Le blog de ma vie sexuelle, passée et présente...
Avec Cassandra, nous nous écrivons souvent, et nous nous voyons une fois de temps en temps. Après le week-end à l’hôtel, je suis allé chez elle et elle est venue chez nous.
La première fois qu’elle est venue à la maison et qu’elle a rencontré mes deux chéries, étrangement il ne s’est rien passé de sexuel. Physiquement parlant, parce qu’en terme de discussion, ça a été le sujet principal de la soirée!
Cassandra a parlé de ses expériences passées, mes chéries et moi aussi ainsi que de notre vie actuelle. Et sans tabou. Et quand je dis sans tabou, je n’exagère pas : elle a appris que je baise à l’occasion avec ma belle-mère et que la scatophilie est devenue un mode de vie. C’est ce dernier point qui a beaucoup attiré Cassandra, au point qu’elle a goûté des « confiseries » que l’on garde au frigo ou dans le congélateur : des petites bouchées d’excréments, de la taille d’une truffe au chocolat. Elle en a goûté des fraiches du jour qui avaient été placées dans le frigo, ainsi que des congelées à faire fondre en bouche avant d’avaler.
Elle n’a pas dit que c’était bon, mais que c’était moins pire que ce qu’elle pensait, et que de savoir d’où ça venait rendait le tout très excitant. Elle a demandé si on savait de qui de nous trois les gourmandises venaient : pour celles du jour, c’était Magali, mais pour celles congelées, on ne savait plus.
Baiser avec une femme n’attire pas Cassandra plus que ça, mais quand je lui ai dit que si on continuait à se voir, mes chéries, tout du moins Magali, demandera sûrement un jour à participer, elle a répondu que ce sera avec plaisir. Quand elle a su que les confiseries du jour sortaient de Magali, elle en a repris. Était-ce un message codé pour dire qu’elle était prête?
Quoi qu’il en soit, ce soir-là nous n’avons rien fait, ni Cassandra et moi seulement, ni Cassandra avec mes chéries. Elle est rentrée chez elle, tout simplement, comme une amie « normale ».
Nous nous sommes revus à quelques reprises depuis, souvent pour des baises « violentes » comme elle aime, parfois chez elle, parfois chez nous, mais elle n’a pas encore eu de première expérience avec une femme.
La soirée dont je veux vous parler ici, est celle de vendredi. Dès lundi dernier, Cassandra m’avait écrit pour me demander si j’étais disponible. J’ai dit que oui. Ensuite je n’ai eu qu’une consigne : arriver l’anus plein…
Et c’est ce que j’ai fait…
Lorsque Cassandra m’a ouvert la porte de chez elle, elle était dans la même tenue que d’autres fois : bikini blanc sur sa peau noire… On s’est embrassé (pas la bise, le vrai baiser complet), elle m’a proposé de boire quelque chose, puis on a discuté un peu, jusqu’à ce qu’elle me dise : « je sens que je suis prête ».
Elle s’est déshabillée complètement sans m’en dire plus. Une fois nue, elle m’a demandé d’en faire autant. On est ensuite allés dans sa chambre, où elle m’a démontré encore une fois qu’elle était très souple : elle s’est allongée sur le dos sur le lit, puis a relevé ses deux jambes pour les passer derrière sa tête, donnant une vue et un accès incroyable à son entre-jambes.
Elle m’a dit « viens me lécher le cul, en te préparant à avaler ce qui va en sortir. Ça devrait être quelque chose de long, dur et croquant… »
Avec une telle vue, je n’aurais pas pu m’empêcher d’aller lécher son petit trou de toute façon… Une fois bien en place, lui léchant le sphincter bien fermé, j’ai senti ce dernier s’ouvrir… J’ai tenté de glisser ma langue dedans, mais c’est plutôt ce qui était dedans qui s’est glissé dans la bouche… Et elle avait raison : ça a été un long cigare que j’ai dû avaler en le coupant avec mes dents, et il était effectivement croquant car il y avait des cacahouètes non totalement digérées dedans…
En le mangeant, je bandais comme un fou… et je l’entendais gémir en se caressant les tétons…
Une fois que plus rien ne sortait de son petit trou, elle m’a dit d’approcher ma queue d’elle, pendant qu’elle prenait un tube de lubrifiant. Elle m’a badigeonné la queue, puis la consigne a été claire : « Dans mon cul, d’un coup au fond ».
Je suis quelqu’un de très obéissant : j’ai posé mon gland contre son petit trou, et j’ai poussé d’un coup. C’est vraiment rentré tout seul, son anus étant encore dilaté ce qui en était sorti juste auparavant. Elle a crié, mais bien moins fort que lors d’autres premières pénétrations…
Ces jambes toujours derrière sa tête, je l’ai pilonnée jusqu’à ce qu’elle jouisse…
Elle a ensuite dépliée ses jambes, a sucé ma queue qui n’était pas vraiment propre à 100%, loin de là, s’est levée, a pris une grosse serviette qu’elle a placé sur le lit, elle s’est rallongée dessus sur le dos, puis m’a dit de venir m’accroupir au-dessus de son ventre.
Elle a lubrifié trois doigts de sa main, et a commencé à forcer mon anus. Et je le rappelle : elle m’avait demandé de venir les intestins pleins…
Lorsqu’elle sortait ses doigts de moi, mon cul se vidait sur son ventre… Puis elle les réinsérait, en allant toujours plus loin, pour continuer à me vidanger…
Une fois satisfaite, elle a léché ses doigts plein de ma merde, en semblant y prendre du plaisir… Son autre main était entre ses jambes : elle se masturbait en même temps…
Une fois ses doigts propres, elle m’a dit : « Nettoie-moi. Avec ta bouche seulement ». Toujours aussi obéissant, j’ai commencé à récupérer tout ce qui avait coulé sur elle… Alors que j’en avais plein la bouche, à quelques reprises elle m’a demandé de venir l’embrasser, pour des longs baisers scatologiques…
Alors qu’il ne restait plus grand-chose, elle m’a demandé de tout placer dans sa bouche. Une fois la bouche en partie pleine de mes excréments plutôt mous, elle s’est redressée et m’a sucé : une pipe dans une bouche encombrée.
Après la fellation, elle m’a dit avoir été déçu : le sperme ne goutait pas, dissimulé par le goût plus fort de la merde. J’aurais pu le lui dire dès le début, en ayant déjà fait l’expérience!
On a ensuite pris une petite douche, et avant de se rhabiller elle m’a demandé si j’étais en état de lui faire l’amour « normalement ». Non seulement j’ai été en état, mais elle a joui plusieurs fois… Et j’ai joui moi aussi, pour la seconde fois de la soirée, mais cette fois dans son sexe…
Je suis descendu entre ses jambes pour la nettoyer, pour savourer le goût de son sexe trempé mélangé à mon sperme, puis je suis rentré chez moi. Où bien évidemment mes chéries ont voulu savoir tout ce qui s’est passé…