Lundi 2 mars
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15:38
Clarisse est une fille assez sportive. Lorsque je lui ai dit que j’allais courir un peu avant de venir la voir, elle m’a demandé si elle pouvait m’accompagner. Évidemment, j’ai dit oui… On s’est
retrouvé au parc Maisonneuve, ou plutôt aux alentours du parc : ce dernier étant complètement enneigé, il est plus facile de courir sur les trottoirs qui en font le tour.
Il ne fait pas très chaud, donc il faut bien s’habiller, mais sans cependant mettre trop d’épaisseurs pour ne pas avoir trop chaud à l’effort. Bref, Clarisse est arrivée avec un pantalon moulant
et une veste de sport bien ajustée à son corps. Elle était terriblement sexy…
En courant sur des trottoirs, il n’est pas facile de rester côte-à-côte tout le temps : dès que l’on croise quelqu’un, il faut laisser un peu de place. Alors à plusieurs reprises, je me suis
retrouvé derrière elle, et mon regard ne quittait pas ses fesses que j’adore… Et je n’ai pas pu me retenir tout le long…
Pendant que l’on courrait sur Rosemont, je l’ai prise par le bras, on a traversé la rue, et on est allé dans une ruelle parallèle à la rue… je bandais comme un fou… derrière un conteneur à
vidanges je l’ai plaquée contre un mur, j’ai baissé son pantalon, sorti mon sexe, et je l’ai pénétré d’un coup, sauvagement… Si vous me lisez depuis longtemps, vous savez sûrement que Clarisse
adore être dominée, donc que cette pénétration brutale, aussi violente qu’elle puisse paraitre, s’est faite toute seule parce qu’elle était déjà trempée d’excitation…
Mais quand je la regardais en courant, ce sont ses fesses qui m’obsédaient. Ce sont en elles que je voulais aller… Après quelques va-et-vient dans son sexe, je me suis réorienté… et je l’ai
sodomisée, les pieds dans la neige, par -15 degrés, debout à l’arrière d’un immeuble, cachés par un conteneur à poubelle…
Ça a été très intense… court, mais intense… on a tous les deux jouis sans retenue… Tellement sans retenue qu’une personne âgée dont la fenêtre était juste au-dessus de nous l’a ouverte et nous a
crié qu’elle allait appeler la police si on ne partait pas… J’étais encore en Clarisse à ce moment là, mais on venait de jouir… on a regardé la madame, on a rit, on s’est décollé, on s’est
rhabillé et on est parti en courant…
Tout en courant pour sortir de la ruelle Clarisse m’a dit en rigolant : « tu voulais une femme mature : occupe-toi de celle-là, elle doit être mal baisée, fais la jouir, et on sera
tranquille si jamais on revient ici! »
Notre séance de jogging s’est arrêtée ici… ça avait coupé notre élan de baiser comme ça… On est allé chez Clarisse, où elle m’a fait lécher son entre-jambe souillée avant d’aller sous la douche…