Partager l'article ! Scatologie : Prostitution - mon introduction à la scatologie - partie 1…: Vous le savez, ma chérie adore manger ce qui sort de mon anus. E ...
Vous le savez, ma chérie adore manger ce qui sort de mon anus. Elle en mange pendant des jeux sexuels, mais aussi en gâterie, un peu en tout temps… Elle en a toujours des petits morceaux dans le congélateur, qu’elle laisse fondre dans sa bouche quand elle en a envie…
De mon côté, même si je n’en mange pas, ça ne me dérange absolument pas de lécher quelque chose, comme un jouet ou un sexe, sortant d’un anus. Lorsqu’il y a de légères traces de caca sur un jouet par exemple, ça ne me dérange pas non plus qu’on le glisse dans ma bouche… Mais manger un morceau, un vrai, comme ma chérie, je ne l’ai jamais fait. Ou plutôt, je ne l’avais jamais fait…
Lors de notre période de prostitution, j’avais mis une annonce en ligne dans laquelle je disais que j’étais sans tabou. Une femme se décrivant comme ayant entre cinquante et soixante ans avait répondu par courriel à mon annonce en demandant si je pratiquais la scatologie. Je lui avais répondu que je suis « donneur » sans problème, pour un tarif raisonnable, tandis que si le but est que je sois le « receveur », c’était beaucoup plus cher… En répondant cela, ça me permettait de gagner du temps à deux sujets :
La demanderesse m’a alors répondu que l’argent n’était pas un problème, et qu’elle ne souhaitait rien d’autre que trouver un partenaire receveur; elle ne souhaitait pas de relation sexuelle. Elle disait aussi qu’il y avait une autre « contrainte » : cela devait se passer à 6h30 le matin.
J’en ai donc parlé à ma chérie avant de répondre, parce qu’avant de dire oui, il fallait bien que j’essaye d’en goûter, et qui d’autre que ma chérie pour m’aider à cela… Non seulement elle était partante pour m’aider à une première tentative, mais en plus elle en était très, très excitée… Elle m’a demandé si je voulais qu’elle se vide dans une assiette pour que je puisse ensuite en manger… Je lui ai répondu que non, que pour une première fois je préférais que ça passe directement de son anus à ma bouche, sans que je regarde vraiment à quoi ça ressemble (comme si je ne le savais pas…)…
Lorsque dans la journée elle a eu envie d’aller aux toilettes, elle m’a demandé de m’allongé au sol, et s’est accroupie au-dessus de mon visage… tous les deux nus… rien que de la voir s’accroupir au-dessus de moi m’a procuré une érection… Érection qui a perduré jusqu’à ce que « l’expérience » soit terminée, comme vous allez vous en rendre compte…
Je disais donc que ma chérie s’est accroupie au-dessus de mon visage… J’ai dû forcer pour me retenir de lécher son sexe luisant, parce qu’elle était tout aussi excitée que moi… Puis j’ai vu son anus s’ouvrir lentement… et là, je ne me suis plus retenu… j’ai posé ma langue doucement, délicatement sur le petit trou s’ouvrant…
Quelques instants plus tard, j’ai senti quelque chose pousser sur ma langue… son caca… c’était terriblement, mais terriblement excitant… Je me caressais en même temps… J’ai alors plaqué mes lèvres tout autour de son anus, bouche ouverte, et j’ai attendu que ça rentre en moi… ce qui a été le cas aussitôt… je ne savais pas si je devais croquer dedans pour le couper ou si je devais attendre qu’il cesse de sortir de l’anus de ma chérie… J’ai décidé de le couper… j’ai refermé ma bouche… et j’ai mâché ce que j’avais récupéré… En quelques bouchées, j’ai tout avalé… le goût n’était bon, mais ce n’était pas aussi mauvais que je ne le pensais… l’odeur est pire que le goût en fait…
J’ai aussitôt rouvert la bouche pour récupérer la suite du caca qui commençait à s’étaler sur mes lèvres… Avant que je n’avale cette partie, ma chérie s’est redressée, s’est empalée sur mon sexe, et s’est penchée vers mon visage, le regard pétillant, pour m’embrasser… Nos langues se sont trouvées dans un mélange de merde et de salive… En quelques secondes, elle a eu un orgasme… C’était la première fois, je crois, qu’elle goûtait à ses propres excréments (sauf pour de simple trace sur mon sexe ou sur des jouets)…
Toujours sur moi, elle m’a demandé comment j’ai trouvé ça… honnêtement? Ce n’était pas vraiment bon, mais ô combien excitant… Je lui ai dit que j’étais prêt à réessayer dès qu’elle le pourra…
Dans les trois jours qui ont suivi, j’ai donc mangé beaucoup d’aliments transformés et digérés… Pour en venir à la conclusion que le goût n’est pas fantastique, mais que le plaisir sexuel associé à l’acte est plus fort que le goût déplaisant… Et que si en plus on me propose une belle somme d’argent, je pourrais le faire avec une inconnue…
Comme je n’avais pas répondu aussitôt à ma future cliente, elle m’avait réécrit disant quel montant elle serait prête à payer pour l’acte, et c’était un très, très bon montant... J’ai fini par répondre que j’étais d’accord… Elle m’a alors demandé combien je gagnais en une nuit. Je lui ai répondu que ça dépend des fois, en donnant une fourchette de prix approximative, tout dépendant du nombre de clients ou de ce que veulent les clients. Elle m’a alors écrit ceci :
« Mon mari est décédé il y a maintenant 4 ans. Nous étions mariés depuis 24 ans, et chaque matin, au réveil, je m’asseyais sur son visage pour faire mon gros besoin. Parfois nous faisions l’amour, mais la plupart du temps c’était juste ce plaisir-ci. Si je vous acceptez de venir dormir chez moi, sans que vous ayez à me faire l’amour, mais juste pour que je puisse reproduire la scène du déjeuner (c’est comme cela que nous l’appelions entre nous, « la scène du déjeuner ») dès le réveil, aussi naturellement que possible, je vous payerais xxxx $ de plus. Est-ce que cela vous convient? Si cela vous est impossible, vous pourriez vous présenter à mon domicile à 6h20 pour vous coucher prêt de moi, mais je vous avouerais que ce serait moins naturel… »
J’ai acquiescé à sa demande.
Quelques jours plus tard, je me suis donc présenté chez elle, un soir, vers 21h. C’était une jolie maison unifamiliale, clairement quelqu’un qui a effectivement une certaine aisance financière. Je dis maison, mais je devrais plutôt dire manoir, dans un quartier riche de Montréal…
Sans être une femme très belle, j’ai quand même été chanceux : elle avait une silhouette svelte, et il s’agissait de quelqu’un qui prenait clairement soin de son corps, donc même s’il ne correspondait pas vraiment à ce que j’aime vraiment du corps d’une femme, je savais que je ne serais pas rebuté le moment venu.
Elle était très gênée lorsque je suis arrivé, comme souvent avec mes client(e)s. Elle m’a proposé quelque chose à boire, puis on s’est assis, et on a discuté, un peu de tout et n’importe quoi. Elle m’a beaucoup parlé de son mari décédé d’un cancer quatre années auparavant, et a essayé de justifier pourquoi elle voulait reproduire « la scène du déjeuner ». Pour résumer, cette année le jour anniversaire de son décès elle s’est dit qu’elle aurait aimé lui rendre hommage en reproduisant cette action peu commune… Elle aurait voulu que ce soit fait le jour de l’anniversaire, mais il n’y a pensé que ce jour-là, donc trop tard. Je trouve un peu « étrange » de vouloir rendre hommage en partageant avec un inconnu un moment intime unique qu’elle vivait avec son mari, mais c’était son choix.
Elle m’a dit qu’elle avait eu peur que je refuse, parce que j’avais mis du temps à répondre. Elle m’a dit que plusieurs avant moi avaient refusé… J’ai été très honnête : je lui ai dit clairement que je n’avais jamais essayé cette pratique, et qu’avant de dire oui je voulais être sûr d’être capable de l’accomplir professionnellement, avec qualité, donc que je voulais essayer avec ma conjointe avant de donner une réponse.
Elle m’a alors demandé quel genre de relation j’avais avec ma conjointe, étant un gigolo. Comment elle le prenait. C’était rare que je parle de moi à mes clients, mais avec elle ça ne me déplaisait pas… Je lui ai dit presque toute la vérité : je lui ai dit que pour accomplir notre rêve nous avions besoin d’argent, et que nous avions décidé de nous prostituer tous les deux, tout en continuant nos emplois « normaux ». Donc l’un comme l’autre nous vivions la même chose.
Elle est ensuite revenue au sujet de la scatologie… Elle m’a demandé si j’avais aimé l’expérience avec ma conjointe. J’ai répondu ce que vous savez déjà : que le goût n’est pas excellent, mais que l’excitation liée à l’acte domine largement sur le goût plus ou moins agréable… Elle a souri… Elle m’a raconté qu’au début, c’est son mari qui a insisté pour essayer… Elle m’a raconté en rougissant qu’un jour, au début de leur relation, elle a demandé à son mari, qui ne l’était pas encore à cette époque, pourquoi il allait toujours aux toilettes juste après qu’elle y soit allée… Elle m’a dit qu’au début il détournait le sujet, mais un jour, devant son insistance, il a avoué qu’il adorait l’odeur… Et de fil en aiguille, il a dit qu’il adorerait y goûter, ce qui s’est terminé par l’élaboration rituelle de la « la scène du déjeuner »… Elle m’a dit que cet acte était complètement dénué de notion sexuelle, qu’il ne se passait rien de plus que l’ingestion à ce moment là…
Elle m’a ensuite demandé comment ma chérie a pris le fait que je lui demande de me faire essayer cet acte. Est-ce qu’elle était dégoûtée au premier abord? J’ai ri en lui répondant que non, au contraire : depuis longtemps déjà elle adorait manger mes excréments, et que le fait d’inverser les rôles était quelque chose qui lui a terriblement plu… Je lui ai dit que pour l’urine, nous partagions ce plaisir à deux, mais que pour le caca, seule ma chérie aimait en manger. Jusqu’à présent…
Elle a alors enchainé sur l’uro… Elle a réfléchi quelques instants en disant qu’elle ne l’avait jamais pratiqué… Je vous avoue que j’ai été un peu surpris : faire du scato sans aimer l’uro? Je lui en ai fait la remarque. Elle m’a alors répondu que ce n’est pas qu’elle n’aime pas, c’est qu’il ne lui avait jamais été venu à l’esprit d’essayer… Elle m’a demandé de quoi ça se rapproche le plus comme goût. Je l’ai regardée droit dans les yeux et j’ai dit : « pourquoi ne pas simplement essayer pour le savoir? »
Elle a baissé les yeux… Puis elle a murmuré un « pourquoi pas… ».
Je me suis alors mis debout. Depuis le temps que l’on buvait ensemble, j’avais très envie d’uriner… J’ai pris mon verre à vin, je l’ai fini, puis j’ai baissé ma braguette et sorti mon sexe… Elle était fascinée… elle m’a regardé placer le verre devant mon gland, puis j’ai uriné contre la paroi à l’intérieur du verre pour le remplir sans que ça éclabousse…
Lorsque le verre a été à moitié rempli, j’ai stoppé mon jet, et je le lui ai tendu… Elle l’a d’abord senti… puis a trempé ses lèvres dedans… puis sans me regarder elle a bu une première gorgée… une seconde… un troisième… jusqu’à ce que le verre soit vide…
Lorsqu’elle a levé les yeux vers moi, un peu intimidée, j’ai dit : « il semblerait que ça vous a plu… ». Elle a fait oui avec la tête… Je lui ai demandé si elle en voulait d’autre… Elle a refait oui avec la tête… Mais il y a eu un problème… La voir boire mon urine m’a excité, comme vous devez vous en douter… Sans être en pleine érection, mon sexe n’était plus orientable vers le bas facilement, donc je savais qu’il serait très difficile de remplir le verre…
J’ai dit à ma cliente qu’il allait falloir attendre un peu que mon érection retombe… Je n’ai pas osé lui proposer de boire directement à mon sexe… Je me suis rassis sur le divan, mon sexe sorti, dressé… au lieu de se réduire, mon érection est devenu complète… Et ce qui ne m’a pas aidé, c’est que ma cliente m’a dit : « je sais que j’avais mentionné qu’il n’y aurait pas de relation sexuelle, mais est-ce que je peux le caresser…? ».
Quelques instants plus tard elle était assise à côté de moi, son verre de vin dans une main, mon sexe dans l’autre, à le caresser lentement, presque négligemment…
Après un long silence, elle m’a dit qu’elle n’avait pas touché de sexe depuis celui de son mari… et qu’elle appréciait beaucoup le moment…
Après un autre long silence où elle n’a fait que me caresser toujours de cette façon légère, je lui ai proposé de se déshabiller… pas nécessairement pour faire l’amour, mais pour qu’elle aussi puisse profiter d’une caresse comme celle qu’elle me prodigue…
Elle n’a pas répondu tout de suite…
Elle a fini par se pencher vers mon sexe, et à déposer un baiser sur mon gland… Juste un baiser, très simple, du bout des lèvres… Elle s’est ensuite mise debout et m’a dit qu’elle allait revenir tout de suite…
Elle est revenue, habillée différemment… Elle avait troqué ses habits contre un peignoir… Elle m’a dit : « Vous m’avez donné l’envie de sentir vos mains sur mon corps, mais je ne me sens pas prête à être nue devant vous pour le moment… avec le peignoir il sera aisé pour vous de me caresser sans que je me dévoile… je suis consciente que c’est assez contradictoire avec la raison pour laquelle je vous ai… [elle a hésité sur le terme] contacté mais… ». Elle n’a pas terminé sa phrase… Je lui ai fait comprendre que ça ne me dérangeait pas du tout, et elle est revenue s’asseoir contre moi, sa main reprenant les caresses là où elles les avaient laissées…
Malheureusement assis ainsi, il m’était impossible de glisser une de mes mains là où je le voulais… J’ai réussi à en faufiler une dans l’échancrure de son peignoir, au niveau de sa poitrine, mais mon bras était dans une position qui était tout sauf naturelle et confortable…
N’arrivant pas à trouver un moyen de caresser son corps convenablement, je me suis levé… Je lui ai demandé de s’allonger sur le divan, ce qu’elle a fait avec un petit sourire gêné… J’ai touché son pied d’une main… puis je suis remonté, doucement, le long de son mollet puis de sa cuisse, en faisant bien attention de ne pas ouvrir plus que nécessaire le peignoir…
Je sentais son corps trembloter et frémir lors de cette remontée… Lorsque je suis arrivé au niveau de son bas ventre, elle a elle-même écartée un peu ses cuisses, m’indiquant clairement que ma main était la bienvenue quelques centimètres plus bas…
Je m’attendais à croiser quelques poils pubiens, mais il n’y avait absolument rien… Rien, sauf un sexe humide qui semblait attendre que je m’occupe de lui…
Tout en lui caressant son entre-jambes, de mon autre main je lui caressais les seins par l’échancrure du peignoir…
J’ai joué ainsi pendant de nombreuses minutes… elle gémissait, elle se tortillait… elle semblait avoir beaucoup de plaisir…
Lorsque j’ai senti que sa main cherchait à se saisir de mon sexe, sans cesser de la caresser et de la doigter entre les jambes, j’ai retiré le linge que je portais… elle s’est alors mise à me caresser les fesses, le ventre, mon sexe, mes testicules… mais toujours avec cette même légèreté surprenante… par moment elle « tirait » mon sexe vers sa bouche, mais jamais pour plus qu’un baiser dessus…
Ma main fatiguant, j’ai fini par prendre une pause… j’ai retiré mes doigts de son sexe… ils étaient très juteux, avec des filaments de sécrétion entre eux… Un par un, je les ai léchés sans quitter des yeux ma cliente…
Elle s’est alors rassise sur le divan, a replacé son peignoir… Elle m’a demandé timidement si je pouvais remettre mon boxer, soit disant parce qu’elle trouve plus excitant un homme en sous-vêtement que nu. C’est possible, puisque moi aussi je trouve une femme plus excitante dans de beaux sous-vêtements ou en maillot de bain que nue, mais je pense aussi que la situation la mettait mal à l’aise…
Elle m’a proposé à nouveau quelque chose à boire… j’ai pris un verre d’un délicieux cocktail dont j’ignore le nom, mais c’était très fruité, très bon… elle m’a accompagné en s’en faisant un aussi, mais elle a aussi précisé que dès que j’étais prêt, elle reprendrait bien un verre de mon cru personnel…
Pendant ce temps, nous avons continué à bavarder, et j’ai compris quelque chose : elle était beaucoup plus à l’aise à parler scatologie et urologie qu’actes sexuels comme on les définit généralement. En effet, elle m’a posé plein de questions sur mes pratiques de l’uro de la scato, elle m’a demandé si j’avais des anecdotes à ce sujet, mais dès que les discussions s’orientaient vers ce que je faisais autour (pénétration vaginale, sodomie, fellation, cunnilingus, qui accompagnent souvent mes pratiques non conventionnelles), elle rougissait et baissait les yeux… Un des exemples est le suivant : quand je lui ai dit que parfois l’urine sert à « nettoyer » le visage de ma chérie couvert de sperme, elle semblait gênée. Mais quand je racontais que l’on avait parfois une bouteille remplie d’urine dans le frigo pour en consommer comme si on buvait de l’eau, elle était beaucoup plus prompte à parler, à demander des précisions…
Lorsqu’enfin j’ai à nouveau eu envie d’uriner, ma cliente m’a dit qu’elle allait me donner un verre plus grand que le verre que j’avais entre les mains… Et effectivement, c’était plus grand : un vrai gros buck de bière! Si vous vous souvenez du début de l’article, j’avais dit que j’avais arrêté d’uriner lorsque le premier verre, un verre de vin de taille modeste, était à moitié rempli. Après cela, je n’ai pas réuriné, mais on a bu pas mal de liquide… Et bien j’ai encore dû m’arrêter, parce que si j’étais allé jusqu’au bout il y aurait eu des éclaboussures partout, et probablement même que ça aurait débordé…
Elle a pris le buck par la poignée… l’a approché de son nez… a respiré l’odeur de l’urine, avec un grand sourire… a trempé une fois encore le bout des lèvres dedans… puis a avalé une gorgée… puis je ne sais combien de gorgées, mais elle a vidé le verre d’un seul coup… Je n’en revenais pas…
Elle m’a demandé innocemment si moi aussi j’avais envie de boire de l’urine, son urine… j’ai dit que j’adorerais ça… Elle s’est alors levée, a pris le verre, et s’est dirigée vers la salle de bain… Je l’ai interrompue en lui disant : « J’ai vu le plaisir que vous avez eu à me regarder remplir le verre… c’est pareil pour moi, j’ai énormément de plaisir à regarder… est-ce que vous seriez d’accord pour remplir le verre devant, sous vous mettre nue complètement si vous ne le voulez pas, juste en écartant le bas du peignoir…? »
Elle a été hésitante… puis finalement elle est revenue devant moi… Elle a écarté son peignoir… plié les genoux… elle a mis le buck entre ses jambes, et s’est laissée aller… j’ai vu le liquide jaune, légèrement mousseux, monter petit à petit… J’ai sorti mon sexe de mon boxer pour me masturber lentement en la regardant faire…
Elle s’est arrêtée d’uriner en disant : « des éclaboussures mes souillent, je ne veux pas en mettre parterre… ». Elle m’a alors tendu le verre, tout en se redressant complètement… Je lui ai dit merci, en précisant que j’aimerais qu’elle reste debout… je me suis assis au sol, j’ai écarté son peignoir lentement, pour ne pas la brusquer… et j’ai léché chaque éclaboussure dont elle parlait, sur l’intérieur de ses cuisses… Et j’ai fini, comme elle l’a fait elle-même sur mon sexe, par un baiser le sien… Rien de plus, même si j’avais terriblement envie de me servir de ma langue là aussi…
Je me suis réinstallé sur le divan, le buck dans la main… et j’ai commencé par boire par petite gorgée… pendant ce temps là, elle s’est agenouillée devant moi… Elle a continué la masturbation que j’avais commencée…
Elle a levé les yeux vers moi, puis m’a posé cette question surprenante : « est-ce que tout ce qui sort d’un sexe est aussi… exquis que l’urine? » J’avais avalé l’urine que j’avais en bouche et j’ai répondu : « vous n’avez jamais goûté au sperme…? ». Elle a fait non avec la tête… sans poser d’autres questions, je lui ai alors dit : « si vous voulez goûter, ne vous gênez pas… »
Elle a souri… a continué à me masturber… puis ses lèvres sont venues en renfort de sa main… elle a pris pour la première fois mon gland à pleine bouche…
Petit à petit, sa main ne m’a plus masturbé… Elle ne servait qu’à tenir la base de mon sexe, ses lèvres montant et descendant le long de ma verge… et tout en continuant à boire l’urine dans le buck à petites gorgées, j’ai joui dans sa bouche… Elle a eu un petit moment de surprise, puis a continué les va-et-vient…
Lorsqu’elle a cessé, mon sexe était parfaitement propre, et mes testicules parfaitement vides… Elle m’a dit : « c’est tout aussi délicieux… » Je l’ai regardée, et j’ai répondu : « oui, c’est aussi mon avis… ».
Elle s’est remise debout, puis s’est assise à côté de moi… J’ai posé le buck pour reprendre le cocktail que je n’avais pas fini de boire, puis j’ai dit : « Excusez-moi de poser la question, mais vous pratiquiez la scatologie sans jamais avoir goûté à du sperme? Je sais que les deux ne sont pas liés, mais je pensais que toute personne ayant goûté à des excréments aurait au moins goûté par curiosité, même si c’est pour finalement ne pas aimer, du sperme… Je pensais, peut-être naïvement, que quelqu’un prêt à goûter quelque chose d’aussi ‘dégoûtant’ que des excréments ne serait pas gêné à goûter au sperme… »
Elle m’a souri, puis m’a répondu : « mon mari et moi avions une sexualité très basique… on touchait nos corps, nos parties génitales avec nos mains, mais on ne faisait l’amour que sexe à sexe… pas de sexe oral, ni de sexe anal… bien entendu, lorsqu’il me mangeait le matin parfois sa bouche effleurait mon sexe et mon anus, mais jamais il n’y est allé délibérément… »
Nous avons continué à parler un peu de tout et de n’importe quoi… Puis comme il commençait à être vraiment tard, nous sommes allés au lit… Elle m’a demandé d’y aller en premier, puis elle m’a rejointe, après avoir passé presque 10 minutes dans la salle de bain…
Elle s’est glissée sous les draps, nue, mais je n’ai pas vu son corps… Je n’ai pu que distinguer la forme générale de son corps… si j’ai deviné qu’elle était nu, c’est parce que j’ai pu voir le profil d’un de ses tétons, découpé dans l’obscurité… rien de plus…
Je lui ai demandé si elle avait mis un réveil pour 6h30 le lendemain matin, puisque c’est à cette heure là qu’elle souhaite procéder à son petit plaisir, mais elle m’a répondu que ce n’est pas le peine : depuis aussi longtemps qu’elle se souvienne, elle s’est toujours réveillée aux alentours de 6h30, avec comme première envie celle de faire caca… Ça ne lui arrive qu’une fois par jour, tout le temps à cette heure là… Sauf quand elle est malade…
Nous étions tous les deux au lit, allongés sur le dos, sans vraiment se parler… je ne m’endormais pas, et visiblement elle non plus… Je me suis alors tourné vers elle, et sans lui demander son avis j’ai couvert son épaule de petits bisous… de son épaule, j’ai dévié vers son cou… Elle ne disait rien… Elle a levé le menton pour me faciliter l’accès… Comme elle semblait partante, je suis descendu… j’ai embrassé ses seins… joué avec ses tétons… puis j’ai continué… jusqu’à me retrouver entre ses jambes, complètement sous les draps, son clitoris sur le bout de ma langue…
Et j’ai joué… j’ai beaucoup joué… avec ma langue et mes doigts sur son clitoris, dans son sexe… sa main était dans mes cheveux… j’ai continué l’exploration… par moment je donnais des petits coups de langue un peu plus bas que son sexe… loin de m’en vouloir, elle a même levé les jambes pour m’offrir un accès au petit trou qui au réveil se videra dans ma bouche… en attendant, je l’ai beaucoup léché… et plus encore… je l’ai visité avec d’abord un doigt, puis deux… tout en lui léchant le clitoris…
Ma cliente se trémoussait dans tous les sens, gémissait énormément… elle semblait adorer tout ce que je lui faisais…
J’ai vraiment joué très longuement entre ses jambes… Tellement longuement qu’après un certain temps ce sont quatre doigts que j’ai réussis à glisser en elle, dans son sexe… Elle en criant littéralement de plaisir… Je crois qu’une femme aussi « bruyante », c’était une de mes premières fois… Je sais que c’était des cris de plaisir, car dès que je retirais un peu ma main elle me demandant de la remettre encore…
Et finalement, encore un peu plus tard, mon bras semblait s’arrêter à mon poignet : ma main au complet était en elle… sans faire de va-et-vient, je ne pouvais entrer plus en profondeur, je m’amusais à faire bouger mes doigts en elle… simplement les écarter, les plier…
J’ai fini par lui dire que ma main au complet était en elle, parce que je ne savais pas si elle en avait conscience… Et effectivement, elle n’en avait pas conscience… à tâtons elle a saisi mon bras avec sa main pour remonter vers ma main, pour constater qu’elle ne pouvait pas la toucher, parce que oui, elle était complètement en elle… elle a ri…
Je lui ai demandé si elle voulait le voir de ses propres yeux… elle a allumé la lumière de la table de chevet, s’est redressée, et a constaté la situation… elle avait un grand sourire… elle a éteint la lumière, s’est rallongée, et a dit : « est-ce que vous pourriez la sortir puis la rentrer à nouveau…? »
J’ai bien évidemment acquiescé à sa demande…
Le temps où la lumière est restée allumée, j’ai remarqué une très grande quantité de sécrétion blanche tout autour de mon poignet, de son sexe… j’ai collé ma langue à la jonction de mon bras et de sa chatte, et du bout de la langue j’ai récupéré un peu de cette sécrétion… c’était épais, visqueux, salé… j’ai adoré…
En faisant plein de petits va-et-vient, j’ai réussi à sortir ma main, en faisant gémir sans cesse ma cliente… j’ai alors approché ma bouche de son sexe et j’ai littéralement avalé ses sécrétions… c’était terriblement excitant…
Pendant que je savourais cela, je lui glissais un doigt dans l’anus… Puis elle a dit : « encore la main, s’il vous plait »…
Alors j’ai recommencé…
Plusieurs fois j’ai entré ma main au complet, pour la ressortir puis la rerentrer… j’ai savouré beaucoup d’elle…
Quand enfin j’ai cessé, je me suis rallongé à côté de me cliente… Elle était épuisée, mais heureuse… elle s’est blottie contre moi, et s’est endormie… je l’ai suivi dans les bras de Morphée peu de temps après…
J’ai été réveillé par des caresses sur mon torse… J’ai ouvert les yeux… ma cliente était appuyée sur son coude, tournée vers moi… Elle m’a souri et m’a demandé si j’ai bien dormi… Oui, bien dormi, mais pas beaucoup… on s’est vraiment endormi tard avec nos « folies » de la veille… elle a ri, puis a murmuré : « êtes-vous prêt…? ».
À mon tour j’ai ri et j’ai répondu « prêt et très excité à l’idée de ce qui va se passer… », tout en dégageant les draps pour lui montrer l’érection matinale que j’avais…
Elle a posé sa main sur mon sexe… a pris mon gland en bouche, lentement, sensuellement, puis s’est agenouillée au-dessus de mon visage, délaissant ma verge…
Étant donné qu’il faisait jour dehors, j’avais une vision claire de ses fesses, de son anus… Au Québec, il n’y a pas de volet, juste des rideaux, pas toujours très opaques, comme c’était le cas dans sa chambre…
Agenouillée au-dessus de mon visage, elle a écarté ses fesses, pour bien libérer son anus… et je l’ai vu s’ouvrir lentement, par à-coups… Quand quelque chose a commencé à apparaître, j’ai collé ma bouche à son petit trou… j’ai senti sa production glisser dans ma bouche, contre ma langue… Quand j’ai considéré en avoir un morceau assez conséquent en moi, j’ai croqué pour le couper, je l’ai mâché et je l’ai avalé en quelques gorgées… J’ai rouvert la bouche, pour récupérer ce qui commençait à s’accumuler sur mes lèvres… et j’ai procédé de la même façon à deux autres reprises, jusqu’à ce qu’elle soit vide…
Sa merde était dure, ferme… J’aurais pu jouer avec si on l’avait voulu, faire une « fellation » à ce qui sortait de son anus… surtout que j’ai trouvé le goût meilleur que celui de ma chérie… J’imagine que c’est dû à la différence de régime alimentaire… ma cliente avait l’air plutôt végétarienne / granola…
Aussitôt vidée, elle s’est penchée en avant pour prendre mon sexe en bouche… Son premier 69 je suppose…
De mon côté, l’objet de mon désir n’était pas son sexe, mais son anus… je l’ai léché avec application, puis j’y ai glissé un doigt… je peux vous confirmer qu’elle était parfaitement vide! J’ai réussi à lui dilater l’anus jusqu’à trois doigts… comme la veille avec son sexe, elle y mettant du sien pour m’aider à aller plus loin en elle : elle poussait fort contre mes doigts, dans en savourant ma bite…
De ma langue, j’essayais en même temps de caresser son sexe, mais on bougeait tellement que ce n’était pas évident…
Puis au bout d’un certain temps elle m’a dit : « éjaculez dans ma bouche, je vous en prie »… C’est rare que je me fasse vouvoyer par quelqu’un qui a mon sexe en bouche, quelqu’un à qui j’ai défoncé la chatte la veille… ça avait un côté inhabituel…
Mais bien sûr j’ai donné suite à son désir… peu de temps après elle savourait ma production matinale, avec trois doigts dans son anus, et trois dans sa chatte…
Après avoir satisfait ses désirs du matin, ma cliente m’a demandé si j’étais pressé de partir. Je lui ai dit que je travaillais (et oui, nous continuions quand même notre travail ‘légal’ pendant cette période), donc que je devais partir à 8h au plus tard… Elle a regardé l’heure et a dit que ça me laisse le temps de me prendre une douche si je le souhaite, et de partager un café avec elle… J’ai dit oui pour la douche, mais non pour le café, parce que je n’en bois pas… Par contre je lui ai dit que si elle avait du thé, ça me ferait plaisir…
Avant de quitter la chambre, alors que j’étais debout devant la porte, nu, je me suis tourné vers la maitresse de maison et je lui ai demandé : « voulez-vous que je vous resserve un verre…? », en pointant mon sexe du doigt…
Elle a dit un « Oh oui » très vigoureux… Elle n’a pas voulu sortir du lit, je suppose parce qu’elle était mal à l’aise encore de se montrer nue devant moi, donc elle m’a indiqué où est-ce que dans la cuisine je trouverais un verre…
J’ai pris le plus grand que j’ai trouvé, je le lui ai rempli puis je l’ai laissé sur le comptoir, le temps d’aller prendre ma douche…
Quand j’ai rejoint ma cliente dans la cuisine après m’être lavé, le verre était dans l’évier, déjà vide… Quand elle a vu mon regard vers le verre, elle m’a dit : « C’était différent d’hier… un peu plus salé… J’ai beaucoup aimé aussi… »
Elle m’a tendu une tasse de thé, et nous nous sommes assis de chaque côté de l’ilot de cuisine. Alors que l’on buvait en silence, elle a murmuré une première question, qui a conduit à un dialogue que je vous retranscris à peu près ici (à peu près, car il remonte à plusieurs mois quand même…) :
est-ce que je peux vous poser une question…?
oui, bien sûr.
êtes-vous bisexuel?
Alors que j’allais répondre, c’est elle qui a enchainé, semblant gênée d’avoir osé poser la question…
excusez-moi, je n’aurais pas dû vous poser cette question personnelle…
non non, ne vous inquiétez pas, il n’y a aucun problème à ce que je réponde à cette question…
c’est parce qu’hier, quand j’ai dit que le sperme était délicieux, vous avez acquiescé… et ce matin, quand j’ai dit que sentir des doigts en moi, vous savez, dans mon anus, c’était très agréable, et que j’ai dit que vous ne pouviez pas imaginer à quel point ça l’est, vous avez répondu que vous le saviez…
J’ai souri…
il n’y a pas besoin d’être bisexuel, pour un homme, pour connaitre ces plaisirs-là… La première fois que j’ai goûté à mon sperme, je n’étais même pas majeur, et j’étais même encore vierge… je me masturbais beaucoup à l’époque, et un jour je me suis dit que je devrais y gouter… ce que j’ai fait… et j’ai aimé… Puis en évoluant, avec les conjointes que j’ai eues, j’ai pris goût à savourer mon sperme en prodiguant des cunnilingus après avoir joui en elles… avec ma conjointe actuelle, c’est allé beaucoup plus loin : je savoure mon sperme coulant de son sexe, mais aussi de son anus… Ou bien parfois elle me fait des fellations et, sans avaler, vient m’embrasser la bouche pleine… Et si j’ai éjaculé sur sa peau, son ventre, ses seins, ses fesses, n’importe où, je nettoie avec ma langue… Pour résumer, je dirais que ça fait très, très longtemps que nous n’utilisons plus de mouchoir ou d’essuie-tout pour nous nettoyer après avoir fait l’amour, quel que soit l’endroit où j’ai joui…
d’accord, je comprends… je me permets de supposer que pour les doigts, c’est aussi votre conjointe…?
Oui, tout à fait… Ça a commencé avec une conjointe antérieure qui aimait me glisser un doigt dans l’anus pendant les fellations… Et avec ma conjointe actuelle, j’ai développé ce plaisir, et tout y passe : doigts, langues, jouets, objets de la vie de touts les jours…
D’accord, donc vous n’êtes pas bisexuel, excusez-moi pour ma question initiale…
hi hi hi… ce n’est pas ce que j’ai dit… je vous ai expliqué comment j’ai testé ces plaisirs pour les premières fois, mais j’ai sauté le pas par la suite pour en savoir encore plus… quel effet ça fait de recevoir du sperme en bouche? Est-ce que tous les spermes ont le même goût? Ça fait quoi d’avoir un vrai morceau de corps dans l’anus, et non juste un jouet en plastique? Et est-ce qu’on sent l’éjaculation dans une sodomie? J’avais plein de questions, et j’ai eu toutes les réponses…
avec l’assentiment de votre conjointe?
l’assentiment, les encouragements, la présence et même souvent la participation, oui.
vous êtes un couple très libre?
c’est une façon de voir les choses oui… on ne se cache rien, on sait tout ce que fait l’autre, et souvent c’est de toute façon les deux ensembles qu’on explore…
J’ai malheureusement dû couper la discussion, vu l’heure qu’il était…
Je suis désolé, mais il va falloir que je parte…
Ma cliente n’a pas hésité une seconde :
est-ce que vous seriez libre ce soir et cette nuit, pour le même tarif que la nuit que l’on vient de passer? J’aimerais revivre encore nos moments de cette nuit... Et parler, parce que j’adore nos discussions érotiques…
je suis désolé, ce soir je ne peux pas… demain soir si vous voulez, je suis disponible.
demain, donc vendredi…
Elle s’est mise à rougir :
si pour le quadruple de cette nuit je vous propose de rester avec moi de vendredi soir à lundi matin, trois nuits et deux jours, est-ce que vous seriez d’accord? Est-ce que vous seriez disponible?
avec plaisir…
Alors que j’étais à la porte de sa maison, elle m’a dit que tous les matins après son café elle va courir dans un parc à proximité; elle m’a demandé si je pourrais l’accompagné samedi et dimanche matin. J’ai dit que oui, que j’apporterai une tenue de sport...