C'est mon nouveau dicton : un homme par jour éloigne le docteur pour toujours! Après nos deux soirées de prostitution, j'avais dit à ma chérie que j'avais été "déçu" de ne pas avoir pu goûter au sperme de mes clients. Pour compenser, chaque jour des vacances ma chérie m'a trouvé un homme différent à qui faire une fellation délicieuse, jusqu'à savourer leur nectar. Même pendant les trois jours passés chez sa mère elle a réussi à trouver deux hommes sur place (le troisième jour c'est en revenant que l'on a fait une pause chez un homme à Montréal, donc juste deux hommes proche de chez sa mère ont suffit)...

Chaque jour j'ai donc pu savourer une giclée de sperme, parfois après une sodomie sur moi, parfois après une pénétration de ma chérie s'il était bi, parfois juste une giclée, sans autre pénétration avant...

Je peux vous assurer qu'avoir sa dose quotidienne de sperme est un pur délice... Ma chérie m'organiserait ça jusqu'à la fin de mes jours, je ne m'en lasserais pas! Mais ça n'a été que pendant les vacances... sniff... :)

Lorsque je suis rentré chez moi hier midi, j'ai entendu du bruit dès que j'ai ouvert la porte... j'ai aussitôt compris que ma chérie n'était pas seule à la maison... les gémissements venant de notre baisodrome, et selon ce que j'entendais, je devinais que ma chérie était avec une autre femme... Alors sans faire de bruit je suis allé dans le salon, j'ai pris un livre, une cannette de Coca-Cola, et j'ai lu...

environ 45 minutes plus tard, j'ai entendu la porte s'ouvrir... j'ai entendu des pas se dirigeant vers la porte d'entrée de l'appartement... il y a eu un silence de quelques secondes, pour ce que j'ai imaginé être un baiser... puis la porte s'est fermée, et ma chérie est venue me voir...

elle était complètement nue, toujours aussi sublime... j'adore ses seins, son ventre, ses cuisses... j'adore tout d'elle... elle avait un magnifique sourire et des yeux qui pétillaient... elle s'est approchée de moi, s'est penchée et m'a embrassé... Lorsque nos langues se sont séparées et nos lèvres se sont décollées, je lui ai dit "haleine délicieuse..." Elle sentait le sexe de femme, c'était très agréable...

Elle a souri... tout en ouvrant mon pantalon pour en sortir mon sexe, elle m'a dit : "en plus d'être délicieux, sa petit chatte était très souple... tu aurais adoré voir ça... ma main au complet a pu y rentrer..."

À la fin de cette phrase, mon sexe était sorti, fièrement dressé... ma chérie s'est agenouillée sur moi, tournée vers moi... sans que nous ne fassions de mouvement, nous avons continué à parler... elle m'a dit : "son anus c'était l'inverse : très serré... deux doigts lui faisaient mal... tu aurais adoré aussi..."

Elle m'a raconté comment elle l'a rencontré : la ligne verte du métro était en panne, et elles se sont retrouvées à discuter dans l'attente d'un bus pour remplacer le métro. Et de fil en aiguille, ça a fini chez nous...

Puis nous avons parlé de tout et de rien, toujours mon sexe en elle, sans bouger... j'avais mes mains dans son dos, la retenant ainsi pour ne pas qu'elle tombe en arrière, tandis que les siennes lui permettaient de se tenir aux accoudoirs du fauteuil...

C'est ce moment là que je trouve très simple et que j'adore : nous discutions mon sexe en elle, sans bouger... j'adore ça... pour moi c'est un immense complicité... par moment nous faisions des pauses pour nous embrasser, mais toujours sans faire de mouvement "sexuel"...

Et puis son téléphone a sonné. Elle s'est dégagée de moi, à décrocher en disant "allo maman", puis elle est revenu sur moi, dans la même position que précédemment, tout en parlant à sa mère... Cette dernière n'en a rien su...

Nous avons quand même fini par nous désunir... il faut dire que nous avions des choses à faire dans l'après-midi, chacun de notre côté : université pour elle, dentiste pour moi...

En remettant mon sexe dans mon pantalon, elle m'a dit avec un sourire coquin : "essaye de tout garder pour moi... j'aurai très envie de te boire ce soir..." Je me suis approché de son visage, je l'ai embrassé lentement, amoureusement, et je lui ai dit que j'étais tout à elle...