Le blog de ma vie sexuelle, passée et présente...
Vous le savez si vous me suivez depuis le début, je travaille régulièrement les fins de semaine. Avant j’étais seul à l’étage, mais depuis quelques mois j’ai un ou une collègue, ça dépend des fois, qui est aussi présent. Nous sommes donc deux toutes les fins de semaines, avec des tâches différentes. Lorsque cette décision a été prise j’étais un peu déçu, parce que cela voulait dire que l’ancienne secrétaire à la retraite ne pourrait plus venir pour nos petits plaisir occasionnels, comme elle le faisait parfois… Ou du moins qu'elle ne pourrait plus venir à l'improviste : il faudrait prévoir le bon moment...
Samedi, c’est ma collègue qui était présente. On a parlé un peu en arrivant et elle m’a annoncé qu’elle était célibataire depuis une semaine. Elle a laissé son conjoint parce que selon elle ils n’avaient plus grand-chose en commun, même si elle l’appréciait beaucoup. Ça faisait un bout de temps déjà qu’elle m’avait dit que ça n’irait nulle part entre eux deux, mais j’ai quand même été surpris que la rupture soit faite.
Elle a parlé de ses anciens ex, disant que c’était la première fois pour elle que c’était difficile de rompre, parce que ce n’était pas parce que ça se passait mal ou qu’il y avait des problèmes. Elle disait aussi qu’un de ses ex ayant su qu’elle est à nouveau célibataire, il a recommencé à la texter, à vouloir la voir… Elle m’a dit qu’il n’y avait aucune chance qu’elle retourne avec lui, que c’était un « trou du cul ». Puis elle a rajouté en rigolant : « mais pour une baise par contre… ». J’ai ri et je lui ai dit : « une petite baise de soulagement ». Elle a continué à rigoler en disant que oui.
On a continué à parler, puis je lui ai dit que j’allais devoir commencer à travailler parce que j’avais pas mal de choses à faire. Les fins de semaines, comme il y personne d’autre dans ma partie du bureau je mets de la musique, mais pour ne pas déranger ma collègue plus loin à l’étage je ferme ma porte. Je lui ai dit en rigolant : « je ferme la porte pour pas déranger, mais n’hésite pas à venir me voir si besoin, par exemple pour une petite baise de soulagement ». Elle a ri et est allée à son bureau.
En milieu de matinée ma porte s’est ouverte, ma collègue a passé sa tête dans le cadre et a demandé : « tu étais sérieux tout à l’heure? ». J’ai répondu : « si on pense à la même chose, oui ». Elle a dit « ok », et a refermé la porte.
Je vais vous parler un peu d’elle maintenant… Physiquement elle est brune, relativement grande, un corps très svelte. Je pensais qu’elle faisait beaucoup de sport, mais non, elle n’en fait pas du tout… elle est juste très très chanceuse, parce qu’elle bouffe n’importe quoi et ne grossit pas… elle est très féminine physiquement, et très naturelle. Quand on parle, il n’y a pas de faux fuyant. Par exemple l’autre jour elle avait besoin d’aller aux toilettes, elle m’a clairement dit « Faut que j’aille chier », avec ses yeux rieurs. Bref, pas gênée. Mais jamais nous n’avons parlé sexe.
Le midi même si nous ne sommes que tous les deux au bureau, nous ne mangeons jamais ensemble. Ne me demandez pas pourquoi, je n’en ai aucune idée, c’est comme ça, simplement.
En début d’après-midi, la porte de mon bureau se rouvre, elle passe la tête entre le cadre et la porte entrebâillée et me demande : « Je peux te déranger? ». « Oui, oui, bien sûr ».
Et elle est entrée dans le bureau, entièrement nue… Elle a posé son linge sur un des bureaux, une boite de préservatifs dans la main, et elle est restée debout devant moi… Je regardais son corps, qui était très agréable… Des petits seins, mais en harmonie avec le reste de ses formes…
Avant de la toucher je me suis mis debout, et je me suis déshabillé, mon sexe en érection… Elle s’est alors accroupie devant moi, et a pris mon sexe en bouche, sans l’ombre d’une hésitation…
Pendant qu’elle jouait avec mon sexe, je me suis rassis sur ma chaise, jambes écartées… Elle léchait tout… sexe, gland, testicules… Elle alternait entre disparition complète de ma bite en elle et léchage du bout de la langue de toute ma tige… Elle allait me faire jouir, ce qui était hors de question…
Je me suis alors levé, et à son tour elle s’est assise sur ma chaise, jambes écartées… et j’ai commencé à la lécher… clitoris… l’intérieur d’elle… elle était délicieuse… j’ai agrémenté ce plaisir de mes doigts en elle…
Comme je le fais souvent lorsque c’est la première fois que je partage un tel moment avec une femme, par moment je passe ma langue un peu plus bas que le sexe, et je vois comment elle réagit… dans son cas, elle n’a rien dit… après quelques passages éclairs sur son anus, j’ai décidé de m’y attarder… Elle n’a rien dit, mis à part des gémissements…
Après un long moment de jeux entre ses cuisses, je me suis redressé, j’ai pris la boite de préservatifs, je l’ai ouverte, et j’en ai enfilé un… Pendant que je faisais cela, elle se caressait sous mon regard envieux…
Pour être un peu plus à la hauteur de mon sexe, elle est passée de la chaise à mon bureau… assise les fesses dessus, mon sexe est entré elle très facilement… et je vous assure que ça n’a pas été une partie de jambes en l’air paresseuse… ça a été très énergique… Très rapidement j’ai constaté qu’elle avait envie de mouvements « furieux »… Je l’ai prise par toutes les positions possibles sur mon bureau (en pénétration vaginale) : elle assise, moi assis elle assise sur moi, elle debout penchée en avant au-dessus du bureau, etc…
Puis elle m’a dit : « on va dans le bureau du boss? » J’ai ri, mais j’ai acquiescé. Seul problème : il y a quelques caméras à notre étage, juste à un endroit précis, mais pour aller dans le bureau de notre boss il faut passer à cet endroit précis… On s’est alors rhabillé, très succinctement, on est allé dans le bureau de notre boss, et on s’est enlevé mutuellement nos habits avec frénésie, avant de me remettre un préservatif et de baiser à nouveau, sur le bureau de notre chef…
On a trempé le bureau de notre boss de sueur…
Au bout d’un certain temps, alors que ma collègue était allongée sur le dos sur le bureau de notre chef, les jambes pendantes dans le vide, et que je lui défonçais son adorable chatte à grands coups de reins, tout en essayant de caresser son clitoris ce qui n’était évidemment vu comment on bougeait, elle a joui… J’ai gardé le même rythme le temps de son orgasme, puis je me suis retiré, et je me suis laissé tomber sur la chaise de notre boss… j’étais épuisé, en sueur, et elle aussi… Elle est restée allongée sur le bureau, sans bouger, à reprendre son souffle…
Après un certain moment, je l’ai entendu dire, sur un ton enjoué : « j’aurais aimé ça dans l’anus, sur ce bureau ». Il y a eu un silence de quelques secondes puis elle a dit, sur un ton rêveur : « me faire enculer sur le bureau de mon chef… ». Elle a éclaté de rire, puis s’est redressée sur les coudes. Elle a alors vu que je pointais quelque chose avec mon doigt. Elle a regardé ce que je montrais : et oui, j’étais encore en érection… Je lui ai dit : « je n’ai pas encore joui, alors si tu veux ce que tu viens de dire… »
Elle a cessé de rire pour sourire… elle s’est retournée, le ventre sur le bureau, les jambes écartées, pieds au sol… j’ai commencé par passer ma langue entre ses fesses… c’était toujours délicieux, très salé, très juteux…
Puis sans préparer la pénétration avec des doigts, j’ai directement posé mon gland protégé par le préservatif devant son anus… Alors que je poussais lentement, comme je le fais toujours pour la première pénétration sauf cas exceptionnel (cas exceptionnel = ma chérie quand elle veut me sentir passer violemment...), c’est elle qui s’est reculée pour que je m’enfonce rapidement dans ses intestins…
Sauf avec ma chérie, jamais je n’ai été aussi énergique dans un anus… mon ventre cognait ses fesses à un rythme fou… je l’attirais contre moi violemment mes deux mains sur ses hanches…
Rapidement elle a joui à nouveau… Mais cette fois, contrairement à la pénétration vaginale, pendant l’orgasme elle s’est dégagée de moi… j’ai pu regarder son petit trou alterner entre contractions et dilatations rapides…
J’ai alors demandé à ma collègue si elle voulait que je revienne en elle… elle m’a dit que non, qu’elle n’en pouvait plus, mais qu’elle voulait que l’on recommence la prochaine fin de semaine où l’on travaillera ensemble… Qu’elle voudra la « même même chose »… Aucun problème…
Puis elle a vu que j’étais encore en érection… Je n’avais pas encore joui, trop concentré sur ce que je lui faisais… Elle m’a demandé comment j’avais envie de jouir, sachant que son anus était « temporairement indisponible »… Je lui ai dit que j’adorerais sentir ses mains sur mon sexe…
Elle m’a demandé de m’asseoir dans la chaise, ce que j’ai fait… Puis elle s’est accroupie devant moi, et effectivement, elle semblait avoir un peu mal à l’anus… Elle a eu un peu de mal à trouver une position non douloureuse... Elle a retiré le préservatif et a commencé un mélange de masturbation et de fellation qui a abouti par une éjaculation dans sa bouche…
Lorsque mon sexe est sorti de sa bouche, il était parfaitement propre…
Nous nous sommes rhabillés, et nous avons continué notre journée, qui était presque finie, comme si de rien n’était…
Finalement nous n’avons pas attendu la fin de semaine suivante où nous travaillerions ensemble… Le lendemain matin, donc le dimanche matin, nous sommes arrivés en même temps au bureau. En montant les escaliers vers notre étage, elle m’a demandé, avec son franc parlé habituel, naturel : « on rebaise ce matin? ». En franchissant la porte de notre étage je lui ai répondu que ce sera avec plaisir… Elle m’a ensuite demandé si j’étais d’accord pour l’aider à vivre un fantasme. Évidemment que j’étais partant! Je lui ai demandé lequel c’est, elle m’a répondu : « Un truc très simple. Je voudrais faire une longue fellation pendant laquelle je boirais mon café ». C’était effectivement très simple! Je le lui ai fait remarquer, alors elle m’a dit : « en fait mon fantasme complet c’est de faire une fellation en buvant mon café et fumant une cigarette, mais on ne peut pas dans les bureaux, ça déclencherait l’alarme ».
Oui, j’ai oublié de dire qu’elle fume. Elle fume beaucoup. C’est particulier : elle fume beaucoup, elle mangue beaucoup, elle ne fait aucun sport, mais elle a un corps qui rendrait jalouses beaucoup de femmes…
Revenons à son fantasme… Je lui ai répondu qu’effectivement on ne peut pas dans les bureaux, mais il y a deux endroits où l’on pourrait : dans le sous-sol du bâtiment, qui n’est pas équipé partout de détecteur de fumée, ou sur le toit. Au sous-sol, ce serait sombre et sale, et sur le toit il faudrait attendre un peu que le soleil soit plus haut dans le ciel pour ne pas avoir froid… On a choisi le toit. Le bâtiment où sont nos bureaux étant le plus haut du secteur, personne ne pouvait nous voir. Et le dimanche, tout le bâtiment est vide, pas juste notre étage. On était donc assuré d’être tranquille…
Elle m’a alors dit : « puisqu’il faut attendre, on baise quand même un coup pour patienter? ». J’ai répondu sur le même ton qu’elle, en jouant : « avec plaisir. Tu las veux où? ». Elle s’est esclaffée et m’a répondu : « pas dans le cul en tout cas, ce sera vraiment juste pour la prochaine fin de semaine commune! Il est en réparation pour le moment! »
Quelques instants plus tard ma bite entourée de latex était dans son adorable sexe, moi assis sur le bureau, les jambes dans le vide, elle assise sur mon sexe, ses jambes autour de ma taille... Par moment elle se redressait, se mettant debout sur le bureau au-dessus de mon visage pour que je la savoure, avant de se rasseoir sur moi…
Ça a vraiment été une « baise sociale ». Aucun de nous n’a joui, on s’est juste fait plaisir, comme on peut se faire plaisir en buvant un verre avec des amis… Puis on s’est mis chacun de notre côté à travailler…
Vers 11h ma collègue m’a envoyé un courriel, avec seulement un objet qui disait : « pause café-cigarette-bâton!!! ».
Je suis sorti de mon bureau pour la rejoindre et je lui ai dit en rigolant : « bâton?? Très élégant! ». Elle a ri et a répondu : « je ne pouvais pas mettre le terme qui me venait à l’esprit dans la messagerie du bureau! ». Puis elle a dit : « pause café-cigarette-bite! ».
Tout en la suivant dans l’escalier qui montait sur le toit, je regardais son joli petit cul à travers son pantalon et je passais ma main entre ses cuisses, pour commencer à l’exciter à travers le linge… Elle tenant sa tasse de café dans une main, son paquetde cigarette dans l’autre…
Arrivés à la porte menant sur le toit, j’ai sorti la clé pour la déverrouiller. Il ne faisait pas très chaud, mais pas froid non plus… On a fait le tour du toit en marchant tranquillement, puis je lui ai dit : « on aurait dû monter deux chaises quand même… ». Je suis redescendu en chercher deux, que j’ai placées au milieu du toit, pour être sûr de ne pas pouvoir être vu de plus bas…
Je me suis assis sur une des chaises… Ma collègue sur l’autre, devant moi… Elle a allumé une cigarette, puis s’est penchée en avant et a ouvert ma braguette pour sortir mon « bâton »…
Elle a embrassé mon gland du bout des lèvres, puis a continué à fumer tranquillement, mon sexe sortant de mon pantalon… elle s’est alors déchaussée, et a commencé à me le caresser avec ses pieds… Et on s’est mis à parler, de tout et de rien…
Par moment elle s’agenouillait devant moi et prenait mon sexe en bouche pour une fellation… ses lèvres étaient asséchées par la cigarette, ce n’était pas la fellation la plus douce de ma vie… mais j’aimais bien quand même… en fait ce qui touchait ses lèvres était en alternance irrégulière sa cigarette, sa tasse de café et mon sexe… Tout en parlant de tout et de rien…
Encore une fois, c’était un acte très « social »… Pas d’orgasme, mais beaucoup de plaisir nonchalant…
Assez rapidement elle a elle-même déboutonné son pantalon pour glisser une main, lorsqu’elle était libre, dans sa culotte…
Étant quand même pas mal excité par la situation, je me suis moi aussi accroupi devant elle, j’ai tiré son pantalon jusqu’à ses chevilles, et je lui ai léché le sexe… elle a passé ses jambes autour de ma tête, son pantalon toujours sur ses chevilles… Ses jambes reposaient sur mes épaules… Pendant que je lui procurais du plaisir oral, elle fumait… son café était déjà fini depuis un certain temps…
Nous alternions les positions... Nous avons cessé après qu’elle m’ait fait jouir dans sa bouche d’où s’échappait de la fumée de cigarette, accroupie devant moi, ses yeux plantés dans les miens…
Comme la veille, elle m’a rendu un sexe parfaitement propre…
Nous nous sommes rhabillés, puis nous sommes redescendus à notre étage…
Quelques instants après avoir rejoint nos bureaux respectifs, j’ai reçu un courriel disant : « Encore mieux que ce que j’imaginais… merci… ». J’ai répondu : « Tu donnes un nouveau sens au terme ‘pause-café’, j’adore ça… ». Je n’ai pas eu de réponse immédiate, mais quinze minutes plus tard elle m’a envoyé un courriel disant : « photo pour toi devant ta porte ». Je suis allé ouvrir ma porte, et effectivement, il y avait une photo d’elle montrant seulement en vue en plongée son ventre plat et ses cuisses, avec une cigarette posée sur la cuisse gauche, et une tasse sur la cuisse droite…
Je lui ai répondu par courriel : « Magnifique photo qui donne envie d’une nouvelle pause… »
Elle m’a répondu d’un « J »
Nous n’avons rien refait de la journée… Par contre au moment de partir dimanche en fin d’après-midi, je suis allé la voir et je lui ai rapporté sa photo. Enfin, pas vraiment… J’ai pris en photo sa photo initiale, je l’ai imprimée sur du papier photo (nous en avons au bureau car parfois nous devons en imprimer), et juste avant de partir je me suis masturbé jusqu’à éjaculer dessus… j’ai attendu le plus longtemps possible, car comme elle m’avait fait jouir le matin, je n’avais pas vraiment de « réserve »…
Ce que j’ai rapporté à ma collègue, c’est donc sa photo réimprimée sur papier photo pour qu’il soit plus étanche, et sur laquelle mon sperme avait giclé… Quand je lui ai porté la photo, elle a bien ri… Elle a regardé et m’a dit : « ça me donne une envie… tu éjaculerais dans mon café? ». Je lui ai dit que oui, avec plaisir, mais une autre fois parce que là j’étais vide…Elle a ri de plus belle, et m’a dit « la prochaine fin de semaine ensemble? » Je lui ai répondu que pour une éjaculation dans le café, ça peut être n’importe quand… Je peux aller m’isoler aux toilettes pour le faire, ou même on peut se trouver un coin tranquille n’importe quand en semaine pour le temps d’une éjaculation… Elle a souri, puis a monté sa photo à son visage et a léché le sperme qui était dessus avant de la ranger dans un de ses tiroirs. Et il était l’heure de partir…
J’étais bien content d’avoir joui deux fois aujourd’hui, parce que lorsque je suis arrivé à la maison mes deux chéries étaient nues sur une chaise longue, au soleil, à se procurer du plaisir… Vous savez que parfois je les laisse entre elles, ce que je pensais faire quand je les ai vu ainsi, mais elles m’ont demandé de les rejoindre… J’ai pu leur faire l’amour longtemps, très longtemps, sans craindre de jouir trop vite…