Scatologie

Lundi 14 mai 1 14 /05 /Mai 12:52

Elle a dû le sentir, car elle a ralenti juste après… pour finalement s’arrêter…

 

Mon sexe toujours en elle, je lui ai retiré le bâillon… elle s’est aussitôt penchée en avant pour m’embrasser… fougueusement cette fois-ci… le premier de ce genre… Tout en m’embrassant elle m’a demandé si elle pouvait venir s’asseoir sur mon visage… Évidemment qu’elle pouvait…

 

Et là elle s’est levée d’un coup… ça a fait mal… autant à moi qu’à elle… j’aurais dû anticiper et lui dire que lorsque l’érection n’est plus présente il faut faire doucement pour se « désenboiter »… Elle s’est excusé et ça ne l’a quand même pas empêché de venir poser son anus dilaté sur ma bouche pour que je fouille son intérieur juteux de mon sperme… C’était délicieux…

 

Pour nous nettoyer après tout ça, nous sommes allés faire un petit tour dans la piscine…

 

Dans la piscine, elle m’a demandé timidement : « vous me laisseriez un de vos boxer que l’on tremperait d’urine avant de partir, lundi matin…? Je voudrais vous en acheter un… l’odeur sur votre chemise était tellement excitante… »

 

J’ai acquiescé en disant que ça me ferait plaisir de lui offrir, pas de lui vendre… elle me payait déjà assez cher pour ça, surtout pour une fin de semaine où j’avais autant de plaisir d’elle… La seule chose qui manquait à mon bonheur cette fin de semaine là, c’était la présence de ma chérie… son sourire, son regard, sa voix me manquaient… Mis à part ça, j’étais fantastiquement bien…

 

Dans la piscine ma cliente m’a dit qu’elle avait hâte de jouer avec les jouets en moi… Je lui ai répondu que pour ça, ce n’est pas la peine d’attendre… Un peu de lubrifiant et ça pouvait rentrer tout de suite…

 

Elle était toute excitée… Je lui ai alors dit : « le seul ‘problème’, sans que je ne dois pas être très propre à l’intérieur, sans pour autant être assez plein pour faire ce que vous m’avez demandé ce matin… Alors soit ça va être très salissant, soit je vais me faire un lavement mais du coup ça va repousser le moment où je pourrais me vider sur vous… »

 

Elle a choisi l’option lavement… Alors je suis allé me préparer : j’avais emmené ma poire au cas où…

 

Le temps que je procède au lavement, ce qui prend quand même un certain temps pour être bien fait, elle était sortie de la piscine, avait retiré tous les emballages des jouets et les avaient disposés sur le lit, prêts à être utilisés…

 

Quand je suis entré dans la chambre, elle m’a demandé : « on commence comment…? ». Je lui ai fait un grand sourire, je me suis approché d’elle, j’ai déposé un baiser sur ses lèvres et je lui ai dit qu’elle devait se laisser guider par ses envies…

 

Elle m’a alors demandé de m’allonger sur le dos… Elle s’est assise sur mon ventre, et en se penchant en arrière a commencé à doigter mon anus… Par moment elle ramenait son doigt à sa bouche pour le lécher, avant de le remettre en moi…

 

Puis elle m’a répété la phrase que moi je lui avais dite… Elle m’a dit : « je suis visuelle… » Elle s’est alors allongée sur le lit, et m’a demandé de venir au-dessus d’elle, à quatre pattes, mes fesses au-dessus de ses seins…

 

Elle s’est remise à me doigter avec une main, mais elle trouvait qu’elle ne voyait pas assez bien la situation… elle m’a alors demandé de descendre un peu plus, jusqu’à ce que mes fesses soient au-dessus de ses cuisses, et elle a placé un coussin sous tête pour se redresser un peu… puis elle a recommencé… d’abord avec ses doigts, puis elle s’est saisie d’un jouet… Elle a retiré les doigts qui étaient en moi, a pris le lubrifiant qu’elle avait acheté, et en a badigeonné le jouet…

 

Lentement, elle a enfoncé le jouet en moi… Sans surprise pour moi, c’est rentré tout seul… Elle par contre a été un peu surprise… Elle l’a aussitôt ressorti en me disant qu’il était trop petit…

 

Elle ne savait pas où le poser, plein de lubrifiant qu’il était… je le lui ai pris…

 

Pendant qu’elle en choisissait un autre, je lui ai glissé celui déjà lubrifié dans son sexe… Mes va-et-vient l’ont rapidement poussé à gémir, avant même qu’elle ait glissé un autre jouet en moi…

 

Mais par contre, quand elle a appliqué le nouveau jouet choisi contre mon anus, j’ai compris qu’à mon tour j’allais gémir… je savais que l’entrée serait un peu douloureuse, même si après ce serait le bonheur… Et effectivement, ça n’a pas manqué…

 

Le passage initial a fait mal… les quelques premiers va-et-vient aussi. Mais après cela, la douleur s’est amenuisée pour se transformer en plaisir…

 

Après un certain temps lorsque ma cliente a retiré le jouet, elle a ri en voyant qu’elle pouvait glisser son doigt en moi sans me toucher… Puis elle a réintroduit le jouet… Je ne pourrais pas vous dire pendant combien de temps, mais ça a été longtemps… Longtemps mais agréable… Elle aussi semblait aimer cela. Il faut dire que le jouet que je glissais en elle depuis le début devait l’aider à apprécier le moment…

 

Après cette entrée en matière, nous avons alterné les positions et les jouets… autant en en glissant en elle qu’en moi… De son côté elle a eu droit à tous les jouets en elle partout où ça pouvait rentrer, parfois plusieurs en même temps… De mon côté tout ce qui pouvait visiter mon petit trou y est passé…

 

Sa première double pénétration avec le sextoy double : en forme de U, une branche dans chaque orifice… Elle a adoré… Tellement que rapidement elle m’a demandé de le retirer pour mettre deux jouets de tailles plus conséquentes… Ce que bien sûr j’ai fait…

 

Et je me suis rendu compte d’un fait : ce n’est pas dès que quelque chose entre dans son anus qu’elle se mettait à crier de plaisir… c’est dès que ça forçait, que ce soit dans le sexe ou dans l’anus… Et je vous assure qu’elle a crié…

 

À un moment donné j’ai mis deux jouets assez gros en elle… je me suis mis au-dessus d’elle, comme pour un 69, et pendant qu’elle criait j’ai glissé mon sexe dans sa bouche, sexe qui avait retrouvé un peu de tonus malgré une éjaculation relativement récente, tentant de la faire taire un peu… ça a été un échec : elle m’a sucé voracement quelques secondes avant de sortir mon sexe de sa bouche pour se remettre à crier, en remplaçant la fellation vorace par une branlette très, très énergique…

 

Je disais donc que nous avons tout essayé, dans toutes les positions auxquelles nous pensions… le sexe double (chacun un bout en nous) nous a énormément plu (essayer de l’enfoncer assez loin en nous pour que nos fesses se touchent alors que nous étions tous les deux à quatre pattes fesses contre fesses…), mais comme anticipé, c’est le gode ceinture qui a été le plus plaisant… elle a adoré me prendre par derrière, elle a adoré que je vienne m’asseoir sur elle, elle a adoré changer les embouts du gode ceinture pour en mettre de plus en plus gros (elle avait acheté trois tailles)…

 

Lorsqu’un jouet sortait d’elle avec quelques traces, sous ses yeux je le nettoyais du bout de ma lange…

 

Nous sommes sortis de la chambre il était plus de 19h… Je pense que nous avons passé plus de deux heures avec les jouets… Une bouteille complète de lubrifiant a été vidée… Et quand nous sommes sortis, ce n’est pas pour arrêter… C’est moi qui lui ai suggéré que l’on aille sur une chaise longue avec le gode ceinture… Elle s’est assise sur une chaise, le dossier redressé… je me suis assis sur le jouet, sans être en érection… et quelques instants plus tard, sans la prévenir, j’ai uriné sur son visage et ses seins, le jouet en moi…

 

Ça l’a rendue folle de joie… Elle a penché la tête en avant bouche grande ouverte pour en boire, tout en accélérant les mouvements de son jouet dans mon anus… mon jet éclaboussait partout…

 

Quand j’ai fini d’uriner, je me suis retiré du jouet, et j’ai commencé à lécher son corps, son cou, ses seins, son ventre, ma pisse partout sur elle… j’ai aussi fait une fellation au jouet, mais il était un peu gros pour que ce soit confortable dans ma bouche… Ce qui n’a pas empêché ma cliente de s’amuser à me l’enfoncer dans la gorge, en appuyant doucement de ses deux mains sur ma tête…

 

Après ce petit jeu, elle a retiré le gode ceinture luisant de ma salive abondante, l’a glissé un peu en elle, puis l’a déposé au sol et nous sommes allés dans la piscine nous « nettoyer »…

 

Pendant que l’on était dans l’eau, elle m’a demandé de m’appuyer sur le bord de la piscine, les fesses au-dessus de l’eau… j’étais donc allongé sur le ventre sur le bord de la piscine, les jambes dans l’eau… et elle est venue lécher mon petit trou… elle a ensuite tenté avec ses doigts de me le dilater le plus possible pour y glisser sa langue… Mon anus étant épuisé après ces dernières heures à se faire visiter, il s’est complètement laissé faire et ma cliente a pu s’amuser comme elle le désirait…

 

Lorsqu’elle a cessé, je me suis remis complètement dans l’eau… elle est venue dans ma bras et m’a dit : « je ne pensais pas que glisser des doigts ou une langue dans l’anus de quelqu’un procurait autant de plaisir… »

 

Nous avons un peu nagé et nous sommes sortis de l’eau pour préparer le souper… Pendant la préparation elle m’a servi un verre tout frais de son urine chaude, que j’ai tranquillement siroté… De mon côté j’ai bu beaucoup d’eau toute la soirée pour pouvoir lui assurer une alimentation suffisante de mon nectar salé… Chaque fois que je lui remplissais un verre elle me disait à quel point elle adorait ça… Soit par des paroles, soit par des regards et des sourires…

 

Mais revenons à la préparation du souper… Elle était en maillot de bain deux pièces, moi en caleçon de bain… Le repas se constituait principalement d’un steak chacun cuit au barbecue (au propane malheureusement, pas au charbon…), accompagné de riz préparé à sa façon…

 

Le temps que tout cela cuise, j’ai proposé de glisser en elle des tomates cerises, avec comme raison que son jus est la meilleure des sauces… Évidemment elle a ri et a acquiescé. Quelques secondes plus tard elle était debout, un pied posé sur une chaise, et agenouillé devant elle je lui glissais les petites tomates en elle… J’ai essayé dans son anus, mais ça a juste explosé la tomate, ce qui m’a donné une bonne raison pour passer ma langue entre ses jambes, puisqu’il fallait nettoyer le dégât…

 

Une fois pleine de mini-tomates, à son tour elle a pris quelque chose dans le frigo en me disant : « À vous! ». Elle brandissait des bébés-carottes, et m’en a effectivement rempli le cul…

 

Finalement nous avons mangé le plat principal, et ce n’est qu’après que nous sommes allés à la pêche l’un chez l’autre… Parmi les tomates il y a eu deux pertes, deux tomates que j’ai explosées en tentant de les ramener avec mes doigts (pas perdu pour tout le monde : le jus de tomate coulant de sa chatte était exquis!!). Parmi les carottes évidemment aucune perte, et ma cliente a beaucoup trempé ses doigts dans son sexe pour lubrifier le passage…

 

Étant donné le lavement que je m’étais fait un peu plus tôt, les carottes étaient parfaitement propres. Nous avons partagé moitié-moitié, nous nous sommes régalés…

 

Nous avons passé le reste de la soirée à alterner piscine, verres d’alcool (et beaucoup de verres d’eau pour moi!), fellations, cunis, autres pénétrations en tout genre (mais sans jouet), verres d’urine (surtout pour elle étant donné tout ce que je buvais) et discussions. Ça a été une soirée très agréable…

 

Lorsque nous sommes allés nous coucher, nous avons réutilisé les jouets… et cette fois, étant capable d’avoir une belle érection, nous avons cumulé jouet et pénétration de mon sexe… Il y a eu beaucoup de plaisir en double pénétration anale/vaginale, mais aussi en double vaginale : mon sexe et un jouet en même dans sa chatte la faisait hurler de plaisir… surtout avec un doigt en plus dans son anus (elle n’était pas capable de recevoir plus gros dans cette position… et le doigt dans l’anus, c’était un doigt à elle…)…

 

On a essayé la double anale, mais ça lui faisait trop mal, alors je n’ai pas insisté…

 

J’ai aussi pu récupérer quelques petits morceaux d’excréments, à force de jouer dans son anus… Elle a adoré lorsque j’en ai écrasé un sur son clitoris, que bien entendu j’ai nettoyé avec ma langue et mes lèvres…

 

Ce soir-là, c’est dans sa bouche que j’ai joui… Elle voulait mon sperme, tout en étant comblée dans tous les trous… c’est donc avec deux jouets en elle et un en moi que j’ai joui, ses lèvres autour de mon sexe…

 

Avant de nous endormir, comme la veille je lui ai préparé un verre d’urine, que j’ai posé sur sa table de chevet… Tout en déposant le verre, je lui fais cette suggestion : « Est-ce que vous aimeriez que l’on cuisine quelque chose demain en remplaçant l’eau par de l’urine? Par exemple des nouilles cuites dans de l’urine… ». Elle a écarquillé les yeux, puis a dit que l’idée lui plaisait beaucoup…

 

Je me suis allongé dans le lit, et nous nous sommes endormis un peu plus tard… Mais avant que l’on s’endorme, ma cliente m’a dit ceci : « Depuis ce soir je peux très bien concevoir que votre conjointe ait envie d’un deuxième homme dans certaines positions… »

 

Le lendemain, donc le dimanche, la journée a été assez similaire à celle du samedi, sauf qu’au réveil je n’ai rien étalé sur le corps de ma cliente : dans un 69 très agréable j’ai collé ma bouche à son anus, et j’ai avalé tout ce qui sortait de son petit trou, sa bouche faisant des va-et-vient autour de ma verge…

 

Après avoir dévoré ses excréments je lui ai rempli un verre d’urine puis je suis allé me faire un lavement, parce qu’elle m’a dit qu’elle avait envie de rejouer en moi… Lorsque je suis revenu dans la chambre, elle avait le gode ceinture attaché à elle, et nous avons commencé à nous amuser…

 

Après bien du plaisir et une éjaculation dans sa bouche (à sa demande), nous sommes allés courir, comme la veille. Nous avons ensuite mangé un petit quelque chose dans le même restaurant que la veille, et comme la veille j’ai rempli une bouteille d’urine pour que ma cliente en boive en public. Seule différence avec la veille : une fois au restaurant je me suis assis à côté d’elle et non face à elle, et mis à part quand je suis allé remplir la bouteille aux toilettes, une de mes mains n’a pas quitté sa place, c’est-à-dire dans le pantalon de ma cliente qui ne portait pas de culotte, mes doigts s’amusant en elle… Au début elle était un peu gênée, mais elle a rapidement pris du plaisir…

 

Le reste de la journée a été un calque de celle de la veille, sauf que nous n’avons pas eu besoin d’aller au sexshop, et que le midi nous avons effectivement fait cuir des pâtes dans de l’urine, autant à elle qu’à moi pour en avoir assez… C’était très bon…

 

Nous eu beaucoup de rapports sexuels, sans que je jouisse… Je n’ai pas joui avant que l’on soit au lit le soir… Ma cliente était allongée sur le dos, les jambes levées, moi semi-allongé sur elle, mon sexe dans son anus… On se regardait, les yeux dans les yeux… elle caressait mon visage de ses mains… Il y avait eu du progrès dans ses cris : avec juste mon sexe en elle dans son petit trou, elle ne faisait plus que des gémissements de plaisir, plus aucun cri…

 

Lorsque j’ai senti que j’allais jouir, je me suis placé tout au fond d’elle et je n’ai plus bougé… j’ai éjaculé le plus loin en elle que je pouvais…

 

Quand je lui ai demandé si elle voulait que je descende entre ses jambes pour récupérer ce qu’elle pourrait faire ressortir, elle m’a dit que non, qu’elle voulait garder cela en elle…

 

Peu après nous nous sommes endormis…

 

Le lendemain matin, donc le lundi matin, nous avons fait comme le dimanche matin : une fellation pendant que je mangeais son repas de la veille… elle a continué la fellation jusqu’à ce que je jouisse dans sa bouche…

 

Nous sommes ensuite allés tous les deux sous la douche… je l’ai arrosée, et elle m’a rendu la pareil… je me suis ensuite lavé, et il était l’heure que je parte… Je voulais passer voir mes chéries avant d’aller travailler…

 

Sur le seuil de la porte, ma cliente a déposé un baiser sur mes lèvres et m’a dit : « si je vous rappelle d’ici quelques semaines, est-ce que nous pourrions repasser une fin de semaine ensemble? » J’ai acquiescé. Non seulement elle me payait très, très bien, mais en plus sa compagnie était très agréable…

 

Et effectivement, je suis retourné la voir à quelques reprises. Même aujourd’hui, alors que je vends plus les « charmes » de mon corps, il m’arrive de les lui louer quand elle m’appelle… C’est arrivé trois fois depuis que j’ai arrêté la prostitution. Oui, d’accord, on ne peut donc pas dire que j’ai arrêté… disons depuis que je n’ai plus d’annonce en ligne…

 

Parfois elle me demande si on peut juste aller manger un petit quelque chose dans un petit resto sympa, comme on le faisait après le jogging. Dans ces cas-là, je dis oui, je ne facture rien… même pas la bouteille de jus de pommes qu’immanquablement je lui remplis…

Par Etienne - Publié dans : Scatologie
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Lundi 14 mai 1 14 /05 /Mai 12:50

Pour être sûr de ne rien perdre, avant de jouer comme elle désirait que je le fasse je suis allé au-dessus de sa bouche, pour qu’elle puisse savourer les dernières gouttes…

 

Elle a passé quelques instants à bien s’en occuper, mais je suis rapidement redescendu, pour récupérer mon sperme sur son corps et ses excréments avant qu’il ne s’étale partout…

 

Tout en levant les yeux vers elle pour ne pas quitter les seins, j’ai commencé à lécher ce qui était entre ses seins… Je vous ai déjà dit plus tôt que c’est l’odeur qui est le plus désagréable au sujet des excréments, plus désagréable que le goût… Et bien je peux vous le confirmer… l’odeur était relativement forte, mais encore une fois c’est l’excitation qui dominait, donc je n’ai pas eu à me forcer… Et ça m’a donné des idées sur des plaisirs à essayer avec ma chérie…

 

Mais revenons à la situation… j’ai léché le caca, autour du caca, pour récupérer le sperme… Il n’en y avait pas énormément puisque la veille ma cliente m’avait déjà vidé…

 

Je suis allé déposer dans sa bouche le fruit de ma récolte… et cette fois nos langues se sont touchées… il n’y a pas eu un long baiser, mais nos langues ont été en contact pour la première fois…

 

Puis je suis redescendu encore, pour m’occuper de ce qui restait entre ses seins… Mais je me suis ravisé parce qu’encore une fois, ce que je tenais dans une de mes mains me gênait… je me suis alors allongé entre les jambes de ma cliente, mon menton au niveau de son ventre… j’ai posé en la maintenant verticale avec ma main la merde que j’avais…

 

Et centimètre par centimètre, je l’ai mangé…

 

Quand j’ai fini le premier morceau, ma cliente m’a dit : « faites la même chose avec l’autre, s’il vous plait… ». Je me suis exécuté…

 

Une fois tout avalé, je suis descendu un peu plus bas et j’ai savouré son sexe quelques minutes, avant de finalement nous lever pour la journée…

 

J’ai dit à ma cliente que si elle voulait prendre une douche ce matin, ce dont je ne doutais pas vu ce que j’avais déposé sur son corps, je pourrais l’accompagner pour l’y arroser de mon urine du matin…

 

Elle ne se l’est pas faire dire deux fois… Quelques paroles plus tard, nous étions sous la douche, elle accroupie devant moi… Et la consigne était très claire : inutile de viser la bouche, elle en voulait partout, du front aux cuisses… Mon jet est venu s’écraser partout où elle le désirait…

 

Lorsqu’elle s’est relevée, vraiment heureuse, après la douche d’urine, je me suis baissé un peu et j’ai embrassé ses seins… ses seins souillés de mon urine odorante du matin…

 

Puis je lui ai dit que j’allais juste me rincer rapidement les pieds (ils étaient trempés d’urine), puis que j’allais aller aux toilettes avant de prendre ma douche à mon tour…

 

J’ai vu qu’elle hésitait à me poser une question, mais finalement elle a juste déposé un baiser sur mes lèvres, et je suis sorti de la douche…

 

Une demi-heure plus tard, nous étions tous les deux assis dans la cuisine, elle devant une tasse de café, moi devant une tasse de thé, habillé en tenue de sport prêts à aller courir… Elle était relativement agréable à regarder, habillée ainsi… Ce que bien sûr je lui ai dit, et qu’il fait se sentir un peu gênée…

 

Nous avons ensuite pris sa voiture pour aller au parc où elle aime courir… et nous couru environ une heure. Il était 9h du matin, mais il faisait déjà chaud…

 

Ayant fini de courir avec 10h, elle m’a emmené dans un café où elle aime aller pour une collation après l’effort… Nous avons recommencé à parler à ce moment là, après sa première question :

Est-ce que je peux vous poser une question…

J’ai souri :

Vous savez bien que oui…

Est-ce que parfois vous tombez sur des clientes qui ne vous plaisent pas du tout et avec qui il est impossible d’être assez… en forme pour faire ce pour quoi vous êtes appelé?

Non, ce n’est encore jamais arrivé.

Même si rien ne vous plait chez la cliente?

Jusqu’à présent j’ai toujours trouvé un petit quelque chose qui me plait… Parfois ce sont les seins, parfois les fesses, parfois le regard, parfois le sourire, parfois l’attitude… Croyez-le ou non, mais j’ai eu une cliente vraiment grosse, obèse… Quand elle s’et mise devant moi, je me suis demandé comme j’allais faire… les seins étaient flasques et pendaient, excusez-moi pour la description mais c’est pour bien me faire comprendre… Elle avait un ventre énorme qui pendait en avant… C’était vraiment quelque chose… Mais la madame était adorable… Elle s’excusait de son corps, en disant qu’elle savait qu’elle n’était pas attirante, mais qu’elle avait très envie de sexe… Elle m’avait averti dans le courriel qu’elle m’avait envoyé qu’elle n’était physiquement pas attirante, mais qu’elle ne demandait rien d’autre qu’une pénétration vaginale, rien de plus… Cette sollicitude la rendait adorable… et come c’était une femme très propre d’elle-même, son logement était très propre, elle sentait bon, et bien au lieu du 15-20 minutes que je pensais que ça durerait, je suis resté presque deux heures, et j’ai léché et pénétré chaque partie érogène de son corps… Et j’ai eu beaucoup plus de plaisir qu’avec d’autres femmes au corps plus agréable, mais à l’attitude beaucoup moins…

Est-ce que je peux vous demander où est-ce que vous avez joui avec cette cliente?

Dans ses fesses… avec un préservatif bien sûr, mais dans ses fesses… j’étais derrière elle, alors qu’elle était à quatre pattes… c’était une vision assez intéressante de lui tenir les hanches en la pénétrant… elle était tellement large…Et d’ailleurs je dois avouer que se faire asseoir sur le visage par une femme aussi large, que tout devienne noir à ce point était aussi quelque chose de relativement excitant…

Vous n’avez donc eu que des moments plaisant?

Oh non! Ce n’est pas ce que je dis, loin de là… même si la plupart, oui. En fait une bonne partie de ma clientèle sont des hommes, et là j’ai beaucoup plus de mal… oui, un bel homme me plaira et je pourrais avoir envie de lui, mais si c’est pour un tête à tête il faut vraiment que ce soit un bel homme… Quand c’est avec mon conjointe, à trois ou plus, le physique des hommes m’influence moins car je pense en quasi-permanence au plaisir de ma chérie, au jeu que l’on a ensemble, mais seul avec un homme, j’ai beaucoup plus de mal… Quand un homme bedonnant et poilu me demande de lui lécher une partie bien précise de son corps, je vous jure que je pense à beaucoup d’autres choses à ce moment là pour y arriver… Quand un homme veut être celui qui pénètre, je n’ai aucun problème, un préservatif lubrifié et ‘ça rentre’. Dans le cas contraire c’est parfois difficile de rester ‘dur’… Je me passe des images en tête pour y arriver…

En baissant les yeux, elle m’a demandé :

Est-ce qu’avec moi vous vous êtes passé des images…?

J’ai ri…

Non… Au contraire, vous m’avez donné de quoi imaginer de nouvelles images…

De nouvelles images?

Plutôt des nouvelles idées… jouir sur des excréments… les lécher après…

Ce n’était qu’un demi-mensonge… J’ai déjà joui sur du caca, mais c’était sur le mien, pour que ma chérie le savoure ensuite, pas moi…

En parlant de nouvelles idées, de nouveauté… vous vous en doutez probablement, mais ce matin c’était la première fois que je voyais du sperme… première fois que je voyais une éjaculation… première fois que je voyais mes excréments ailleurs que dans le fond des toilettes… j’ai absolument tout adoré…

En parlant de première fois… Tout à l’heure quand je suis sorti de la douche j’ai eu l’impression que vous vouliez me demander quelque chose… Puisque vous vous êtes retenu, j’imagine que c’était là aussi quelque chose pour une première fois…?

Elle a rougi…

quand vous avez dit que vous deviez aller aux toilettes, j’ai failli vous demander d’utiliser celle qui était dans la même salle de bain où j’allais me doucher…

Vous n’auriez pas dû vous retenir… Je l’aurais fait avec plaisir…

La prochaine fois alors…

oui oui, avec plaisir… Et en parlant toilette, il faut que j’aille faire pipi…

Ma cliente s’est aussitôt égayée :

est-ce que vous pourriez vous retenir jusqu’à la maison…?

J’ai souri en lui disant :

ne bougez-pas…

 

Je suis allé à la caisse du café, puis aux toilettes… Quand je suis revenu à la table, j’ai posé une bouteille de jus de pomme sur la table devant ma cliente en lui disant :

si elle est chaude, c’est parce que ce n’est plus du jus de pommes…

Elle m’a regardé, interloquée :

je ne peux pas boire ça ici!

bien sûr que si, personne ne se doute de ce que c’est…

 

Et pour le lui prouver, j’ai pris la bouteille et j’en ai bu une gorgée…

 

Elle a ri… Elle a pris à son tour la bouteille, en a bu, et m’a dit : « j’ai très envie de vous maintenant… ». J’ai répondu : « rentrons nous occuper de cette envie… »

 

Tout en marchant vers l’auto, elle a fini la bouteille… J’ai quand même eu droit à une petite surprise car lorsque nous sommes arrivés à son auto, après qu’elle ait pris la dernière gorgée, et elle s’est approchée de moi, a collé ses lèvres aux miennes, puis a fait couler dans ma bouche l’urine qu’elle avait…

 

En conduisant, elle m’a demandé si je buvais souvent ma propre urine… J’ai répondu que parfois oui, surtout quand il s’agit d’un jeu sexuel… Elle m’a dit « vous avalez votre propre sperme, vous buvez votre propre urine… est-ce que vous aimeriez gouter votre propre caca? »

 

J’ai réfléchi un peu… « dans un contexte de jeu sexuel, de plaisir et d’excitation partagés, je pense que j’en serais capable… »

 

Il y a eu un silence, qu’elle a rompu : « Je ne vous ai pas dit toute la vérité tout à l’heure… »

 

Il y a eu un nouveau silence, je lui ai laissé le rompre. Elle a pris une respiration et a dit : « quand vous avez déposé ma production entre mes seins ce matin, ça m’a donné un coup de chaleur de l’intérieur de mon corps très intense… ça m’a terriblement excitée, et j’avais envie que vous me preniez en même temps… de n’importe où, que vous entriez en moi… »

 

Elle a repris a respiration puis a continué : « et je me suis mise à penser… si c’était vous, accroupi sur mes seins qui vous seriez vidé… ensuite je ne sais pas trop… vous vous allongez sur moi pour me pénétrer en écrasant tout… ou bien vous trouvez je ne sais pas quelle position entre mes jambes pour me pénétrer mais en restant bien droit, et vous récupérez votre production pour la manger… je ne sais pas comment, mais je voudrais que vous me pénétriez mon corps couvert de vous… »

 

Le temps de parler de tout cela, on était rendu chez elle, garé dans son allée… j’ai posé ma main sur sa cuisse et je l’ai dit : « ne vous inquiétez pas, dès que j’aurais envie de me soulager, se sera sur vous… et on trouvera une idée pour assouvir votre envie… »

 

J’ai remonté ma main un peu, pour la plonger dans son pantalon… C’était facile, son pantalon de sport est élastique… Et elle était tout sauf sèche, entre les jambes…

 

Je l’ai caressé quelques instants, le temps qu’elle me dise : « je vous voudrais en moi… »

 

On est sorti de l’auto, pour entrer dans la maison, en se tenant par la main…

 

À peine la porte de la maison franchie, je l’ai doucement plaquée contre le mur… J’ai approché mon visage du sien, en m’arrêtant à quelques millimètres de ses lèvres… C’est elle qui a franchi la dernière distance, elle qui a entrouvert ses lèvres, puis les miennes avec sa langue…

 

Ce premier vrai long baiser a ravivé mon sexe… J’ai alors commencé à déshabiller ma cliente…

 

Finalement nous nous sommes mutuellement déshabillés, puis nous sommes allés dans la chambre… elle s’est allongée sur le lit…

 

Bien que l’on vienne de courir une heure, je n’avais pas particulièrement peur de l’odeur de son entre-jambes puisqu’elle s’était douchée juste avant… j’allais commencer à la savourer quand elle m’a dit : « je vous en prie… commencez par me pénétrer… »

 

Cinq secondes plus tard, j’étais allongé sur elle, mon sexe au fond du sien…

 

Lorsqu’après un certain temps j’ai sorti mon sexe de son corps, elle a eu peur que j’ai fini… Je lui ai dit en souriant : « mais non, ne vous inquiétez pas… je suis là jusqu’à lundi matin, si vous voulez que je reste en vous tout ce temps-là, pas de problème… »

 

Elle a ri…

 

Avec un autre genre de sourire, je lui ai demandé : « savez-vous ce que goute votre sexe? »

 

Elle a fait non de la tête…

 

Je suis remonté le long de son corps, mon sexe en érection au-dessus de son visage… Puis je lui ai dit : « si vous avez envie de le savoir, c’est le moment… »

 

Elle a regardé mon sexe en louchant tellement il était près de ses yeux… puis elle a ouvert la bouche et a passé sa langue un coup le long de ma verge luisante…

 

Après ce premier contact, elle a déplacé un peu sa tête, a pris mon sexe dans sa main pour le diriger vers sa bouche… Quand il est ressorti de sa bouche, elle m’a dit : « encore…? »

 

J’ai ri, je suis retourné en elle, dans son sexe, puis elle m’a à nouveau nettoyé…

 

Après une dizaine de fois, elle m’a dit : « c’est bon… ». Je lui ai répondu : « ce n’est pas pour rien que j’aime être entre vos jambes… »

 

J’ai ensuite proposé à ma cliente de se retourner, et de se mettre à quatre pattes…

 

Après lui avoir langoureusement léché le sexe et l’anus, et après qu’elle m’ait à nouveau supplié de la pénétrer, je me suis redressé et j’ai glissé mon sexe dans le sien…

 

Après quelques va-et-vient, j’ai léché mon pouce, j’ai caressé son anus avec, et je l’ai rentré dedans doucement… le plus profondément possible, mais doucement… Elle ne cessait de gémir…

 

Puis j’ai échangé… j’ai retiré mon pouce, j’ai retiré mon sexe, et j’ai posé mon gland contre son anus… et j’ai poussé lentement…

 

Quand mon gland est passé, ça lui a arraché un cri… J’ai arrêté de bouger, pensant lui avoir fait mal… mais du coup c’est elle qui a fait des va-et-vient le long de mon sexe… et quand ses fesses arrivaient contre mon ventre, ça cognait fort… aussi fort que ses cris…

 

J’avais oublié que le premier soir elle avait aussi été très expressive à un certain moment…

 

Lorsque la première fois je suis sorti de son anus, elle m’a supplié d’y retourner tout de suite… Je lui ai dit que si je ne relubrifiais pas en passant dans son sexe, ça finirait par faire mal…

 

Après un rapide passage dans son orifice le plus humide, je suis retourné dans son petit trou… et je l’ai pilonné…

 

Alors que je retournais dans son sexe pour lubrifier, elle m’a demandé si on pouvait changer de position… elle voulait pouvoir me voir pendant que je la pénétrais… Je lui ai alors dit de se retourner… je me suis mis entre ses jambes, à genoux… je lui ai demandé de lever ses jambes pour les poser contre mes épaules, libérant ainsi l’accès au trou béant qu’elle avait entre les fesses… Et je suis retourné en elle… Et elle était toujours aussi bruyante…

 

J’ai fini par remplacer sa lubrification naturelle par du lubrifiant que j’avais apporté en prévision d’un tel moment…

 

Puis on a cessé… j’étais épuisé, c’était très demandant pour les jambes… Mais c’était absolument jouissif…

 

Alors que j’étais allongée à côté d’elle, à reprendre mon souffle, elle est passé par-dessus mon corps pour se saisir de la bouteille de lubrifiant… Elle a lu l’étiquette… puis elle s’est allongée à côté de moi, dans le sens inverse… elle m’a demandé de plier les genoux, puis s’est ravisée… Elle m’a demandé à mon tour de me mettre à quatre pattes…

 

Elle s’est placée derrière moi, les deux mains sur mes fesses, et j’ai senti sa langue venir me caresser l’anus… c’était très agréable… Je la sentais passer d’abord doucement, puis je la sentais pousser un peu… finalement sa langue a disparu, et j’ai senti quelque chose de froid… son doigt couvert de lubrifiant…

 

Elle l’a enfoncé lentement… puis un deuxième… puis un troisième… elle m’a demandé : « Est-ce que vous aimez…? Est-ce que c’est trop de doigts…? ». Je lui ai répondu : « la seule chose qui pourrait rendre le moment plus agréable pour moi, c’est si vous veniez vous allonger sous moi, tête-bêche… »

 

Sans retirer ses doigts, elle s’est déplacée… À peine en place, j’ai plongé ma tête entre ses jambes pour savourer son sexe… Nous étions donc dans un espèce de 69, ma langue dans sa chatte, ses doigts dans mon cul, sa main libre caressant ma bite bien dure au dessus de son visage ou de son cou…

 

Par moment elle retirait ses doigts, et passait sa langue sur mon anus dilaté… mon lubrifiant étant sans saveur, ce n’était pas gênant pour elle (ou pour moi quand les rôles sont inversés…)…

 

J’ai fini par lever ma tête d’entre ses jambes et par lui dire : « si vous continuez, je vais encore jouir… ce n’est pas que ça me déplaise, mais si vous voulez que je puisse être en érection à tout moment, je suggèrerais que l’on arrête… j’ai déjà joui une fois ce matin, une deuxième fois me rendrait moins performant pendant les prochaines heures… »

 

On s’est allongé côte-à-côte, puis elle m’a dit : « je ne me doutais pas que pénétrer avec mes doigts me donnerait autant de plaisir… ». Pour toute réponse, j’ai pris sa main qui m’avait visité dans la mienne, et je l’ai porté à ma bouche, léchant chacun de ses doigts un par un, sans quitter ses yeux du regard… Elle a rajouté : « je ne pensais pas non plus que mon sexe était si bon… »

 

Je lui ai alors dit : « si vous voulez, on pourrait se faire une salade ce midi… une salade de légumes qui seraient passés en vous avant… ». Sa réponse a été : « il est bientôt midi… on la prépare tout de suite…? »

 

J’ai ri… je l’ai embrassée… un long baiser au cours duquel j’ai senti son corps frémir contre le mien…

 

Je lui ai dit : « avant, j’irais bien prendre une douche… j’ai quand même eu chaud ce matin en courant… ». Elle m’a répondu qu’elle m’accompagnait…

 

Lorsque nous étions sous la douche elle m’a fait m’accroupir devant elle… tout en me caressant les cheveux elle a placé son sexe devant moi, donc j’au compris ce qui allait arriver… j’ai ouvert la bouche, et j’ai attendu… le jet chaud est arrivé…

 

Dès que le jet est arrivé, j’ai surpris ma cliente en lui glissant un doigt dans les fesses… Elle en a ri, ce qui a pas mal saccadé son jet qui devenu très imprécis… j’en avais partout le visage…

 

J’ai retiré mon doigt en même que sa source s’est tarie… J’ai regardé mon doigt : il était propre… je l’ai montré à ma cliente en lui demandant si elle voulait aussi goûter cet intérieur là, sachant qu’il était vide… Elle a pris mon doigt en bouche… puis nous nous sommes douchés…

 

Après la douche, elle m’a demandé : « on reste en sous-vêtement…? ». J’ai acquiescé avec plaisir… puis je me suis rappelé de ce que l’on avait dit au lit : « si vous voulez que l’on prépare la salade, il ne faudrait mettre que la partie du haut de vos sous-vêtements… ».

 

Finalement, moi j’ai mis un boxer, et elle est restée nue, jusqu’à ce que tous les légumes aient trempés… Et on en a mis des légumes… concombre, carottes, petites tomates… même la laitue est allée faire son tour en elle… On a aussi mis un peu de tofu, des morceaux de pommes et des morceaux de fromage…

 

Le plus drôle a été les petites tomates : je les ai poussées en elle avec mes doigts, puis avec mon sexe… après quelques va-et-vient, je suis allé à la pêche avec mes doigts… j’ai eu du mal à retrouver la dernière!

 

Nous n’avons rien ajouté d’autre, et nous sommes allés manger dehors, sur la terrasse, au soleil…

 

Pour ceux qui se le demanderaient, la salade était délicieuse… Et nous avons accompagné le repas de boisson non alcoolisées…

 

Après cela nous sommes allés faire une petite rincette dans la piscine, en maillot, ce qui ne nous a pas empêché d’avoir des mains baladeuses… Et même plus que des mains… alors que j’étais derrière elle, j’ai décalé son maillot pour glisser entre ses cuisses mon sexe en érection… j’ai commencé par visiter sa chatte, ma cliente était appuyée sur les bras sur le bord de la piscine, le reste du corps dans l’eau… puis j’ai voulu visiter son anus… Elle était partante à 200%, mais à peine mon gland rentré en elle, elle s’est mise à crier comme le matin au lit… Même en lui plaquant une main sur la bouche en urgence je ne la trouvais pas assez discrète pour que l’on continue… tant pis…

 

On est ensuite allé s’allonger chacun sur une chaise longue au soleil… elle a murmuré : « je suis désolée… j’ai du mal à contrôler mes cris dans l’anus… »

 

Je lui ai dit que ce n’est pas grave, « vous ne méritez rien pour attendre… ». Et nous avons ri…

 

Nous avons parlé un peu de tout et de n’importe quoi, puis il y a eu un silence. Elle l’a rompu en me disant : « j’ai adoré jouer en vous… j’ai envie de le refaire, et encore plus… ». Je lui ai demandé ce qu’était le « encore plus ». Elle m’a répondu : « je voudrais vous pénétrer avec quelque chose que je tiendrais bien en main, que je pourrais contrôler pour aller vite ou lentement… Un peu comme vous le faites avec votre sexe en moi… ». Je lui ai répondu, encore une fois en riant : « on a le lubrifiant, il manque juste le sextoy! »

 

La réponse a été cinglante : « et si on allait en acheter un? »

 

Je lui ai dit que si ça lui faisait plaisir, allons-y. Elle m’a demandé si je savais où est-ce qu’il y avait une boutique vendant ce genre de chose. J’ai dit que j’en connais quelques unes, mais elles étaient loin, qu’il y en avait forcément de plus proche. Elle m’a répondu que non, elle préférait plus loin pour être sûr de ne croiser personne de sa connaissance…

 

Elle était à la fois excitée et gênée, apeurée… elle n’était jamais allée dans un sexshop…  Je lui ai dit qu’il n’y aucune raison d’avoir peur ou d’être gênée : tous les gens dans un sexshop sont là pour la même raison…

 

Avant d’aller s’habiller pour y aller, je lui ai proposé un petit défi : y aller sans sous-vêtement. Pour aucun de nous. Elle s’est esclaffée… puis j’ai précisé : avec soit une jupe ou une robe courte, soit un pantalon très, très moulant, un peu comme celui de sport du matin…

 

Comme elle n’avait pas de jupe courte, elle a mis un pantalon similaire à celui du matin, un pantalon de type yoga. Pour le haut, elle a mis quelque chose d’assez décontracté, laissant une épaule découverte…

 

De mon côté, ça a été un pantalon blanc cassé et léger avec une chemise blanche aussi. J’ai dit à ma cliente que si une érection me prenait dans cette tenue, elle le verrait aussitôt…

 

Puis nous avons roulé…

 

Une fois au magasin, elle tremblait un peu… je lui ai dit que tout allait bien se passer, que c’était un magasin comme un autre, et finalement nous sommes entrés dedans… Une fois à l’intérieur, elle était comme une enfant dans un magasin de jouet…

 

Elle regardait tout, me posait parfois des questions sur à quoi pouvait servir telle ou telle chose… Ça a vraiment été un moment agréable. Et finalement, elle a acheté un peu plus qu’un sextoy… : boules de geisha de plusieurs tailles, 2 paires de menottes, un premier genre de sextoy double (pour anal et vaginal en même temps), un second genre de sextoy double (un long, pour deux personnes en même temps), deux petits sextoy sans fils avec télécommande (que l’on peut insérer puis activer à n’importe quel moment grâce aux télécommandes), un gros sextoy en forme de cône sur ventouse, plusieurs petits sextoy « classiques » de styles différents (allant de la taille d’un doigt à la taille d’un sexe « normal »), et son préféré d’entre tous (du moins avant d’avoir essayé…), un gode ceinture. Elle m’a énuméré des positions qu’elle allait avoir envie de faire, on ne va pas s’ennuyer… Surtout que nous avons aussi regardé les jaquettes de films pornos à louer, et que certaines images lui ont donné des idées (ce que j’ai confirmé en glissant ma main dans son pantalon dans le magasin…).

 

Une fois sur le chemin du retour, elle m’a demandé si j’ai déjà regardé des films pornos… Ça c’est comme demander à un fan fini d’une équipe de foot s’il a vu la finale d’un tournoi international où sont équipe jouait pour la première fois depuis un siècle… Je lui ai donc dit que oui, mais que je vais plutôt sur des sites Internet pour regarder des galeries de photos ou des petites vidéos, que je n’aime pas particulièrement les longs films. Elle m’a demandé quel genre j’allais voir. Je lui ai dit que je vais voir à peu près tout ce qui se fait, que c’est en fonction de l’envie du moment : parfois juste des jolies femmes sexy, parfois des photos plus hard comme des orgies, parfois des photos amateurs, parfois de l’anal, parfois des trio bisexuels (autant hommes que femmes), parfois des femmes plus âgées, parfois des douches de sperme, d’urine… Bref, je lui ai répondu que tout dépend du moment où je vais regarder… Je vous retranscris la suite de la conversation sous forme d’un dialogue, qui commence par elle :

Vous parlez au présent?

Oui, pourquoi?

De ce que j’ai compris, vous avez la femme parfaite à vos côtés, vous avez les mêmes envies, mais vous allez quand même regarder de la pornographie?

Oui, l’un n’empêche pas l’autre, c’est même complémentaire.

Que vous soyez un couple ouvert, je n’ai aucun mal à la concevoir. Pour être exacte, je n’ai aucun mal à le concevoir depuis que nous nous sommes rencontrés, avant je ne comprenais pas l’intérêt, le sexe était très secondaire selon moi… Mais préférer s’exciter sur des images plutôt que sur quelqu’un, quelqu’un que vous séduisez, qui vous répond, qui participe, avec qu’il y a des échanges… Je ne comprends pas, pas pour quelqu’un qui est satisfait sexuellement…

Dans un monde idéal, je serais d’accord. Je vais vous donner un exemple qui est un cliché et qui ne me correspond pas vraiment, mais c’est le plus simple : une envie me prend de vouloir voir une femme avec des gros faux seins. Ça ne court pas les rues. Alors je vais sur Internet et oui, je me masturbe sur de belles femmes aux seins siliconés. Si je connaissais un endroit où il y en aurait à essayer de séduire, c’est sûr que j’irais là avant, mais ce n’est pas le cas. Et c’est la même chose si j’ai envie de voir une femme attachée dans un sous-sol se faire baiser par une dizaine de mecs tous supers beaux. Ou si j’ai envie de voir un couple faire l’amour sensuellement sous une cascade en montagne.

Votre conjointe n’est pas déçue que vous préféreriez regarder des images plutôt qu’elle?

Non non, elle pense comme moi. Elle-même va parfois regarder des images et des vidéos d’hommes très fortement membrés, ou d’hommes musclés, ou de femmes qui se font couvrir de sperme, ou toute sorte d’autres images… Et parfois, on le fait ensemble. Ça fait longtemps que ce n’est pas arrivé, mais parfois on en fait une sorte de jeu : pendant qu’elle regarde, je suis entre ses jambes à jouer, ou pendant que je regarde elle me caresse et me fait une fellation. Pour nous, c’est vraiment complémentaire, ce n’est pas pour dénigrer notre partenaire.

Sexuellement vous êtes des âmes sœurs si je comprends bien…

Vous avez, je ne crois pas vraiment au concept d’âmes sœurs. Mais je dois reconnaitre que ma chérie et moi, et ce à tout point de vue, pas juste sexuellement parlant, devons être ce qui se rapproche de ce concept…

 

Nous n’avons plus parlé jusqu’à arriver à la maison… Et même une fois rentré, il y avait quelque chose qui n’allait pas… Ça se voyait… Alors je lui ai posé la question, mais elle m’a dit que ça allait, et elle m’a proposé quelque chose à boire. J’ai repris de son super bon cocktail fruité, puis on est allé s’asseoir tous les deux sur les chaises longues, au soleil…

 

Après un silence, j’ai relancé le sujet… Je lui ai dit que si quelque chose n’allait pas, elle pouvait m’en parler…

 

Il y a eu un nouveau silence… puis… : « je pense à ce que vous me faites découvrir… j’aurais adoré que ce soit mon mari qui en profite, que ce soit avec lui que j’explore tout ça… Quand vous mentionnez votre conjointe, il est évident que vous parlez de tout avec elle, sans crainte… La communication… J’imagine que c’est ce qui nous a manqué, à mon mari et moi… J’aurais pu le combler, lui offrir tous les plaisirs coquins qu’il désirait… »

 

« De ce que je comprends, jamais il n’a mentionné le désir de plus… jamais il n’a pas passé sa langue sur votre sexe alors que tous les matins il en aurait eu l’occasion… peut-être qu’il ne désirait tout simplement pas plus… Étiez-vous heureuse avec lui, si je peux me permettre? »

 

« oui, très heureuse… »

« Alors imaginez la situation où vous auriez déjà tous les désirs que vous avez aujourd’hui… Imaginez que vous auriez eu envie de glisser des doigts en lui, de boire son urine, etc… Imaginez maintenant que tous ces plaisirs ne lui auraient pas plu… Vous auriez été sexuellement frustrée, avec des conséquences qu’on ne peut que supposer qu’elles seraient passées : est-ce que cela vous aurait amené à le tromper pour essayer d’assouvir vos plaisirs ailleurs? Peut-être même à le quitter? Si vous étiez tous les deux heureux, ne vous torturez pas inutilement : vous avez eu une belle vie de couple… »

 

Nouveau silence…

 

Puis elle s’est levée de sa chaise, et est venue s’allonger contre moi, sur la mienne… Elle m’a murmuré un « merci », sa tête à nouveau dans le creux de mon épaule, sa main sur mon torse, au-dessus de ma chemise…

 

Après à nouveau très long moment reposant, je n’avais pas l’heure sur moi mais je dirais au moins 15 minutes, j’ai pris une chance… Je ne savais pas dans quel état d’esprit était ma cliente, mais je me suis quand même dit que c’était le moment d’essayer…

 

Je pouvais voir qu’elle avait les yeux fermés… en faisant des gestes le plus lent possible et le plus discret possible, j’ai sorti mon sexe de mon pantalon… Par chance ça a été assez facile : avant d’aller au sex shop, on avait convenu de ne pas mettre de sous-vêtement, et la braguette de mon pantalon était à boutons…

 

Une fois mon sexe sorti et dirigé vers le haut, j’ai demandé doucement à ma cliente si elle dormait… Elle m’a répondu, donc non… Je lui ai demandé de regarder vers mon entre-jambes… Elle a légèrement déplacé sa tête, en la posant sur mon torse… et j’ai uriné…

 

Au lieu d’essayer de me boire, elle s’est contentée de bouger légèrement sa tête durant toute la durée du jet, pour se faire complètement tremper le visage… 

 

Lorsque mon jet s’est tari, elle est descendue quelques instants lécher mon gland, récupérer les dernières gouttes, puis elle a reposé sa tête sur ma chemise souillée… sa main était dans mon pantalon ouvert, a me caresser le sexe et les testicules…

 

Puis à son tour, elle a eu besoin de se vider… Elle s’est relevée… a enlevé son pantalon… elle s’est placé debout au-dessus de mon visage, alors que j’étais allongé sur la chaise longue en position horizontale… Elle m’a demandé de ne pas tout avaler, parce que comme je l’ai fait pour elle, elle avait envie de tout arroser…

 

Et en effet, elle a balayé mon visage… ça dégoulinait partout… évidemment j’en ai vu quand même, mais pas beaucoup…

 

Quand elle était vide, je me suis redressé pour savourer son sexe… ça s’est transformé en un long cunnilingus…

 

Pendant que je lui bouffais la chatte, elle m’a demandé : « si vous jouissez maintenant, est-ce que serez prêt à me visiter à nouveau avec votre sexe après le souper? ». J’estimais qu’il était 16h… J’ai décollé mon visage de ses cuisses, et j’ai dit que oui…

 

Sans enlever mon pantalon qui était ouvert, elle est venue s’asseoir sur mon sexe qui était en érection depuis qu’elle m’avait léché le gland… Je lui ai enlevé son haut… J’ai pris un de ses seins chaque main, et je les ai caressés, massés…

 

Tout juste quelques va-et-vient plus tard, elle m’a dit : « c’est dans mon anus que je vous veux… ». Elle s’est levée de quelques centimètres, pour se rasseoir, mon gland bien enflé forçant son petit trou…

 

Juste avant que son anus cède pour laisser passer mon sexe, j’ai lâché un sein de ma cliente pour lui plaquer une main sur la bouche… au tout dernier moment… et bien m’en a pris, car c’est un véritable cri qu’elle aurait lâché… Chaque fois qu’elle montait et descendait le long de ma verge, c’est le même cri qui sortait…

 

Je lui ai dit que si on voulait continuer comme cela, il faudrait aller dans la maison… Elle a répondu que l’on mettrait de l’urine partout, ce qui n’était pas faux…

 

j’ai alors retiré ma chemise, mon sexe toujours dans son anus… elle était assise dessus, sans bouger… avec ma chemise trempé d’urine, je lui ai fait un bâillon pour étouffer ses cris…

 

Une fois le bâillon bien attaché, je me suis levé, tenant ma cliente dans les bras, pour me rallonger à côté de la chaise longue, parterre… J’avais peur que la chaise longue ne supporte pas le poids de nos ébats…

 

Et c’est à l’unisson que nous avons repris la sodomie désirée… Je lui tenais les hanches, pour aller le plus loin possible en elle… j’appuyais dessus quand elle redescendait le long de ma tige…

 

J'ai fini par exploser en elle...

Par Etienne - Publié dans : Scatologie
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Lundi 14 mai 1 14 /05 /Mai 12:49

Le lendemain soir, le vendredi, je suis donc arrivé chez ma cliente avec un sac plus gros qu’à l’habitude : du linge pour toute la fin de semaine, deux tenues de sport (une pour chaque jour), et un caleçon de bain car elle m’a envoyé un courriel dans la journée disant qu’on pourrait aussi profiter de la piscine qu’elle a (je rappelle qu’au Québec avoir une piscine, sans être la norme, est très, très fréquent).

 

Ayant appris à connaitre les goûts de ma cliente lors de ma première nuit, j’ai bu beaucoup, beaucoup d’eau le vendredi après-midi…

 

Dès mon arrivée, en tant qu’excellente hôtesse, elle m’a proposé un verre. Elle a dit avoir trouvé un très bon vin qu’elle n’avait pas bu depuis longtemps à la SAQ (Société des Alcools du Québec, quasi-monopole étatique de la vente de vin au Québec). Coup de chance, c’était un vin blanc : je n’aime pas particulièrement le vin rouge… J’ai donc dit oui, et je lui ai répondu que de mon côté j’avais aussi apporté un millésime rare, que je réserve qu’à des personnes spéciales, si elle en voulait. Elle m’a regardé en souriant, intriguée, et a dit : « Ah oui? C’est gentil comme attention… c’est quel genre devin? ». À mon tour j’ai ri, surpris qu’elle n’ait pas deviné de quoi je parlais : « ce n’est pas vraiment un vin, ce n’est même pas alcoolisé… », en pointant du doigt mon entre-jambes… Elle a compris et s’est écriée : «Oh mon Dieu oui j’en veux! »

 

Elle m’a tendu un verre, un gros buck, comme la dernière fois… devant elle, j’ai ouvert ma braguette, sorti mon sexe, et j’ai uriné dans le verre… Comme à chaque fois avec elle, j’ai cessé mon jet avant que ça éclabousse partout, puis je lui ai tendu le verre… Elle l’a bu plus lentement que lors de notre première rencontre, comme si elle le savourait plus, mais sans pour autant prendre de pause…

 

Quand elle a reposé le buck, elle m’a dit qu’en une seule nuit elle était devenue accro à cette boisson… Je lui ai demandé si elle avait bu sa propre urine en mon « absence », et elle m’a dit que non, ça ne l’intéressait pas vraiment… pour le moment c’est la mienne qui l’attire, pas d’autre… Et elle m’a avoué ne pas avoir lavé le buck depuis le matin précédent, pour garder l’odeur de l’urine forte du matin…

 

Tout en parlant, elle m’a servi le verre de vin, elle s’en est servi un aussi…

 

Elle m’a proposé de faire un tour de sa maison, ce que nous avons fait… J’ai pu voir l’immense cour arrière avec la piscine creusée (si vous me connaissez vous avez deviné que ma première réaction a été de regarder si on serait visible des voisins…), le sous-sol avec le home cinema que son mari avait installé, un cellier qu’elle n’a pas non plus ouvert depuis le décès de son mari, différentes salles de bain (rez-de-chaussée, sous-sol et à l’étage), les chambres (4 en tout), trois salons (un à chaque étage, chacun avec un style différent), bref, une superbe propriété.

 

Je lui ai demandé si ses enfants viennent souvent lui rendre visite, mais ma question l’a rendue un peu triste. Elle m’a dit qu’ils n’avaient pas pu avoir d’enfant… Je me suis excusé en disant que vu le nombre de chambres, je pensais qu’elle en avait… Elle n’est pas allée plus loin dans l’explication, j’ai juste compris qu’elle en aurait voulu, mais que ça a été impossible…

 

Nous avons rapidement changé de sujet, puis nous sommes passés à table… Le souper était à la fois copieux, et léger…

 

On buvait du vin, mais de mon côté je buvais aussi beaucoup d’eau, dans un seul but bien précis : combler ma cliente dans ses désirs pour lesquels elle me payait quand même très, très bien…

 

Durant le repas, j’ai rempli une fois son « verre à urine »… Et cette fois-ci, elle en a encore plus profité : elle le buvait petit à petit, et non tout d’un coup… Elle s’est même amusée à tremper un peu de nourriture dedans avant de la savourer…

 

Entre la fin du repas et le dessert, mon hôtesse a à son tour dit qu’elle avait besoin d’aller aux toilettes… Elle m’a demandé si à mon tour un verre me ferait plaisir… Sans hésiter, je lui ai répondu : « oui, mais j’aimerais encore plus aller boire directement à la source… »

 

Elle a pris quelques secondes à comprendre ce que je voulais dire… puis elle a répondu : « comment vous feriez cela? ». Je lui dit qu’on pourrait aller tous les deux dans une des douches, je m’agenouillerais dans la bouche, ou bien je pourrais m’allonger parterre sur le dos, puis elle viendrait se placer au-dessus de mon visage… À partir de là je lui ai expliqué qu’il y a deux solutions : soit elle urine par saccade, que je puisse tout boire sans risquer que ça coule partout sur moi, soit elle se laisse complètement aller, et je bois ce que je peux, l’urine chaude dégoulinant sur moi…

 

Elle m’a demandé si c’était excitant de l’urine sur le corps… Je lui ai dit que pour moi oui… que l’odeur se répandait sur mon corps est agréable à sentir… que la chaleur de l’urine fait comme une douche chaude… que savoir que c’est le produit intime d’une personne autre que moi m’excite psychologiquement parlant… et que le côté « hors norme » de la chose aussi…

 

Elle s’est laissée convaincre par m’uriner dessus sans retenu..,

 

Nous sommes donc allés dans la salle de bain ayant la plus grand douche… Je m’y suis déshabillé, puis je suis entré dans la douche… ma cliente s’est déshabillée hors de la salle de bain, puis y est entrée avec une serviette autour de son corps… elle était encore un peu gênée…

 

Je me suis accroupi dans la douche… Elle est venue se placée devant moi, puis a retiré sa serviette… je n’ai pas regardé son corps, sachant qu’elle serait mal à l’aise… j’ai juste posé mes mains à l’extérieur de chacune de ses cuisses pour les caresser doucement… Je lui ai suggéré de s’avancer un peu au-dessus de moi, pour que je sois bien sous elle, entre ses jambes… Je me suis légèrement penché en arrière… j’ai incliné la tête en arrière, j’ai collé ma bouche à son sexe, et elle s’est laissée aller…

 

J’ai bu des gorgées, j’ai eu le visage et le corps éclaboussé… Ça m’excitait terriblement… Malheureusement lorsqu’elle a fini, elle s’est déplacée, alors que j’aurais aimé lui léché le sexe plus longuement…

 

Je me suis remis debout, et elle a regardé mon corps, dégoulinant de son urine… j’ai passé mes doigts sur ma peau pour les lécher ensuite… Je souriais… Elle aussi…

 

J’aurais tellement aimé qu’elle prenne mon sexe en main, qu’elle fasse quelque chose avec… mais elle n’y pensait pas…

 

Je lui ai dit : « moi aussi j’ai à nouveau envie d’uriner… voulez-vous essayer dans la douche…? » Elle m’a regardé, un peu hésitante, puis sans dire un mot s’est accroupie…

 

J’ai dirigé mon sexe en semi-érection vers son visage… elle a pris mon gland en bouche… et je me suis à mon tour laissé aller…

 

J’ai rapidement coupé mon jet car je voyais qu’elle allait s’étouffer… Elle avait du mal à gérer le tout… je lui ai suggéré de reculer un peu son visage, et d’ouvrir la bouche… et j’ai recommencé à uriner, visant l’ouverture devant moi…

 

Quand elle fermait la bouche pour boire ce qu’elle avait dedans, le déviais mon jet vers son cou, ses seins… elle me regardait les yeux pétillants…

 

Lorsque l’on a fini, elle s’est remise debout, puis nous nous sommes tous les deux douchés, sans dire un mot, sans faire un geste à caractère sexuel…

 

Alors que je me rhabillais, elle m’a demandé si je pouvais rester juste en sous-vêtement… Je lui ai dit : « d’accord, mais vous aussi alors… j’aimerais beaucoup ça… ». Elle m’a aussitôt répondu qu’elle était bien trop gênée pour ça… qu’elle n’avait plus le corps d’une jeune femme… Je lui ai rétorqué que c’est vrai, elle n’a plus le corps d’une jeune femme, mais que le corps qu’elle a demeure agréable à regarder…

 

Finalement nous sommes arrivés à une entente : je reste en boxer, et elle en culotte, soutien-gorge et avec un haut léger pardessus…

 

Nous sommes alors retournés dans la cuisine, pour le dessert… un délicieux gâteau qu’elle a fait elle-même… Elle l’a accompagné du même cocktail fruité qu’elle m’avait proposé lors de ma précédente visite… C’était vrai bon…

 

Tout en mangeant, elle m’a dit : « vous aviez raison… l’urine qui coulait sur mon corps, c’était très agréable… dorénavant ce sera un combat dans ma tête de savoir si j’en veux un verre ou sur moi… »

 

En souriant j’ai répondu que j’étais ravi que ça lui plaise, mais qu’étant donné que sur le corps ça nécessite ensuite une douche, le choix sera probablement dicté par le contexte du moment où cela se produira…

 

« Je peux vous demander comment ça se passe avec votre conjointe…? » Je le lui ai expliqué… Au début, on faisait surtout ça sous la douche… Parfois pour jouer on utilisait des verres, mais ce n’était la majorité du temps… Je lui ai dit qu’à force de se « boire à la source », on a fini par se synchroniser pour réussir à boire sans faire le moindre dégât… Ce qui n’empêche pas que lorsque l’on a envie de s’en mettre partout, on file sous la douche et on n’hésite pas… Je lui ai dit que l’un de nos souhaits est de déménager dans une maison avec une piscine et une cour discrète, où on pourrait se laisser à ce genre de jeu salissant naturellement, sans avoir à planifier d’aller sous la douche…

 

Nous avons fini par migrer vers le salon… Elle était assise en face de moi, tous les deux un verre à la main, à boire et à parler tranquillement…

 

Au bout d’un certain temps, elle a baissé les yeux vers mon boxer : « vous êtes en érection? ». J’ai répondu : « oui ». À son tour : « pourtant on ne parle pas sexe en ce moment… ». Je lui ai répondu : « non, mais vous sous-estimez le charme de votre corps… Et j’ai eu un flash d’un acte sexuel, vous dans cette position, qui m’excite… ».

 

Elle a rougi puis m’a demandé quel acte… : « vous restez assise sur le divan, et je viens me placer devant vous, les pieds sur le divan de chaque côté de vous, genoux fléchis, mon sexe devant votre visage… »

 

Elle a réfléchi un peu, s’est redressée sur le divan, puis m’a dit : « vous me montrez…? »

 

Je me suis levé… j’ai enlevé mon boxer… je me suis approché d’elle… je suis monté sur le divan, je me suis baissé… Et sa langue a commencé à caresser mon sexe… de haut en bas… les testicules… puis elle l’a pris en bouche… ses mains caressaient mes fesses, m’approchant le plus possible de son visage… mon sexe disparaissait complètement en elle…

 

C’était très plaisant… Je lui ai demandé si elle pouvait enlever son haut… pas le soutien-gorge, juste le chandail léger qu’elle avait pardessus… Elle n’a pas dit un mot, et a procédé au retrait…

 

Quelques instants plus tard, j’étais assis sur ses cuisses, mon sexe dans ses mains… j’ai glissé mes mains dans son dos, et j’ai dégrafé le dernier morceau de tissu qui restait sur sa poitrine… elle frémissait… Elle n’a pas dit non, ni fait aucun geste pour m’empêcher d’aller plus loin… j’ai alors retiré son soutien-gorge complètement…

 

J’ai pris chacun de ses seins libérés dans mes mains… Elle a fermé les yeux…

 

Après quelques temps de ce massage, je me suis remis dans la position initiale… elle a repris mon sexe en bouche… Et ce qui devait arriver est arrivé : je lui ai murmuré que j’allais jouir, pour lui laisser une chance d’arrêter si elle ne le voulait pas, mais au lieu de cela elle a serré un peu plus fort les lèvres sur mon sexe, et a continué les va-et-vient…

 

Elle a savouré chaque goutte de mon sperme, puis elle a laissé mon sexe sortir de sa bouche… Elle m’a dit : « j’adore vraiment ce goût unique… » Elle a repris mon sexe dans sa bouche quelques instants, comme pour être sûre de bien tout avoir eu, puis je me suis reculé… Je suis descendu du divan, je me suis agenouillé au sol, et j’ai commencé à titiller ses tétons avec mes lèvres et ma langue…

 

Tout en m’occupant du haut de son corps, une de mes mains est remontée le long de ses cuisses… j’ai décalé précautionneusement sa culotte, et j’ai commencé à la caresser… superficiellement d’abord… puis en profondeur…

 

Sans cesser de jouer avec ma main, j’ai délaissé ses tétons quelques instants pour lui murmurer à l’oreille : « j’ai hâte d’être au réveil… ». Et c’est vrai que j’avais hâte…

 

Sa réponse, accompagnée d’un sourire, a été : « Vous pouvez descendre pour un avant-goût… » Elle a alors avancé ses fesses sur le bord du divan, pour faciliter l’accès… puis elle a changé d’avis : « non, c’est plutôt moi qui vais monter… » Elle s’est mise à genoux sur le divan, les fesses tournées vers moi, les coudes appuyés sur le dossier…

 

Je ne lui ai pas retiré sa culotte… je l’ai juste à nouveau déplacée un peu… et j’ai passé ma langue sur son petit trou délicieux… la langue et les doigts, qui eux sont rapidement entrés pour fouiller l’intérieur… et j’ai alterné entre langue et doigts dans l’anus…

 

Quand je lui ai dit que je sentais quelque chose au bout de mes doigts à l’intérieur de son petit trou, sans rien demander, elle m’a dit : « vous pouvez essayer de le récupérer si vous voulez… ». Je n’ai pas hésité…

 

Je suis vraiment parti à la pêche… J’ai mis mes doigts en crochet, j’ai essayé d’attraper entre deux doigts, j’ai fait beaucoup de chose… Elle alternait entre gémissements et petits rires, me demandant où j’en étais rendu…

 

Finalement je lui ai montré ma main ouverte, avec trois petits morceaux d’elle posés dedans… elle s’est alors remise dans une position plus sociale sur le divan : elle s’est rassise… je lui ai demandé si elle voulait bien s’allonger, ce qu’elle a fait sans poser de question…

 

J’ai alors posé les trois petits morceaux sur son corps… deux sur le ventre et eux entre ses seins… Elle riait, tout en semblant intimidée… elle frémissait, ce qui rendant instable mon « installation »…

 

Je me suis placé au niveau de ses pieds… j’ai commencé à déposer dessus des baisers… puis je suis monté… les tibias… les cuisses… le ventre… j’ai alors gobé le premier morceau… Sans dire qu’il était bon, il n’était pas aussi mauvais qu’on peut penser d’un excrément… J’ai continué à monter, et j’ai avalé le deuxième, puis le troisième morceau…

 

Ma cliente prenait beaucoup de plaisir… elle riait, on aurait dit une enfant… c’était mignon à voir…

 

Elle m’a ensuite resservi un verre d’une boisson alcoolisée. Aucune idée de ce que c’était, mais c’était bon…

 

Elle n’a pas remis ce qu’elle portait en haut… elle était donc devant moi les seins à l’air, portant juste une culotte… Elle était sexy, malgré ce qu’elle pense d’elle… de mon côté, j’ai remis mon boxer, pour que l’on soit logé à la même enseigne…

 

Tout en continuant à parler de tout et de rien, parfois de sexe, parfois de politique, vraiment de n’importe quel sujet, je lui ai aussi resservi un verre d’urine chaude, qu’elle a savouré… Elle s’est même amusée à y tremper des biscuits Social thé (quasiment l’équivalent des Petits beurres) avant de les manger…

 

Elle m’a ensuite demandé si j’étais partant pour un bain de minuit, même s’il n’était que 22h… Évidemment que j’étais partant… et de toute façon, au prix qu’elle me payait, je n’avais aucune raison de dire non…

 

Nous sommes donc allés nous changer… j’ai mis mon caleçon de bain, et elle son maillot… Elle m’a agréablement surpris : elle s’est abstenue de mettre le haut. J’imagine qu’elle commençait à se dégêner un peu, et peut-être que l’alcool n’y était pas pour rien…

 

 

Quelques instants plus tard, nous étions tous les deux dans l’eau, avec peu de lumière autour de nous… On parlait d’en l’eau chaude, en pleine nuit, nos verres de vin sur le bord de la piscine… Lorsque l’on se déplaçait que j’étais à proximité d’elle, je n’hésitais pas et je caressais son corps, ses seins, son ventre…

 

Quand j’étais dans son dos, mes caresses étaient parfois plus insistantes, plus longues, et plus profondes car je glissais ma main dans son bas de maillot…

 

Je l’ai vue disparaitre sous l’eau, puis réapparaitre, quelques secondes plus tard, avec un sourire coquin… Elle est allée s’asseoir sur le bord de la piscine, où j’ai pu constater qu’elle était complètement nue… Elle a écarté ses jambes, me dévoilant son sexe sans aucun mystère, et m’a demandé : « vous avez soif…? »

 

Quelques secondes plus tard, elle inondait mon visage d’urine, moi debout dans la piscine, elle assise sur le bord…

 

Une fois vidée, elle m’a dit : « pour être égaux, vous devez vous mettre nu vous aussi… » Ce que j’ai fait sans rechigner, bien au contraire…

 

Une fois mon caleçon de bain posé sur le bord de la piscine à côté de ma cliente, elle s’est laissée glisser dans l’eau, dans mes bras… Je la tenais, même si c’était inutile… Comme elle était collée contre mon corps, mon sexe, à nouveau en érection depuis que je l’ai vue jambes écartées, à s’offrir à moi, s’est retrouvé contre le sien… Elle a alors stoppé sa descente dans l’eau… Elle me regardait droit dans les yeux…

 

Je lui ai dit : « si vous voulez descendre un peu plus, il va falloir que j’aille avant chercher un préservatif… ». Nous avons eu à près cette conversation, mon sexe toujours à l’entrée du sien :

depuis mon mari je n’ai eu aucun rapport sexuel, soyez sans crainte…

je vous crois… mais de votre côté, vous vous apprêtez à avoir une relation sexuelle avec un gigolo bisexuel… ce n’est pas vraiment sécuritaire sans préservatif…

je suis sûr que vous n’avez rien…

je me fais tester tous les mois et toute pénétration sexuelle se fait avec préservatif, mais ça ne veut pas dire que je n’ai pas attrapé quelque chose lors d’un rapport oral récent…

je ne compte pas coucher avec d’autres hommes… alors même si vous me transmettez quelque chose, ça m’est égal pour le moment…

vous pensez ça aujourd’hui, mais demain? Si vous rencontrez un homme qui fera battre votre cœur?

j’ai beaucoup de plaisir sexuel avec vous, mais mon cœur reste et restera toujours à mon mari.

Je n’avais plus d’argument, parce que oui, je la crois quand elle dit qu’elle n’a jamais eu de contact sexuel avec qui que ce soit depuis son mari… Mais elle a continué :

je rajoute XXXX $ si vous acceptez que ce soit une fin de semaine naturelle, sans protection…

vous me payez déjà bien assez pour ce que nous faisons, je ne veux rien de plus… et ce n’est pas une question d’argent…

Mais encore une fois, je ne savais plus quoi rajouter… Alors lentement, j’ai laissé ma cliente descendre un peu plus, mon sexe pénétrant son corps doucement, délicatement…Elle m’a murmuré un « merci » sincère, comme si cela la soulageait, et elle a déposé un baiser sur mes lèvres, le même genre de baisers que ceux qu’elle avait déposé sur mon lors de notre première soirée… chaste, léger, presque innocent…

 

Je ne peux pas dire que nous avons fait l’amour, puisqu’il n’y avait pas d’amour entre nous, mais nous avons indéniablement partagé un acte sexuel tendre et complice…

 

Nous n’avons pas changé une seule fois de position… j’étais debout dans la piscine, la tenant dans mes bras… Elle était légère dans l’eau… Nous étions donc face-à-face, ses seins contre mon torse, mon sexe en elle… Ses deux bras étaient autour de mon cou, ses mains allant parfois dans mon dos…

 

Je serais incapable de vous dire si elle a joui ou non… comme à chaque fois que l’on fait quelque chose d’ailleurs… Elle avait irrémédiablement beaucoup de plaisir, ça se sent, mais est-ce qu’elle a jouit, je n’en sais rien…

 

Nous avons ensuite cessé… Elle est restée immobile dans mes bras, mon sexe encore en elle, avant que finalement nous nous séparerions… Tout du moins qu’elle fasse quelques brasses, avant de revenir vers moi et me demande : « on va s’allonger sur une chaise longue? »

 

Nous sommes donc sortis de l’eau… je me suis allongé sur une chaise longue, et au lieu d’en prendre un à son tour, elle est venue s’allongée contre moi, sur la même que moi… Je la tenais donc dans mes bras, sa tête dans le creux de mon épaule, une de ses mains caressant les poils de mon torse, mon ventre, parfois mon sexe…

 

Alors que je la croyais endormie, on n’avait pas échangé un mot depuis quelques temps et sa main ne bougeait plus, elle m’a demandé : « c’est quoi la chose la plus folle que vous ayez faite, sexuellement parlant…? »

 

J’ai pris un peu de temps à répondre… La réponse qui m’est venue en tête, car c’est celle qui a quand même le plus conséquence dans ma vie, c’est d’avoir décidé de vivre un amour à trois, avec ma chérie et mon amante… Mais je n’avais pas spécialement envie d’aborder le sujet avec ma cliente… Pour gagner un peu de temps, j’ai répondu, sur un ton humoristique : « vous voulez dire en dehors de me prostituer et de jouer avec des excréments? ».

 

Ma cliente a bien ri…  « oui, mis à part ces broutilles… »

 

J’ai réfléchi un peu, pensé à tout ce que j’avais pu faire par le passé… Et je me suis décidé : « organiser de véritables orgies pour ma chérie, parfois avec des hommes sans protection… »

 

Ma cliente a recommencé à caresser mon corps, puis m’a dit : « Toujours en votre présence? ». J’ai répondu que oui, parce que je participais aussi… Elle m’a demandé : « pourquoi sans protection, ce n’est pas un peu risqué? ».

 

Je lui ai alors expliqué que dans ces cas là, on essaye quand même de se renseigner, de demander s’ils ont des tests et de voir les résultats… L’organisation de ce genre de plaisir prend du temps à cause de ces « détails »… Et pourquoi est-ce que nous aimons sans protection? Parce qu’elle adore sentir les hommes jouir en elle, elle adore quand un sexe passe de son anus ou de son sexe à sa bouche dans le goût de plastique des préservatifs, et parce que j’adore quand ensuite elle laisse couler tout le sperme de ses orifices dans ma bouche…

 

Elle m’a alors demandé si parfois on inverse, et que l’on organise cela avec plusieurs femmes… J’ai dit que non, parce que ça m’intéresse moins… et puis trouver des femmes pour une orgie doit sûrement être beaucoup plus difficile que des hommes! Je lui ai cependant que parfois on fait des soirées à 3, avec deux femmes. Et je lui ai aussi dit que parfois nos orgies sont avec des hommes bisexuels, donc que moi aussi j’en profite terriblement…

 

Elle m’a ensuite demandé : « quel est votre plaisir le plus intense, l’acte sexuel que vous préférez…? » Je lui ai dit : « je vais vous surprendre… c’est la masturbation… » Avant qu’elle est le temps de trouver cela bizarre, j’ai continué : « J’adore ma conjointe. Je l’aime de tout mon cœur, j’aime chaque partie de son corps, j’aime son attitude, sa façon d’être, j’aime absolument tout en elle… Je suis quelqu’un de très visuel, j’adore regarder quelque chose qui me plait, quelque chose que j’aime… Alors parfois je fais juste regarder ma chérie, et je me masturbe… ça peut être dans n’importe quel contexte : elle est au lit, nue, à lire allongée sur le ventre ou sur le dos, et bien je me masturbe en contemplant son corps… elle est dans la salle de bain, nue, à se préparer, à se laver les dents, se coiffer ou autre, et bien parfois je m’arrête pour la regarder, et je me masturbe devant elle… Parfois elle est assise dans le salon et je la trouve magnifique, quel que soit la tenue qu’elle porte, alors je me place devant elle et je me masturbe… Il n’y a rien de pervers là-dedans, de mon point de vue c’est même un compliment… son corps est magnifique, et il est associé à une personnalité magnifique… »

 

Elle m’a demandé : « est-ce que vous jouissez dans ces moments-là? ». J’ai répondu : « parfois oui, parfois non. Parfois je jouis dans ma main pour ne pas faire de dégât, parfois je jouis sur elle, parfois elle me fait signe que c’est dans la bouche qu’elle veut recevoir mon sperme… parfois elle-même arrête ce qu’elle faisait, et plonge sa main entre ses cuisses pour s’y mettre en me regardant… C’est un plaisir partagé, et pour moi c’est le plus intense des plaisirs… Il dépasse l’acte sexuel… »

 

« Vous avez de la chance de vous être trouvés »… J’ai répondu : « oui, et nous en sommes tous les deux très conscients… »

 

Le silence a à nouveau régner… Je n’avais aucune idée de l’heure qu’il était lorsqu’elle a demandé : « est-ce que nous allons nous coucher? »

 

Chacun notre tour nous sommes passés dans la salle de bain nous préparer… quelques minutes pour moi, un peu plus pour elle… Je l’ai attendue allongé nu dans le lit…

 

Quand elle est rentrée dans la chambre, je lui ai indiqué la table de chevet en disant : « je vous ai préparé un verre, au cas où… ». Elle a souri, en bu quelques gorgées, puis l’a reposé… « si j’ai soif dans la nuit je n’aurais pas à le lever… ». Elle a alors soulevé les draps, puis m’a rejoint…

 

Je lui ai demandé si ça lui ferait plaisir que je descende embrasser son sexe avant de nous endormir… Elle a déposé un nouveau baiser très chaste sur mes lèvres, puis sans dire un mot a écarté ses jambes sous les draps… Message reçu…

 

Je ne lui ai rien fait d’exceptionnel… j’avais juste moi-même envie d’avoir le bon goût d’un sexe excité en bouche… j’ai quand même un peu utilisé mes doigts, mais très légèrement, et pas dans l’anus…

 

Lorsque je suis remonté d’entre ses jambes, je me suis allongé à ses côtés sur le dos, et elle s’est réinstallée exactement dans la même position que sur la chaise longue un peu plus tôt… Sa tête dans le creux de mon épaule, sa main sur mon torse, une de ses jambes par-dessus les miennes…

 

J’ai ouvert les yeux… j’ai vu ma cliente assise sur le lit, qui me regardait dormir, les draps enlevés, mon corps nu… elle avait le verre que je lui avais préparé la veille à la main… elle buvait par petites gorgées en attendant que je me réveille ou en attendant de me réveiller, je ne sais pas…

 

« Bonjour… ». J’ai répondu par un sourire… Elle a posé le verre sur la table de chevet, m’a embrassé encore une fois, toujours avec le même genre de baiser du bout des lèvres, puis elle a commencé à me parler… un long monologue ressemblant à peu près à ceci : « je me suis réveillée tôt ce matin… et depuis que je suis réveillée, je pense à beaucoup de choses… quand j’ai décidé récemment de contacter quelqu’un pour reproduire la scène du déjeuner, je pensais vraiment à mon mari… C’est une pratique que je savais hors norme, qui nous rapprochait… Mon mari me manquant, j’avais envie de reproduire cette scène une fois, en souvenir, en hommage… J’ai cherché des… [elle a hésité sur le mot] personnes comme vous pour l’occasion… cela n’a pas été évident, mais j’ai fini par un trouver un, vous… Je ne voulais rien d’autre que reproduire la scène du déjeuner, n’ayant jamais été très active sexuellement, tout du moins dans la diversité sexuelle… et puis de façon très naturelle lors de notre première rencontre, vous m’avez amené à goûter l’urine… puis le sperme… je ne vous reproche rien, vous ne m’avez pas forcée, c’est moi qui l’aie voulu… vous m’avez guidé, remarquablement bien parce que vous m’avez mise en confiance en me respectant… vous m’avez fait aussi découvrir le plaisir de sentir des doigts en moi… En fait, vous m’avez tout simplement fait découvrir le plaisir sexuel… J’adorais ce que je faisais avec mon mari, sexuellement parlant, mais jamais je n’avais eu l’idée de faire plus… en vous contactant, je voulais juste reproduire la scène du déjeuner… mais finalement hier soir, au bord de la piscine, je me suis mise à avoir très envie de sentir votre sexe en moi… de faire l’amour, sans la notion sentimentale de l’amour… Ce matin je ne vous le cache pas, j’ai terriblement envie de ressentir votre sexe en moi… de faire l’amour… mais surtout je pense à la scène du déjeuner… et je ne sais plus quoi penser… j’ai envie de m’asseoir sur votre visage, comme je le faisais avec mon mari, mais j’ai aussi des envies nouvelles… hier, quand vous avez déposé trois morceaux de… merde, disons ce qu’il en est, sur mon corps et que vous les avez avalés en montant de mes pieds à mon visage, c’était une excitation et un plaisir incroyable… J’ai envie de reproduire ça aussi… d’une opération de souvenir, votre présence est devenue une opération, je ne dirais pas salvatrice, mais d’ouverture des yeux… vous m’avez ouvert les yeux sur le plaisir existant… »

 

Il y a eu un silence… cette fois-ci, c’est moi qui l’ait rompu… n’étant pas sûr de comprendre où elle voulait en venir, j’ai dit : « je suis touché de ce que vous dites, mais je veux être sûr de ne pas vous mettre mal à l’aise… vous parlez de votre mari, je ne veux pas qu’à cause de moi vous ayez l’impression de le trahir… »

 

Elle m’a répondu : « non non, mon cœur appartient et appartiendra toujours à mon mari… je suis juste en train de me dire que peut-être que je pourrais utiliser mon corps pour mon plaisir personnel, ce que je n’avais pas pensé à faire avant… Je suis sûr, et même je sais qu’il ne m’en voudrait pas… Et de toute manière, ce serait bien hypocrite de ma part de dire que je ne profite pas déjà des plaisirs que mon corps peut me procurer, étant donné ce qu’il s’est passé lors de notre première rencontre et hier soir… »

 

Nouveau silence…

 

« J’ai envie d’aller plus loin que tout ce que je vous ai demandé jusqu’à présent… j’ai envie que vous mangiez sur mon corps ma production… j’ai envie de vous regarder faire, et de ne pas juste ‘savoir’ que vous le faites sans pouvoir vous voir… Hier vous me disiez que vous êtes quelqu’un de visuel? Je crois que moi aussi… »

 

Elle s’est accroupie au-dessus de mon corps, son sexe au-dessus du mien, sans chercher à ce que je la pénètre… elle s’est penchée en avant, elle était donc à quatre pattes au-dessus de moi, dans le même sens que moi, son visage au-dessus du mien…

 

« Si vous êtes d’accord, je vais aller chercher une assiette pour faire caca dessus… et je vous laisserais étaler le tout sur mon corps, à votre guise, pour que vous le mangiez ensuite… »

 

J’ai répondu : « je suis entièrement d’accord, à un détail près… laissez-vous aller dans ma bouche, je n’avalerai pas… je déposerai le tout sur votre corps ensuite… s’il y en  a trop pour ma bouche, je récupérerais le reste dans ma main… et je jouerai avec… »

 

Elle a approché son visage du mien… a déposé un baiser un peu plus long que les précédents… j’ai hésité à sortir un bout de ma langue, mais je me suis retenu…

 

Elle s’est alors retournée, puis accroupie au-dessus de mon visage… mes mains sur ses cuisses, j’ai collé mon anus à sa bouche…

 

J’adore la sensation de cette matière consistante qui « force » le passage de mes lèvres… j’adore sentir mes lèvres parcourir le morceau d’un bout à l’autre… j’aimerais beaucoup moins si sa production était plus molle…

 

Ce qui a été convenu a été fait… j’ai récupéré un long morceau dans ma bouche, et un autre, un peu plus petit, dans ma main… Elle s’est ensuite allongée sur le dos, et je me suis placé au-dessus d’elle… J’ai lentement fait sortir de ma bouche ce qui était dedans… j’ai commencé au-dessus de son visage, mais avant que ça tombe sur elle je me suis déplacé pour que ça atterrisse entre ses seins…

 

Tout en gardant l’autre morceau que j’avais dans les mains, je lui ai demandé : « avez-vous une idée de ce qui vous plairait pour la suite…? »

 

Elle m’a répondu : « j’en ai une qui me fait très envie, mais elle n’est pas compatible avec la deuxième envie que j’ai… »

 

« je vous écoute… ». Elle a alors dit : « j’adorerais vous voir jouir sur ce que vous venez de déposer entre mes seins… mais j’ai aussi envie que vous jouissiez dans ma bouche… »

 

Je lui ai fait une proposition : « je peux jouir dans votre bouche, puis vous recrachez doucement entre vos seins… » La réponse ne s’est pas faite attendre : « oh non… si j’en ai en bouche, je voudrais le savourer, l’avaler… je sais que je ne le recracherais pas… »

 

Je lui ai proposé une autre solution : « si c’est le goût qui vous intéresse, je peux jouir entre vous seins, puis récupérer le tout avec ma langue et venir le déposer dans votre bouche… »

 

Elle a réfléchi un peu… « juste le sperme, vous ne me mettrez aucun morceau provenant de moi dans la bouche? ». « Non non, aucun, juste le sperme ». Elle a répondu : « d’accord… »

 

Je me suis alors placé à genoux au-dessus de son ventre, mon sexe dirigé vers ses seins… C’est lorsque j’allais commencer à me masturber que je me suis rendu compte que j’avais encore le deuxième morceau dans les mains… Ne sachant pas quoi en faire pour le moment, je l’ai gardé dans ma main, et je me suis masturbé de l’autre…

 

Ma cliente ne quittait pas mon sexe des yeux… Ses deux mains caressaient mes cuisses…

 

Lorsque j’ai senti l’éjaculation venir, j’ai baissé mon sexe pour le diriger entre ses seins… Elle regardait avec une très grande attention…

 

Et j’ai joui…

Par Etienne - Publié dans : Scatologie
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Lundi 14 mai 1 14 /05 /Mai 12:44

Vous le savez, ma chérie adore manger ce qui sort de mon anus. Elle en mange pendant des jeux sexuels, mais aussi en gâterie, un peu en tout temps… Elle en a toujours des petits morceaux dans le congélateur, qu’elle laisse fondre dans sa bouche quand elle en a envie…

 

De mon côté, même si je n’en mange pas, ça ne me dérange absolument pas de lécher quelque chose, comme un jouet ou un sexe, sortant d’un anus. Lorsqu’il y a de légères traces de caca sur un jouet par exemple, ça ne me dérange pas non plus qu’on le glisse dans ma bouche… Mais manger un morceau, un vrai, comme ma chérie, je ne l’ai jamais fait. Ou plutôt, je ne l’avais jamais fait…

 

Lors de notre période de prostitution, j’avais mis une annonce en ligne dans laquelle je disais que j’étais sans tabou. Une femme se décrivant comme ayant entre cinquante et soixante ans avait répondu par courriel à mon annonce en demandant si je pratiquais la scatologie. Je lui avais répondu que je suis « donneur » sans problème, pour un tarif raisonnable, tandis que si le but est que je sois le « receveur », c’était beaucoup plus cher… En répondant cela, ça me permettait de gagner du temps à deux sujets :

  • Est-ce que pour un tarif élevé j’accepterais de la pratiquer;
  • Si oui, à quel prix.

La demanderesse m’a alors répondu que l’argent n’était pas un problème, et qu’elle ne souhaitait rien d’autre que trouver un partenaire receveur; elle ne souhaitait pas de relation sexuelle. Elle disait aussi qu’il y avait une autre « contrainte » : cela devait se passer à 6h30 le matin.

 

J’en ai donc parlé à ma chérie avant de répondre, parce qu’avant de dire oui, il fallait bien que j’essaye d’en goûter, et qui d’autre que ma chérie pour m’aider à cela… Non seulement elle était partante pour m’aider à une première tentative, mais en plus elle en était très, très excitée… Elle m’a demandé si je voulais qu’elle se vide dans une assiette pour que je puisse ensuite en manger… Je lui ai répondu que non, que pour une première fois je préférais que ça passe directement de son anus à ma bouche, sans que je regarde vraiment à quoi ça ressemble (comme si je ne le savais pas…)…

 

Lorsque dans la journée elle a eu envie d’aller aux toilettes, elle m’a demandé de m’allongé au sol, et s’est accroupie au-dessus de mon visage… tous les deux nus… rien que de la voir s’accroupir au-dessus de moi m’a procuré une érection… Érection qui a perduré jusqu’à ce que « l’expérience » soit terminée, comme vous allez vous en rendre compte…

 

Je disais donc que ma chérie s’est accroupie au-dessus de mon visage… J’ai dû forcer pour me retenir de lécher son sexe luisant, parce qu’elle était tout aussi excitée que moi… Puis j’ai vu son anus s’ouvrir lentement… et là, je ne me suis plus retenu… j’ai posé ma langue doucement, délicatement sur le petit trou s’ouvrant…

 

Quelques instants plus tard, j’ai senti quelque chose pousser sur ma langue… son caca… c’était terriblement, mais terriblement excitant… Je me caressais en même temps… J’ai alors plaqué mes lèvres tout autour de son anus, bouche ouverte, et j’ai attendu que ça rentre en moi… ce qui a été le cas aussitôt… je ne savais pas si je devais croquer dedans pour le couper ou si je devais attendre qu’il cesse de sortir de l’anus de ma chérie… J’ai décidé de le couper… j’ai refermé ma bouche… et j’ai mâché ce que j’avais récupéré… En quelques bouchées, j’ai tout avalé… le goût n’était bon, mais ce n’était pas aussi mauvais que je ne le pensais… l’odeur est pire que le goût en fait…

 

J’ai aussitôt rouvert la bouche pour récupérer la suite du caca qui commençait à s’étaler sur mes lèvres… Avant que je n’avale cette partie, ma chérie s’est redressée, s’est empalée sur mon sexe, et s’est penchée vers mon visage, le regard pétillant, pour m’embrasser… Nos langues se sont trouvées dans un mélange de merde et de salive… En quelques secondes, elle a eu un orgasme… C’était la première fois, je crois, qu’elle goûtait à ses propres excréments (sauf pour de simple trace sur mon sexe ou sur des jouets)…

 

Toujours sur moi, elle m’a demandé comment j’ai trouvé ça… honnêtement? Ce n’était pas vraiment bon, mais ô combien excitant… Je lui ai dit que j’étais prêt à réessayer dès qu’elle le pourra…

 

Dans les trois jours qui ont suivi, j’ai donc mangé beaucoup d’aliments transformés et digérés… Pour en venir à la conclusion que le goût n’est pas fantastique, mais que le plaisir sexuel associé à l’acte est plus fort que le goût déplaisant… Et que si en plus on me propose une belle somme d’argent, je pourrais le faire avec une inconnue…

 

Comme je n’avais pas répondu aussitôt à ma future cliente, elle m’avait réécrit disant quel montant elle serait prête à payer pour l’acte, et c’était un très, très bon montant... J’ai fini par répondre que j’étais d’accord… Elle m’a alors demandé combien je gagnais en une nuit. Je lui ai répondu que ça dépend des fois, en donnant une fourchette de prix approximative, tout dépendant du nombre de clients ou de ce que veulent les clients. Elle m’a alors écrit ceci :

« Mon mari est décédé il y a maintenant 4 ans. Nous étions mariés depuis 24 ans, et chaque matin, au réveil, je m’asseyais sur son visage pour faire mon gros besoin. Parfois nous faisions l’amour, mais la plupart du temps c’était juste ce plaisir-ci. Si je vous acceptez de venir dormir chez moi, sans que vous ayez à me faire l’amour, mais juste pour que je puisse reproduire la scène du déjeuner (c’est comme cela que nous l’appelions entre nous, « la scène du déjeuner ») dès le réveil, aussi naturellement que possible, je vous payerais xxxx $ de plus. Est-ce que cela vous convient? Si cela vous est impossible, vous pourriez vous présenter à mon domicile à 6h20 pour vous coucher prêt de moi, mais je vous avouerais que ce serait moins naturel… »

 

J’ai acquiescé à sa demande.

 

Quelques jours plus tard, je me suis donc présenté chez elle, un soir, vers 21h. C’était une jolie maison unifamiliale, clairement quelqu’un qui a effectivement une certaine aisance financière. Je dis maison, mais je devrais plutôt dire manoir, dans un quartier riche de Montréal…

 

Sans être une femme très belle, j’ai quand même été chanceux : elle avait une silhouette svelte, et il s’agissait de quelqu’un qui prenait clairement soin de son corps, donc même s’il ne correspondait pas vraiment à ce que j’aime vraiment du corps d’une femme, je savais que je ne serais pas rebuté le moment venu.

 

Elle était très gênée lorsque je suis arrivé, comme souvent avec mes client(e)s. Elle m’a proposé quelque chose à boire, puis on s’est assis, et on a discuté, un peu de tout et n’importe quoi. Elle m’a beaucoup parlé de son mari décédé d’un cancer quatre années auparavant, et a essayé de justifier pourquoi elle voulait reproduire « la scène du déjeuner ». Pour résumer, cette année le jour anniversaire de son décès elle s’est dit qu’elle aurait aimé lui rendre hommage en reproduisant cette action peu commune… Elle aurait voulu que ce soit fait le jour de l’anniversaire, mais il n’y a pensé que ce jour-là, donc trop tard. Je trouve un peu « étrange » de vouloir rendre hommage en partageant avec un inconnu un moment intime unique qu’elle vivait avec son mari, mais c’était son choix.

 

Elle m’a dit qu’elle avait eu peur que je refuse, parce que j’avais mis du temps à répondre. Elle m’a dit que plusieurs avant moi avaient refusé… J’ai été très honnête : je lui ai dit clairement que je n’avais jamais essayé cette pratique, et qu’avant de dire oui je voulais être sûr d’être capable de l’accomplir professionnellement, avec qualité, donc que je voulais essayer avec ma conjointe avant de donner une réponse.

 

Elle m’a alors demandé quel genre de relation j’avais avec ma conjointe, étant un gigolo. Comment elle le prenait. C’était rare que je parle de moi à mes clients, mais avec elle ça ne me déplaisait pas… Je lui ai dit presque toute la vérité : je lui ai dit que pour accomplir notre rêve nous avions besoin d’argent, et que nous avions décidé de nous prostituer tous les deux, tout en continuant nos emplois « normaux ». Donc l’un comme l’autre nous vivions la même chose.

 

Elle est ensuite revenue au sujet de la scatologie… Elle m’a demandé si j’avais aimé l’expérience avec ma conjointe. J’ai répondu ce que vous savez déjà : que le goût n’est pas excellent, mais que l’excitation liée à l’acte domine largement sur le goût plus ou moins agréable… Elle a souri… Elle m’a raconté qu’au début, c’est son mari qui a insisté pour essayer… Elle m’a raconté en rougissant qu’un jour, au début de leur relation, elle a demandé à son mari, qui ne l’était pas encore à cette époque, pourquoi il allait toujours aux toilettes juste après qu’elle y soit allée… Elle m’a dit qu’au début il détournait le sujet, mais un jour, devant son insistance, il a avoué qu’il adorait l’odeur… Et de fil en aiguille, il a dit qu’il adorerait y goûter, ce qui s’est terminé par l’élaboration rituelle de la « la scène du déjeuner »… Elle m’a dit que cet acte était complètement dénué de notion sexuelle, qu’il ne se passait rien de plus que l’ingestion à ce moment là…

 

Elle m’a ensuite demandé comment ma chérie a pris le fait que je lui demande de me faire essayer cet acte. Est-ce qu’elle était dégoûtée au premier abord? J’ai ri en lui répondant que non, au contraire : depuis longtemps déjà elle adorait manger mes excréments, et que le fait d’inverser les rôles était quelque chose qui lui a terriblement plu… Je lui ai dit que pour l’urine, nous partagions ce plaisir à deux, mais que pour le caca, seule ma chérie aimait en manger. Jusqu’à présent…

 

Elle a alors enchainé sur l’uro… Elle a réfléchi quelques instants en disant qu’elle ne l’avait jamais pratiqué… Je vous avoue que j’ai été un peu surpris : faire du scato sans aimer l’uro? Je lui en ai fait la remarque. Elle m’a alors répondu que ce n’est pas qu’elle n’aime pas, c’est qu’il ne lui avait jamais été venu à l’esprit d’essayer… Elle m’a demandé de quoi ça se rapproche le plus comme goût. Je l’ai regardée droit dans les yeux et j’ai dit : « pourquoi ne pas simplement essayer pour le savoir? »

 

Elle a baissé les yeux… Puis elle a murmuré un « pourquoi pas… ».

 

Je me suis alors mis debout. Depuis le temps que l’on buvait ensemble, j’avais très envie d’uriner… J’ai pris mon verre à vin, je l’ai fini, puis j’ai baissé ma braguette et sorti mon sexe… Elle était fascinée… elle m’a regardé placer le verre devant mon gland, puis j’ai uriné contre la paroi à l’intérieur du verre pour le remplir sans que ça éclabousse…

 

Lorsque le verre a été à moitié rempli, j’ai stoppé mon jet, et je le lui ai tendu… Elle l’a d’abord senti… puis a trempé ses lèvres dedans… puis sans me regarder elle a bu une première gorgée… une seconde… un troisième… jusqu’à ce que le verre soit vide…

 

Lorsqu’elle a levé les yeux vers moi, un peu intimidée, j’ai dit : « il semblerait que ça vous a plu… ». Elle a fait oui avec la tête… Je lui ai demandé si elle en voulait d’autre… Elle a refait oui avec la tête… Mais il y a eu un problème… La voir boire mon urine m’a excité, comme vous devez vous en douter… Sans être en pleine érection, mon sexe n’était plus orientable vers le bas facilement, donc je savais qu’il serait très difficile de remplir le verre…

 

J’ai dit à ma cliente qu’il allait falloir attendre un peu que mon érection retombe… Je n’ai pas osé lui proposer de boire directement à mon sexe… Je me suis rassis sur le divan, mon sexe sorti, dressé… au lieu de se réduire, mon érection est devenu complète… Et ce qui ne m’a pas aidé, c’est que ma cliente m’a dit : « je sais que j’avais mentionné qu’il n’y aurait pas de relation sexuelle, mais est-ce que je peux le caresser…? ».

 

Quelques instants plus tard elle était assise à côté de moi, son verre de vin dans une main, mon sexe dans l’autre, à le caresser lentement, presque négligemment…

 

Après un long silence, elle m’a dit qu’elle n’avait pas touché de sexe depuis celui de son mari… et qu’elle appréciait beaucoup le moment…

 

Après un autre long silence où elle n’a fait que me caresser toujours de cette façon légère, je lui ai proposé de se déshabiller… pas nécessairement pour faire l’amour, mais pour qu’elle aussi puisse profiter d’une caresse comme celle qu’elle me prodigue…

 

Elle n’a pas répondu tout de suite…

 

Elle a fini par se pencher vers mon sexe, et à déposer un baiser sur mon gland… Juste un baiser, très simple, du bout des lèvres… Elle s’est ensuite mise debout et m’a dit qu’elle allait revenir tout de suite…

 

Elle est revenue, habillée différemment… Elle avait troqué ses habits contre un peignoir… Elle m’a dit : « Vous m’avez donné l’envie de sentir vos mains sur mon corps, mais je ne me sens pas prête à être nue devant vous pour le moment… avec le peignoir il sera aisé pour vous de me caresser sans que je me dévoile… je suis consciente que c’est assez contradictoire avec la raison pour laquelle je vous ai… [elle a hésité sur le terme] contacté mais…  ». Elle n’a pas terminé sa phrase… Je lui ai fait comprendre que ça ne me dérangeait pas du tout, et elle est revenue s’asseoir contre moi, sa main reprenant les caresses là où elles les avaient laissées…

 

Malheureusement assis ainsi, il m’était impossible de glisser une de mes mains là où je le voulais… J’ai réussi à en faufiler une dans l’échancrure de son peignoir, au niveau de sa poitrine, mais mon bras était dans une position qui était tout sauf naturelle et confortable…

 

N’arrivant pas à trouver un moyen de caresser son corps convenablement, je me suis levé… Je lui ai demandé de s’allonger sur le divan, ce qu’elle a fait avec un petit sourire gêné… J’ai touché son pied d’une main… puis je suis remonté, doucement, le long de son mollet puis de sa cuisse, en faisant bien attention de ne pas ouvrir plus que nécessaire le peignoir…

 

Je sentais son corps trembloter et frémir lors de cette remontée… Lorsque je suis arrivé au niveau de son bas ventre, elle a elle-même écartée un peu ses cuisses, m’indiquant clairement que ma main était la bienvenue quelques centimètres plus bas…

 

Je m’attendais à croiser quelques poils pubiens, mais il n’y avait absolument rien… Rien, sauf un sexe humide qui semblait attendre que je m’occupe de lui…

 

Tout en lui caressant son entre-jambes, de mon autre main je lui caressais les seins par l’échancrure du peignoir…

 

J’ai joué ainsi pendant de nombreuses minutes… elle gémissait, elle se tortillait… elle semblait avoir beaucoup de plaisir…

 

Lorsque j’ai senti que sa main cherchait à se saisir de mon sexe, sans cesser de la caresser et de la doigter entre les jambes, j’ai retiré le linge que je portais… elle s’est alors mise à me caresser les fesses, le ventre, mon sexe, mes testicules… mais toujours avec cette même légèreté surprenante… par moment elle « tirait » mon sexe vers sa bouche, mais jamais pour plus qu’un baiser dessus…

 

Ma main fatiguant, j’ai fini par prendre une pause… j’ai retiré mes doigts de son sexe… ils étaient très juteux, avec des filaments de sécrétion entre eux… Un par un, je les ai léchés sans quitter des yeux ma cliente…

 

Elle s’est alors rassise sur le divan, a replacé son peignoir… Elle m’a demandé timidement si je pouvais remettre mon boxer, soit disant parce qu’elle trouve plus excitant un homme en sous-vêtement que nu. C’est possible, puisque moi aussi je trouve une femme plus excitante dans de beaux sous-vêtements ou en maillot de bain que nue, mais je pense aussi que la situation la mettait mal à l’aise…

 

Elle m’a proposé à nouveau quelque chose à boire… j’ai pris un verre d’un délicieux cocktail dont j’ignore le nom, mais c’était très fruité, très bon… elle m’a accompagné en s’en faisant un aussi, mais elle a aussi précisé que dès que j’étais prêt, elle reprendrait bien un verre de mon cru personnel…

 

Pendant ce temps, nous avons continué à bavarder, et j’ai compris quelque chose : elle était beaucoup plus à l’aise à parler scatologie et urologie qu’actes sexuels comme on les définit généralement. En effet, elle m’a posé plein de questions sur mes pratiques de l’uro de la scato, elle m’a demandé si j’avais des anecdotes à ce sujet, mais dès que les discussions s’orientaient vers ce que je faisais autour (pénétration vaginale, sodomie, fellation, cunnilingus, qui accompagnent souvent mes pratiques non conventionnelles), elle rougissait et baissait les yeux… Un des exemples est le suivant : quand je lui ai dit que parfois l’urine sert à « nettoyer » le visage de ma chérie couvert de sperme, elle semblait gênée. Mais quand je racontais que l’on avait parfois une bouteille remplie d’urine dans le frigo pour en consommer comme si on buvait de l’eau, elle était beaucoup plus prompte à parler, à demander des précisions…

 

Lorsqu’enfin j’ai à nouveau eu envie d’uriner, ma cliente m’a dit qu’elle allait me donner un verre plus grand que le verre que j’avais entre les mains… Et effectivement, c’était plus grand : un vrai gros buck de bière! Si vous vous souvenez du début de l’article, j’avais dit que j’avais arrêté d’uriner lorsque le premier verre, un verre de vin de taille modeste, était à moitié rempli. Après cela, je n’ai pas réuriné, mais on a bu pas mal de liquide… Et bien j’ai encore dû m’arrêter, parce que si j’étais allé jusqu’au bout il y aurait eu des éclaboussures partout, et probablement même que ça aurait débordé…

 

Elle a pris le buck par la poignée… l’a approché de son nez… a respiré l’odeur de l’urine, avec un grand sourire… a trempé une fois encore le bout des lèvres dedans… puis a avalé une gorgée… puis je ne sais combien de gorgées, mais elle a vidé le verre d’un seul coup… Je n’en revenais pas…

 

Elle m’a demandé innocemment si moi aussi j’avais envie de boire de l’urine, son urine… j’ai dit que j’adorerais ça… Elle s’est alors levée, a pris le verre, et s’est dirigée vers la salle de bain… Je l’ai interrompue en lui disant : « J’ai vu le plaisir que vous avez eu à me regarder remplir le verre… c’est pareil pour moi, j’ai énormément de plaisir à regarder… est-ce que vous seriez d’accord pour remplir le verre devant, sous vous mettre nue complètement si vous ne le voulez pas, juste en écartant le bas du peignoir…? »

 

Elle a été hésitante… puis finalement elle est revenue devant moi… Elle a écarté son peignoir… plié les genoux… elle a mis le buck entre ses jambes, et s’est laissée aller… j’ai vu le liquide jaune, légèrement mousseux, monter petit à petit… J’ai sorti mon sexe de mon boxer pour me masturber lentement en la regardant faire…

 

Elle s’est arrêtée d’uriner en disant : « des éclaboussures mes souillent, je ne veux pas en mettre parterre… ». Elle m’a alors tendu le verre, tout en se redressant complètement… Je lui ai dit merci, en précisant que j’aimerais qu’elle reste debout… je me suis assis au sol, j’ai écarté son peignoir lentement, pour ne pas la brusquer… et j’ai léché chaque éclaboussure dont elle parlait, sur l’intérieur de ses cuisses… Et j’ai fini, comme elle l’a fait elle-même sur mon sexe, par un baiser le sien… Rien de plus, même si j’avais terriblement envie de me servir de ma langue là aussi…

 

Je me suis réinstallé sur le divan, le buck dans la main… et j’ai commencé par boire par petite gorgée… pendant ce temps là, elle s’est agenouillée devant moi… Elle a continué la masturbation que j’avais commencée…

 

Elle a levé les yeux vers moi, puis m’a posé cette question surprenante : « est-ce que tout ce qui sort d’un sexe est aussi… exquis que l’urine? » J’avais avalé l’urine que j’avais en bouche et j’ai répondu : « vous n’avez jamais goûté au sperme…? ». Elle a fait non avec la tête… sans poser d’autres questions, je lui ai alors dit : « si vous voulez goûter, ne vous gênez pas… »

 

Elle a souri… a continué à me masturber… puis ses lèvres sont venues en renfort de sa main… elle a pris pour la première fois mon gland à pleine bouche…

 

Petit à petit, sa main ne m’a plus masturbé… Elle ne servait qu’à tenir la base de mon sexe, ses lèvres montant et descendant le long de ma verge… et tout en continuant à boire l’urine dans le buck à petites gorgées, j’ai joui dans sa bouche… Elle a eu un petit moment de surprise, puis a continué les va-et-vient…

 

Lorsqu’elle a cessé, mon sexe était parfaitement propre, et mes testicules parfaitement vides… Elle m’a dit : « c’est tout aussi délicieux… » Je l’ai regardée, et j’ai répondu : « oui, c’est aussi mon avis… ».

 

Elle s’est remise debout, puis s’est assise à côté de moi… J’ai posé le buck pour reprendre le cocktail que je n’avais pas fini de boire, puis j’ai dit : « Excusez-moi de poser la question, mais vous pratiquiez la scatologie sans jamais avoir goûté à du sperme? Je sais que les deux ne sont pas liés, mais je pensais que toute personne ayant goûté à des excréments aurait au moins goûté par curiosité, même si c’est pour finalement ne pas aimer, du sperme… Je pensais, peut-être naïvement, que quelqu’un prêt à goûter quelque chose d’aussi ‘dégoûtant’ que des excréments ne serait pas gêné à goûter au sperme… »

 

Elle m’a souri, puis m’a répondu : « mon mari et moi avions une sexualité très basique… on touchait nos corps, nos parties génitales avec nos mains, mais on ne faisait l’amour que sexe à sexe… pas de sexe oral, ni de sexe anal… bien entendu, lorsqu’il me mangeait le matin parfois sa bouche effleurait mon sexe et mon anus, mais jamais il n’y est allé délibérément… »

 

Nous avons continué à parler un peu de tout et de n’importe quoi… Puis comme il commençait à être vraiment tard, nous sommes allés au lit… Elle m’a demandé d’y aller en premier, puis elle m’a rejointe, après avoir passé presque 10 minutes dans la salle de bain…

 

Elle s’est glissée sous les draps, nue, mais je n’ai pas vu son corps… Je n’ai pu que distinguer la forme générale de son corps… si j’ai deviné qu’elle était nu, c’est parce que j’ai pu voir le profil d’un de ses tétons, découpé dans l’obscurité… rien de plus…

 

Je lui ai demandé si elle avait mis un réveil pour 6h30 le lendemain matin, puisque c’est à cette heure là qu’elle souhaite procéder à son petit plaisir, mais elle m’a répondu que ce n’est pas le peine : depuis aussi longtemps qu’elle se souvienne, elle s’est toujours réveillée aux alentours de 6h30, avec comme première envie celle de faire caca… Ça ne lui arrive qu’une fois par jour, tout le temps à cette heure là… Sauf quand elle est malade…

 

Nous étions tous les deux au lit, allongés sur le dos, sans vraiment se parler… je ne m’endormais pas, et visiblement elle non plus… Je me suis alors tourné vers elle, et sans lui demander son avis j’ai couvert son épaule de petits bisous… de son épaule, j’ai dévié vers son cou… Elle ne disait rien… Elle a levé le menton pour me faciliter l’accès… Comme elle semblait partante, je suis descendu… j’ai embrassé ses seins… joué avec ses tétons… puis j’ai continué… jusqu’à me retrouver entre ses jambes, complètement sous les draps, son clitoris sur le bout de ma langue…

 

Et j’ai joué… j’ai beaucoup joué… avec ma langue et mes doigts sur son clitoris, dans son sexe… sa main était dans mes cheveux… j’ai continué l’exploration… par moment je donnais des petits coups de langue un peu plus bas que son sexe… loin de m’en vouloir, elle a même levé les jambes pour m’offrir un accès au petit trou qui au réveil se videra dans ma bouche… en attendant, je l’ai beaucoup léché… et plus encore… je l’ai visité avec d’abord un doigt, puis deux… tout en lui léchant le clitoris…

 

Ma cliente se trémoussait dans tous les sens, gémissait énormément… elle semblait adorer tout ce que je lui faisais…

 

J’ai vraiment joué très longuement entre ses jambes… Tellement longuement qu’après un certain temps ce sont quatre doigts que j’ai réussis à glisser en elle, dans son sexe… Elle en criant littéralement de plaisir… Je crois qu’une femme aussi « bruyante », c’était une de mes premières fois… Je sais que c’était des cris de plaisir, car dès que je retirais un peu ma main elle me demandant de la remettre encore…

 

Et finalement, encore un peu plus tard, mon bras semblait s’arrêter à mon poignet : ma main au complet était en elle… sans faire de va-et-vient, je ne pouvais entrer plus en profondeur, je m’amusais à faire bouger mes doigts en elle… simplement les écarter, les plier…

 

J’ai fini par lui dire que ma main au complet était en elle, parce que je ne savais pas si elle en avait conscience… Et effectivement, elle n’en avait pas conscience… à tâtons elle a saisi mon bras avec sa main pour remonter vers ma main, pour constater qu’elle ne pouvait pas la toucher, parce que oui, elle était complètement en elle… elle a ri…

 

Je lui ai demandé si elle voulait le voir de ses propres yeux… elle a allumé la lumière de la table de chevet, s’est redressée, et a constaté la situation… elle avait un grand sourire… elle a éteint la lumière, s’est rallongée, et a dit : « est-ce que vous pourriez la sortir puis la rentrer à nouveau…? »

 

J’ai bien évidemment acquiescé à sa demande…

 

Le temps où la lumière est restée allumée, j’ai remarqué une très grande quantité de sécrétion blanche tout autour de mon poignet, de son sexe… j’ai collé ma langue à la jonction de mon bras et de sa chatte, et du bout de la langue j’ai récupéré un peu de cette sécrétion… c’était épais, visqueux, salé… j’ai adoré…

 

En faisant plein de petits va-et-vient, j’ai réussi à sortir ma main, en faisant gémir sans cesse ma cliente… j’ai alors approché ma bouche de son sexe et j’ai littéralement avalé ses sécrétions… c’était terriblement excitant…

 

Pendant que je savourais cela, je lui glissais un doigt dans l’anus… Puis elle a dit : « encore la main, s’il vous plait »…

 

Alors j’ai recommencé…

 

Plusieurs fois j’ai entré ma main au complet, pour la ressortir puis la rerentrer… j’ai savouré beaucoup d’elle…

 

Quand enfin j’ai cessé, je me suis rallongé à côté de me cliente… Elle était épuisée, mais heureuse… elle s’est blottie contre moi, et s’est endormie… je l’ai suivi dans les bras de Morphée peu de temps après…

 

J’ai été réveillé par des caresses sur mon torse… J’ai ouvert les yeux… ma cliente était appuyée sur son coude, tournée vers moi… Elle m’a souri et m’a demandé si j’ai bien dormi… Oui, bien dormi, mais pas beaucoup… on s’est vraiment endormi tard avec nos « folies » de la veille… elle a ri, puis a murmuré : « êtes-vous prêt…? ».

 

À mon tour j’ai ri et j’ai répondu « prêt et très excité à l’idée de ce qui va se passer… », tout en dégageant les draps pour lui montrer l’érection matinale que j’avais…

 

Elle a posé sa main sur mon sexe… a pris mon gland en bouche, lentement, sensuellement, puis s’est agenouillée au-dessus de mon visage, délaissant ma verge…

 

Étant donné qu’il faisait jour dehors, j’avais une vision claire de ses fesses, de son anus… Au Québec, il n’y a pas de volet, juste des rideaux, pas toujours très opaques, comme c’était le cas dans sa chambre…

 

Agenouillée au-dessus de mon visage, elle a écarté ses fesses, pour bien libérer son anus… et je l’ai vu s’ouvrir lentement, par à-coups… Quand quelque chose a commencé à apparaître, j’ai collé ma bouche à son petit trou… j’ai senti sa production glisser dans ma bouche, contre ma langue… Quand j’ai considéré en avoir un morceau assez conséquent en moi, j’ai croqué pour le couper, je l’ai mâché et je l’ai avalé en quelques gorgées… J’ai rouvert la bouche, pour récupérer ce qui commençait à s’accumuler sur mes lèvres… et j’ai procédé de la même façon à deux autres reprises, jusqu’à ce qu’elle soit vide…

 

Sa merde était dure, ferme… J’aurais pu jouer avec si on l’avait voulu, faire une « fellation » à ce qui sortait de son anus… surtout que j’ai trouvé le goût meilleur que celui de ma chérie… J’imagine que c’est dû à la différence de régime alimentaire… ma cliente avait l’air plutôt végétarienne / granola…

 

Aussitôt vidée, elle s’est penchée en avant pour prendre mon sexe en bouche… Son premier 69 je suppose…

 

De mon côté, l’objet de mon désir n’était pas son sexe, mais son anus… je l’ai léché avec application, puis j’y ai glissé un doigt… je peux vous confirmer qu’elle était parfaitement vide! J’ai réussi à lui dilater l’anus jusqu’à trois doigts… comme la veille avec son sexe, elle y mettant du sien pour m’aider à aller plus loin en elle : elle poussait fort contre mes doigts, dans en savourant ma bite…

 

De ma langue, j’essayais en même temps de caresser son sexe, mais on bougeait tellement que ce n’était pas évident…

 

Puis au bout d’un certain temps elle m’a dit : « éjaculez dans ma bouche, je vous en prie »… C’est rare que je me fasse vouvoyer par quelqu’un qui a mon sexe en bouche, quelqu’un à qui j’ai défoncé la chatte la veille… ça avait un côté inhabituel…

 

Mais bien sûr j’ai donné suite à son désir… peu de temps après elle savourait ma production matinale, avec trois doigts dans son anus, et trois dans sa chatte…

 

Après avoir satisfait ses désirs du matin, ma cliente m’a demandé si j’étais pressé de partir. Je lui ai dit que je travaillais (et oui, nous continuions quand même notre travail ‘légal’ pendant cette période), donc que je devais partir à 8h au plus tard… Elle a regardé l’heure et a dit que ça me laisse le temps de me prendre une douche si je le souhaite, et de partager un café avec elle… J’ai dit oui pour la douche, mais non pour le café, parce que je n’en bois pas… Par contre je lui ai dit que si elle avait du thé, ça me ferait plaisir…

 

Avant de quitter la chambre, alors que j’étais debout devant la porte, nu, je me suis tourné vers la maitresse de maison et je lui ai demandé : « voulez-vous que je vous resserve un verre…? », en pointant mon sexe du doigt…

 

Elle a dit un « Oh oui » très vigoureux… Elle n’a pas voulu sortir du lit, je suppose parce qu’elle était mal à l’aise encore de se montrer nue devant moi, donc elle m’a indiqué où est-ce que dans la cuisine je trouverais un verre…

 

J’ai pris le plus grand que j’ai trouvé, je le lui ai rempli puis je l’ai laissé sur le comptoir, le temps d’aller prendre ma douche…

 

Quand j’ai rejoint ma cliente dans la cuisine après m’être lavé, le verre était dans l’évier, déjà vide… Quand elle a vu mon regard vers le verre, elle m’a dit : « C’était différent d’hier… un peu plus salé… J’ai beaucoup aimé aussi… »

 

Elle m’a tendu une tasse de thé, et nous nous sommes assis de chaque côté de l’ilot de cuisine. Alors que l’on buvait en silence, elle a murmuré une première question, qui a conduit à un dialogue que je vous retranscris à peu près ici (à peu près, car il remonte à plusieurs mois quand même…) :

est-ce que je peux vous poser une question…?

oui, bien sûr.

êtes-vous bisexuel?

Alors que j’allais répondre, c’est elle qui a enchainé, semblant gênée d’avoir osé poser la question…

excusez-moi, je n’aurais pas dû vous poser cette question personnelle…

non non, ne vous inquiétez pas, il n’y a aucun problème à ce que je réponde à cette question…

c’est parce qu’hier, quand j’ai dit que le sperme était délicieux, vous avez acquiescé… et ce matin, quand j’ai dit que sentir des doigts en moi, vous savez, dans mon anus, c’était très agréable, et que j’ai dit que vous ne pouviez pas imaginer à quel point ça l’est, vous avez répondu que vous le saviez…

J’ai souri…

il n’y a pas besoin d’être bisexuel, pour un homme, pour connaitre ces plaisirs-là… La première fois que j’ai goûté à mon sperme, je n’étais même pas majeur, et j’étais même encore vierge… je me masturbais beaucoup à l’époque, et un jour je me suis dit que je devrais y gouter… ce que j’ai fait… et j’ai aimé… Puis en évoluant, avec les conjointes que j’ai eues, j’ai pris goût à savourer mon sperme en prodiguant des cunnilingus après avoir joui en elles… avec ma conjointe actuelle, c’est allé beaucoup plus loin : je savoure mon sperme coulant de son sexe, mais aussi de son anus… Ou bien parfois elle me fait des fellations et, sans avaler, vient m’embrasser la bouche pleine… Et si j’ai éjaculé sur sa peau, son ventre, ses seins, ses fesses, n’importe où, je nettoie avec ma langue… Pour résumer, je dirais que ça fait très, très longtemps que nous n’utilisons plus de mouchoir ou d’essuie-tout pour nous nettoyer après avoir fait l’amour, quel que soit l’endroit où j’ai joui…

d’accord, je comprends… je me permets de supposer que pour les doigts, c’est aussi votre conjointe…?

Oui, tout à fait… Ça a commencé avec une conjointe antérieure qui aimait me glisser un doigt dans l’anus pendant les fellations… Et avec ma conjointe actuelle, j’ai développé ce plaisir, et tout y passe : doigts, langues, jouets, objets de la vie de touts les jours…

D’accord, donc vous n’êtes pas bisexuel, excusez-moi pour ma question initiale…

hi hi hi… ce n’est pas ce que j’ai dit… je vous ai expliqué comment j’ai testé ces plaisirs pour les premières fois, mais j’ai sauté le pas par la suite pour en savoir encore plus… quel effet ça fait de recevoir du sperme en bouche? Est-ce que tous les spermes ont le même goût? Ça fait quoi d’avoir un vrai morceau de corps dans l’anus, et non juste un jouet en plastique? Et est-ce qu’on sent l’éjaculation dans une sodomie? J’avais plein de questions, et j’ai eu toutes les réponses…

avec l’assentiment de votre conjointe?

l’assentiment, les encouragements, la présence et même souvent la participation, oui.

vous êtes un couple très libre?

c’est une façon de voir les choses oui… on ne se cache rien, on sait tout ce que fait l’autre, et souvent c’est de toute façon les deux ensembles qu’on explore…

J’ai malheureusement dû couper la discussion, vu l’heure qu’il était…

Je suis désolé, mais il va falloir que je parte…

Ma cliente n’a pas hésité une seconde :

est-ce que vous seriez libre ce soir et cette nuit, pour le même tarif que la nuit que l’on vient de passer? J’aimerais revivre encore nos moments de cette nuit... Et parler, parce que j’adore nos discussions érotiques…

je suis désolé, ce soir je ne peux pas… demain soir si vous voulez, je suis disponible.

demain, donc vendredi…

Elle s’est mise à rougir :

si pour le quadruple de cette nuit je vous propose de rester avec moi de vendredi soir à lundi matin, trois nuits et deux jours, est-ce que vous seriez d’accord? Est-ce que vous seriez disponible?

avec plaisir…

 

Alors que j’étais à la porte de sa maison, elle m’a dit que tous les matins après son café elle va courir dans un parc à proximité; elle m’a demandé si je pourrais l’accompagné samedi et dimanche matin. J’ai dit que oui, que j’apporterai une tenue de sport...

Par Etienne - Publié dans : Scatologie
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Jeudi 21 décembre 4 21 /12 /Déc 22:26

Ma chérie me demandait depuis plusieurs semaines de surveiller la consistance de ce qui allait sortir de mon anus… Elle voulait qu’à un moment où notre amante n’est pas là (elle sait que ma chérie aime le scatologique, ça ne la dérange pas mais elle ne tient pas à être présente lors de ces moments) je lui fournisse un excrément d’une consistance solide. Une merde la plus longue et la plus dure possible.

 

Évidemment, ce n’est pas quelque chose qu’il est facile de contrôler. Quand nous étions seuls et que j’avais envie d’aller aux toilettes, parfois elle glissait un doigt en mois pour tester la texture, ou je me soulageais dans une assiette, sur son ventre, bref, quelque part où elle pouvait en vérifier l’état. Et enfin le jour est arrivé où il y a eu LE morceau qu’elle attendait tant… Je dois reconnaître qu’il était beau : vraiment dur, assez long et assez gros. Elle était ravie…

 

Elle ne m’avait pas dit pourquoi elle voulait tant que je lui fournisse un tel repas. Je dis repas, parce que je me doutais bien que c’était pour une expérience culinaire. Je ne m’étais pas trompé…

 

Il est arrivé pendant que l’on était en train de ramasser des feuilles dans le jardin, à la fin de cet automne. Sentant que j’avais envie d’aller aux toilettes, je lui ai demandé si elle voulait vérifier celui-ci avant, ou si elle préférait que je lui dise une fois qu’il serait sorti s’il semblait correct ou non. Elle m’a répondu avec son sourire coquin qu’une pause lui ferait du bien.

 

Nous avons eu quelques jours assez chaud en automne au Québec, et ce jour-là en était un. Ma chérie s’est assise sur une chaise longue, à enlever le haut qu’elle portait, puis son soutien-gorge, et s’est installée en position mi-allongée sur la chaise longue, le dossier légèrement redressé. Je me suis mis complètement nu, et je me suis placé debout au-dessus d’elle, une jambe de chaque côté de la chaise longue… je m’étais tourné le sexe vers son visage, mais elle m’a demandé de me mettre dans l’autre sens… Je me suis donc retourné, et je me suis penché en avant, mes mains posées sur ses cuisses… elle m’a fait me reculer un peu, a caressé mes fesses avec ses mains, puis a passé sa langue sur mon petit trou… Ça ne devait pas être la meilleure odeur du siècle étant donné que nous trimions dur dans le jardin depuis plusieurs heures déjà… mais elle s’en fichait… Elle m’a ensuite fait avancer un peu, et j’ai poussé… j’ai expulsé de mon petit trou l’objet du désir de ma chérie, que j’ai décrit plus haut… Elle l’a laissé tomber sur sa poitrine, entre ses seins, avant de le prendre en main et de constater qu’elle avait enfin ce qu’elle voulait…

 

Sans se rhabiller, elle est alors allée allumer le barbecue… Et elle y a fait cuir mon caca… C’est cela qu’elle voulait depuis si longtemps : une merde assez dure qui ne tomberait pas morceau sur la grille du barbecue…

 

Ma chérie était toute excitée… Pendant qu’il cuisait elle s’est agenouillée devant moi pour une fellation vraiment vorace… mon gland caressait le fond de sa gorge à chaque pénétration…

 

Quand elle s’est redressée pour vérifier que ça ne brûlait pas, je lui ai baissé son pantalon, sa culotte, et je l’ai prise, debout derrière elle… Je n’ai pas joui, elle m’a dit qu’elle voulait que je me préserve…

 

Lorsque la cuisson était parfaite selon elle, je suis allé chercher une assiette, un couteau et une fourchette. Elle a déposé l’objet de sa convoitise dessus, elle a attendu un peu que ça refroidisse…

 

Elle a enfin planté sa fourchette dedans… l’extérieur croustillait… Comme une saucisse cuite à point… Elle s’est régalée… Le plaisir se lisait dans son regard…

 

À la fin, alors qu’il ne restait plus qu’un morceau, elle m’a demandé de me mettre debout à côté d’elle… elle a pris mon sexe en main, puis en bouche… Ça n’a pas été long que je tapisse l’intérieur de sa bouche de sperme…

 

Elle s’est alors penchée au-dessus de ce qu’il restait de son repas, et elle a lentement laissé couler mon sperme dessus… Avant de piquer ce dernier morceau couvert de sauce « maison » avec sa fourchette et de l’avaler…

Par Etienne - Publié dans : Scatologie
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  • : Vivant de frustration sexuelle en frustration sexuelle, j'ai développé de nombreux, très nombreux et très variés fantasmes... Puis j'ai rencontré ma chérie actuelle : elle me comble sexuellement... Ce blog parlera donc des mes fantasmes passés, et des anecdotes croustillantes de ma vie sexuelle actuelle...
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