Le blog de ma vie sexuelle, passée et présente...
Il y a quelques jours j'ai pris le métro. Il était "bondé" quand je suis monté dedans, mais quasiment vide au terminus. Je dis "bondé" entre guillemets car là fréquentation n'a encore rien à voir par rapport à avant la pandémie.
Pour ceux qui connaissent Montréal, il y a des anciens métros, dont chaque rame est indépendante, et les nouveaux métros dans lesquels on peut marcher d'un bout à l'autre par l'intérieur, toutes les rames étant connectées.
Dans le cas présent, j'étais dans un ancien métro, assis à l'extrémité d'une rame dont le bout était fermé et opaque, pas en vitre. On ne pouvait donc me voir d'une autre rame; seuls les gens dans celle où j'étais pouvais me voir. Et comme je l'ai dit, proche du terminus il n'y avait plus grand monde.
À trois arrêts du terminus une femme s'est levée pour descendre. Elle était époustouflante, magnifique, habillée sexy dans être vulgaire, bref, toutes les têtes se tournaient vers elle.
Quand elle est descendue de la rame, un gars assis proche de moi, le seul autre passager dans cette moitié de ma rame, m'a dit après que j'ai perdu la femme de vue :
- Tu la trouves belle?
- Superbe, pas toi?
- Mon genre, c'est plutôt toi
J'ai souri et j'ai dit :
- Pas mal directe comme déclaration
- J'aime être direct et honnête
J'ai regardé autour de nous pour m'assurer qu'on serait tranquille et je lui ai dit :
- Si je te propose de te branler ici et maintenant, c'est assez direct à ton goût?
Il s'est levé et s'est approché de moi. J'étais assis en bout de rame, donc comme je l'ai expliqué plus tôt, on me pouvait nous voir que d'une direction. Et il s'est mis dos à cette direction.
Interprétant son mouvement comme une acceptation, je n'ai pas perdu une seconde, j'ai sorti sa queue de son pantalon, et je me suis mis à le branler. Il était debout devant moi, appuyé négligemment sur le côté de la rame, comme si de rien était.
Lorsqu'on est arrivé à la station suivante, on était un plus visible, donc j'ai un peu ralenti la branlette, mais sans l'arrêter complètement, dissimulant le peu qui était visible par ma veste que j'avais retirée.
Dès qu'on a été de retour dans les tunnels non éclairés, je n'ai pas résisté : j'ai pris sa queue en bouche pour le finir... Je l'ai sucé sans relâche, son gland passant de mes lèvres au fond de ma gorge a un rythme soutenu, jusqu'à ce qu'il jouisse, juste avant la station suivante... Je me suis dépêché de le nettoyer de ma langue experte, puis il s'est assis en face de moi.
Javaisbel goût de son sperme en bouche, c'était délicieux...
Il m'a alors proposé d'aller chez lui pour qu'à son tour il s'occupe de moi, de la façon que je voudrais : branlette, fellation, sodomie. Je lui ai répondu que je n'avais pas le temps, ce qui était vrai. Il a tenté de me convaincre en me disant qu'il avait un cul tellement serré que j'aurais l'impression de le dépuceler. J'ai ri en disant que c'est tentant, mais que je n'avais vraiment, vraiment pas le temps, que ma femme m'attendait, ce qui était vrai.
Il a insisté encore et encore... Il a dit qu'après ça on se reverra plus, alors que je pouvais bien prendre quelques minutes pour me vider en lui ou sur lui. Une rencontre express dont on gardera un bon souvenir.
On est sorti à la même station de métro, au terminus. Il m'a montré un immeuble, en me disant que c'est là qu'il habitait, que ce serait vite fait.
Là, je ne sais pas ce qui m'a pris. Je n'aime pas plus que ça embrasser les hommes, je préfère, et de loin, les sucer, mais je me suis approché de lui, je l'ai embrassé sauvagement à pleine bouche, j'ai glissé ma main dans son pantalon par derrière et je lui ai glissé un doigt dans le cul, rapidement, quelques va et vient express, avant de me décoller et de dire que malheureusement je n'avais pas le temps, vraiment pas le temps. Je me suis retourné et je me suis éloigné, sans un mot. Il n'a pas tenté de me retenir ni rien. Je lui en étais reconnaissant, parce que je pense que je l'aurais envoyé chier... Ça aurait été dommage...