Si vous avez lu tous mes articles, vous vous souviendrez peut-être d'un de mes fantasmes :

"faire monter dans mon auto une prostituée clairement en manque de drogue, qui ne souhaite que satisfaire une homme pour avoir son argent pour sa prochaine dose... je l'imaginais soumise à tous mes désirs... je m'imaginais la laissant, nue, épuisée, le sexe et l'anus douloureux des grands coups de reins que j'aurais donné... souillée de mon sperme, même de mon urine... mais "heureuse" d'avoir l'argent pour sa dose... Pitoyable comme fantasme, je sais... mais l'idée de la femme soumise dans ce contexte m'excite... même si je ne l'aurais clairement jamais assouvi..."

Et bien ce fanstasme a été à portée de ma main (ou de mon sexe...), mais je l'ai pas assouvi. Voici l'histoire : j'ai eu à aller chez une madame, pour mon travail. J'ai des problèmes avec elle, je lui avais accordé un délai pour le régler, et je devais aller vérifier que c'était fait. Je ne lui avais jusqu'à présent parler que par téléphone.

J'arrive donc devant son immeuble : un espèce d'immeuble mal entretenu dans lequel je n'aimerais pas vivre. Je rentre, je monte à son logement, je frappe. Une dame vient m'ouvrir : entre 40 et 50 ans, le visage et le corps ravagés par la drogue et/ou l'alcool, d'une minceur extrème. Pas de seins, pas de fesses, rien... Aucune forme...

Je rentre chez elle, et je constate que la situation n'a pas été réglée. Je lui parle, je lui explique que nous avions convenu d'un délai, qu'elle devait apporter un correctif à la situation. Elle me dit qu'elle n'a pas pu, qu'elle a besoin d'un autre délai, etc. Je lui fais remarquer que j'ai déjà été très généreux avec elle, que je lui ai laissé amplement le temps de régler son problème. C'est alors qu'elle me dit quelque chose du genre : "si tu veux tu peux me baiser en échange d'un autre délai". Je souris et je lui dis "non madame, vous savez que je ne peux pas". Elle me répond alors "tu peux me la mettre où tu veux, j'ai l'habitude. Même dans le cul. Tu peux me faire ce que tu veux".

Évidemment, j'ai refusé, à la fois parce que je ne suis pas célibataire et aussi parce que professionnellement parlant, ce serait une faute grave. Et pourtant... Malgré son état, une fois sorti de chez elle je m'imaginais en train de la baiser... Je m'imaginais visitant son cul probablement défoncé (je suis sûr qu'elle se prostitue)... je m'imaginais la porter, légère comme elle doit être, pour la baiser dans tout les sens... J'imaginais ce que devait être ses seins plats en pendants, sa peau probablement constellée de cicatrices et/ou vergetures...

Malgré que ce soit aux antipodes de mes goûts physiques, je m'imaginais la baiser et lui jouir sur le visage, avant de partir sans dire un mot...

Dans la même lignée que l'article précédent, unepolonaise, Ania Lisewka, veut se faire baiser par 100 000 gars. Elle en est à 400 au moment où j'écris ces lignes. Elle demande environ 10 euros par gars afin de payer les frais de sa "tournée", parce que oui, elle fait une "tournée mondiale" pour y arriver.

Là j'avoue que je suis bien moins intéressé que la fille qui veut (voulait?) coucher avec 23 gars pour ses 23 ans. Pourquoi? Parce que moi ce qui m'intéresse dans le sexe à plusieurs, c'est le moment où ça se passe. Si c'est pour se passer sur 10 ou 15 ans, ça perd tout son "charme". Mais aussi parce que ça demande une grosse organisation, ce qui me coupe toute envie.

Et puis d'un point de vue un peu plus méchant, elle n'est pas vraiment belle cette fille... elle a 20 ans, mais on dirait qu'elle en a 40... Purement gratuit cette dernière phrase, je suis désolé....

Une chose que j'adore avec ma chérie, c'est que même si mon sexe est passé dans son anus, elle ne refuse pas par la suite que je le glisse ailleurs en elle, que ce soit dans la bouche ou dans le sexe...

Hier soir, elle était à quatre pattes sur le lit, les fesses bien relevées pour que je la savoure... ma langue a caressé son clitoris, son anus, l'intérieur de son sexe... Je l'ai d'abord léchée lentement, doucement, avant de forcer l'allure et la pression exercée... du bout de ma langue j'essayais de goûter à l'intérieur de son anus...

Une fois qu'elle était bien trempée, autant par ma salive que par le produit de son excitation, mon membre bien dur a remplacé ma langue... d'abord dans son sexe... puis dans son anus... pour la première pénétration anale, ça force toujours un peu... J'appuie lentement mais fermement, et j'adore la sensation de sentir son anus s'ouvrir pour se refermer autour de mon gland... Je pousse alors un peu plus loin en elle, avant de commencer les va-et-vient...

puis j'ai alterné... toujours dans la même position, je suis passé de l'anus au sexe, du sexe à l'anus, de l'anus au sexe, et ainsi de suite... après quelques alternances, son anus était aussi ouvert que son sexe : je rentrais dedans sans même m'en rendre compte...

J'enfonçais ma bite d'un coup sec au fond de sa chatte, puis je la retirais aussitôt pour visiter un coup le fond de son cul, puis je retournais un coup dans son sexe trempé, avant de retourner encore une fois juste un coup dans ce petit trou qui n'était plus si petit, etc...

Elle adore cette alternance... je me souviendrai toujours de la première fois où elle m'a dit qu'elle voulait que je passe de l'un à l'autre... Déjà que j'étais heureux d'avoir une chérie qui aime la sodomie, mais en plus qu'elle accepte que je passe de l'un à l'autre, je n'en revenais pas...

Mais revenons à hier soir... À force de pénétrations profondes et vigoureuses dans chacun de ses trous, elle a fini par jouir... Et évidemment, moi aussi... je serais incapable de vous dire où est-ce que j'ai joui, parce que je me suis forcé à ne pas rester immobile : malgré la première giclée de sperme, j'ai continué à alterner jusqu'à ce que mon sexe perde de sa tonicité... Elle avait donc du sperme dans l'anus, dans le sexe, sur le périné, sur les fesses...

Comme elle a encore la peau bronzée (vive le nu intégral dans les salons de massage), c'était sublime à voir, ce sperme partout sur elle... Je lui ai demandé si je pouvais prendre une photo, mais encore une fois elle a dit non...