Jeudi 20 octobre 4 20 /10 /Oct 07:49

Cet été, j’ai fait, avec mes chéries, une bonne action qui a été drôlement récompensée…

 

Il pleuvait très fort, une pluie d’orage, même s’il n’y avait pas vraiment d’orage. Je roulais en auto avec une de mes chéries (Clarisse, pas ma femme, mais notre amante), quand j’ai vu une personne en fauteuil roulant sur le trottoir qui semblait lutter contre la pluie et le vent. C’était un trottoir très long sans aucune maison, donc il était évident qu’elle en avait encore pour un bout de temps à se faire tremper et à avancer contre les éléments.

 

Quand je l’ai mentionné à ma chérie en approchant, elle m’a dit « arrête-toi, on va lui proposer de la raccompagner ». C’est ce que l’on a fait : j’ai ralenti puis je me suis arrêté à la hauteur de la « piétonne », ma chérie a ouvert sa fenêtre et lui a crié à travers la pluie « Veux-tu que l’on t’amène quelque part? ». On s’est alors rendu compte que c’était une jeune femme, environ 30-35 ans, et qu’elle pleurait.

 

Sans attendre sa réponse, ma chérie est descendue, lui a parlé (je n’entendais pas ce qu’elle disait), puis elle a rouvert la porte avant côté passager en me faisant signe de venir l’aider.

 

J’ai pris la jeune femme dans mes bras, je l’ai portée sur le siège de l’auto, on a plié son fauteuil, on l’a mis dans le coffre, et ma chérie est montée en arrière.

 

J’ai redémarré doucement, puis j’ai attendu que notre passagère me dise où aller. C’est ma chérie qui tentait de faire la conversation, qui tentait de la faire parler, mais elle pleurait vraiment beaucoup. Je me suis alors arrêté un peu plus loin sur un stationnement, puis on a tenté de la réconforter.

 

Après quelques instants elle s’est excusée, puis nous a dit que sa journée a été infernale. Elle nous a expliqué qu’elle venait de se faire voler ou de perdre son sac contenant ses papiers, son téléphone, etc., et que du coup elle rentrait chez elle en fauteuil roulant puisqu’elle n’avait plus rien pour prendre le bus ou un taxi. C’est alors qu’elle s’est faite prendre par la pluie, et ça faisait un sacré bout de temps qu’elle était dessous, sans savoir combien de temps exactement.

 

Elle nous a dit que quand elle nous a vus nous arrêter pour lui demander si on voulait l’aider les vannes ont lâché, et qu’elle s’est mise à pleurer.

 

Une fois tout ceci dit, on lui a proposé de l’emmener au poste de police le plus proche pour faire une déclaration de vol ou de perte, ce qu’elle a accepté. Après cela on est allé à une succursale de sa banque pour qu’elle fasse opposition sur ses cartes. On lui a proposé de l’emmener à une succursale de son fournisseur téléphonique pour bloquer l’appareil, mais elle a dit qu’elle n’avait rien dessus et que le forfait qu’elle a ne permet pas de faire des appels longue distance ou d’utiliser des données, donc pas de souci. On l’a ensuite ramenée chez elle (par chance elle n’avait pas ses clés dans son sac mais dans une poche), et pendant le trajet elle nous a un peu parlé d’elle, notamment du fait qu’elle vit seule.

 

En bas de chez elle, ma chérie lui a proposé de venir finir la journée chez nous pour se changer les idées. Notre invitée avait déjà fait tout ce qu’elle pouvait pour se prémunir d’éventuelles fraudes, donc ma chérie pensait que ce serait une bonne façon de finir la journée, plutôt que seule chez elle. Elle n’a pas été difficile à convaincre. Du coup on n’est même pas descendu de l’auto, et on a filé vers chez nous.

 

Dans l’auto j’ai alors appelé notre chérie pour l’avertir qu’on allait arriver avec une « amie ». J’ai appelé en main libre, puisque je conduisais, donc quand ma chérie a décroché en disant « allô mon amour », ça a fait rire notre invitée. Quand j’ai raccroché, elle nous a dit qu’elle avait pensé naïvement que Clarisse et moi étions ensembles. Il y a eu un léger blanc, et j’ai répondu en toute franchise. J’ai expliqué que l’on vivait à trois, Clarisse a confirmé, et on lui a dit que si jamais ça la mettait mal à l’aise et qu’elle préférait qu’on la ramène chez elle, on pouvait sans problème.

 

Elle nous a répondu quelque chose du genre : « Non non. Je suis moi-même différente de la plupart des gens à cause de mon handicap, et je déteste qu’on me traite différemment des autres personnes. Je serais vraiment mal placée de dire que je suis choquée. »

 

Lorsque nous sommes arrivés chez nous, on a pris conscience qu’avec tout ça, notre amie, Ludivine, avait encore sur elle du linge mouillé. On était peu de temps avant au pied de son immeuble et on est reparti sans même penser à prendre du linge sec. On n’a pas été brillant sur ce coup là!

 

Mes chéries lui ont trouvé des habits, et elle est allée se changer dans la salle de bain. Pendant ce temps-là, on a rapidement résumé à ma chérie la situation, comment nous avons rencontré Ludivine et pourquoi on lui a proposé de venir chez nous.

 

Quand Ludivine est sortie de la salle de bain, pour la première fois je l’ai regardée avec mon regard d’homme qui juge (gentiment!) une femme. Elle était en fauteuil roulant, donc difficile de qualifier ses fesses, mais elle avait un très joli haut de corps, à la limite du un peu trop musclé à mon goût. Elle avait de sacrées épaules et biceps, ce qui, quand on y pense, est un peu logique pour quelqu’un d’actif en fauteuil roulant. Parce que oui, à la voir rafraichie, il était évident que c’était une femme active.

 

Nous lui avons proposé quelque chose à boire, puis nous lui avons suggéré d’appeler au moins les personnes les plus proches d’elle dont elle connaît les numéros pour ne pas qu’ils s’inquiètent si elle ne répond pas.

 

Elle a donc commencé par appeler sa mère, et coup de chance incroyable, celle-ci lui a dit qu’elle a été appelée par quelqu’un ayant trouvé son sac avec son téléphone! En fait Ludivine n’ayant aucune info intéressante dans son téléphone ni aucune possibilité d’exploser son forfait, elle n’avait pas mis de mot de passe. Du coup la personne qui l’a trouvé à juste parcouru son répertoire jusqu'à tomber sur « maman ».

 

Bref, sa mère nous a donné le numéro de téléphone de la personne ayant trouvé son sac, Ludivine l’a appelée aussitôt et elle nous a proposé de la rejoindre. Notre amante, qui avait l’air de vouloir prendre soin de Ludivine, l’a emmenée pour ensuite la ramener chez elle.

 

Mais finalement, une heure plus tard Clarisse est revenue, toujours en présence de Ludivine. Cette dernière semblait vraiment soulagée (ça se comprend!!), et notre amante nous a expliqué lui avoir proposé de finir la soirée chez nous pour fêter ce dénouement.

 

On s’est improvisé un bon souper, on a beaucoup parlé, ri, et finalement on est allé dans la piscine, la pluie ayant cessé. Évidemment Ludivine n’avait pas de maillot, mais au lieu de lui dire que l’on pourrait y aller nus, mes chéries lui en ont prêté un. Surtout qu’il a fallu que je la porte sur mon dos pour aller de son fauteuil à dans l’eau, alors le contact de ses seins nus m’aurait pas mal excité… Déjà que là, en bikini son corps était magnifique, malgré les muscles atrophiés de ses jambes…

 

Dans la piscine nous nous amusions. Ludivine alternait entre nager un peu, s’accrocher au bord ou bien s’accrocher à nous. Alors qu’elle était accrochée à Magali à l’autre bout de la piscine, Clarisse m’a dit que dans l’auto Ludivine et elles ont discuté, et parmi les sujets évoqués, il y a eu le néant de sa vie sexuelle : aucun homme ne l’a touchée depuis plus de 2 ans. Et toujours selon leur discussion, physiquement je lui plaisais… Bref, Clarisse a décidé de revenir avec elle chez nous dans l’espoir que je « m’occupe » d’elle dans la soirée. Ludivine n’a pas dit clairement qu’elle le souhaitait, mais Clarisse a bien expliqué, subtilement selon elle, que nous formons un trio libertin et que si elle le désirait, elle pouvait passer du bon temps avec moi, que c’est sûr que je ne dirais pas non.

 

J’avoue qu’après qu’elle m’ait dit ça, j’ai pas mal cherché des contacts un peu plus peau à peau avec Ludivine… Et dans la piscine, c’était l’endroit parfait… Mes mains se sont pas mal attardées sur son corps, et je peux sans me tromper affirmer que les siennes aussi, pas mal plus de temps que requis sur ma peau… Mais nous ne sommes pas allés plus loin.

 

Pour sortir de la piscine, Ludivine s’est accrochée dans mon dos. J’allais la porter sur son fauteuil quand je lui ai dit que j’allais plutôt l’amener directement dans la salle de bain pour qu’elle puisse se changer, pour ne pas le remouiller. Une de mes chéries est allée placer une chaise dans la douche, et je suis allé déposer Ludivine dessus, en riant : ce n’étant pas évident!

 

Puis elle m’a dit que soit je devais lui donner le pommeau de douche, soit je devais rester avec elle pour l’aider à la rincer. Je n’ai pas hésité un instant : j’ai fermé la porte de la salle de bain, tout en restant dedans.

 

Quand elle a vu que je restais, elle a souri. Un grand et magnifique sourire… Je l’ai rejointe, j’ai pris la pomme de douche, j’ai démarré l’eau, et j’ai commencé à la rincer.

 

Quelques instants plus tard, je lui ai demandé, de façon très innocente bien sûr, si elle voulait enlever son maillot, pour se rincer complètement. Elle semblait en avoir envie, mais était gênée. Alors je lui ai proposé un marché : je me mets nu en premier pour briser la glace, et si elle s’en sent capable, elle enlèvera le tissu qui restait sur son corps.

 

Elle a acquiescé, en faisant oui avec la tête, sans me regarder dans les yeux.

 

J’ai alors baissé mon short de bain, et vous vous en doutez, j’étais en érection… Quand elle a vu mon sexe si dur, elle est restée les yeux dessus, sans rien dire… J’ai fait des pseudo-excuses, en lui disant que je la trouvais magnifique, magnifique et sexy en maillot…

 

Je me suis approché d’elle un peu plus, et sans me regarder dans les yeux, sans quitter mon sexe des yeux, elle a tendu une main vers moi pour commencer à me caresser…

 

J’ai coupé l’eau, j’ai accroché le pommeau de douche au mur, et j’ai demandé si elle voulait que je lui enlève son haut. Toujours sans me regarder dans les yeux, elle a dit oui. Je me suis alors approché d’elle, je me suis penché au-dessus de son épaule pour lui retirer le haut… et alors que je prenais conscience que mon sexe était très proche de son visage dans cette position, j’ai senti sa bouche se fermer dessus…

 

Tout en me suçant, le rythme était très lent, j’ai retiré son haut de maillot, avec son aide. Je ne pouvais pas regarder ses seins dans cette position, mais j’ai passé une main dessus : ils étaient extrêmement fermes… Et pas petits. Ils semblaient être ni plus ni moins comme je l’imaginais quand je la voyais en maillot.

 

Sa fellation n’était pas profonde, mais elle serrait fort avec ses lèvres, elle jouait avec sa langue, c’était très plaisant… Avec ses mains, elle caressait mon ventre, mon torse, mes fesses…J’avais une main sur sa tête, mais je la forçais à rien… je lui caressais simplement les cheveux…

 

Lorsque je lui ai dit que si elle continuait j’allais jouir, pour la première fois depuis que j’étais nu elle m’a regardé dans les yeux… Elle m’a demandé si ça me dérangeait de me laisser aller. Je lui ai dit que non, mais que peut-être que l’on pourrait continuer dans une chambre, pour une plus grande variété de plaisir, surtout pour elle…

 

Elle a acquiescé.

 

Je nous ai séchés rapidement, j’ai pris Ludivine dans mes bras, cette fois face à moi et non dans mon dos, la soutenant par les fesses, et je nous ai emmenés dans une chambre. À peine sur le lit, je lui ai retiré son bas de maillot, et je ne suis pas remonté : mon visage est resté entre ses jambes que j’ai écartées, pour savourer sa délicieuse chatte…

 

Oui, elle est paraplégique, mais non, elle n’a pas d’handicap sexuel, mis à part le fait qu’elle ne peut pas bouger ses jambes comme vous et moi, donc qu’il faut en tenir compte.

 

Bref, sa chatte était juteuse et délicieuse… Je me suis régalé, et à écouter ses gémissements, elle a adoré aussi!

 

Avant d’entrer en elle, je lui ai demandé si elle voulait que l’on utilise des préservatifs, mais sa réponse a été limpide : non. Elle m’a dit ce qu’elle avait déjà dit à Clarisse, c’est-à-dire qu’elle n’a pas eu de partenaire depuis plus de 2 ans et que les tests sanguins qu’elle a fait entre temps pour sa santé en général ont toujours été négatifs. Je lui ai dit que de mon côté j’ai un test relativement récent, mais elle n’a pas demandé à le voir, et on a fait l’amour…

 

Nous avons donc fait l’amour, dans une seule position : elle allongée sur le dos, moi allongé sur elle, avec un rythme lent et énormément de baisers langoureux... Chaque fois que je tentais doucement de me décoller de son corps pour changer de position, elle m’agrippait et me collait à elle extrêmement fort, parfois en me griffant un peu avec ses ongles.

 

Je ne pense pas qu’elle ait joui pendant que j’étais en elle. Beaucoup de plaisir, oui, c’était flagrant, mais un orgasme, je ne pense pas. En fait, je sais même à 100% que non. En revanche, moi j’ai fini par jouir en elle…

 

Après avoir éjaculé, je suis resté longtemps en elle, toujours allongé sur elle. On s’embrassait quasi amoureusement… Après un certain temps, alors que mon sexe commençait à sortir d’elle car je débandais, j’ai commencé à descendre… Je l’ai embrassée dans le cou, j’ai joué avec ses tétons du bout de ma langue, j’ai continué à descendre, j’ai embrassé son ventre, titillé son nombril, j’ai encore continué à descendre, j’ai embrassé ses poils pubiens, son clitoris, et enfin j’ai glissé ma langue dans la partie de son corps où je venais de me vider…

 

Toujours langoureusement, toujours quasi amoureusement, j’ai savouré son sexe agrémenté du goût de mon sperme…

 

Si je peux affirmer qu’elle n’avait pas eu d’orgasme pendant la pénétration, c’est parce qu’elle en a eu pendant que je la savourais, et la réaction était bien différente…

 

Lorsque j’ai cessé, je suis remonté un petit peu, et j’ai posé ma tête sur son ventre. Je suis resté allongé la tête sur son ventre, mon corps entre ses jambes… Je caressais une de ses hanches, et elle caressait mes cheveux… Nous n’avons pas échangé un seul mot… Et elle s’est endormie… À sa décharge, il était un peu plus de 23h à ce moment-là…

 

Je me suis levé, j’ai pris un peu de temps pour la regarder. Ou plutôt, pour la contempler tellement elle avait un joli corps. Et en dormant, elle était vraiment, vraiment belle, tranquille.

 

J’ai remonté les draps sur elle, et je suis sorti de la chambre pour aller voir mes chéries, sans me rhabiller. Comme je m’y attendais, dès que Magali m’a vu nu elle a demandé à goûter à mon sexe, pour me goûter moi, mais tel que je la connais c’était surtout pour goûter à ce qui restait sur moi de l’intérieur de Ludivine…

 

J’ai dit à mes chéries que Ludivine s’était endormie. Nous avons un peu parlé tous les trois, et j’ai notamment demandé si elles pensaient que je devais laisser Ludivine dormir seule, ou si je devais rester avec elle. Finalement on s’est dit que ce serait mieux qu’elle ne se réveille pas seule, au cas où elle ne se souviendrait plus où elle était (façon de parler, évidemment).

 

J’ai discuté un peu avec mes chéries, puis on s’est dit bonne nuit, elles sont allées se coucher dans notre chambre et moi je suis allé chercher le fauteuil roulant de Ludivine pour l’amener dans la chambre, avant de me coucher à côté d’elle.

 

Le matin j’ai été réveillé par des bruits de draps. C’était Ludivine, qui se glissait sous les draps, évidemment sans pouvoir s’aider de ses jambes, pour atteindre mon sexe… J’ai compris quel était son objectif quand je l’ai sentie prendre mon sexe avec une de ses mains et que ses lèvres se sont posées sur mon gland…

 

Évidemment, j’ai instantanément durci… J’aurais su qu’elle voudrait un tel réveil, je me serais lavé le sexe avant de revenir me coucher… Oui, ma chérie m’avait sucé hier soir après que j’ai fait l’amour avec Ludivine, mais ce n’est pas comme m’être nettoyé…

 

Cette fois, au moment de jouir je n’ai rien dit… Je n’ai pas prévenu ma partenaire, du moins pas directement : j’ai gémis un peu différemment, indiquant quand même assez clairement que j’allais jouir, mais sans le lui dire de vive voix.

 

Après avoir tapissé sa bouche de mon premier jet, elle a continué sur le même rythme, qui était un rythme relativement lent, mais comme la veille, ses lèvres appuyaient fermement sur ma queue…

 

Lorsqu’elle est remontée jusqu'à mon visage, elle avait un super joli sourire et m’a dit « je m’excuse, mais depuis la douche d’hier, j’avais terriblement envie d’aller jusqu’au bout ». Je lui ai répondu qu’elle n’avait pas à s’excuser, bien au contraire, c’était à moi de la remercier! Et de mon côté, je me suis excusé aussi en disant que j’aurais su, je me serais lavé le sexe depuis la veille pour ne pas qu’elle « s’auto-goûte ». Elle m’a répondu que mon sexe ne sentait pas du tout le sien, et que même si ça avait été le cas, ça ne l’aurait pas dérangé du tout. Elle a rajouté « Étant donné ce que tu as fait hier soir, je peux dire que comme toi, ce qui sort de mon propre sexe ne me déplait pas ». J’aurais pu rajouter que ce n’est pas juste mon sperme qui me plait, mais le sperme en général, mais je ne suis pas allé jusque là.

 

Allongée dans mes bras, elle a continué sur le sujet en disant que ce que j’ai fait hier, elle ne l’avait jamais vécu, et qu’elle a trouvé que c’était d’une intimité incroyable, et que c’est ce qui a provoqué son orgasme…

 

Nous n’avons pas parlé sexe plus que ça. Nous avons fini par nous lever, je l’ai emmené dans la salle de bain avec son fauteuil, puis nous sommes allés rejoindre mes chéries pour prendre notre petit déjeuner. Ça a été un moment très simple et très agréable.

 

On était samedi, donc il n’y avait pas d’urgence professionnelle de notre côté, mais Ludivine devait rentrer chez elle parce qu’elle devait rejoindre sa mère pour midi. Clarisse s’est sans hésiter portée volontaire pour la ramener chez elle. Personnellement, je pensais que Clarisse a eu un genre de coup de foudre pour Ludivine. Pas un coup de foudre amoureux, mais une envie de tendresse avec elle. Ce n’était que mon avis, mais il s’est avéré par la suite que c’était bien le cas.

 

En effet, lorsqu’elle est revenue après l’avoir ramenée chez elle, elle s’est lovée dans les bras de Magali et a dit qu’elle trouvait Ludivine vraiment, vraiment adorable, et qu’elles avaient convenues de se revoir pour aller courir (pour Clarisse) et faire du fauteuil rapide (pour Ludivine). Elle a aussi dit que Ludivine a demandé si mes chéries et moi serions d’accord pour que je passe du temps à l’occasion avec elle, à partager des moments complices/sexuels. Clarisse lui a répondu qu’elle a juste à me contacter directement, qu’il n’y aura aucun problème. Et elle lui a donné mon numéro, en plus du sien.

 

Tout ceci s’est passé il y a déjà plusieurs semaines. Depuis cette première rencontre, une fois par semaine Clarisse va faire du sport ou une activité autre (shopping, cinéma, etc) avec Ludivine. De mon côté, je n’ai passé qu’une autre nuit avec elle. Un peu comme la première fois, en soirée nous avons fait l’amour, j’ai joui en elle, et je l’ai nettoyée. La différence principale est que cette fois, le nettoyage a été mutuel… Et le matin, au lieu de juste une fellation, nous avons refait l’amour. Par contre, comme lors de notre première rencontre, elle voulait que je jouisse dans sa bouche. Donc après avoir longuement fait l’amour, je me suis agenouillé au-dessus de sa poitrine, je me suis masturbé pendant que ses mains étaient posées sur mes cuisses, son regard passant de mon gland à mes yeux. Au moment de jouir, je me suis approché de sa bouche, pensant qu’elle allait prendre mon gland en elle, mais non, elle a juste tiré la langue le regard rieur, et je me suis déchargé sur sa langue, avant qu’elle n’avale le tout…

 

 

 

 

Par Etienne - Publié dans : Partenaire inattendue
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