Ce matin Catherine est arrivée tôt au bureau. Dès qu'elle est arrivée, elle
est venue me voir et m'a demandé de la suivre. On a descendu les escaliers, on est allé vers son auto, et elle m'a dit : "j'ai vraiment envie de baiser", tout en ouvrant la portière arrière de sa
voiture.
Au Québec beaucoup de voitures ont les vitres arrières teintées, donc ce qui peut se passer sur la banquette arrière est quand même assez bien caché, surtout lors d'une journée comme aujourd'hui
où il faisait très sombre ce matin à cause de la pluie.
Elle est entrée dans l'auto, je l'ai suivie. À peine assise, elle a commencé par enlever son pantalon. Je précise que jusqu'à ce moment-là, je n'ai pas encore dit un seul mot, à part probablement
un "bonjour" quand elle est entrée dans mon bureau, mais je ne m'en souviens pas vraiment. Autrement dit, elle ne m'a même pas demandé mon avis. Ce qui m'a plu...
J'ai déboutonné mon pantalon, sorti mon sexe en érection (parce que oui, la situation m'excitait, de la voir en manque à ce point et de me vouloir sans même demander si j'en avais envie aussi),
et elle est aussitôt venue s'agenouiller au-dessus de moi, face à moi, ses genoux sur la banquette, pour s'empaler sur mon sexe...
En deux va-et-vient, j'étais tout au fond d'elle... Elle a alors arrêté de bouger, a souri, un sourire de soulagement, et a recommencé des va-et-vient qui sans être frénétiques n'étaient pas non
plus particulièrement lents...
J'ai soulevé son haut pour poser mes mains sur sa peau, sur ses hanches, et je l'ai laissée faire ce qu'elle voulait...
Très rapidement elle a joui. Vraiment rapidement, bien plus que d'habitude... Elle s'est alors dégagée de moi pour s'asseoir à côté de moi, une de ses mains entre ses jambes. Elle se caressait
doucement... Évidemment j'ai aussitôt placer ma main sur la sienne, pour prendre sa place... Je lui ai caressé le clitoris délicatement, comme elle le faisait elle-même...
De son côté elle a pris mon sexe en main pour une branlette très douce. Je pense juste qu'elle avait envie d'avoir un sexe en main, pour le contact...
Après une courte pause où nous n'avons pas dit un mot ni l'un ni l'autre, elle est revenue s'agenouiller sur moi, et on a recommencé exactement comme la première fois... Mon sexe tout au fond
d'elle à chaque mouvement, mes mains sur ses hanches (j'avais soulevé son haut, je ne l'avais pas enlevé donc je n'avais pas accès à ses seins), et elle a rejoui... Cette fois elle est restée sur
moi après son orgasme...
Puis elle a recommencé les va-et-vient, plus lentement, comme si elle était apaisée. D'ailleurs si les deux premières fois elle avait joui très vite, Elle n'a pas eu d'autres orgasmes aussi
rapidement par la suite. En fait elle n'en a pas eu d'autres, jusqu'au dernier avant que l'on remonte dans les bureaux.
Mais avant d'arriver à cet ultime orgasme, nous avons enfin parlé un peu, mon sexe toujours en elle. C'est là qu'elle m'a "expliqué" cette envie du matin... Elle a fait un rêve érotique durant la
nuit qui l'a beaucoup excité (je n'ai aucune de quoi elle a rêve exactement, je n'ai pas demandé les détails), et elle n'arrivait pas à calmer les envies qu'il lui a donné, malgré une "intense
séance de masturbation au réveil" (ce sont ses mots)... Durant tout le trajet pour venir travailler, elle n'avait que des images cochonnes qui lui passaient en tête, et elle voulait les apaiser,
la seule solution selon elle étant de jouir en baisant vraiment, pas en solo.
Elle n'avait pas tort, mais ça lui a quand même pris deux orgasmes pour être apaisée... J'aurais adoré être dans son lit au réveil : je suis sûr que nous aurions eu beaucoup plus de variété
d'actes que dans l'espace étriqué d'une auto! Et la connaissant, ça aurait été un feu d'artifice sexuel...
Pour revenir à la discussion, elle m'a dit que comme elle n'est pas venu chez nous depuis longtemps (restons relatif : ça fait deux semaines que nous n'avons pas eu de relation sexuelle avec
elle, ce n'est pas non plus l'éternité!) et qu'elle n'a personne d'autre, elle était prédisposée à avoir ce genre de comportement depuis déjà quelques jours. Bref, elle était en manque de sexe
depuis plusieurs jours déjà.
Je lui ai dit qu'elle pouvait venir nous voir quand elle voulait, passer une soirée, passer une nuit, même un week-end si elle le souhaite. Elle m'a alors dit qu'elle croyait que Magali, Clarisse
et moi voulions rester seuls, suite aux discussions que nous avions eu lorsque nous l'avons temporairement hébergée. J'ai alors clarifié les choses : elle est la bienvenue chez nous quand elle
veut, que ce soit juste pour voir des ami(e)s, pour profiter de la piscine, pour un souper sympa comme le ferait tout ami "normal", ou que ce soit pour baiser sans arrière-pensée. Je lui ai
expliqué que ce que nous ne voulons pas, c'est agrandir notre trio amoureux dans la vie de tous les jours. Nous ne voulons pas vivre à quatre "officiellement". Un peu comme un couple échangiste
ou libertin : pas de problème pour avoir d'autres partenaires sexuels, mais ces derniers ne viennent pas habiter avec le couple.
Catherine a alors souri en disant qu'elle n'avait pas bien compris. Elle pensait que l'on s'était "désintéressée" d'elle lorsque nous l'avons logé suite à ses problèmes avec son ex. Pas du
tout...
On a parlé de tout ça, mon sexe encore en elle... Le temps passait... Elle était encore sur moi quand certains de nos collègues sont arrivés... Avec les vitres teintées de l'auto ils ne pouvait
pas nous voir, mais on restait calme aussi : on ne baisait pas à en faire bouger l'auto dans tous les sens...
On a bien ri en regardant certains de nos collègues passer, en nous disant : "tu ne pensais qu'un jour on baiserait en les regardant passer?"
J'ai fini par soulever son haut un peu plus, à enlever son soutien-gorge pour lui mordiller les tétons... Je crois que je ne l'ai jamais décrite : c'est une femme avec un corps très svelte, une
vraie sportive, mais elle a une poitrine très peu développée... Il serait complètement impensable de se faire branler par ses deux seins par exemple. C'est, je dirais, son seul "point faible" :
le reste de son corps et son visage sont magnifiques...
Elle a alors joui pour la troisième fois... De mon côté, j'ai eu énormément de plaisir, mais pas d'orgasme, volontairement. J'avais envie de la contenter, d'être prête à tout, ce qui voulait dire
ne pas jouir trop tôt., donc ne pas jouir du tout, au cas où...
Quand elle s'est dégagée de moi, elle m'a demandé si une fellation pour "finir" me ferait plaisir... Quelle question stupide : qui n'aimerait pas ça? Hi hi hi... Elle s'est accroupie entre les
sièges avant et la banquette arrière, puis a commencé par récupérer son propre jus en passant sa langue sur mon sexe... Elle a ensuite pris mon gland en bouche, puis a arrête de bouger... Elle
s'est dégagée de ma verge et m'a dit : "finalement je préfère que tu gardes tout jusqu'à mon café". Ça faisait longtemps que je n'avais pas agrémenté son café de mon sperme!
Je lui ai dit que j'étais d'accord, mais que de mon côté j'avais envie de la goûter un peu... Elle s'est alors assise/allongée sur la banquette, le dos contre une portière. Je me suis installé au
sol pour la savourer, mais ce n'était ni agréable comme position, ni efficace... Je me suis alors moi-même allongé au complet sur la banquette, les jambes pliées parce que l'auto n'est quand même
pas si large que ça, et elle est venue se placer au-dessus de mon visage. Là j'ai pu vraiment profiter de tout ce qu'elle pouvait m'offrir : un jus d'excitation délicieux, agrémenté de quelques
passages de ma langue sur son anus... Et finalement elle ne s'est pas retenue pour plus tard : elle s'est penchée vers mon sexe pendant que je la léchais, pour un 69 paradisiaque qui a fini après
que j'ai explosé dans sa bouche et qu'elle ait profité de tout ce qu'à mon tour je lui ai offert...
On s'est rhabillés, puis on est remonté au bureau. Dans les escaliers elle m'a demandé si elle pouvait passer chez nous un des soirs de la semaine. Évidemment qu'on est d'accord...
