Mercredi 2 novembre 3 02 /11 /Nov 15:39

Si vous avez lu mon article résumant très brièvement mon été, vous savez que mes chéries sont parties pour une fin de semaine dans un hôtel-spa, et qu’elles ont profité de l’occasion pour organiser ma fin de semaine avec une transsexuelle, sans m’avertir avant. Je reprends au moment où ma partenaire inconnue a sonné à ma porte.


Quand j’ai ouvert, une femme utrasexy en robe fourreau moulante, décolletée et fendue sur les côtés m’a dit « Bonjour et surprise ! », avec un grand sourire. Une femme aux cheveux longs brunes, les yeux marrons, une poitrine absolument époustouflante dans cette robe (mais clairement pas naturelle étant donné l’immobilisme des seins quand elle marchait), une taille menu, des fesses joliment rebondies, et des cuisses qui semblaient musclées comme il faut, sans abus. Et un maquillage léger, mais bel et bien présent.


Une femme magnifique, mais j’ai quand même très rapidement deviné qu’il s’agissait d’une transsexuelle. Le visage était très féminin, mais il manquait la « grâce » féminine, le plus quelque chose qu’une femme de naissance a. Et évidemment sa voix m’a aussi mis la puce à l’oreille. Dès que j’en ai pris conscience, j’avais hâte qu’elle vienne s’asseoir sur mon sexe…


Elle était jolie et avait du charme. À la regarder à ce moment-là, oui, je devinais qu’elle était une trans, mais elle était quand même très, très féminine. 


Je l’ai faite entrer, elle a posé son sac à côté de la porte et m’a dit, en gros : « cette situation est un peu inhabituelle pour moi. D’habitude mes clients veulent cacher à leurs femmes qu’ils me voient, mais dans votre cas, ce sont vos femmes qui m’ont choisi pour vous. »


Je l’ai tout de suite arrêté en lui disant que je préfèrerais qu’on se tutoie. Elle a souri, et a enchainé : « Tes deux femmes m’ont appelé après avoir vu mon annonce sur un site d’escortes, nous avons échangé assez longuement, autant de vive voix que par écrit, puis finalement je les ai rencontrées ici, chez vous. Nous avons parlé de tout et de rien, y compris bien sûr de sexe. À la fin de discussion, elles m’ont demandé si j’étais partante pour une fin de semaine complète avec leur mari, donc ici, en leur absence. Avant que je réponde, elles m’ont montré des photos de toi, même si j’en avais déjà vu un dans vos cadres. C’est le 2e élément un peu inhabituel : généralement je ne sais pas à quoi ressemblent mes clients avant d’accepter de les voir. Le 3e point inhabituel, c’est qu’elles m’ont demandé si j’étais d’accord pour me passer de protection pour tout ce qui allait arriver entre toi et moi pendant ces quelques jours. Évidemment elles m’ont montré un test d’infections sexuellement transmissibles négatif récent de toi, et m’ont demandé si j’en avais aussi, ou si j’étais prête à en passer un. Ce dernier point en lui-même n’est pas inhabituel, on me demande souvent d’avoir des rapports sans préservatif, et je dis toujours non. Mais dans le cas présent, voir tes femmes, chez vous, que ce soit elles qui m’engagent, voir des photos de toi et de vous trois avant de pouvoir répondre, ça m’a poussé à accepter. Alors pour résumer, je suis à toi pour tout le week-end. J’ai montré mes tests à tes femmes, mais le voilà ». Elle n’a donné une copie et a continué : « Je suis donc à toi pour tout le week-end, pour me conduire comme si j’étais ta conjointe, à faire l’amour selon tes désirs et sans besoin de protection. »


Je lui répondu avec un grand sourire que mes conjointes, quand elles rentrent à la maison je les embrasse. Je me suis approché d’elle, et nous nous sommes embrassés. D’abord du bout des lèvres, presque timidement, puis nos bouches se sont entrouvertes et nos langues ont fait connaissance…


Je me suis bien évidemment collé à elle, et j’ai confirmé ce que je pensais : ses seins étaient en béton armés… 


Lorsque j’ai fini de lui souhaiter la bienvenue, je lui ai proposé d’aller faire connaissance dans le spa. Je lui ai dit en riant que vu l’examen complet qu’elle a passé avec mes chéries et la préparation qu’elle semble avoir eue, elle devait savoir qu’il y avait un spa et une piscine, donc qu’elle devait avoir au moins un maillot de bain. Elle a ri et a répondu qu’effectivement, elle en a amenés plusieurs.


Le temps que l’on soit plus à l’aise l’un avec l’autre, je lui ai montré notre chambre et je lui ai proposé de se changer pendant que je nous servais quelque chose à boire (et que moi aussi je me changeais). Elle m’a dit que du vin blanc ferait son bonheur.


Lorsqu’elle est revenue dans le salon, elle était époustouflante… Son bikini noir mettait en valeur sa poitrine d’apparence parfaite, aussi parfaite que le reste du corps… Elle a vu à mon regard que j’appréciais énormément ce que je voyais, et son regard et son sourire semblait indiquer que c’était réciproque… D’un autre côté, son métier est de le faire croire même si ce n’est pas ce qu’elle ressent vraiment…


Je lui ai dit de passer devant moi pour aller jusqu’au spa, et j’en évidemment profiter pour me rincer l’œil sur son cul parfait… J’avais très hâte de lui enlever ce maillot de lui lécher l’entrée des artistes…


J’ai souvent dit que je trouvais que des faux seins, quand une femme est habillée, c’est magnifique, mais que nu je préfère, et de loin, des seins naturels. Dans son maillot, ses seins étaient ni plus ni moins que la perfection… Je ne pouvais m’empêcher d’y jeter des coups d’œil pendant que l’on discutait dans le spa, ainsi l’un en face de l’autre, sans que les jets ne soient en fonction (on ne s’entend pas autrement…). Elle me posait des questions sur ma relation avec mes chéries. Elle semblait fascinée par notre mode de fonctionnement…


Une fois que l’on avait tous les deux fini nos verres de vin, j’ai un peu coupé la discussion en lui disant que je la trouvais absolument magnifique… Je me suis approché d’elle, je me suis assis à ses côté, tourné vers elle et je l’ai embrassée à nouveau… 


J’ai posé ma main sur son ventre pendant ce long baiser… Puis je l’ai descendue, la glissant dans son maillot qui était distendu par son érection… Érection que j’ai lentement caressée… 


Sans perdre de temps, j’ai commencé à tenter de lui retirer le bas de son maillot… Elle a vite compris où je voulais en venir elle s’est mise debout, facilitant grandement son enlèvement… 


Elle était donc debout, devant moi, au milieu du spa… le sexe en érection, fièrement dressé vers le ciel, ses seins magnifiquement drapés dans son haut de bikini, son corps féminin, sans le moindre poil, ses couilles rondes qui semblaient juste attendre de se faire gober… Son visage, très beau… Je lui ai dit, sincèrement, qu’elle était « l’un des plus beaux êtres vivants que j’ai vus ». Et je le pensais vraiment…


Que je lui dise cette vérité a semblé la gêner, l’intimider… Alors j’ai changé de sujet, ou plutôt, j’ai changé l’usage de ma bouche : au lieu de parler, je me suis approché d’elle, je rappelle qu’elle était dans le spa, alors que moi j’étais assis dedans, donc l’objet de ma convoitise était pile au bon niveau. J’ai posé mes mains sur ses hanches, et j’ai déposé mes lèvres sur gland… 


Je ne sais plus dans quel ordre j’ai procédé, mais je sais que j’ai embrassé sa verge sur toute sa longueur, que j’ai léché ses couilles, que j’ai pris son sexe en bouche, jusqu’au fond de ma gorge, et le tout à plusieurs reprises… Elle gémissait de plaisir, me caressant la tête, les cheveux…


Au bout d’un moment, elle a compris que j’avais sorti ma queue de mon short de bain et je masturbais en la suçant… Elle m’a alors fait m’asseoir un peu différemment, simplement en me faisant me redresser au lieu que je sois penché en avant, elle s’est agenouillée au-dessus de mes cuisses, m’a fait déplacer mes fesses sur le bord du banc dans le spa pour que je puisse pencher mon dos vers l’arrière… Ayant compris ce qu’elle allait faire, j’ai tenu ma queue bien droite, et elle est venue s’empaler dessus… Sans lubrifiant, dans l’eau du spa, ça a pris quelques mouvements pour qu’enfin je sois bien en elle, confortablement…


Pendant les lents va-et-vient, je la masturbais… et je l’ai faite se pencher pour que l’on puisse s’embrasser…


Après un certain temps que je ne peux pas quantifier, elle m’a dit que si je continuais à ce rythme, elle allait jouir… et elle a aussitôt ajouté : « ce n’est pas que je ne veux pas, c’est juste que je pense que tu serais déçu que tout se perde dans l’eau… ».


Bien évidemment elle avait raison. Hors de question que son sperme, pour la première éjaculation, finisse ailleurs que dans ma bouche…


Je lui ai demandé de s’asseoir sur le bord du spa, et je me suis placé entre ses jambes… J’ai pris son sexe en bouche, j’ai glissé deux doigts en elle, caressant sa prostate, et peu après son nectar a jailli dans ma bouche… J’ai continué sans rien changer de ce que je faisais, jusqu’à être certain que plus une goutte ne sortirait…


Je ne peux pas dire que j’étais en manque de sperme puisque je suce mon boss en moyenne deux fois par semaine, mais je dois dire que sur cette éjaculation m’a paru bien plus savoureuse… Je sais bien que c’est juste psychologique, mais vous comprenez, j’ai littéralement adoré…


J’ai continué à lui titiller la prostate quelques instants, puis j’ai retiré mes doigts que j’ai lentement léchés sous son regard approbateur…


Je me suis redressé dans le spa, je me suis penché vers son visage, et nous nous sommes embrassés, longuement, sensuellement… Elle tenait mon sexe dans sa main, me caressant délicatement, puis, sans que nos lèvres ne se décollent, elle m’a demandé si j’avais envie de jouir à mon tour :

  • ELLE : As-tu envie de jouir? 

  • MOI : Oh oui, avec plaisir…

  • ELLE : Tu en as envie comment…? En continuant ce que nous faisons? Dans ma bouche? Ailleurs en moi?

  • MOI : Toi, qu’est-ce qui fera plaisir?

  • ELLE (en souriant) : Tu oublies que tu es mon client, que je suis là pour toi…

  • MOI (en souriant) : Tu oublies que tu es censée être ma conjointe pour la fin de semaine, et mon grand plaisir est de satisfaire ma conjointe… Alors dis-moi, comment as-tu envie de me faire jouir?


Elle a aussitôt arrêté de me masturber… Elle a posé ses deux mains sur mon visage, une de chaque côté de ma tête, et son baiser s’est fait plus profond, plus intense… En ce qui me concerne, j’avais une main sur le bord du spa pour me tenir en équilibre (je vous rappelle que j’étais penché en avant vers elle) et mon autre main caressant sa taille.


Lorsque nos lèvres se sont éloignées suffisamment les unes des autres pour parler, elle m’a susurré : « je veux qu’on sorte du spa et qu’on aille se rincer… On se sèche bien, on va dans la chambre, et juste avec nos salives, sans lubrifiant, tu me pénètres… Je veux que tu jouisses en moi, puis que tu me laisses te nettoyer à ma façon… ».


Sans lui demander quelle était sa « façon », je me suis redressé, je lui ai tendu la main, puis main dans la main, les doigts entremêlés, nous sommes sortis du spa, direction la salle de bain.


Pour se rincer, j’ai enlevé complètement mon short de bain, bien sûr, et elle a retiré son haut de bikini. Comme je le supposais, ses seins ne bougeaient pas du tout… Dans du linge ou de la lingerie ils étaient beaux, parfaits, quasiment une incitation au viol, mais une fois sans tissu dessus, c’est un peu moins à mon goût. Détrompez-vous, je les trouvais quand même beaux, c’est juste que j’aime des seins qui bougent, qui sont malléables en fonction de la force des caresses, et dans le cas présent, ce n’était pas le cas. Mais elle était quand même toujours très belle!!


Alors que j’allais prendre le savon pour nous laver, elle m’a dit « Non, pas de savon, juste un rinçage. Je veux que ton corps sente le corps propre, et non l’eau du spa ou le savon ».


 Nous nous sommes donc directement mutuellement séché, tout en nous caressant et nous embrassant. J’ai eu la très agréable surprise de constater qu’elle était déjà à nouveau en érection, malgré son orgasme d’il y a peine 15 minutes. Quand je le lui ai fait remarquer, elle m’a répondu « J’ai été testé par tes femmes sur ce point-là, je te raconterai après. J’ai envie de toi en moi… » et m’a embrassé.


Sans cesser d’échanger nos salives, je nous ai dirigés vers la chambre… Elle m’a dit de m’allonger sur le dos, et j’ai obtempéré à son ordre… Elle s’est placée au-dessus de moi en m’embrassant, puis a effectué un demi-tour complet pour prendre ma queue bien dure en bouche… J’étais tenté par lui prodiguer la même attention, mais je sais que son objectif était que je lui lubrifie l’anus avec ma salive… Alors c’est sur cette partie de son anatomie que ma langue s’est déployée…


J’adore le contact d’un anus sur ma langue… C’est une texture différente de tout le reste du corps, c’est terriblement excitant… et l’odeur d’un petit trou propre est absolument aphrodisiaque…


Je ne suis pas un grand fan des 69 parce que je trouve qu’on ne profite pas à fond des deux plaisirs. Et là aussi c’était vrai : je me concentrais sur son petit trou, et je ne profitais pas à sa juste valeur de la fellation profonde qu’elle me prodiguait… Extrêmement profonde, parce que je sentais ses lèvres qui tentaient en même temps d’avaler mes couilles…


Nous ne sommes pas restés longtemps tête-bêche. Une fois qu’elle a considéré que nous étions assez lubrifiés, elle m’a demandé de m’asseoir sur le lit, et elle est venue s’empaler sur moi, face à moi. 


Elle s’agrippait à moi, comme si la fin du monde allait arriver… Je sentais sa queue en érection contre mon ventre et mon torse… J’avais ses tétons directement au niveau de ma bouche, alors évidemment j’ai joué avec… Je la maintenais par les fesses, et le rythme des va-et-vient était plutôt lent, mais très profond… À chaque mouvement mon sexe ressortissait quasiment au complet d’elle, juste mon gland restait à l’intérieur, pour se renfoncer jusqu’à ce que ses fesses soient bloquées par mes cuisses…


Le seul moment où elle a accepté de relâcher un peu son étreinte, c’est lorsque j’ai glissé ma main entre elle et moi pour tenter de saisir son sexe et de la branler… Au début elle tentait de se maintenir collée, mais finalement elle s’est carrément laissée tomber sur le dos sur le lit. Pour maintenant le rythme, j’ai été obligé de lâcher son sexe pour la tenir par les hanches pour continuer les pénétrations profondes… 


Mes yeux passaient sans cesse de son visage à ses seins à son sexe… Tout un spectacle… 


Puis elle m’a dit « Remplis-moi… ».  Je voyais sa queue, j’avais envie de la branler en même temps que j’allais me vider… J’ai essayé, mais ça brisait complètement le rythme… J’ai alors pris sa main qui était posée sur une de mes jambes, et je l’ai déplacée vers sa verge. Elle a instantanément compris et s’est mise à se branler.


Peu après, j’ai joui… Je lui ai rempli son petit trou le plus au fond possible… Au mouvement du bassin qu’elle faisait, j’ai compris qu’elle a senti mon sperme chaud jaillir en elle, en plus de mes gémissements d’extase.


Une fois mes couilles complètement vides, je n’avais plus de raison de maintenir ma partenaire par les hanches de mes deux mains. Elle a alors pris une de mes mains avec la sienne, et comme je l’avais fait un peu plus tôt avec elle, elle l’a posée sur son sexe… Avec un sourire, j’ai pris la relève de sa masturbation. Peu après, elle éclaboussait son ventre…


Je me rends compte que je ne vous ai pas parlé de sa queue. En fait, je n’ai pas grand-chose à en dire. Elle était belle, elle était « normale ». Pas d’une longueur ou d’une épaisseur de concombre. Un beau gland bien dessiné, rose, qui coiffant parfaitement le membre phallique. Quelques vaisseaux sanguins bien placés et bien visibles qu’il était agréable de caresser avec la langue. J’aurais des talents de dessinateurs, on me demanderait de dessiner la bite de mes rêves je reproduirais celle que j’avais sous les yeux. En plus grosse, plus longue, mais avec exactement le même profil.


Revenons-en au lit où nous étions…


Son sperme venait de s’étaler sur son ventre. Pas une énorme quantité, mais pour une deuxième éjaculation en moins d’une heure, c’était quand même plus qu’honorable.


Je vous le dis : voir mon sexe dans son anus, son sexe encore presque complètement en érection posé sur son ventre, du sperme un peu au-dessus, cette fausse poitrine magnifique (je me répète, pas aussi belle qu’une vraie ou qu’une vrai rehaussée, mais pour une 100% fausse, elle était sublime), ce joli visage, c’était un tableau époustouflant.


Alors que je la contemplais, elle m’a dit, timidement : « tu ne… tu ne débandes pas? ». J’ai souri et j’ai répondu : « Généralement oui, mais il y a des cas où après avoir joui, je reste dur. Ça semble être le cas en ce moment, et ça ne me surprend pas. Le ‘tableau’ que j’ai sous les yeux est magnifique et excitant ».


Elle a rétorqué : « j’imaginais que j’allais avoir du plaisir à nettoyer un sexe juteux et mou, mais ça va être encore plus agréable alors… ».


Elle s’est dégagée de moi, m’a fait m’allonger sur le dos, a pris mon sexe en main et a commencé à le sentir, en disant qu’elle adorait l’odeur… Elle l’a ensuite léché, puis l’a pris complètement en bouche. Après une fellation de nettoyage, elle a dit que le goût était encore meilleur que l’odeur…


Je lui alors demandé de changer de position, parce que moi aussi j’avais quelque chose à nettoyer… Elle s’est alors déplacée pour mettre son ventre au-dessus de mon visage… J’ai léché le sperme qui y était encore, puis je lui ai dit que ce n’était qu’une introduction à la zone de son corps que je voulais vraiment nettoyer…


Elle n’a rien dit pendant quelques secondes, puis a ri et est venue s’accroupir au-dessus de mon visage. Je savourais son cul, mais mon sperme n’en ressortait pas… je n’aurais pas dû jouir aussi profondément en elle… Je lui ai alors dit qu’il ne fallait pas qu’elle hésite à pousser un peu, pour forcer l’évacuation… J’ai commencé à sentir les contractions de son p’tit cul, puis un liquide chaud a fini par couler un peu… Pour finir, j’ai aidé l’évacuation avec mes doigts… C’était délicieux…


Pendant que je procédais au recyclage de mon sperme, ma partenaire s’est peu à peu penchée en avant et a à nouveau pris mon sexe, qui ne débandait pas, en bouche. Comme je l’ai dit plutôt, pendant un 69 (je considère toute position tête-bêche comme étant un 69, même si je ne jouais pas avec son sexe) je suis moins sensible à cet acte. Par contre, quand j’ai fini de la nettoyer, même si j’avais encore son cul sur mon visage j’ai pu me consacrer aux sensations que me produisaient sa pipe.


J’ai senti qu’un de ses doigts cherchaient à entrer dans mon anus… Je lui ai dit que ne m’attendant pas à une telle visite, je n’avais pas fait le nettoyage requis et qu’il se pouvait que je ne sois pas complètement vide, donc que je lui déconseillais d’aller plus loin pour le moment. Elle a continué à jouer avec mon petit trou, mais quand elle sentait que le passage s’ouvrait, elle cessait la pression, pour recommencer un peu plus tard. C’était la définition même de la torture : j’avais tellement envie qu’elle s’y enfonce…


Heureusement mon bourreau a arrêté cette action quand j’ai joui dans sa bouche… À mon tour j’ai donc joui deux fois en très peu de temps. Nous étions à égalité…


Elle a à nouveau fait demi-tour puis s’est allongée contre moi, la tête dans le creux de mon épaule. Nous sommes restés ainsi, sans dire un mot, échangeant des baisers par moment. Puis son ventre à fait un « ggloouuu glouuuu » caractéristique… Nous avons tous les deux ri, et je lui ai demandé si par hasard elle ne commencerait pas à voir faim. Il était presque 19h (il faut savoir qu’au Québec on mange le soir parfois des 17h, donc 19h, ça comment à être une heure tardive pour manger pour pas mal de personnes).


Nous nous sommes levés du lit, et elle m’a demandé comment j’aimerais qu’elle s’habille. Sans lui donner la tenue exacte, j’ai mentionné des exemples qui me plairaient beaucoup : jupe courte, jeans moulant, pantalon de yoga, et dans tous les cas rien en-dessous, et pour le haut du corps un soutien gorge sexy, ou un chandail décontracté mais qui laisse entrevoir les seins, le dos ou le ventre. Elle a ri et m’a dit « C’est quasiment mot pour mot ce que tes femmes m’ont dit d’apporter! Vous vous connaissez par cœur, c’est adorable… ». Et elle m’a embrassé… 

 

Je lui ai demandé comment elle elle voulait que je m’habille. La réponse a fusé : « ton pantalon et chemise en lin blanc. Tu seras mon James Bond de la soirée ». Elle a vu mon regard surpris, et encore une fois a ri : « Tes femmes m’ont fait faire le tour de tes habits, parce qu’elles se doutaient que tu poserais la question à un moment ou à un autre… ».

Par Etienne - Publié dans : Partenaire inattendue
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

  • : Le blog de ma vie sexuelle, passée et présente...
  • Le blog de ma vie sexuelle, passée et présente...
  • : Amateur Histoires érotiques Journal Intime
  • : Vivant de frustration sexuelle en frustration sexuelle, j'ai développé de nombreux, très nombreux et très variés fantasmes... Puis j'ai rencontré ma chérie actuelle : elle me comble sexuellement... Ce blog parlera donc des mes fantasmes passés, et des anecdotes croustillantes de ma vie sexuelle actuelle...
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Créer un Blog

Recherche

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés