J’ai une amie que j’adore. Une vraie amie au sens conventionnel du terme, il n’y a absolument rien de sexuel entre elle et moi. C’est une femme dont j’étais très très proche il y a de cela 10 ans, on se voyait quasiment tous les jours, on rigolait beaucoup, on se confiait, une vraie amie. Jamais ce n’est allé plus loin entre nous. Elle n’a jamais mentionné le fait qu’elle aimerait que ça aille plus loin, et moi non plus.
C’est une femme avec un corps particulier. Extrêmement sportive, des épaules larges et musclées (sans être boby buildeuse pour autant!), un ventre plat et ferme, des cuisses musclées, des fesses musclées, bref, une femme avec extrêmement peu de gras sur le corps. Cela dit, je ne peux pas dire qu’elle soit « belle » pour autant. Sans être excessivement musclé, elle fait un peu « camionneuse ». Que ce soit à cause de son corps ou de son attitude.
Elle possède aussi un joli visage, mais sans pour autant qu’il est un charme fou. Il faut bien la connaitre pour passer outre son côté « bête ».
Tout cela étant dit, je dois quand même reconnaitre que j’ai fantasmé sur elle pendant un bout de temps. Je n’aurais pas voulu une relation amoureuse avec elle, mais la baiser, en plus de notre amitié, ça aurait été avec plaisir. Je ne le lui ai jamais proposé, parce que je la connaissais très bien : aucun rapport sexuel avant une relation amoureuse d'au moins un ou deux mois.
Au début ce fantasme était inexistant. Mais un jour où nous nous sommes retrouvés à une fête où il y avait une piscine, c’est là que j’ai vraiment découvert son corps. Sa musculature. Mais aussi ses seins. Elle a une poitrine très généreuse, presque trop par rapport au reste de son corps, en terme de proportion. Je ne l’avais jamais remarqué avant, parce qu’elle ne s’habille pas vraiment avec des vêtements serrés.
Maintenant que j’ai établi le portrait de cette amie, que je vais appeler Aurélie, voici pourquoi je vous parle d’elle.
Je ne l’ai pas vu depuis presque 4 ans, même si on se texte régulièrement. On a chacun nos vies, et même si parfois on a essayé d’organiser quelque chose, c’est toujours tombé à l’eau.
La semaine dernière je savais que j’étais dans le quartier où elle habite. J’étais à pied car je m’étais garé pour faire des courses, et c’est là que je l’ai vue sortir de Tim Hortons. Je l’ai rattrapée, et comme dans le bon vieux temps je l’ai prise par la taille en rigolant et en lui disant « Salut!! ». Et surprise… Ce n’était pas elle, mais une femme qui lui ressemblait énormément.
Évidemment, j’étais très, très gênée… Je lui ai expliqué mon erreur, elle a ri, puis on a commencé à parler un peu. Quelques minutes plus tard, on était assis dans ma voiture à discuter, elle buvait son café chaud.
Ça n’a pas duré une heure, puis je l’ai ramenée chez elle. Elle était à pied, moi en voiture, elle devait prendre le bus pour retourner à son domicile, donc je lui ai naturellement proposé de remplacer le bus.
Une fois devant chez elle, elle m’a demandé si je voulais monter, et vous vous en doutez, peu après nous étions dans son lit à baiser.
Je ne vous décrirai pas comment ça s’est passé, il n’y a rien de particulier à signaler (ça a été très agréable quand même!). C’est la remarque de ma partenaire à la fin qui est intéressante. Elle m’a dit : « Tout le temps où tu m’as baisée, tu imaginais que j’étais elle, ton amie? ».
Elle n’a pas dit ça sur un ton réprobateur, ni fâché. En fait, elle souriait presque en me le faisant remarquer.
Je n’ai pas cherché à mentir, et j’ai dit oui, en effet. Et c’était 100% vrai. J’imaginais avoir entre mes mains le corps musclé de mon amie, ses seins généreux… Le visage de ma partenaire du moment ressemblait énormément à celui de mon ami, et son corps avait la même taille, tout en étant différent : moins musclé, plus « féminin ».
Elle m’a alors demandé ceci : « Est-ce qu’on pourrait se revoir, et cette fois-là, tu me baiseras en pensant à moi, et non à elle? ».
Je lui ai répondu que l’on pouvait recommencer aussitôt si elle le voulait. Elle a ri m’a demandé : « Ah oui? ». Ce à quoi j’ai très pertinent répondu : « Oh oui! ».
Et là, je dois dire que l’on est passé d’une baise qui avait été, selon moi, très agréable, à une baise extrêmement jouissive. Plusieurs préservatifs y sont passés, des alternances de fellations, cunnilingus, pénétrations, jeux de mains… Il n’y a pas eu de sodomie, mais je dois quand même avouer que je me suis amusé à titiller son anus avec ma langue et avec mes doigts, et qu’elle n’a pas dit non une seule fois. Au contraire, ses gémissements augmentaient.
Ça a duré très longtemps, et ça s’est terminé nos deux corps trempés de sueur. Sans lui dire clairement que j’aimais la sueur sur un joli corps, j’ai quand même à plusieurs reprises savouré le produit de ses efforts en embrassant/léchant intensivement son cou, le bas de son dos, des endroits où le corps sue beaucoup…
Durant cette seconde partie, elle a joui à plusieurs reprises, mais de mon côté je me suis retenu. Beaucoup, beaucoup de plaisir pour moi, mais sans orgasme. Elle a elle aussi reconnu la qualité de ce second acte, puisque c’est en souriant qu’elle m’a dit, en toute franchise comme elle semble le faire facilement : « Contrairement à la première, celle là je m’en souviendrai toute ma vie! ».
Elle m’a ensuite dit : « je sais que tu es marié, tu as une alliance, donc je ne souhaite pas que l’on se revoit, tu m’as donné ce que je voulais. Avant de partir, est-ce que tu veux quand même partager une douche, une douche d’adieu? »
Comment dire non…
Elle avait une belle salle de bain, rénovée, avec une douche relativement grande. Largement de quoi y être à deux, avec la possibilité de jouer à différentes choses…
Je vous l’ai dit, je n’avais pas joui lors du second acte. C’est donc très facilement qu’en la regardant faire couler l’eau sur son corps, j’ai à nouveau bandé… Et quand elle a vu ça, sans dire un mot elle est sortie de la douche, mettant de l’eau partout parterre, et est revenue avec quelques préservatifs.
Et on a remis ça… Encore une fois, ça a duré longtemps, dans de multiples positions…
Cette fois, quand elle était debout face au mur les jambes écartées, c’est sans retenu que j’ai caressé son anus de ma langue, de mes doigts, puis que je suis entré dedans… J’ai utilisé le gel douche comme lubrifiant pour mon premier doigt, c’est rentré tout seul… Aucune difficulté non plus pour le second… Ensuite c’est mon sexe qui a pris la place.
À la façon dont elle a réagi, dont elle s’est placée, dont elle bougeait le corps, c’était évident que ce n’était pas la première fois qu’elle était visitée par cette entrée…
Lors de la première pénétration anale, le préservatif n’est pas ressorti propre à 100%, mais c’est normal. Sans même qu’elle s’en rende compte, j’ai remis du savon sur son petit trou, j’ai « lavé » le préservatif, puis je l’ai enlevé pour en enfiler un autre pour continuer dans son sexe… Avant de revenir plus tard dans son adorable petit trou. Cette alternance s’est reproduite à plus d’une reprise.
Sous la douche, elle a joui à plusieurs reprises… Par moment, elle ne tenait plus sur ses jambes tellement elles tremblaient, alors elle s’asseyait, parfois sur mon sexe, parfois directement au sol, parfois juste sur mon corps, sans pénétration.
Ce troisième acte a pris fin avec la fin de l’eau chaude : on a vidé le réservoir… Ça n’a pas été une baise très écologique!!
On s’est séché en riant, puis je me suis rhabillé. À la porte de chez elle, elle m’a dit ceci : « s’il te plait, ne revient pas ici. Je ne sais pas à quel point tu trompes ta femme, et je ne veux pas le savoir. Ça a été un super moment, et même bien plus que ça, mais je veux que ça reste une rencontre d’une fois. »
Je l’ai embrassé longuement, baiser qu’elle m’a sensuellement rendu, puis j’ai murmuré « Promis ». Et je suis parti.
