Vendredi 24 février 5 24 /02 /Fév 15:59

Sara, la sublime jeune mère dont je m’abreuvais de lait jusqu’à récemment, m’a proposé de rencontrer une de ces amies qui a récemment accouché et qui est célibataire. La garde du bébé est partagée, donc plusieurs jours par semaine elle est seule, les seins gonflés de lait… Elle ne fantasme pas particulièrement sur offrir son lait à un homme, même si elle est curieuse d’essayer, c’est surtout qu’elle est en manque de sexe.


Selon ce que j’ai compris, avant d’être avec le père de son enfant elle n’avait jamais eu de relation sérieuse, elle enchaînait les hommes car elle adorait séduire et baiser. Lorsqu’elle a rencontré le père de son fils, le début de la relation a été difficile car elle continuait à séduire et coucher avec des hommes, tout en étant “officiellement” avec son copain. Finalement elle s’est assagie, et après plus de dix ans ensemble ils ont décidé d’avoir un enfant. Et pendant la grossesse, ils se sont séparés…


Ils sont restés en bon terme, la garde du bébé se passe bien, mais, selon Sara, depuis quelques semaines elle lui dit que le sexe lui manque mais qu’elle ne sent pas capable d’aller draguer et baiser n’importe qui en tant que mère.


Sara lui a alors parlé de moi, elle lui a avoué qu’elle trompait son conjoint depuis plusieurs mois, et a expliqué comment elle en est arrivée à la situation actuelle : une envie initiale d’allaiter un homme, envie qui a “dégénéré” en une relation encore plus intime. Elle a aussi évidemment mentionné que son conjoint baise à l’occasion avec ma chérie (elle n’a pas parlé du fait que j’en ai deux), mais qu’il ne sait pas qu’elle le sait.


Tout ça pour dire que Sara a proposé à son amie de me parler d’elle, et de nous organiser une rencontre si nous étions tous les deux d’accord. Elle lui a dit que si nous nous convenions, ce serait une bonne solution pour assouvir ses envies/besoins de sexe sans avoir à courroyer auprès d’inconnus. Non, il n’y aurait pas nécessairement de jeu de séduction, mais au moins il y aurait du sexe sécuritaire. Son amie a dit oui.


De mon côté, j’ai d’abord dit non, ce qui a surpris autant Sara que mes chéries quand je leur en ai parlé. J’ai expliqué que je trouvais que je commençais à avoir trop de partenaires réguliers (Sara, Ludivine, Cassandra, Crystal, mon boss et sa conjointe) sans parler des partenaires occasionnels (ma belle-mère, notamment), et qu’à trop en avoir, j’avais peur de ne plus satisfaire les deux plus importantes à mon coeur : mes chéries.


Elles m’ont assuré qu’elles n’avaient pour le moment aucune raison de se plaindre, et que je devrais pas dire non à une femme qui me permettrait de savoureux son nectar lacté. Alors que voulez-vous, si mes propres chéries me poussent dans les bras d’une autre femme, je n’ai pas le choix de dire oui! 🙂


Le plus drôle, c’est que rendu là, je n’avais encore aucune idée du physique de la personne en question, je n’avais tout simplement pas pensé à poser de questions à ce sujet! Lorsque j’ai enfin demandé une description de cette amie à Sara, elle m’a répondu que c’est une femme de la même taille qu’elle, avec un joli corps mais aux courbes différentes des siennes, et avec un certain nombre de tatouages, cheveux mi-long bruns, yeux marrons. Je n’ai rien eu de plus comme information.


Peu de temps après l’annonce de ma décision, Sara m’a appelé pour me dire que son amie souhaitait profiter de notre première fois pour réaliser un fantasme. En fait, elle avait deux fantasmes : baiser avec un mec en ayant les yeux bandés, pour ne pas avoir la moindre idée de à quoi ressemblerait son partenaire, et baiser avec un partenaire qui aurait les yeux bandés, et non elle. Les deux fantasmes étaient réalisables car Sara n’a ni montré une photo de moi à son amie ni une photo de son amie à moi, mais elle ne savait pas lequel choisir. C’est Sara qui lui a proposé une solution : nous aurons tous les yeux bandés…


Et c’est ce qui s’est passé. Le jour J, Sara a servi d’entremetteuse. Je me suis présenté chez son amie, et avant même de passer la porte, Sara m’a bandé les yeux. Elle m’a ensuite guidé jusqu’à la chambre où était son amie, qui avait aussi les yeux bandés, puis elle nous a laissés seuls, non sans m’embrasser avec passion avant de partir... 


Quelques règles ou détails avaient été définis au préalable. Il avait été convenu que Sara m’introduirait chez son amie les yeux bandés, qu’elle nous approcherait l’un de l’autre en guidant nos mains pour qu’elles se trouvent, puis quitterait l’appartement. Quand nous aurions fini notre séance de plaisir, son amie me guiderait jusqu’à la porte de son appartement, tous les deux les yeux bandés, et aucun de nous n’enlèverait notre bandeau avant que la porte soit refermée. Sexuellement parlant, il a été convenu que ce serait sans préservatif, et que toutes les zones de nos corps où un sexe ou des doigts peuvent entrer seraient mises à contribution (quand Sara lui a dit que j’aimais que l’on joue en moi, son amie aurait répondu avec un grand sourire : “Intéressant”). Il a aussi été convenu que je pourrais jouir n’importe où, que ce soit en elle ou sur elle, que les pénétrations pourraient se faire dans n’importe quel ordre (elle n’aurait aucun dégoût un lécher un sexe qui est passé en elle, quel que soit la partie de son corps; et l’inverse est vrai : elle pourrait glisser des doigts en moi et me les faire lécher ensuite). Et je pourrais boire à ses seins autant que je voudrais, même si à ses yeux ce n’est pas le but premier de notre rencontre. Et la dernière consigne : nous n’étions pas là pour parler, mais pour baiser. Alors le moins de bla bla possible…


Sara nous a donc laissé alors que nous nous tenions par la main, dans le noir. Nous étions tous les deux gênés. C’est un peu spécial, complètement à l’aveugle… On riait de malaise. Finalement, j’ai levé ma main libre pour la poser quelque part sur son corps. Elle était debout, devant moi, et c’est son ventre que ma main a touché. Son ventre au travers de son linge, car nous n’étions pas nus. Elle ne semblait pas avoir le ventre ferme et plat de Clarisse ou de Cassandra, mais je ne pouvais non plus dire qu’elle avait du ventre. 


J’ai déplacé ma main libre vers sa hanche, puis j’ai lâché sa main pour poser ma seconde sur sa hanche aussi. Je me suis retenu de les remonter directement sur ses seins, pourtant je mourrais d’envie de les toucher, de les évaluer… Je suis remonté le long de son corps en évitant ses seins, donc en passant par ses bras et ses épaules, jusqu’à son cou… J’ai fini avec une main de chaque côté de son visage… 


De son côté, elle n’avait pas perdu beaucoup de temps non plus : ses deux mains s’étaient glissées sous mon t-shirt, directement sur ma peau… Elle me caressait le ventre, le torse, le dos… 


Mes deux mains encadrant son visage, je lui ai murmuré de ne pas être surprise, de ne pas avoir peur, que j’allais l’embrasser. Sans nous voir, j’ai donc approché mon visage du sien, et le guidant de mes mains, il n’a pas été trop difficile d’entrer en contact avec ses lèvres…


Pendant le long baiser qui a suivi, elle a été la plus entreprenante de nous deux : mon pantalon a vite été déboutonné, et ses mains ont plongé dans mon caleçon pour jouer avec mon sexe qui était dur comme du béton… La situation était très, très excitante… Et le fait qu’elle cesse le baiser pour s’agenouiller devant moi et embrasser mon sexe et mes couilles n’a pas contribuer à diminuer l’excitation vécue…


Pendant cette première fellation, j’ai compris deux choses : qu’elle faisait toujours attention à ce que mon sexe n’aille pas trop loin en elle, donc j’ai compris qu’elle n’aimait pas les gorges profondes, et au bruit  que j’entendais j’ai compris qu’elle se déshabillait en même temps. Alors moi aussi, j’ai retiré ce que je portais en haut…


Quand elle s’est relevée, je l’ai faite tourner sur elle-même, collant mon sexe en érection contre ses fesses, fesses qui étaient complètement nues… j’ai placé mes mains sur ses hanches, je les ai déplacées sur son ventre, puis cette fois sans hésitation je les ai remontées pour saisir ses seins… Très agréable surprise… Ils étaient massifs, fermes, et j’estimais que si elle le désirait, c’est sans problème qu’elle pourrait me faire vivre une belle branlette espagnole… 


Pendant que je lui caressais les seins, je sentais déjà du lait couler… Je me suis retenu de ne pas commencer à le boire aussitôt… De son côté, elle se trémoussait, tentait de passer une main entre mon corps et ses fesses pour saisir ma queue… 


Lorsque j’ai cessé de me coller à ses fesses, lui permettant de saisir ma queue à pleine main, elle s’est retournée, et tout en m’embrassant m’a fait reculer un peu… J’ai senti le haut de mes cuisses taper contre quelque chose de souple, son matelas… Comprenant où elle voulait en venir, je suis monté sur le lit, et je me suis allongé sur le dos… Elle a suivi mon mouvement sans que nos lèvres ne se décollent…


Une fois tous les deux bien sur le lit, elle a fait aussitôt demi-tour… Précautionneusement elle a placé un genoux de chaque côté de mon visage, et s’est penchée en avant pour embrasser ma tige… J’ai posé mes mains sur ses deux fesses, et j’ai levé un peu la tête, attiré par l’odeur de son sexe. Sexe qui était complètement trempé avant même que je n’y passe ma langue… La situation en double aveugle semblait l’exciter tout autant que moi…


Comme la plupart des chattes que j’ai léchées, elle était absolument délicieuse… Elle mouillait énormément, un vrai plaisir… J’en avais plein le menton, les lèvres, le nez… Je me régalais, mes mains toujours sur son cul…


De son côté, d’une main elle tenait ma queue dressée, sa bouche la parcourant de haut en bas par l’extérieur, et faisait entrer mon gland et une petite partie de mon membre dans sa cavité buccale pour des fellations. Elle n’hésitait pas à plonger son nez entre mes jambes pour lécher mes couilles, mon anus étant caressé par sa respiration…


J’ai évidemment accompagné ma langue avec ma doigts dans son sexe juteux… Un premier, un second, un troisième… Pour faciliter l'accès, j'ai fini par consacrer ma bouche à sa chatte, et mes doigts lubrifiés à son anus, ne résistant pas à l’envie de passer à l’occasion des petits coups de langue sur son trou dilaté…


C’est lorsque j’ai entamé des va-et-vient avec trois doigts en elle que ses gémissements ont commencé… Elle a cessé de jouer avec sa bouche sur mon sexe, le tenant simplement fermement dans sa main, et a posé sa tête sur une de mes cuisses… J’ai compris qu’elle savourait le moment… 


Pour me permettre de meilleurs mouvements, j’ai délaissé un peu son petit trou, et j’ai repris les mêmes mouvements dans son sexe, en augmentant la cadence… Ce qui me rendait fou, c’est que je sentais des gouttes couler le long de mon avant-bras… Elle mouillait énormément… Et elle a joui… Tout son corps s’est mis à trembler, puis elle s’est laissée tomber sur le côté, roulant sur le dos sur le lit… 


Je n’ai pas perdu de temps… à mon tour, j’ai réalisé un 180°, et en trouvant ses jambes à taton, j’ai embrassé ses genoux, remontant le long de son corps… Ses cuisses… L’intérieur chaud de ses cuisses… son sexe trempé… J’ai confirmé en continuant à remonter qu’elle n’avait pas le moindre poil sur le pubis… son ventre… ses seins, où je ne me suis pas attardé même si j’avais envie d’y boire, surtout que sur son ventre j’ai goûté au lait légèrement séché qui avait coulé lorsque je lui ai sensuellement massé la poitrine… son cou… Et enfin sa bouche… Et au moment où j’ai commencé à l’embrasser sur la bouche, j’étais allongé sur elle, faisant entrer mon sexe là où mes doigts étaient présents quelques instants plus tôt… 


Elle a passé ses bras autour de mon cou, et sensuellement, langue contre langue, nous avons fait l’amour, jusqu’à ce qu’elle jouisse à nouveau…


Lorsque les tremblements de son corps ont disparu, elle nous a fait rouler : je me suis retrouvé allongé sur le dos, elle sur moi. Mais cette fois, pas de 69, elle est restée dans le même sens que moi. Elle a pris mon sexe dans sa main alors qu’elle était accroupie au-dessus de mon corps, le buste en avant (ses seins me frôlaient le visage dans le noir…), puis s’est lentement empalée sur moi. Dès le début de sa descente sur ma queue, j’ai senti que c’est son anus qu’elle cherchait à faire pénétrer… Quel délice… J’aurais adoré voir son visage pendant que mon gland forçait doucement l’entrée… 


Après quelques va-et-vient où je l’ai laissée guider, je me suis enfin attelé à la tâche que j’attendais depuis le début : la traire de ma bouche… 


Je dois avouer que son lait était abondant, chaud, visqueux à souhait, mais il n’était pas aussi bon que celui de Sara. Probablement une alimentation différente ou bien une question de génétique, je n’y connais rien… Mais l’action de la boire était très, très excitante…


Par moment elle se redressait, s’asseyant carrément sur mon bas-ventre/le haut de mes cuisses. Dans cette position, mon gland était au plus profond possible de ses intestins… Puis elle reprenait les va-et-vient, ne tardant pas à se repencher au-dessus de moi, ses seins venant cogner mon visage, ma bouche accueillant ses tétons pour une nouvelle dose de lait…


Après un certain temps, je l’ai faite se dissocier de mon sexe, puis d’une pression insistante de mes mains sur ses fesses elle a compris que je voulais qu’elle remonte le long de mon corps… Je n’ai diminué la pression sur son cul que lorsque son petit trou dilaté s’est retrouvé à la portée de ma langue, et que j’ai pu la lui enfoncer dedans, me régalant de son intérieur… 


Après m’être rassasié, au lieu de continuer à la faire monter le long de mon corps, je me suis glissé vers le bas, ce qui a été rapide : je n’avais que ma tête sous elle. Je me suis retourné, je l’ai tirée un peu arrière par les hanches pour qu’elle se retrouve à quatre pattes, et j’ai glissé mon sexe là où il a bien voulu entrer facilement. C’était dans son cul. 


La tenant toujours par les hanches, nous sommes montés d’un cran dans la vigueur : je la défonçait, alternant entre son cul et sa chatte. Elle gémissait, elle jouissait… Elle a plusieurs orgasmes, je ne sais pas combien exactement.


À un certain moment j’ai senti qu’elle étirait son corps vers la gauche, et j’ai compris pourquoi lorsque j’ai senti qu’elle posait sur une de mes mains qui tenait ses hanches un objet. Ça ne m’a pas pris un quart de seconde à comprendre qu’il s’agissait d’un sex toy. J’ai souri dans le noir, j’ai léché le jouet, sucer voracement en fait, et pendant que mon sexe était dans le sien, j’ai lentement glissé le jouet dans son trou libre. 


Nous avons alors alterné les positions, offrant une variation intéressante de plaisir. Parfois le jouet dans le cul, ma queue dans sa chatte, parfois le jouet dans sa chatte, ma queue dans son cul, et elle a eu droit à la double vaginale, qui s’est terminée sur un nième orgasme, le dernier de cette série… 


Nous étions tous les deux en sueur sur le lit après cet intense round. 


Alors qu’elle était allongée sur le dos, je suis venu m’accroupir au-dessus de sa poitrine. J’ai cherché, trouvé, et pris une de ses mains dans la mienne, lui plaçant le jouet visqueux de son jus dedans. Puis j’ai guidé l'extrémité du jouet vers mon propre anus… 


Quand elle a compris ce que je voulais qu’elle fasse, elle a murmuré un “oh mon dieu”... Mais au lieu de pousser doucement comme je l’espérais, elle s’est dégagée de moi… J’ai cru que je l’avais choqué, mais non : elle m’a demandé de me mettre à quatre pattes, les fesses bien relevées, puis elle s’est mise à me lécher l’anus. C’était très, très plaisant… 


Aux bruits que j’entendais, il était évident que cet acte lui plaisait : j’entendais le son du jouet entrant et sortant de sa chatte trempée… 


Après avoir joué avec sa langue, ce sont ces doigts qui ont pris la place : un premier, puis un second. Doigts que je l’entendais lécher chaque fois qu’elle les sortait de moi…


Puis ça a enfin été au tour du jouet… Une grosseur adéquate, une longueur parfaite, j’ai eu beaucoup de plaisir à le sentir investir mon corps… 


Au début elle s’amusait à le sortir souvent, passant ensuite sa langue sur mon trou dilaté, mais après un certain temps elle s’est allongée sur le dos, passant sa tête entre mes jambes de façon à être juste où il fallait pour prendre ma queue en bouche sans la gêner dans les mouvements de va-et-vient qu’elle imposait au jouet avec ses mains. Mouvements qui ont pris de la vigueur jusqu’à ce que je puisse dire qu’à mon tour, je me faisais défoncer…


J’aurais bien enfoncé ma queue loin dans sa gorge, mais j’avais compris assez tôt qu’elle ne semblait pas apprécier cette pratique. Alors je me suis retenu, juste mon gland dans sa bouche que sa langue caressait à un bon rythme. Et je n’ai pas tenu plus longtemps, je me suis vidé…


J’ai joui dans sa bouche, sans l’avertir même si je suis sûr qu’elle se doutait que ça s’en venait… Elle a aussitôt ralenti le rythme pour s’appliquer à me sucer plus précautionneusement, appuyant fort sur ma tige avec ses lèvres mais surtout avec ses mains, abandonnant le jouet, pour me vider… 


Elle a semblé surprise que je vienne l’embrasser juste après mon éjaculation, surprise, mais pas déçue : le baiser a été long et passionné…


Et elle a semblé encore plus surprise quand mon sexe est à nouveau entré en elle, pendant le baiser. Elle a arrêté de m’embrasser une seconde au moment où elle m’a senti entrer en elle, pour m’embrasser à nouveau encore plus voracement dès que j’étais bien à ma place…


Nous avons baisé dans de multiples positions, mais sans réutiliser le jouet. Elle a joui plusieurs fois, et j’ai fini par jouir en elle, dans son sexe. Une petite éjaculation, mais encore une fois je l’ai surprise, cette fois-ci en allant la lécher après… 


Pour finir, elle m’a demandé si avant de partir ça me tentait de boire à ses seins. Évidemment que oui… Elle s’est assise sur le lit soit contre la tête de lit soit contre le mur, aucune idée à cause des yeux bandés, et j’ai posé ma tête sur mes cuisses. Sans avoir à lever la tête, ses tétons arrivaient à hauteur de ma bouche, et je sentais la lourdeur de ses seins… Elle doit vraiment en avoir de magnifiques…


J’y ai bu longuement. Je n’avais aucune notion du temps, et je m’en fichais… Pendant que je la buvais, ses mains se baladaient sur mon corps, caressaient mon torse, mon sexe qui n’était pas complètement mou, mes couilles, mon petit trou (sans oser y entrer…).


Quand j’ai décollé mes lèvres de ses tétons, elle m’a dit : “avant de partir, est-ce que je peux refaire une dernière chose?”. Je lui ai répondu “Avec plaisir”, sans même savoir de quoi il s’agissait.


Elle m’a demandé de me remettre à quatre pattes, s’est glissée sous moi tête-bêche, et m’a demandé de la lécher pendant qu’elle jouait avec ses doigts dans mon cul… Elle a encore joui deux fois dans cette position, puis je suis parti…


Nous nous sommes revus à plusieurs reprises, même si le terme n’ait pas approprié : nous avons décidé de rester les yeux bandés à chacune de nos rencontres… Donc j’arrive chez elle, il y a un bandeau accroché à la poignée de porte, je le mets, puis elle m’ouvre…




Par Etienne - Publié dans : Lactation
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