois des orgasmes? C’est possible, mais je n’en sais rien…

 

Je dois préciser que je me retenais de monter mes doigts à ma bouche… j’aurais adoré la goûter, mais je ne sais pas comment elle l’aurait pris… Alors je me contenais… difficilement je dois dire… je l’imaginais délicieuse…

 

De son côté, elle me caressait vraiment lentement… le sexe, les testicules… c’était très, très agréable, et avec la faible vitesse de ses caresses je n’avais pas à faire d’effort pour me contrôler : ça ne risquait pas de m’amener à jouir…

 

La rencontre a duré un peu plus d’une heure… Régulièrement des collègues passaient dans le couloir, mais personne ne semble avoir vu ce que nous faisions…

 

Ça faisait extrêmement longtemps que je n'avais pas eu ce genre de moment, de rencontre avec une partenaire inattendue...

 

Alors que nous savions que notre rencontre allait toucher à sa fin, elle m’a demandé si je « voulais me laisser aller »… avec plaisir…

 

Elle a commencé à accélérer le rythme… Je n’allais pas durer longtemps… J’ai cherché dans les tiroirs du bureau s’il y avait des mouchoirs pour limiter les dégâts… je n’ai rien trouvé… Je me suis alors redressé, les fesses au bord de ma chaise, et j’ai bien écarté mes jambes… Elle a penché mon sexe un peu plus vers l’avant, et j’ai joui… Quelques saccades de sperme ont jailli pour éclabousser le plancher… Étant donné qu’il y avait de la neige dehors, chaque personne qui rentre dans ce bureau laisse de la neige fondante sur le sol, à cause des bottes… Donc le fruit de ses caresses allaient passer complètement inaperçu aux yeux de futurs usagers de la salle…

 

Elle a cessé de me caresser après quelques giclées… Elle a passé le bout d’un de ses doigts sur mon gland, pour récupérer la dernière goutte… qu’elle a portée à sa bouche… Elle a léché son doigt en me regardant et en riant…

 

J’aurais su, j’aurais léché mes doigts tout au long de la rencontre…

 

On s’est ensuite rhabillé… Puis on est sorti du bureau… Elle m’a demandé où étaient les toilettes, je les lui ai indiquées… Elle en est ressortie peu de temps après, et comme à chaque fois on s’est dit au revoir en se serrant la main… Comme si rien ne s’était passé…

 

Mais j’ai passé la fin de l’après-midi à respirer la délicieuse odeur de mes doigts, preuve que non, il ne s’était pas rien passé…

Mer 24 jan 2018 Aucun commentaire