Mercredi 18 mars 3 18 /03 /Mars 14:30

Je suis allé chez le dentiste, à 8h30 du matin… Comme d’habitude, je suis arrivé en avance… Dans la salle, une femme était déjà assise. Une femme superbe, je dirais entre 30 et 35 ans, blonde, la peau mate, des jambes qui semblaient fines et musclées, une poitrine modeste, mais agréable, et surtout, un vrai ventre de femme enceinte…

Je me suis assis sur un siège en attendant que vienne mon tour pour aller me faire torturer les dents… On échangeait des regards, on s’est souri à quelques reprises, mais nous n’avons pas dit un mot.

Elle a été appelée, puis j’ai été appelé. C’est une clinique où il y a deux dentistes, on était donc chacun dans une salle. Nos deux examens dentaires ont fini en même temps, donc c’est en même temps que nous sommes sortis de la clinique. Pour être exact, elle est passée avant moi au comptoir pour payer (ou ne pas payer), mais comme ça lui a pris un peu de temps à se rhabiller, on est sorti ensemble. Encore une fois, nous n’avons pas échangé un mot, sauf un « merci » pour je lui ai tenu la porte.

Je suis ensuite allé à mon auto, et j’ai quitté le stationnement. Je l’ai alors vue qui attendait à l’arrêt de bus, et qui semblait frigorifiée. Le feu à l’intersection étant rouge, et étant arrêté à sa hauteur, je suis alors sorti de ma voiture pour lui demander si elle voulait que je la ramène : « tu sembles gelée, tu veux que je te ramène quelque part? » Elle n’a pas hésité longtemps, et a dit oui. Le temps qu’elle rentre dans l’auto, je me suis fait klaxonner par le **** qui était derrière moi car le feu est passé au vert…

Dans l’auto elle m’a dit qu’elle habitait loin, mais que je pouvais simplement la déposer au métro le plus proche. Elle m’a dit qu’elle est toujours allée chez ce dentiste, et que malgré qu’elle ait déménagé, elle continue à y aller. On a continué en échangeant quelques banalités, du genre « il fait froid malgré les deux derniers jours qui ont été plus chauds », « combien de semaines de grossesse il reste », etc. Et finalement, au lieu de la déposer au métro, je l’ai ramenée jusqu’à chez elle.

Une fois en bas de chez elle, elle m’a demandé si je voulais monter pour un café ou n’importe quoi d’autre, en remerciement. Je lui ai demandé si ça n’allait pas déranger le futur papa qu’un inconnu prenne un café avec la future maman. Elle m’a répondu qu’il n’y a pas de futur papa…

J’ai accepté, et le temps que je trouve une place pour mieux me garer, je l’ai rejointe. Elle m’a alors expliqué que la grossesse était un accident, et que quand son copain l’a su, il voulait qu’elle avorte. Elle, elle voulait le garder. Finalement ils s’étaient mis d’accord sur le fait qu’ils le gardaient. Mais à l’écographie ce sont deux bébés qui ont été vus… Depuis le jour de cet éco, elle ne l’a plus revu, il ne lui a plus donné signe de vie…

On était maintenant chez elle… je n’aime pas le café, mais elle me préparait un thé… j’ai regardé la chambre de ses futurs bébés, j’aimais beaucoup la décoration. Je lui ai demandé si elle appréhendait la suite, seule, avec des jumeaux, tant du point de vue financier que pour l’organisation. Elle m’a répondu que non, sa famille sera très présente, et que financièrement, ça ira.

Elle m’a alors dit la phrase qui est à l’origine de ce texte : « le plus dur, c’est sexuellement : depuis plusieurs mois, aucun homme ne m’a touché. Ma grosse bedaine les fait fuir. Et pourtant j’en ai terriblement envie ». C’est tout naturellement que j’ai alors répondu : « si tu veux, moi je n’ai pas fui : au contraire, tu n’aurais pas été enceinte, je ne t’aurais pas nécessairement proposé de te ramener »… Écrite comme ça, cette phrase laisse croire que c’est qu’une bedaine de femme enceinte m’excite, mais ce n’est pas comme ça que c’est sorti… c’était vraiment pour dire qu’elle semblait fragile…

Elle a soulevé son chandail, m’a montré son énorme bedaine avec la ligne abdominale qu’on les femmes enceintes et qui était très, très foncée chez elle : « tu coucherais avec une inconnue dans cet état? ». J’ai répondu « avec toi, oui, sans hésiter ».

Elle m’a regardé dans les yeux, puis m’a dit : « je vais aller prendre une douche rapidement… fais comme chez toi… » Je lui ai dit qu’il n’y avait pas de problème, et je lui ai demandé si je pourrais en prendre une aussi, rapidement. Elle a dit oui.

Elle s’est donc douchée, puis est sortie de la salle de bain avec une serviette autour de son corps en me disant qu’elle m’avait sorti une serviette propre… j’ai pris une douche rapide… quand je suis sorti de la salle de bain, elle m’a dit qu’elle était dans sa chambre. Heureusement que le logement n’était pas trop grand, parce que je n’avais aucune idée d’où était sa chambre…

Quand j’y suis entrée, elle était assise sur le bord du lit, nue, les jambes écartées… son énorme ventre soutenait ses seins… Il était évident que c’est une fille qui fait beaucoup de sport, parce que malgré sa grossesse son corps était sublime…

Je me suis approché d’elle, nu… elle a saisi mon sexe déjà dur avec sa main… elle l’a caressé lentement, puis elle s’est penchée en avant pour une fellation… elle est alors descendue du lit pour se mettre à genoux parterre… pendant cette agréable gâterie, elle a sorti mon sexe de sa bouche, se l’est frotté contre la joue, et a dit « ça fait tellement longtemps… ça me manquant tellement… », puis elle a continué… Elle était parfois sensuelle, parfois frénétique… c’était exquis…

Au bout d’un moment je lui ai dit que si elle continuait comme ça, j’allais jouir avant d’avoir pu lui offrir plus… Elle a arrêté la fellation, m’a regardé et m’a dit en souriant « ce serait un crime! » Elle a tendu le bras vers le meuble à côté de son lit, a pris un préservatif dans une boite neuve en disant « elle va enfin servir à quelque chose cette boite », puis me l’a mis…

Elle s’est ensuite relevée… je l’ai aidée… elle s’est d’abord mise debout face au lit… pour essayer de monter dessus… mais comme j’étais debout derrière elle pour l’aider, il s’est passé ce qui devait se passer… mon sexe est entré elle… les deux mains sur ses hanches, j’ai fait des va-et-vient lents, mais de plus en plus rapide… elle se maintenant appuyée sur ses bras, sur le lit, penchée en avant… c’était incroyable parce que de dos, il n’était pas possible de deviner qu’elle était enceinte… son ventre n’a pas élargi du tout… il n’a grossi que dans une dimension…

Elle était vraiment en manque, parce qu’elle a joui très vite… et quand elle a joui, elle s’est aussitôt dégagé de mon sexe pour se laisser tomber sur le lit, sur le dos, les jambes pendant au bord du lit… je me suis alors accroupi pour lui savourer l’entre-jambes… Elle était délicieuse… ma langue et mes doigts jouaient en elle et avec son clitoris, j’adorais… j’ai hésité à visiter son anus, mais ne connaissant pas ses limites, je me suis abstenu… Ce n’était pas l’envie qui manquait…

Après l’avoir faite jouir avec ma langue, je me suis redressé… j’ai placé mon sexe en face du sien, et j’ai poussé lentement… je n’osais pas caresser son ventre, parce que je trouve que caresser le ventre d’une femme enceinte est un geste très intime… mais je caressais ses hanches et ses cuisses…

Encore une fois, elle a joui…

Elle m’a alors dit qu’elle avait envie de s’asseoir sur mon visage, puis sur mon sexe… ce qui a aussitôt été fait… assise sur mon visage, j’ai pu savourer son sexe dégoulinant de son jus… j’ai caressé ses cuisses, ses seins… Et elle a joui…

Elle s’est ensuite décalée pour s’asseoir sur mon sexe… et cette fois, c’est moi qui aie joui… elle s’est alors retirée, elle a ôté le préservatif, et elle a pris mon sexe en bouche pour une petite fellation de « nettoyage »…

Elle a semblé aimer ça… j’aurais sûrement pu jouir dans sa bouche…

Une fois le nettoyage fini, elle s’est allongée sur le lit… j’ai caressé ses seins, puis son sexe… pendant que je jouais avec son entre-jambe, elle m’a demandé si je pourrais la faire jouir une dernière fois, avec le sextoy qui était dans le meuble. Je suis donc allé prendre l’objet en question, un sextoy classique, et je l’ai glissé en elle à la faire trembler d’extase… parfois je le retirais pour le lécher, puis je le remettais… elle a joui à plusieurs reprises, mais à chaque fois il fallait une pause de quelques secondes avant de pouvoir remettre quelque chose en elle…

Après un certain temps, je devais partir… je suis allé chercher mes affaires dans la salle de bain, et je suis venu dans la chambre pour me rhabiller… sans qu’elle s’en rende compte, j’ai pris le préservatif dans lequel j’avais joui… pendant que je me rhabillais, elle m’a dit un « merci », plein de reconnaissance… Personnellement je n’ai pas d’effort : c’est une très jolie femme, enceinte ou non.

Alors que je partais, elle m’a dit : « je ne veux pas commencer une relation, mais j’aimerais te revoir une fois avant que j’accouche… que tu me refasses le bien que tu m’as fait aujourd’hui… Tu serais d’accord ? ». J’ai dit oui, bien sûr. Mais j’ai mis une condition : « on n’échange pas nos numéros ou nos courriels : on fixe une heure aujourd’hui, et je viens. C’est correct? » Et c’est ce qu’on a fait…

Je retourne donc chez elle la semaine prochaine, alors que je ne connais même pas son nom…

Dès que j’ai été dans mon auto, j’ai écrit à Clarisse. Je lui ai écrit que je savais qu’elle était en cours, mais qu’il fallait que je la vois trente seconde. Elle m’a alors dit dans quelle salle de cours elle était, et je suis allé la rejoindre. Ce qui a pris un peu de temps, à cause du stationnement proche de l’université…

Une fois dans le couloir, je lui ai écrit pour lui dire que j’étais là. Elle a alors trouvé une excuse pour s’absenter 30 secondes. J’imagine qu’elle a dit qu’elle devait aller aux toilettes ou qu’elle devait à tout prix répondre à un appel important, je ne sais pas… Toujours est-il qu’elle est sortie dans le couloir, en se demandant ce que je voulais. Je lui ai dit de fermer les yeux, et d’ouvrir la bouche, ce qu’elle a fait sans même demander pourquoi. J’ai alors vidé le contenu du préservatif dans sa bouche…

Quand elle a rouvert les yeux, ils pétillaient… elle m’a demandé si c’était mon sperme ou celui d’un homme avec qui j’aurais joué… je lui ai dit que c’était le mien, soutiré par une femme enceinte de jumeaux…

Elle m’a embrassé et m’a dit : « ce soir tu viens chez moi, et je vais m’occuper de toi comme l’aurait fait un homme qui aurait joui dans ce préservatif »

Sans attendre ma réponse, elle est retournée vers la porte de sa salle de cours, mais juste avant de l’ouvrir elle est revenue à moi, a déposé un baiser sur mes lèvres, et a murmuré : « merci de penser à moi… j’adore ça… ». Et elle est retournée dans sa salle de cours sans me regarder…

Deux « merci » dans une même matinée par deux femmes différentes… c’est très agréable…

Par Etienne - Publié dans : vécu
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Mardi 3 mars 2 03 /03 /Mars 15:51

 

 

Quand je suis arrivé chez Clarisse un soir de la semaine dernière, elle était assise sur un fauteuil dans le salon en ne portant qu’un bas de maillot de bain, et rien d’autre, à un détail près : il y avait du sperme sur ses seins… à en voir la quantité, je dirais que deux ou trois hommes se sont vidés…

 

Elle me regardait, le regard joueur… elle sait que j’adore la voir comme ça… je l’ai embrassée, puis je me suis occupé de ses seins… le sperme était tout frais… j’imagine que les gars se sont vidés sur elle quelques secondes avant que j’arrive… j’imagine que c’est pour ça qu’elle m’avait demandé de lui envoyer un message pour la prévenir cinq minutes avant j’arrive…

 

 

Par Etienne - Publié dans : Clarisse
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Mardi 3 mars 2 03 /03 /Mars 15:46

Deux visites de Stéphanie…

J’ai eu le droit à deux visites de Stéphanie en deux jours… Ça faisait longtemps qu’on ne s’était pas vu deux jours de suite…

Pour la première visite, voici le message que j’ai reçu : « Envie d’une longue fellation suivi d’un baiser de sperme. Je peux venir? » C’était un soir, mais je travaillais. Alors je lui répondu que j’étais au boulot. Elle m’a aussitôt réécrit : « Je peux t’y rejoindre ou bien alors attendre que tu aies fini »

Ça faisait longtemps que je n’avais rien fait de sexuel au bureau… je lui ai proposé de venir m’y rejoindre. Je rappelle à ceux qui ne me lisent pas depuis le début que parfois je travaille le soir et en fin de semaine, et dans ces cas là je suis rigoureusement seul au bureau, dans tout l’étage pour ne pas dire dans tout le bâtiment. Personne d’autre n’est présent, sauf le gardien qui reste au rez-de-chaussée.

En attendant qu’elle arrive je suis allé me nettoyer l’entre-jambe aux toilettes : eau et savon sur le sexe, l’anus, les testicules… je n’aime pas me dire qu’il pourrait y avoir de mauvaises odeurs…

Quand elle est arrivée, je suis allé lui ouvrir la porte du bâtiment, puis on est monté à mon bureau. Depuis que je suis allé en camping avec elle, il n’y a pas de gêne entre nous : je me suis assis sur ma chaise, elle s’est assise parterre, entre mes jambes… Elle a ouvert mon pantalon tout naturellement, comme si elle sortait son téléphone de sa poche, et a sorti mon sexe qui était déjà en érection. Elle s’est mise à la caresser, à l’embrasser…

Pendant qu’elle ne l’avait pas encore en bouche, je lui ai posé une question. Je lui ai demandé si son copain, avec qui elle est depuis maintenant plusieurs mois, la satisfait sexuellement parlant… puis j’ai reformulé ma question, avant qu’elle puisse répondre. Je lui ai demandé pourquoi elle m’a choisi moi plutôt que son copain pour une longue fellation. Je comprends que le « dessert », avec la baiser la bouche plein de sperme, peu de mecs doivent aimer ça. Mais la longue fellation, tout le monde aime…

Elle m’a répondu que oui, sexuellement tout est parfait avec son copain, sauf pour deux choses : fellation, et sperme. Les deux choses qui l’ont amené à m’appeler… Il adore les fellations, mais pas les longues : soit il jouit vite, soit il passe à autre chose trop vite… Une fellation qui s’allonge, elle n’a jamais réussi à lui en faire… Et en ce qui concerne le sperme, il ne veut pas y goûter, même pour échanger un baiser…

À la fin de cette discussion, elle m’a fait retirer au complet mon pantalon et mon caleçon… En restant assis sur ma chaise, sans me lever… Elle tirait sur mon linge pour me le retirer… et elle a vu que j’avais l’anus rasé, et me l’a fait remarquer sur un ton interrogateur qui indiquait clairement qu’elle était curieuse de savoir pourquoi… Je lui ai dit que je me fais régulièrement sodomiser, et que la personne en question préfère que je sois rasé…

Elle a arrêté de jouer avec mon sexe et m’a dit : « tu as un mec régulier ? » J’ai souris… Elle a dit « tu préfères les mecs aux femmes maintenant? »

Je lui ai répondu : « non, le corps d’une femme est quelque chose dont je ne peux pas me passer… c’est agréable à regarder, agréable à toucher, agréable de jouer avec… c’est une femme qui me sodomise régulièrement avec un jouet, et tu sais qui c’est… Ce qui ne veut pas dire que parfois ce n’est pas un homme qui vient jouer en moi… »

Elle s’est remise à me caresser et a dit : « elle t’encule souvent? » Je lui ai répondu que oui, entre une fois par semaine à une fois chaque jour de la semaine, dépendant de combien de fois on se voit…

Elle m’a alors demandé « vous êtes ensembles? ». Je lui ai dit que non... Je lui ai rappelé notre histoire à elle (Stéphanie) et à moi : elle a presque habité chez moi pendant plusieurs semaines, mais on n’était pas un couple. On baisait, on vivait ensemble, mais au final, on n’a jamais été un couple.

Elle m’a alors posé tout un tas de question sur nos habitudes sexuelles et non sexuelles… je lui ai (presque) tout dit : on fait parfois des sorties ensembles, on baise souvent ensemble, presque tous les jours, on fait parfois appel à d’autres partenaires pour qu’on ne soit pas que deux, etc. Je lui ai d’ailleurs rappelé que si elle voulait, elle serait la bienvenue pour un plan à 3, ou même à 4 avec son copain… Elle a réitéré qu’elle trouve ça « dégueulasse et arriéré »… On a continué à parler, jusqu’à ce que l’on se taise et qu’elle me finisse à la bouche… Je me suis vidé en elle, et nous avons ensuite échangé un long baiser visqueux…

Le lendemain soir, nouveau message de Stéphanie : « je suis chez mon copain, la chatte pleine de sperme. Il vient de partir à son hockey : tu viens me lécher? ». Je n’avais jamais pensé aller chez le copain de Stéphanie pour coucher avec elle… Coucher avec elle hors de chez eux, d’accord, mais chez lui… J’étais avec Clarisse au moment où j’ai reçu le message. Je le lui ai montré. Elle était toute excitée… Elle voulait que j’y aille, et que je l’emmène : elle m’attendrait dans l’auto pour m’embrasser dès que je ressortirais après avoir nettoyé Stéphanie… Elle espérait que ma bouche sente le sexe à Stéphanie…

J’ai donc répondu que j’allais venir, mais juste pour la lécher quelques minutes soit disant parce que je devais retrouver Clarisse chez elle ensuite et qu’il fallait que mon sexe soit en pleine forme… Et c’est ce qui a été fait…

Quand je suis arrivé chez le copain à Stéphanie quelques minutes plus tard, j’ai pu entrer parce que comme Stéphanie me l’avait indiqué, la porte n’était pas fermée à clé. En franchissant le seuil de porte j’ai demandé où elle était… j’ai suivi sa voix pour la trouver allongée, nue, sur le lit dans la chambre… Elle a écarté les jambes, enlevé sa main de sur son sexe et je suis venu m’allonger pour que ma langue fasse ce qu’elle adore faire : savourer un sexe dans lequel se mélangent le nectar de l’homme et celui de la femme…

Ça sentait bon… c’était délicieux… j’ai léché sensuellement… Stéphanie a joui à plusieurs reprises… J’ai quand même fini par sortir mon sexe pour la baiser intensément, mais très rapidement, sans que moi je jouisse…

Puis je suis reparti…

Dans l’auto Clarisse m’a sauté à la bouche… Elle m’a embrassé… M’a léché les lèvres, la langue… Elle aimait l’odeur… mais elle s’est vite atténuée… Toujours assis dans l’auto, sans avoir démarré, j’ai alors sorti mon sexe de mon pantalon et je lui ai dit que pour qu’elle puisse y goûter un peu plus, je l’avais glissé en Stéphanie…

Le doigt qu’elle m’a glissé dans le cul en me suçant a eu le même effet qu’à chaque fois : je lui ai joui dans la bouche…

Par Etienne - Publié dans : Stéphanie
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Lundi 2 mars 1 02 /03 /Mars 15:38

Clarisse est une fille assez sportive. Lorsque je lui ai dit que j’allais courir un peu avant de venir la voir, elle m’a demandé si elle pouvait m’accompagner. Évidemment, j’ai dit oui… On s’est retrouvé au parc Maisonneuve, ou plutôt aux alentours du parc : ce dernier étant complètement enneigé, il est plus facile de courir sur les trottoirs qui en font le tour.

 

Il ne fait pas très chaud, donc il faut bien s’habiller, mais sans cependant mettre trop d’épaisseurs pour ne pas avoir trop chaud à l’effort. Bref, Clarisse est arrivée avec un pantalon moulant et une veste de sport bien ajustée à son corps. Elle était terriblement sexy…

 

En courant sur des trottoirs, il n’est pas facile de rester côte-à-côte tout le temps : dès que l’on croise quelqu’un, il faut laisser un peu de place. Alors à plusieurs reprises, je me suis retrouvé derrière elle, et mon regard ne quittait pas ses fesses que j’adore… Et je n’ai pas pu me retenir tout le long…

 

Pendant que l’on courrait sur Rosemont, je l’ai prise par le bras, on a traversé la rue, et on est allé dans une ruelle parallèle à la rue… je bandais comme un fou… derrière un conteneur à vidanges je l’ai plaquée contre un mur, j’ai baissé son pantalon, sorti mon sexe, et je l’ai pénétré d’un coup, sauvagement… Si vous me lisez depuis longtemps, vous savez sûrement que Clarisse adore être dominée, donc que cette pénétration brutale, aussi violente qu’elle puisse paraitre, s’est faite toute seule parce qu’elle était déjà trempée d’excitation…

 

Mais quand je la regardais en courant, ce sont ses fesses qui m’obsédaient. Ce sont en elles que je voulais aller… Après quelques va-et-vient dans son sexe, je me suis réorienté… et je l’ai sodomisée, les pieds dans la neige, par -15 degrés, debout à l’arrière d’un immeuble, cachés par un conteneur à poubelle…

 

Ça a été très intense… court, mais intense… on a tous les deux jouis sans retenue… Tellement sans retenue qu’une personne âgée dont la fenêtre était juste au-dessus de nous l’a ouverte et nous a crié qu’elle allait appeler la police si on ne partait pas… J’étais encore en Clarisse à ce moment là, mais on venait de jouir… on a regardé la madame, on a rit, on s’est décollé, on s’est rhabillé et on est parti en courant…

 

Tout en courant pour sortir de la ruelle Clarisse m’a dit en rigolant : « tu voulais une femme mature : occupe-toi de celle-là, elle doit être mal baisée, fais la jouir, et on sera tranquille si jamais on revient ici! »

 

Notre séance de jogging s’est arrêtée ici… ça avait coupé notre élan de baiser comme ça… On est allé chez Clarisse, où elle m’a fait lécher son entre-jambe souillée avant d’aller sous la douche…

Par Etienne - Publié dans : Clarisse
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Jeudi 19 février 4 19 /02 /Fév 17:09

Étant donné la fréquence de nos envies sexuelles intenses et salissantes, Clarisse a décidé d’adapter sa chambre d’amis, qui est donc devenue la « chambre de baise urologique et scatologique »…

Si vous me lisez régulièrement, vous savez que nous adorons les jeux d’urine et que nous les pratiquons ensemble depuis plusieurs mois… Vous savez aussi qu’à quelques occasions nous avons pratiqués la scatologie… l’un comme l’autre sont des actes salissants pour la literie, le plancher, etc. Quand l’urine gicle partout, il n’est pas facile de contrôler le résultat… alors ça se passait tout le temps dans la salle de bain, ce qui est un endroit qui ne permet pas toutes les fantaisies…

Pour le scato, c’est pareil… Clarisse adore manger ce qui peut sortir de mon anus, mais elle en vomit presque à chaque fois par la suite… Quand elle n’a pas le temps de se rendre aux toilettes, ce sont les draps qui prennent tout…

Bref, elle a décidé d’aménager une salle adaptée à nos plaisirs… Il y a donc un lit avec un matelas recouvert d’une housse étanche à 100%... Elle a mis sur le plancher des tapis épais en caoutchouc, un peu comme ce que l’on peut trouver dans certains garages ou sur des marches d’escaliers à l’extérieur, en hiver. Ils sont parfaitement étanches et facilement nettoyables…

Elle a mis les meubles relativement loin du lit, afin qu’ils ne se fassent pas éclabousser lors de nos ébats… Dans l’un des meubles, il y a un tiroir avec de nombreux sextoys et des préservatifs… C’est utile pour les soirées où l’on est un peu plus que juste deux…

Vous vous en doutez : quand elle m’a montré cette pièce ainsi aménagée, on l’a inaugurée le soir même…

Par Etienne - Publié dans : Clarisse
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  • : Le blog de ma vie sexuelle, passée et présente...
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  • : Amateur Histoires érotiques Journal Intime
  • : Vivant de frustration sexuelle en frustration sexuelle, j'ai développé de nombreux, très nombreux et très variés fantasmes... Puis j'ai rencontré ma chérie actuelle : elle me comble sexuellement... Ce blog parlera donc des mes fantasmes passés, et des anecdotes croustillantes de ma vie sexuelle actuelle...
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