Partenaire inattendue

Mercredi 2 novembre 3 02 /11 /Nov 15:49

Nous nous sommes dirigés vers la salle de bain. Elle s’est accroupie, et a attendu mon jet, qui venu très rapidement… Elle n’avait plus aucune appréhension à en avoir sur le visage et dans la bouche. Au contraire… Elle m’a bu, s’est rincée le visage, bref, a profité à fond de mon urine.


Puis comme souhaité au début, j’ai léché son visage, goûtant mon urine salée… Comme elle n’avait pas joui pendant notre moment à trois, son érection était encore très présente. Remarquez, même si elle avait joui, elle aurait possiblement été dans le même état…


Nous étions rendus en fin d’après-midi, samedi. Nous sommes retournés dans la piscine, en maillot. Elle est sexy nue, mais encore plus en maillot… Nous avons juste joué dans l’eau, rien de vraiment sexuel. De longs et tendres baisers, des caresses, mais rien de plus. On parlait, elle m’interrogeait sur ma vie avec mes deux chéries, on riait…


Le temps est passé extrêmement vite… À tel point que quand j’ai regardé l’heure pour la première fois depuis que Nicolas était parti, il était 19h. J’ai dit à ma conjointe du week-end qu’il était que l’on aille s’habiller car je l’emmenais manger dans un bon resto. Décision prise sur un coup de tête... Elle était super contente… Elle m’a demandé comment elle devait s’habiller. Bonne question… J’ai dit : « Classe, mais sexy ». Ce à quoi elle m’a répondu : « Toi aussi! ». Quand elle s’est dirigée vers la chambre où était ses affaires, je lui ai dit « et sans sous-vêtement! ». Elle a ri en me répétant : « Toi aussi! ».


Quand elle est réapparue, elle portait la robe fourreau moulante et sexy de son arrivée. Sublime… De mon côté, sans être en costar cravate, j’avais mis une tenue très classe mais « jeune » qui a semblé lui plaire.


Nous nous sommes embrassés, et je lui ai dit que sa tenue était parfaite pour la première partie de la soirée, mais que pour la seconde il faudrait quelque chose de tout aussi sexy, mais dans lequel elle serait à l’aise de bouger. Encore une fois, j’ai dit ça sur un coup de tête…


Elle m’a répondu : « Tu m’intrigues… Ça m’excite… » et avec un grand sourire est retourné chercher autre chose. Mais cette fois, je n’ai pas eu le droit de savoir quoi… « Surprise », m’a-t-elle répondu…


On s’est dirigé vers l’auto, puis vers le centre-ville de Montréal. On a traversé le pont Samuel-de-Champlain, et je me suis garé au hasard d’une rue du centre. Nous avons marché, main dans la main, jusqu’à trouver un restaurant nous plaisant. Je ne vous cacherai pas qu’elle se faisait admirer par pas mal d’hommes que l’on croisait en marchant, et quelques femmes…


Le premier restaurant que l’on a choisi était malheureusement plein. Mais ce n’était pas grave, nous n’étions pas pressés. Le second où nous avons tenté notre chance avait une table pour deux, ce qui était parfait pour nous.


Tout en mangeant, elle m’a avoué qu’elle s’attendait à une fin de semaine spéciale, mais pas à ce point là… Elle savait avant de venir que physiquement je lui plaisais, puisqu’elle m’avait vu en photo lors de sa visite « pré-embauche », et elle se doutait que je serais agréable à côtoyer si je ressemblais à mes chéries, mais de là à passer un aussi bon temps, elle ne l’avait pas imaginé…


Lorsque nous sommes ressortis, je lui ai demandé si ça lui plairait d’aller danser, en boite de nuit. Ses yeux ont pétillé, ce qui a rendu son « oui » superflu… Elle a aussitôt percuter en me disant : « c’est pour ça que tu voulais que j’ai une tenue qui me permettrait mieux de bouger... ». 


Nous sommes retournés à l’auto, où elle s’est changée. Elle est rentrée dans la voiture avec une longue robe fourreau, et en est ressortie avec une minijupe, elle aussi fendue sur les côtés, et un haut ultramoulant qui laissait tout voir entre juste en dessous de ses seins et sa jupe, qui était taille basse…


Je vous ai dit qu’elle se faisait reluquer quand on marchait tout à l’heure? Ce n’était rien comparé à avec cette tenue… Même moi, qui commençais pourtant à m’habituer à son corps, elle m’émoustillait terriblement… Tellement qu’avait d’arriver à la boite de nuit, je l’ai emmenée dans une ruelle (Montréal et ses ruelles… c’est très pratique!), je me suis mis à l’embrasser avec passion, lui disant que je ne tenais plus, pendant que je sortais ma queue de mon pantalon… 


J’ai sorti une mini bouteille de lubrifiant de ma poche, j’en ai étalé sur mon gland et le reste de ma verge, j’ai fait faire demi-tour à Crystal, et contre un poteau électrique, je l’ai sodomisée. Une pénétration d’abord lente pour ne pas lui faire mal, puis plus vigoureuse. Mon objectif? Jouir vite, comme ce qu’elle m’avait décrit dans ses fantasmes…


Quand elle a senti que j’étais sur le point d’exploser, elle s’est dégagée, s’est retournée et accroupie, et a pris ma queue en bouche, juste à temps… Je me suis vidé en elle, tout du moins de ce que j’avais eu le temps de produire depuis son facial de l’après-midi…


Quand elle s’est redressée, j’ai rangé mon sexe, elle a passé ses bras autour de mon cou, j’ai posé mes mains sur ses hanches, et nous nous sommes longuement embrassés… Lorsque ses lèvres se sont décollées des miennes, elle m’a dit : « Tu veux me faire vivre tous les fantasmes en une fin de semaine? ». Je lui ai répondu que je voulais juste qu’elle se sente heureuse et qu’elle ait du plaisir… Elle m’a embrassé à nouveau en me disant : « Attention, je pourrais m’habituer à cette vie… » puis elle a ri, et nous sommes allés en boite, bras dessus bras dessous.


Ça se voyait qu’elle aimait danser… Et ça se voyait que certains hommes bavaient en la regardant… N’étant pas moi-même un inconditionnel de danse, parfois je dansais avec elle, mais parfois je m’éloignais, la contemplant… Elle ne restait pas seule longtemps, quand je m’éloignais, mais elle ne regardait pas ses partenaires : elle ne me quittait presque pas des yeux…


Quand nous sommes partis, presque 3h plus tard, elle était aux anges… Elle disait que ça faisait des années qu’elle n’était pas allée en boite, et que jamais elle ne s’y était sentie aussi libre que lors de cette soirée. Elle était trempée de sueur, épuisée, mais heureuse… Elle marchait en me tenant le bras, sa tête appuyée sur mon épaule.


Dans la voiture sur le trajet du retour, elle paraissait rêveuse… Je n’ai pas osé caresser ses cuisses pour remonter jusqu’à son sexe, comme j’aurais aimé le faire, je n’ai pas osé interrompre sa rêverie.


Quand nous sommes arrivés à la maison, elle m’a pris par la main pour m’emmener au bord de la piscine. Elle s’est déshabillée, dévoilant clairement une belle érection, alors j’en ai fait autant. Elle m’a repris la main, et nous sommes entrés dans l’eau. Nous nous sommes collés, nous embrassant à nouveau, puis elle m’a tiré hors de la piscine. J’ai alors compris que c’était juste pour nous rincer, qu’elle a voulu que l’on s’y baigne…


Elle m’a emmené sur une partie gazonnée du terrain, et m’a demandé de m’allonger sur le dos, ce que j’ai bien évidemment fait… Elle s’est allongée sur moi, m’a embrassé, puis est descendue le long de mon corps, léchant mes tétons, mon nombril, mon sexe, mes testicules, mon anus…J’ai écarté les jambes et j’ai arrondi mon dos pour lui en offrir un meilleur accès…


Étant donné l’application dont elle faisait preuve pour cet anulingus, j’avais deviné que c’était pour le lubrifier… Et effectivement, peu après elle est remontée le long de mon corps… j’ai gardé les jambes écartées et pliées, le dos arrondi, et c’est facilement qu’elle a introduit son gland en moi… puis tout le reste de son membre, de l’unique trace montrant hors de toute doute qu’elle n’est pas une femme anatomiquement parlant…


J’ai eu beaucoup, beaucoup de plaisir dans cette pénétration sur l’herbe, en pleine nuit, les yeux dans les yeux avec Crystal… Elle n’a d’ailleurs pas tardé à jouir, à remplir l’anus de son sperme… puis elle est restée en moi, dans la même position, sans bouger… on se regardait… on s’embrassait…


Quand j’ai senti son sexe perde de sa vigueur, et donc que j’allais l’expulser de mon anus, j’ai doucement commencé à rouler sur le côté… Crystal a suivi le mouvement, et s’est retrouvée sous moi… je me suis alors dégagé de sa queue, et je suis allé m’asseoir sur sa bouche… Sa langue a recueilli tout ce qu’elle avait laissé en moi…


Quand je me suis allongé sur l’herbe à côté d’elle, elle  m’a dit : « est-ce que tu vas me prendre pour une folle si je dis que j’aimerais beaucoup que l’on dorme à la belle étoile? ». J’ai ri en disant qu’il s’est passé bien d’autres choses depuis qu’elle a sonné à ma porte qui pourrait lui valoir le qualitatif de ‘folle’, que dormir à la belle étoile fait pâle figure à côté!


Elle a ri doucement, je la sentais fatiguée… Je lui ai proposé de sortir un matelas gonflable deux places, de dormir sur les chaises longues, ou bien carrément parterre, comme on était en ce moment. Elle m’a répondu que le matelas gonflable serait parfait…


Pendant qu’elle est allée prendre une douche pour finir d’enlever la sueur, l’eau de la piscine, et l’herbe collée à son corps, j’ai sorti un matelas autogonflant, j’ai mis un drap dessus, j’ai apporté de quoi nous couvrir au cas (peu probable) où nous aurions froid.


Le temps que je finisse, elle venait me rejoindre, nue et propre. Elle s’est allongée sur le matelas, et à mon tour je suis allé me doucher rapidement.


Quand je suis revenu au matelas, elle s’était déjà endormie. Elle était belle, complètement nue, sous la lumière diffuse de la lune et des ampoules encore allumées de la terrasse... J’ai alors eu une idée. Je suis allé chercher son téléphone, et j’ai commencé à la filmer, nue.


Tout en filmant, je me suis accroupi à côté du matelas, du bord où elle était. J’en tendu ma main libre, j’ai frôlé son sexe. Elle n’a pas réagi. J’ai alors poussé un peu plus loin, jusqu’à la masturber lentement… Elle gémissait un peu, mais sans se réveiller. 


Ce corps de cette superbe transsexuelle, nue, la queue en érection, était très, très excitant… J’ai changé l’angle du téléphone pour filmer mon sexe, lui aussi en érection. Je montrais ma queue se faire masturber par ma main gauche, pendant que ma main droite tenait le téléphone, le corps de Crystal en arrière plan.


Lorsqu’enfin je suis arrivé à l’objectif que je m’étais fixé, j’ai approché mon sexe de bouche, et j’ai éjaculé… Pas grand-chose, encore une fois, mais quelques gouttes sont tombées sur ses lèvres… Gouttes que dans un réflexe inconscient elle a essuyées avec sa langue… 


J’ai arrêté de filmer, et je me suis couché à ses côtés…


Dimanche matin. Nous nous sommes réveillés assez tard, vers 10h30. En fait nous avons été réveillés par mes chéries qui nous ont appelés pour nous demander comme ça allait, mais surtout pour nous informer qu’elles resteraient une nuit de plus au spa, donc elles voulaient demander à Crystal, si ça lui tentait et si elle le pouvait, de rester une nuit de plus avec moi, en ajustant évidemment ses tarifs pour trois nuits au lieu de deux. Avant qu’elle puisse répondre, j’ai dit : « Vous aimez tant le spa que vous ne voulez plus rentrer? ». Réponse de Clarisse : « C’est surtout que c’est offert par le gérant. Merci à Magali qui a donné tellement de plaisir au fils du gérant que ce plaisir a débordé sur ses seins! ». De ce que j’ai compris à ce moment là Magali avait branlé le fils du gérant et il a éjaculé sur ses seins. Et à quelques détails près, j’ai su plus tard que c’est effectivement ce qu’il s’est passé… Bref, mes chéries ont eu droit à une nuit gratuite en « remerciement », donc ont proposé à Crystal de rester une nuit de plus avec moi. Cette dernière a accepté, en disant que ce serait avec plaisir mais gratuitement, sans frais supplémentaire.


Quand on a raccroché, Crystal s’est levé et m’a demandé de rester là, elle voulait juste aller se « rafraichir » un peu, ce qui lui prendrait une quinzaine de minutes. Comme la veille, j’en ai profité pour faire la même chose (lavage de dents, rinçage anal, petite douche…). 


Lorsque nous sommes tous les deux revenus sur le matelas gonflable, nous avons fait ce qu’elle a appelé un « second réveil » : nous avons simulés un réveil, et comme si on venait d’ouvrir les yeux, on s’est embrassé, et bien évidemment les baisers ont dévié vers des caresses plus intimes, et vers des actes encore plus intimes… Il était plus de midi quand nous nous sommes enfin décollés, ayant chacun jouit dans une partie du corps de l’autre…


Le reste de la journée a été assez calme, comparativement à la journée précédente : pas d’exhibitionnisme, pas de partenaire imprévu, juste elle et moi, à la maison. Le seul acte sortant un peu de l’ordinaire a été alors que nous étions dehors, sur le matelas gonflable. Nous avions en effet décidé de le laisser là, draps enlevés, pour profiter d’éventuels ébats au soleil plus confortablement que sur une chaise longue. Et effectivement, après un passage dans la piscine, moi nu, c’est comme ça qu’elle me préférait, et elle en bikini, c’est comme ça que je la préférais, nous sommes allés nous servir un verre à boire, puis nous nous sommes dirigés vers le matelas… Je me suis allongé sur le dos, en érection, des coussins derrière mon dos pour me redresser un peu, et elle est venue s’empaler sur mon sexe, après l’avoir lubrifié avec sa salive. Elle n’a pas enlevé son maillot pour cela, elle l’a juste décalé pour me donner l’accès à son anus…


Nous sommes longtemps restés ainsi, moi en érection entre ses fesses, elle sur moi. Nous buvions et discutions, c’était très agréable. Heureusement, elle avait pensé à amener la bouteille de vin avec nous, pour ne pas que nous ayons à nous lever…


Après m’être retenu pendant un certain temps, pour être sûr d’être vraiment, vraiment plein, je me suis vidé en elle, sans l’aviser. Et quand je parle de me vider, je ne parle d’une éjaculation, mais d’une vidange complète de ma vessie…


Quand elle a senti mon jet en elle, elle m’a d’abord regardé, l’air surprise, puis à fermer les yeux et a entamé des petits mouvements de bassin, j’imagine pour mieux me sentir… Son sexe qui jusqu’à présent n’était pas en érection s’est durci, et sans hésiter je l’ai libéré du maillot pour le caresser… 


Une fois complètement vidé en elle, elle m’a regardé et m’a dit qu’elle ne savait pas quoi faire : « J’ai envie de desserrer mon anus et de me vider sur toi, toi encore en moi… J’ai envie de venir m’accroupir sur ton visage et de me vider… J’ai envie de tout garder en moi le plus longtemps possible… J’ai envie de me vider dans un verre et de te regarder boire… Ou peut-être même dans deux verres pour que l’on trinque ensemble… J’ai envie que tu me fasses l’amour violemment pour que ça sorte de moi au gré de tes va-et-vient… »…


Je me suis redressé le plus possible, toujours en la masturbant, et je lui ai dit : « Embrasse-moi le temps que tu te décides… »


Ma queue dans son anus plein d’urine, nous nous sommes alors longuement embrassés… Puis elle s’est dégagée de moi, s’est mise debout sur le matelas, son petit trou au-dessus de ma bouche (je penchais la tête bien en arrière), et elle s’est vidée… Sans aucun contrôle, toute l’urine qui restait en elle (parce qu’évidemment, pendant que j’étais en elle il a quand même coulé sur mon entre-jambes, et quand elle s’est levée pour se mettre au-dessus de moi il y a eu quelques pertes aussi) à déferler dans ma bouche, giclait aussi sur mon visage, dégoulinait dans mon cou, sur mon torse…


Crystal s’est alors reculée un peu, et toujours en restant debout au-dessus de moi m’a demandé : « Je t’ai parlé de l’importance de la masturbation dans un couple pour moi? ». J’ai répondu que oui. Alors elle a ajouté : « Alors n’interviens pas, s’il te plait… »


Elle a pris son sexe en main et l’a caressé, d’abord lentement, puis de plus en plus rapidement, en me regardant me lécher les lèvres, les doigts que je passais sur mon corps couvert d’urine… 


Je pensais qu’elle allait m’éclabousser à nouveau le visage, mais au lieu de ça c’est vers son ventre qu’elle a dirigé son gland, qu’elle a arrosé de sperme chaud… 


Elle a récupéré les dernières gouttes sur un de ses doigts qu’elle a léché ensuite, puis s’est approchée de moi… elle a plié les genoux pour que son ventre souillé soit à la hauteur de ma bouche, et pendant qu’elle passait ses doigts dans mes cheveux humides, je l’ai nettoyé…


Puis elle a continué à fléchir les genoux, jusqu’à ce qu’à nouveau je sois en elle…


Elle m’a embrassé/léché le visage, puis m’a dit que le goût à petite dose lui plait, que l’idée d’un verre l’excite mais qu’elle n’est pas sûre d’aimer une telle quantité… Je lui ai répondu que si ça lui tente que l’on se revoit, ce qu’elle avait déjà sous-entendu dans une discussion plus tôt, on pourra essayer quand elle en aura envie… Elle m’a souri et m’a embrassé…


Sans l’aviser, je nous ai retournés, mon sexe est sorti d’elle, et je l’ai roulée sur le ventre dans la flaque d’urine sur le matelas gonflable. Lorsque je l’ai remise sur le dos, elle riait, se doutant de ce que j’allais faire. J’ai embrassé, caressé son corps de ma langue de ses orteils jusqu’à sa bouche, m’attardant particulièrement sur les parties couvertes de son bikini qui ont absorbé le plus d’urine… Pendant ce temps, elle me caressait comme elle pouvait, en fonction des parties de mon corps qui étaient accessibles… Mais je crois qu’elle avait surtout beaucoup de plaisir à passer ses doigts dans mes cheveux, en suivant les mouvements de ma tête sur son corps…


Pour finir cette partie de journée sur le matelas, elle m’a demandé de reprendre ma place, allongé sur le dos, dans l’urine… Dans sa main elle récupérait le liquide doré qui était de chaque côté de mon corps, puis le versait sur mon sexe et me caressait…  Avant de remplacer ses mains par sa bouche et me sucer, lentement, sensuellement, pour une fellation complète au goût salé…


Après que j’ai joui dans sa bouche, nous sommes douchés, j’ai nettoyé le matelas au jet d’eau, et nous avons poursuivi la journée sans fait marquant particulier. Chaque fois qu’elle pissait, c’était soit dans un verre qu’elle me permettait de savourer ensuite, soit directement dans la bouche, par petites giclées, sans dégât. Quant à mon tour j’avais besoin, je me laissais aussi aller dans un verre car elle aimait me regarder le remplir, mais elle ne le buvait pas. Après que je les vide dans l’évier, elle s’amusait juste à récupérer la dernière goutte au fond des verres.


Ce soir là, donc le dimanche, nous nous sommes couchés dans la chambre, sans même faire l’amour. Nous nous sommes longuement embrassés, puis elle s’est endormie dans mes bras.


Le lundi matin, je devais travailler. De chez moi, mais travailler quand même. Je me suis levé discrètement, la laissant dormir, et je me suis installé à mon ordinateur. Quand, à son tour, elle s’est réveillée, je l’ai entendue aller dans la salle de bain, puis elle est venue me rejoindre. Elle était époustouflante dans un pantalon de yoga blanc ultramoulant mettant en valeur ses cuisses fines et musclées ainsi que ses fesses, et une brassière sport de la même couleur donnant un effet coup de poing à ses seins… Il était flagrant que mes chéries lui avaient dit dans quelle tenue le trouve les femmes excitantes…


Nous nous sommes embrassés, puis elle m’a demandé si je voulais venir manger avec elle. Je lui ai répondu qu’avec plaisir, mais qu’avant cela, j’avais une rencontre virtuelle prévue dans les minutes qui suivaient, rencontre qui ne serait pas longue. Elle m’a demandé si c’était avec une webcam, ce à quoi j’ai répondu oui. Elle a souri, puis m’a demandé : « Je peux te faire une fellation discrète pendant ta rencontre? ».


Deux minutes plus tard, quand j’ai allumé ma caméra pour parler avec des collègues, Crystal était assise au sol, entre mes jambes, à jouer avec mon sexe…


À la fin de ma rencontre, moins de dix minutes plus tard, elle s’est relevée, m’a embrassé, puis m’a demandé : « On va manger? », tout à fait innocemment, comme si rien ne s’était passé (je précise qu’elle ne m’a pas fait jouir, pendant ce jeu).


Au lieu de me lever de ma chaise, j’ai fait pivoter Crystal pour qu’elle soit debout devant moi, dos à moi, j’ai baissé rapidement son pantalon, et je l’ai fait s’asseoir sur mes genoux. Enfin, disons plutôt sur mon sexe, qui était lubrifié de toute sa salive…


Peu après, alors qu’elle faisait de lents va-et-vient me faisant aller au fond de son anus et pendant que je lui caressais les seins au travers de sa brassière, elle m’a murmuré : « Jouis au fond de moi, pour que je rentre chez moi avez ton sperme et que je le sente couler longtemps… ». J’ai joui dans les secondes qui ont suivi…


Elle est restée assise sur moi mon sexe en elle… Je caressais doucement son ventre et ses seins… Alors que j’allais enfin prendre son sexe en érection en main (j’avais fait exprès de ne pas y toucher jusque là), elle m’a dit : « Non, je le garde pour une dernière chose… », puis elle s’est dégagée de mon sexe. Elle s’est baissée pour le prendre en bouche, savourant le sperme restant dessus, et nous sommes enfin allés manger.


Nous n’avons pas échangé beaucoup de mots, mais nous nous sommes beaucoup regardés, souris, embrassés… Une fois terminé, elle m’a dit qu’elle voulait me regarder travailler un peu avant de partir… 


Elle s’est installée dans un fauteuil, et pendant que je réglais quelques problèmes professionnels, elle s’est mise à se masturber. Au moment où j’allais me lever pour la rejoindre, sa phrase sur la masturbation dans un couple m’est revenue en tête. Du coup je suis resté assis, mais je lui jetais de fréquents coups d’œil, ce qui la ravissait…


Et ce qui devait arriver arriva : une belle éjaculation… C’était sa première éjaculation que je voyais, autre que très peu de temps après une éjaculation précédente. C’était abondant, c’était beau, c’était excitant… Elle avait du sperme sur sa brassière, son ventre et ses doigts… 


Cette fois c’était décidé, j’allais la rejoindre pour la nettoyer. Mais dès que j’ai levé mes fesses de mon siège, elle m’a dit : « Non… Tu dois travailler… ». Et en souriant, elle s’est mise à lécher ses doigts, à récupérer ce qu’elle avait sur elle pour le savourer…


Je n’ai pas pu me contrôler, j’ai à nouveau bandé, même si je m’étais vider en elle moins d’une heure plus tôt. Je ne me suis pas approché d’elle, je me suis juste déplacé pour mieux la contempler, parce qu’elle était époustouflante avec son corps de rêve, et je me suis branlé à mon tour, ne tardant pas à gicler aussi. Beaucoup moins abondamment, évidemment. Et comme elle, je me suis léché les doigts, ne la quittant pas des yeux…


Alors qu’elle était sur le seuil de la porte, elle m’a demandé si mes chéries seraient contre le fait que l’on se revoit, occasionnellement. Pas en tant que client, mais comme partenaires sexuels qui aimons avoir du plaisir. Je lui ai répondu que sûrement pas, et qu’au contraire, au moins l’une des deux seraient sûrement très intéressée à participer aussi. Elle m’a dit ce que je savais déjà, c’est-à-dire qu’elle n’est pas particulièrement attirée par les femmes mais que la présence d’une, ou deux ce qui serait une première, en plus d’un homme ne la dérange pas du tout.

 

Bref, quand elle est partie, il était déjà convenu que nous nous reverrons bientôt…

Par Etienne - Publié dans : Partenaire inattendue
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Mercredi 2 novembre 3 02 /11 /Nov 15:47

Quand le jet a commencé se tarir, j’ai repris sa queue en bouche pour une longue fellation, sans éjaculation. Ses deux mains étaient dans mes cheveux trempés de pisse, et elle savourait le moment, sans imposer de rythme…


Lorsque j’ai cessé la fellation, je lui ai demandé si elle aussi avait envie de se faire tremper… Elle m’a répondu que oui, mais sans viser la bouche pour commencer… Visage et corps seulement…


Je me suis mis debout au-dessus de ses jambes, et j’ai commencé à uriner arrosant ses cuisses, son ventre… Montant progressivement vers ses seins, son visage… Alors que sa poitrine était la cible de mon jet, elle a commencé à se masturber d’une main, et elle a passé les doigts de l’autre sur son corps souillé puis les a portés à sa bouche… Ça a dû lui plaire car peu après, alors que mon jet caressait son visage sa bouche s’est ouverte, attendant que je vise dedans… Ce que bien entendu j’ai fait…


Je ne l’ai pas mentionné dans l’histoire, mais à partir du moment où elle a précisé qu’elle avait dit à mes femmes qu’elle acceptait les jeux d’urine, j’ai bu beaucoup d’eau, en plus des alcools que l’on se servait, dans le but que si par inadvertance elle en recevait en bouche, elle ne soit pas dégoutée. Apparemment, ça a marché, si ce n’est que ce n’est pas par « inadvertance » qu’il y a goûté…


Après l’avoir arrosée et désaltérée, j’ai entrepris de lécher son corps, partant des orteils et remontant jusqu’aux oreilles… Ça a été très long, mais très, très agréable, autant pour elle que moi… Évidemment ce léchage s’accompagnait de toute sorte de pénétration lorsque possible, que soit du sexe du doigtage et vraiment une sodomie…


Suite à cela, nous sommes retournés sous la douche, avant d’aller nous coucher. Il n’y a pas eu d’actes sexuels autres que des baisers en nous douchant, et au lit si nous avons commencé simplement en nous allongeant dans les bras l’un de l’autre, elle a fini assez naturellement par me chevaucher et me faire jouir… Sans nous nettoyer, nous nous sommes ensuite endormis…


Le lendemain matin, j’ai entendu Crystal se lever discrètement, et quitter la chambre pendant qu’elle pensait que je dormais. Je l’ai vue prendre un petit sac et aller dans la salle de bain. Je me doutais bien de ce qu’elle allait faire : se rafraichir pour être parfaite à mon réveil. Et bien j’en ai profité pour aller faire la même chose. Je me suis levé très vite, je suis allé dans une autre salle de bain, je me suis lavé les dents, j’ai pris une douche rapide (juste à l’eau, sans savon, car j’ai compris que c’est ce qu’elle aime), je me suis fait un lavement anal, et je suis retourné au lit. Elle n’était pas encore revenue.


Quand elle a à son tour été de retour dans la chambre, j’étais allongé sur le dos, faisant semblant de dormir. Elle s’est glissée dans le lit, et sans hésiter elle s’est glissée sous les draps, en direction de mon sexe. Quand elle l’a saisi dans sa main, et j’étais déjà dur… Elle a pris le temps de la caresser longuement, la tête posée sur mon ventre. 


Elle a forcément « senti » que je m’étais levé et rincé. J’ai eu la confirmation quand elle s’est tournée pour se placer à quatre pattes au-dessus de mon visage, son anus venant s’appliquer délicatement sur ma bouche… 


Pendant que je le lui ai savouré, je sentais son gland « cogner » par moment sur mon torse. Elle a cessé de me caresser pour sucer ses doigts, avant d’en appliquer deux contre mon petit trou et de pousser lentement, tout en prenant mon sexe en bouche…


Durant les minutes qui ont suivi, souvent ses lèvres délaissaient mon sexe pour s’appliquer à lécher ses doigts, avant de les replonger en moi….


Elle s’est ensuite à nouveau retournée, pour s’asseoir sur mon sexe… Je n’avais que lubrifié son anus, je n’y avais pas introduit de doigts, mais c’est rentré comme si je l’avais sodomisé quelques secondes auparavant…


Nous n’avons joui ni l’un ni l’autre, mais nous nous sommes longuement embrassés, mon sexe en elle, avant que sans avoir échangé un mot je me retrouve derrière elle, qui était à 4 pattes, tenant ses hanches dans mes mains et enfonçant ma queue en elle dans cette levrette matinale très agréable…


Je me suis retenu, difficilement, mais je n’ai pas joui…


Lorsque je me suis retiré d’elle son petit trou était béant, rapidement comblé par ma langue… Elle était délicieuse… J’ai remplacé ma langue par deux doigts, puis, tout en jouant en elle, je lui ai demandé si elle avait envie de prendre le petit déjeuner, et si oui de quoi elle avait envie. Elle m’a répondu : « Outre ton sexe, je mangerais bien un café, du yaourt et quelques fruits ».


Je me suis rapproché de son visage, j’ai caressé ses lèvres des miennes, j’ai retiré mes doigts de son anus, je les ai léchés, puis nous nous sommes habillés. Je lui ai suggéré de ne mettre qu’une minijupe et un haut moulant noir, ce qu’elle fait. Elle était à tomber… De mon côté, elle m’a dit de mettre un jeans, sans rien en haut. J’ai obéi.


Tout en nous tenant par les hanches, en nous embrassant, en nous touchant, j’ai préparé du café, son yaourt et des fruits. Parce que oui, « comme par hasard » tout était en stock, et exactement la marque de yaourt et le type de fruits qu’elle voulait (banane, kiwi et raisin).


Elle prenait son petit-déjeuner assise au comptoir de la cuisine, sur un tabouret haut. Je n’ai pas pu résister… Je me suis placé derrière elle, j’ai tiré un peu ses fesses en arrière, juste pour que son anus soit accessible, puis après l’avoir lubrifié avec ma salive, je suis retourné dedans… Très lentement… Le but n’était pas d’avoir un plaisir intense et fou, mais juste d’avoir un moment de bien-être total… Ce qui a été le cas… Elle a continué à manger, mais encore plus lentement… Je ne touchais pas au reste de son corps, juste ses hanches. Je ne caressais pas ses seins, je ne la branlais pas… 


Je l’ai dit, c’était très lent. Mais c’était très intime, et très excitant… Quand je lui ai susurré à l’oreille que j’allais jouir, elle est doucement descendue du tabouret, s’est agenouillée devant moi, et c’est dans sa bouche que je me suis laissé aller… Elle n’a pas quitté mes yeux des siens de tout le temps où j’ai joui…


Lorsqu’elle s’est relevée, elle a passé ses bras autour de mon cou, et tout en approchant sa bouche de la mienne elle a murmuré : « Le parfait petit déjeuner complet »…


Dans un couple, les moments où l’on ne parle pas, où l’on est chacun de notre côté ne sont pas gênants, c’est normal d’en avoir. Dans le cas présent, c’était bien différent. Il n’était pas question que je la laisse s’ennuyer ou quoi que ce soit comme ça. Je cherchais quoi lui proposer, mais c’est elle qui a pris les devants, juste quand on a fini de ranger le petit déjeuner. Elle m’a demandé : « J’ai l’impression que tu sais être patient, est-ce que je me trompe? ». J’ai répondu que ça dépend à quel sujet, mais qu’en règle générale, oui.


Elle a hésité puis a dit : « Je peux te demander quelque chose? ». Je l’ai prise dans mes bras, j’ai souri en disant : « Tu peux demander tout ce que tu veux, on verra si c’est réaliste après ».


Elle a répondu : « Il y a un fantasme que je ne t’ai pas dit hier… J’adorerais me faire caresser l’anus jusqu’à ce qu’une main rentre dedans… J’ai souvent des clients qui veulent me faire ça, mais je dis maintenant non systématiquement car ils tentent ça quasiment à froid, et ça ne rentre pas, et ça fait mal. Mais je sais qu’à nous deux, tranquillement, en prenant notre temps, c’est faisable. Lentement, par étape, j’en aurais envie… ».


Évidemment, j’ai répondu que ce sera avec plaisir, et je lui ai demandé comment elle avait envie de ça : dehors sur une chaise longue, assise dans le divan, allongée au lit…? Elle a dit qu’au lit serait parfait pour une première fois.


Nous sommes donc retournés dans la chambre, où nous nous sommes déshabillés. Nous n’étions pas restés habillés longtemps! Debout, nu l’un contre l’autre, nous nous sommes embrassés, ses seins en béton contre mon torse… Puis je l’ai doucement poussée vers le lit… Nos lèvres se sont décollées, elle s’est tournée et s’est allongée sur le ventre, jambes écartées… Je lui ai demandé si pour ça aussi elle voulait que de la salive ou du lubrifiant, et elle a dit que pour une première, le lubrifiant serait le bienvenu. J’ai pris la bouteille, j’ai léché son petit trou, puis j’ai versé du lubrifiant dessus, ainsi que sur mes doigts… j’ai me suis allongé, posant ma tête sur une de ses fesses, et j’ai commencé à jouer…


J’ai vraiment pris tout mon temps… deux doigts, trois doigts… j’ai très longtemps joué avec juste trois doigts, avant de passer à quatre… 


Pendant ce temps, elle gémissait, et parfois on parlait… Elle m’a notamment fait remarquer que je ne jouais pas beaucoup avec ses seins… Que généralement ses clients adorent les caresser, les lécher, cracher dessus… Elle m’a demandé s’ils lui plaisaient…


J’ai répondu que ses seins sont visuellement une œuvre d’art que je ne me lasserai pas de contempler, surtout vêtus. Elle a d’abord été surprise de ma réponse, puis je lui ai expliqué mon point du vue sur les seins refaits, et encore plus sur les seins 100% artificiels. Elle a très bien compris. J’ai fini en lui disant que nus, après que deux ou trois hommes aient éjaculé dessus, ils devaient être absolument magnifiques! Elle a ri et a dit que ça pourrait être à essayer. C’est à ce moment que j’ai commencé à insérer le poing au complet… Évidemment ce n’est pas rentré et je n’ai pas forcé, ce n’était que le début…


Nous parlions beaucoup sexe pendant que je lui dilatais le p’tit trou avec ma main… Et c’est toujours à un moment où je sentais que ce que l’on racontait l’excitait que j’en profitais pour faire une « avancée significative » dans mon insertion… 


Plus d’une demi-bouteille de lubrifiant et presque une heure trente plus tard, j’ai vu son anus se resserrer autour de mon poignet. Ça y est, toute ma main était en elle… Bien qu’elle soit restée allongée tout le temps de la pénétration, elle semblait physiquement épuisée… 


Elle m’a demandé si je pouvais prendre une photo. Je lui ai dit que oui, avec son téléphone afin qu’elle soit certaine que, si je prenais la photo avec mon téléphone, je ne risque pas de l’envoyer à n’importe qui.


Petit problème : son téléphone n’était pas à côté de nous. Alors soit elle se déplaçait avec ma main en elle, soit je me retirais, puis j’y revenais une fois le téléphone récupéré. C’est cette 2e solution qui a été choisie.


Le retrait de mon poing ne s’est pas fait en deux secondes… J’ai pris mon temps, pour que ça se passe en douceur… Je n’ai même pas pris le temps de jouer avec son anus une sorti d’elle, je me suis dépêché d’aller chercher son téléphone et de revenir.


J’ai badigeonné à nouveau ma main et son anus de lubrifiant, et j’ai replongé mon poing en elle… Ça ne s’est pas fait instantanément, mais les efforts pour y arriver n’ont pas été longs…


J’ai pris une photo d’elle, telle que le souhaitait : allongée sur le ventre, mon poing en elle.


J’ai ensuite commencé toutes sortes de mouvements… Des petits va-et-vient en elle, sans sortir ma main de son corps, puis petit à petit en la sortant de plus en plus pour la rerentrer… Son trou béant était une œuvre d’art…


Je l’ai faite s’allonger sur le dos… Sa queue aussi dure que ces seins était une invitation appétissante… Je l’ai prise en bouche, lentement, quasi amoureusement, tout en conservant ma main dans ses intestins… j’y écartais mes doigts, les resserrais, sortait ma main, la rentrait à nouveau… 


Et j’ai pris toute une série de photo avec son téléphone… Elle était sublime, la queue dressée, la poitrine en béton, les abdos dessinés… J’ai même fait une petite vidéo d’une pénétration complète et de son anus dilaté quand je ressortais ma main…


La séance de fisting a pris faim lorsque je me suis placé tête-bêche au-dessus d’elle et qu’elle m’a sucé jusqu’à me faire jouir pendant que je jouais avec mon poing en elle…


Je suis alors sorti d’elle, de sa bouche et de son cul, et lentement, en la regardant, j’ai léché tous mes doigts, un par un… Elle se branlait en me regardant, mais je lui ai interdit de jouir, comme depuis le début de la matinée… On s’est embrassé…


Cette longue séance nous a menés à quasiment midi… Nous nous sommes rhabillés comme au levé, puis je lui ai proposé d’aller nous chercher une boisson à Starbucks. Je sais qu’elle en adore certaines, et ce serait rafraichissant, car il faisait encore chaud cette journée là (même si on a l’air climatisé dans la maison).


En allant vers ma voiture, je lui ai demandé si elle avait déjà conduit une électrique. Elle m’a dit que non, donc je lui ai proposé de conduire la mienne, si elle avait envie d’essayer. Et c’est ce que nous avons fait. Évidemment, j’avais une idée en tête en lui proposant cela…


À peine arriver au bout de la rue, j’ai commencé à caresser sa cuisse droite, la plus proche de moi… Je rappelle qu’elle ne portait qu’une minijupe, sans sous-vêtement, et un haut noir moulant… 


J’ai remonté ma main le long de sa cuisse, et toute en la guidant vers le Starbucks, j’ai abouti à caresser ses couilles, et bien sûr son sexe qui était très, très réveillé… il faut dire qu’avec tout ce que l’on n’a fait depuis le matin sans qu’elle ne jouisse, il était facile de l’exciter…


La jupe était tellement courte qu’il y avait très, très peu de tissu, permettait facilement à sa queue bien raide d’être à l’air libre, sans entrave… Je l’ai caressée… J’ai hésité à me tourner vers elle pour pouvoir plonger mon autre main entre ses cuisses et lui glisser un ou deux doigts dans l’anus, mais j’ai choisi une autre option…


Je me suis tourné vers elle, la contemplant. Elle était vraiment sublime, de profil, ses gros seins moulés à la perfection dans ce haut noir, notamment grâce à un ventre extra-plat qui leur permet de bien se démarquer… Son sexe, gonflé à bloc, dont le gland rouge n’est pas tellement éloigné de la poitrine… Ses cuisses musclées non dissimulées par la minijupe… Son visage, très bien dessiné… Et je le lui ai dit… Je lui ai dit à quel point elle était belle… À quel point son corps est une véritable sculpture, une œuvre d’art… À quel point elle serait encore plus sublime complètement nue, dans cette position, avec son sperme jaillissant de son sexe pour venir s’étaler sur sa poitrine… 


J’ai sorti ma queue en érection de mon pantalon, lui prouvant que je n’exagérais pas… Je me caressais de ma main droite, je la branlais de ma main gauche… 


Jusqu’à ce qu’enfin elle jouisse… Le sperme épais giclant de son urètre pendant que je la branlais vigoureusement… Elle a reçu beaucoup sur son haut noir moulant, mais aussi un peu dans le cou et sur le visage. Sans parler des quelques éclaboussures qui sont allées ailleurs que sur elle… 


Je rappelle que nous étions en voiture, et qu’elle roulait… Nous ne faisions pas attention aux gens autour de nous, mais peut-être que quelqu’un a vu ce que l’on faisait, aucune idée…


Tout en roulant j’ai léché mes doigts, puis je me suis penché pour nettoyer son sexe avec ma bouche.


Une fois sur le stationnement du Starbucks, nous nous sommes embrassés alors qu’elle n’arrêtait pas de sourire… Pendant le baiser, je lui ai dit « Hier tu m’as mentionné que de l’imprévu te manquait? J’espère que ça ta plu… ». Elle n’a rien répondu mais m’a embrassé encore plus profondément… 


Après ce long baiser vigoureux, je lui ai dit : « Tu as maintenant le choix entre deux solutions : soit on va au service au volant pour commander, soit on rentre dans le Starbucks, évidemment dans les deux cas avec ton haut plein de sperme… Ma préférence est évidemment le local, que tout le monde te voit… »


Elle a eu un rire gêné… On aurait dit une enfant qui a envie de quelque chose mais qui n’ose pas le faire ou de le demander… 


Finalement, elle a opté pour jouer jusqu’au bout : direction l’intérieur du bâtiment. Nous sommes sortis de l’auto, on riait, main dans la main, marchant vers la porte, quand elle a fait brutalement demi-tour et est retournée vers l’auto.


Je lui ai demandé ce qu’il se passait, et elle m’a répondu, en pointant vers le bas de son corps : « Entrer avec du sperme sur mes habits, d’accord, mais je ne peux pas entrer comme ça… » Elle pointait son sexe qui était à nouveau en érection, faisant une bosse très voyante dans sa minijupe. « L’idée de m’exhiber un peu m’excite, mais là c’est trop… ».


J’ai ri, encore, et je lui ai dit que ce n’était pas grave, on ira au service à l’auto pour cette fois, mais j’ai précisé que c’est encore elle qui doit conduire. 


À la fenêtre où nous a donné nos commandes, je me suis penché au-dessus de Crystal et j’ai dit au gars qui nous servait : « Excuse-moi, est-ce que tu aurais des serviettes? Je ne me suis pas contrôlé et je lui en ai mis partout… », en montrant du doigt les tâches sur son haut noir… J’ai entendu Crystal susurrer « oh mon Dieu » et j’ai vu le gars nous servant rougir… Personnellement, j’étais très satisfait de mon coup! 


Quand nous sommes sortis du service au volant, elle s’est à nouveau garée dans le stationnement en me disant « T’es con, tu es vraiment con », puis en me prenant la tête à deux mains pour m’embrasser…


Lorsque nos lèvres se sont séparées, elle a conduit jusqu’à la maison. J’avais ma main sur son sexe, sans chercher à la faire jouir, et de son côté elle caressait le mien.


La porte de la maison franchie, elle m’a déshabillé en un éclair, a retiré les deux morceaux de tissu qu’elle portait, s’est tournée contre la porte, a écarté ses jambes, indiquant clairement ce qu’elle souhaitait que je fasse. Un instant plus tard, j’étais au fond d’elle, dans son anus malmené à peine une heure plus tôt… Aucun lubrifiant n’a été nécessaire : un peu de salive, et nos récents antécédents ont permis que tout se passe tout seul…


Crystal était déchainée… Elle voulait que je la pilonne, alors c’est ce que j’ai fait… Debout dans l’entrée… Puis la tirant « doucement » par les cheveux, je l’ai emmené vers l’escalier : les jambes tendues, le haut du corps penchée en avant, à l’horizontal, les mains sur les marches, je lui ai détruit le cul en lui faisant pencher la tête en tirant ses cheveux…


Je suis ensuite allé m’asseoir sur la marche la plus proche de son visage, j’ai pris sa tête à deux mains et j’ai forcé une pipe agressive, martelant sa gorge en appuyant de mes deux sur sa tête… Je savais qu’elle appréciait, car quand je relâchais la pression elle prenait elle-même la relève pour ne pas trop réduire le rythme…


Je me suis relevé, la faisant presque tomber en arrière… Je l’ai saisie par le cou, puis je l’ai guidé jusqu’au canapé sur lequel je l’ai jetée sur le dos. Je me suis assis sur son visage, mon trou du cul sur sa bouche, la forçant à me lécher, pendant que je branlais sa queue en érection… Elle me mangeait sauvagement, sa langue forçant mon cul, s’aidant en glissant ses doigts entre sa bouche et mon cul pour l’atteindre et le dilater… 


J’étais sur le bord de jouir… Quand je le lui ai dit, elle s’est calmée, s’est remise à respirer plus calmement, et nous nous sommes blottis l’un contre l’autre… Avant que l’on s’installe confortablement, je lui ai proposé que l’on aille au soleil pour s’allonger, pour faire sécher nos corps en sueur… Elle m’a embrassé puis s’est levée, et nous sommes allés sur la terrasse, sur une chaise longue, elle dans mes bras.


Lorsque nous avons eu faim, nous sommes rentrés dans la maison, pour préparer de quoi manger. Encore une fois, il y avait exactement les aliments que Crystal aime…  Nous nous sommes tous les deux habillés, enfin, mis en maillot, puis nous avons cuisiné et manger.


Alors que je rangeais le tout après le repas tout en jasant avec ma partenaire, quelqu’un a sonné à la porte.


Je suis allé ouvrir, et c’était Nicolas (nom fictif pour cette histoire), qui était là. Qui est Nicolas? Un ami bi. Pourquoi Nicolas était là? Parce qu’après que Crystal m’ait dit qu’un de ses fantasmes, c’était deux hommes, je me suis dit que j’allais l’inviter pour voir si elle aurait envie de l’assouvir…


Évidemment officiellement, j’avais oublié qu’un ami venait à la maison. C’est ce que j’ai dit à Crystal quand je lui ai présenté Nicolas. Je lui ai demandé si ça la dérangeait qu’il reste un peu, car si je l’avais « invité » c’était pour qu’il profite de la piscine un peu, je ne savais pas qu’elle serait là. Elle a dit qu’il n’y avait aucun problème, qu’au contraire, une petite pause nous ferait du bien, avec un clin d’œil.


Je l’ai embrassée pour la remercier, mais là, elle ne savait pas comme réagir devant un invité. Je me suis alors retourné vers Nicolas et je lui ai dit, simulais qu’il ne le savais pas déjà, que Crystal était une « aventure unique pour la fin de semaine ».


Sans perdre de temps, nous nous sommes tous les trois dirigés vers la piscine. Pendant que le nouvel arrivant se mettait en maillot, j’ai servi à boire à tout le monde.


Après quelques minutes dans l’eau à faire semblant de nager et à parler, j’ai murmuré à Crystal : « Nicolas est bi. Est-ce que ça te tenterait d’en profiter pour assouvir un fantasme de plus? ». Elle a ri puis a répondu en m’embrassant : « Quitte à vivre un week-end de folie, autant aller jusqu’au bout. Par contre, avec préservatif pour lui ou si on va en lui ». Je lui ai dit que selon moi le plus simple serait que tout le monde en mette pour tout, ce à quoi elle a acquiescé.


Nous nous sommes tournés vers Nicolas, et avec un grand sourire je lui ai dit, sans détour : « ça te dit une bonne baise une super trans et moi? ». Comme il ne venait que pour ça, il n’évidemment pas dit non…


Nous sommes rentrés à l’intérieur, et dans le salon, nous avons tout fait : de la tendresse manuel avec lents baisers à la double anal pour Crystal (l’entrainement au fist du matin a surement aidé!!), en passant par sodomie et fellation simultanément, elle a eu droit à tout.


Vers la fin, lorsqu’il était rendu évident que Nicolas allait jouir, Crystal m’a demandé, discrètement, si j’avais 100% confiance en lui. J’ai répondu que oui, sans hésitation. Elle nous a alors demandé si on serait d’accord pour finir avec une double fellation avec éjaculation dans sa bouche. Sans répondre, nous avons enlevé nos préservatifs et nous avons approché nos queues de sa bouche. Peu après, elle avait des giclées de sperme sur le visage et dans la bouche. Et elle était sublime… Je lui ai proposé de prendre quelques photos d’elle avec son téléphone, et aussitôt proposé, aussitôt fait. 


Pendant ce temps Nicolas s’est rhabillé et est parti, nous remerciant de ce moment « incroyable ».  Il nous a dit de ne pas hésiter à la réinviter, si la situation se représente!

 

Une fois Nicolas parti, j’ai regardé Crystal et je lui ai dit que j’hésitais entre lui lécher tout le visage ou le lui rincer à l’urine… Sans la moindre hésitation elle s’est exclamée : « À l’urine! Et tu me lècheras le visage ensuite… »

Par Etienne - Publié dans : Partenaire inattendue
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Mercredi 2 novembre 3 02 /11 /Nov 15:46

Pendant qu’elle décidait ce qu’elle allait porter, je me suis habillé. Alors que j’allais enfiler un caleçon, elle m’a dit que comme pour elle, elle préférait que je ne mette rien sous le pantalon. Aucun problème!


Elle m’a ensuite demandé de sortir de la chambre, sous prétexte que si je n’étais pas capable d’être plus précis dans ce que je voulais qu’elle porte, elle allait me faire la surprise, donc que je ne devais pas la voir s’habiller. J’ai acquiescé en riant et je lui ai demandé si elle avait une idée précise de ce qu’elle voulait manger. Elle m’a répondu que si j’avais de quoi faire une salade consistante (salade, tomate, morceau de poulet ou tout autre viande, fromage, pomme, olives, etc.) ça ferait son bonheur.


Je suis allé dans la cuisine, et comme par hasard, le frigo avait été rempli dans l’après-midi avec exactement ce que ma « conjointe » avait mentionné. Mes chéries avaient vraiment tout prévu dans les moindres détails…


Alors que je préparais le tout, Crystal (pseudonyme que je choisis pour l’histoire; cliché, je sais, j’assume…) est apparue. Légèrement remaquillée, mais surtout dans un pantalon de yoga blanc ultra-moulant, et une brassière sexy, moitié blanche, moitié transparente. Encore une fois, elle était d’une beauté incroyable, et je le lui ai dit.


Elle m’a rejoint au comptoir où je préparais la salade, s’est collée à mon dos embrassant mon cou, passant ses mains sur mon ventre, et m’a demandé si je pouvais l’aider à quelque chose. Je lui proposé d’aller chercher nos verres vides qui sont sur le bord du spa pour que l’on se serve à nouveau quelque chose à boire. Elle m’a fait tourner la tête, m’a embrassé sur la bouche, puis est sortie les chercher.


Lorsqu’elle est revenue, elle tenait deux verres pleins! Elle m’a dit sur un ton faussement désolé qu’elle n’avait voulu en remplir qu’un seul, mais qu’il fallait bien qu’elle finisse ce qu’elle avait commencé… Et elle a ajouté que du coup les deux verres étaient pour moi. 


J’ai baissé les yeux, et au travers de son pantalon de yoga blanc moulant je voyais clairement que son sexe avait encore une fois gonflé… J’ai posé le couteau que je tenais, je me suis rincé les mains et je me suis approché d’elle. Je lui ai dit : « apparemment remplir les verres t’a excité », tout en passant ma main sur sa queue au travers du linge. Sa réponse a été : « Autant les remplir que t’imaginer les boire ».


J’ai pris un verre dans une main, et j’en ai bu une gorgée tout en caressant son sexe… Je l’ai senti durcir encore plus… Je me suis accroupi, j’ai dégagé l’objet de ma convoitise d’une main, et tout à la regardant le plus possible dans les yeux, j’ai commencé une fellation, alternant entre une gorgée d’urine chaude et quelques va-et-vient… 


L’urine avait un goût légèrement trop prononcé pour que je puisse dire qu’elle était excellente, mais c’était agréable de la boire…


Quand j’ai fini le premier verre, je l’ai posé au sol et j’ai pris le second des mains de ma partenaire. J’ai rempli ma bouche au complet avec, et précautionneusement, pour ne pas faire de dégât, j’ai repris la fellation… J’ai sucé Crystal, sa verge faisant des va-et-vient dans ma bouche pleine de sa propre urine… J’imposais un rythme moyen, faisait surtout attention à ce que mes lèvres restent bien hermétiques autour de son sexe… Elle avait les deux mains posées sur ma tête, suivant mon rythme…


Puis elle a pris la relève… Par une pression de ses mains, elle a augmenté la cadence et la profondeur de la pipe… Je vous assure que ce n’est pas facile de garder les lèvres bien fermées sur un objet et de respirer en même temps, la bouche pleine d’un liquide… De dominateur, je suis passé à soumis. Je ne peux pas nier que c’était agréable… Elle maintenait parfois son gland dans ma gorge quelques secondes avant de me permettre de recommencer les mouvements… Parfois elle était lente, parfois rapide… Puis elle a tout arrêté, et dans ma gorge j’ai senti son gland se gonfler un peu plus, j’ai senti Crystal trembler sur ses jambes, puis gémir… Je n’ai pas senti de sperme gicler, mais il était évident qu’elle venait de jouir encore une fois…


Elle a retiré doucement sa queue de ma bouche… Je l’ai regardé dans les yeux, puis j’ai avalé toute l’urine que j’avais dans la bouche… J’ai bu ce qui restait dans le second verre que j’ai tenu en main pendant toute la fellation plus violente, mais avec tous les mouvements je n’ai pas été très stable… Un peu d’urine était répondue sur le sol…


Alors que Crystal allait remettre son sexe dans son pantalon, je lui ai dit d’attendre 30 secondes, j’allais le nettoyer un peu mieux avec un linge humide. Je me suis levé, je suis allé chercher ce dont j’avais besoin, j’ai nettoyé ma partenaire puis j’ai nettoyé les dégâts au sol.


Je suis alors revenu vers elle. Elle n’avait pas bougé. J’avais remis sa queue dans son pantalon, mais elle était encore debout au même endroit, et n’avait pas dit un mot. Ne voulant pas lui faire sentir mon haleine d’urine, ne sachant pas si elle aimerait ou non, je suis allé me placer derrière elle, comme elle l’avait fait avec moi quand je préparais la salade au comptoir, et je l’ai enlacée… Je lui ai demandé si tout allait bien. Ça a semblé la sortir de sa torpeur. Elle s’est retournée, m’a dit que oui et m’a embrassé, malgré mon haleine. Puis elle m’a dit : « je te propose de continuer moi-même la salade pendant que tu vas faire le ‘nettoyage requis’, si tu veux bien. Parce que je ne pourrais pas me retenir toute la soirée d’aller dans ton corps à cet endroit… ».


Je l’ai embrassé à nouveau, et je suis allé dans la salle de bain…


Lorsque je suis revenu dans la cuisine, Crystal était assise dehors, sur une chaise, en train de boire un verre de vin. La salade semblait quasiment prête, du poulet en morceaux frémissait dans une poêle, tous les légumes étaient coupés. Je me suis aussi servi en verre et je suis allé la rejoindre. Arrivant par derrière, j’ai posé ma main sur son cou, je me suis passé à côté d’elle, et je me suis penché pour l’embrasser tendrement.


Elle m’a rendu mon baiser, puis j’ai pris une chaise que j’ai placée un peu devant elle, à 90°. J’ai alors pris ses deux jambes, que j’ai posées sur les miennes, ses mollets sur mes cuisses, et nonchalamment je lui caressais les pieds, les mollets, un peu le bas des cuisses, tout en discutant…


De quoi avons-nous parlé? Tout d’abord, elle a tenu à s’excuser. Je lui ai demandé pourquoi, et elle m’a répondu que c’était pour le moment où elle a « figé », après la fellation dans l’urine. Je lui ai dit que tant qu’elle va bien, qu’il n’y a rien eu de mal, elle n’a pas besoin de s’expliquer. Elle m’a remercié, et m’a dit qu’elle s’excusait quand même…


Pour détendre l’atmosphère, j’ai changé de sujet et je lui ai demandé ce qu’elle a voulu dire tout à l’heure quand elle a mentionné « J’ai été testé par tes femmes sur ce point-là, je te raconterai après. J’ai envie de toi en moi… ». Elle a ri, et m’a tout raconté.


Magali, du moins je suppose que c’était elle, l’a appelé une première fois au téléphone disant qu’elle cherchait une transsexuelle pour faire plaisir à son mari. Comme elle me l’a dit au début, ce genre de demande est plutôt inhabituel. La plupart du temps ce sont des personnes célibataires ou alors qui veulent cacher cette relation à leurs conjoints/conjointes. Rarement, ce sont des couples. Mais qu’une personne appelle pour son mari, c’était la première fois. Magali a demandé si elle proposait ses services pour des périodes de 2 jours, soit d’un vendredi soir à un dimanche soir, et si oui si ça pouvait être au domicile du client. Elle a ensuite demandé si Crystal acceptait tout, c’est-à-dire pénétrer, se faire pénétrer, les fellations et à éventuellement les jeux d’urine. Elle avait répondu que oui pour tout ce qui est rapport sexuel, avec protection. Que pour les jeux d’urine, elle accepte d’en donner et d’en recevoir, mais pas dans sa bouche.


Après ces premières réponses, ma chérie a proposé à Crystal de passer à la maison, en mon absence, pour parler plus en détails du « programme » du potentiel weed-end, et ce en payant le prix d’une prestation. Évidemment, elle a accepté.


Quand elle est arrivée chez nous, je n’étais pas là, bien sûr, mais mes deux chéries étaient présentes. Elles se sont présentées, lui ont proposé quelque chose à boire, puis lui ont fait faire le tour de la maison et de la cour, tout en parlant. Elles lui ont montré des photos de nous trois, de moi, avant de poser deux questions bien précises. D’abord la première : « Est-ce que tu voudrais bien te mettre nue devant nous, que l’on voit si ton corps plaira à notre mari? ». Cette demande n’a pas gêné Crystal, elle a l’habitude de se déshabiller devant ses clients, et dans le cas présent, puisqu’elle était payée pour cette rencontre, mes chéries étaient ses clientes. Alors elle s’est déshabillée. 


Une fois nue, après avoir été regardée intensément, la seconde question a été posée : « Si tu jouis, es-tu capable d’être à nouveau en érection peu de temps après? Pas nécessairement être capable de jouir à nouveau, mais au moins d’être assez dur pour que le plaisir puisse reprendre avant le lendemain? ». Elle a répondu que oui, sans problème. Et mes chéries lui ont demandé une preuve… Crystal a alors demandé si elle devait agir seule ou s’il y avait une volontaire pour l’aider. Ne me demandez pas pourquoi, mais je n’ai pas été surpris quand elle a dit que Magali s’était portée volontaire! Crystal a été clair : pour le moment, elle ne ferait rien sans préservatif. Donc soit il fallait en enfiler un, soit c’était juste une branlette faite par Magali. Ma chérie a répondu que la première fois sera à la main, mais que la deuxième, pour vérifier qu’elle redevienne dur rapidement, ce sera une sodomie avec préservatif. Pourquoi? Pour faire un test comme en condition réelle. Et c’est ce qui a été fait. Ma chérie l’a branlée pendant quelques instants, le temps qu’elle jouisse sur ses seins qu’elle avait dénudés. J’ai fait remarquer que Magali lui a sûrement dit que c’était du gâchis de sperme. Elle a ri et répondu que oui, alors que pour ne pas la vexer elle s’est accroupie et lui a nettoyé la poitrine à la bouche.


À la fin du nettoyage, Crystal alors posé la question suivante : « Prête pour la sodomie? Moi oui ». Clarisse a alors sorti un préservatif, l’a déroulé elle-même sur la verge à nouveau bien dure, et Magali s’est mise complètement nue. Apparemment, ça été une bonne partie de plaisir à laquelle Clarisse s’est finalement jointe. Juste de la sodomie, mais dans divers positions et divers combinaison, des doigts ayant été utilisés dans les anus libres de sexe (celui de Crystal, et en alternance celui de mes deux chéries).


Puis la question la plus délicate a été posée : elles ont demandé si sur présentation mutuel d’un test sanguin négatif, elle accepterait que tout se fasse sans protection. Là, Crystal m’a dit ne pas avoir répondu tout de suite. Elle a regardé à nouveau les photos de tous les trois, s’est levée, a marché un peu dans la maison, dans le jardin, puis a dit : « J’accepte ».


Il parait que mes chéries étaient aux anges. Elles lui ont alors demandé ce qu’elle aimait manger et boire en règle générale, elles lui ont montré ce que je possède comme linge, elles lui ont dit comment j’aimais que des femmes soient habillées… Crystal n’a posé qu’une question : « pourquoi vous m’en dites ou vous m’en demandez autant? ». La réponse de mes chéries a été en gros la suivante : « Notre chéri est super attentionné, et on sait qu’il le sera avec toi. Il va te demander ce que tu auras envie de manger pour te faire plaisir, alors si on sait à l’avance quelles genres de choses tu aimes, on les achètera à l’avance et il les trouvera lorsque le temps viendra. On se doute aussi qu’il va te demander comment tu veux qu’il s’habille, parce qu’il va vouloir te plaire le plus possible physiquement. Alors en te montrant à l’avance quel genre de linge il a, tu pourras lui répondre facilement. On veut que la fin de semaine où vous serez ensembles soit mémorable, on veut qu’il soit bien, et le connaissant, pour cela il faudra que toi aussi tu sois bien, que tu sois contente d’être là. Alors on met toutes les chances de notre côté pour que tu te sentes le plus à l’aise possible, pour que lui aussi le soit ».


Elles lui ont dit tout ce que j’aime : fellation, sodomie, doigtage, jouet, urine, sperme, et ce dans n’importe quel ordre. Elles lui on dit de ne pas hésiter à prendre l’initiative…


Lorsqu’elle a fini de dire tout ce qui s’est passé pour préparer le week-end, elle a aussitôt enchaîné sur le fait que l’on avait l’air d’être à la fois fusionnels, libres, et heureux, mes deux chéries et moi. J’ai bien sûr confirmé, et je lui ai raconté comment nous nous sommes rencontrés, d’abord ma chérie et moi, puis Clarisse, comment elle s’est intégrée dans notre couple, comment est notre style de vie, nos jeux sexuels, etc.


Évidemment toute l’histoire a été longue. Nous ne sommes pas restés dehors tout le temps. Rapidement nous avons dû retourner dans la cuisine pour ne pas que le poulet brûle, puis nous avons mangé. L’histoire a duré plus longtemps que le repas, et nous sommes retournés dehors pour siroter un cocktail. 


C’est alors que nous étions chacun allongé sur une chaise longue, la nuit proche de tomber, que j’étais rendu à parler de nos jeux sexuels. Rapidement j’ai constaté que son sexe grossissait dans son pantalon de yoga… 


Je me suis levé, je l’ai embrassée, puis je l’ai dit que j’allais revenir dans une minute.


Une minute plus tard je faisais effectivement mon retour, complètement nu, la bite dressée vers le ciel, une bouteille de lubrifiant à la main… Quand elle m’a vu ainsi son visage s’est illuminé… J’ai sorti son sexe qui semblait étouffer à l’étroit, je l’ai recouvert de lubrifiant, et sans rien dire, je me suis assis dessus, le visage vers celui de ma partenaire.


Comme je l’ai mentionné plus tôt, sa bite n’avait rien d’exceptionnel en termes de taille. Elle était agréable à sentir entrer en moi, mais je ne la sentais pas loin dans mes entrailles comme j’en ai déjà senti d’autres, et je ne me sentais pas non plus avec un petit trou très dilaté…


Je chevauchais donc son sexe, mais lentement, pour un moment de bien-être et non pour atteindre un orgasme. Et j’ai continué avec mes histoires… De son côté, elle caressait ma queue, lentement, de façon presque discrète, pendant que nous discutions.


Une fois que j’ai fini avec mes anecdotes, je me suis levé, avec le plaisir de sentir son gland sortir de mon cul, et je suis allé remplir nos verres. Quand je suis revenu, j’ai eu le plaisir de constater qu’en mon absence, elle avait remplacé mon corps par sa main… Bref, elle se masturbait, lentement, comme si c’était juste pour rester en érection.


J’ai repris ma place, m’empalant sur elle, et à nouveau sa main a entouré ma queue… Cette fois, au lieu de parler de moi, de ma vie, je lui ai posé des questions sur elle.


Elle a commencé par me dire que son histoire n’allait pas être joyeuse pour les premières années qu’elle allait raconter, mais qu’elle n’allait pas me raconter ces moments pour que je m’apitoie. Cette période de sa vie est derrière elle, et elle a tourné la page.


Adolescent, je parle au masculin parce qu’à ce moment-là elle/il se considérait encore comme un homme, il ne sentait pas à l’aise dans son entourage. Il savait qu’il était attiré par les hommes, mais il vivait dans une famille et dans un milieu où l’homosexualité était mal vue. Il a quelques histoires, jamais bien longues, jamais satisfaisantes. Il allait de moins en moins bien dans sa peau, et a fini par avouer son penchant pour les hommes à sa famille. Comme il s’y attendait, ça a été très mal perçu. L’ambiance chez lui s’est grandement dégradée, et peu après ses 18 ans il s’est fait montrer la porte du logement familial. Il a rapidement trouvé un travail, a abandonné ses études, et s’est mis à fréquenter les milieux gays. Mais il n’aimait pas ça, il ne voulait pas avoir à vivre dans une communauté « à part », il ne voulait pas se sentir différent, même si tout le monde l’était dans ces groupes. Il a eu de nombreuses relations durant cette période, toutes encore moins satisfaisantes que lorsqu’il était ado. 


Puis un jour, il a eu un déclic. Il s’est rendu compte que depuis quelques mois il s’était mis à regarder les femmes. Pas en tant qu’homme attiré par les femmes, mais parce qu’il aimait le linge qu’elles portaient. Et là tout est allé très vite. Il a commencé à se travestir dans le privé, puis parfois à juste sortir dans la rue, habillé en femme. Et ça a été une évidence : il se sentait plus femme que homme.


Il a alors commencé une thérapie hormonale, puis s’est fait poser des implants mammaires. Tout le processus a été long, mais il/elle ne l’a jamais regretté. Elle a officiellement changé son prénom, et en a profité pour changer son nom, pour rompre tout lien avec la famille qui l’a rejetée.


Dans la rue, elle a constaté que bien des hommes la regardaient, ou plutôt regardaient les courbes de son corps… Ça l’a émoustillé plus que jamais, plus que toutes les fois où elle essayait de plaire à un homme en particulier… Elle avait un joli corps, elle avait une forte libido (je ne l’ai pas dit, mais elle a avoué se masturber au moins une fois par jour à cette époque, le plus souvent deux fois), alors elle s’est dit qu’elle pourrait profiter de ses belles années pour faire de l’argent facilement. Elle a alors commencé à se prostituer… Elle était consciente que son corps de rêve, parce que oui, elle a un corps de rêve, ne durera pas éternellement, alors elle a mis de côté l’idée d’avoir une vie amoureuse pour privilégier le nombre de clients… Tout en reprenant des études à distance pour avoir un diplôme pour le « après ».


Elle a quand même tenté d’avoir des relations amoureuses (deux fois), mais elles ont été des échecs, une fois à cause de sa profession, une fois pour d’autres raisons. La dernière remonte à plus de trois ans, et depuis, jamais un sexe n’était entré en elle sans être entouré d’un préservatif, que ce soit dans son anus ou dans sa bouche. Depuis trois ans, elle n’avait plus goûté à du sperme autre que le sien…


Petit aparté ici : son sperme, elle le savoure quasiment tous les jours. Comme je l’ai dit plus haut, depuis son adolescence elle a une très forte libido, et elle continue à se masturber tous les jours, même si elle a des clients. Et il n’est pas rare non plus qu’elle nettoie le corps de ses clients si elle a éjaculé à un endroit sécuritaire (ventre, torse, etc.) ou même qu’elle retire son préservatif avec précaution pour récupérer en toute sécurité son sperme qui est dedans…


Pour en revenir au fait que depuis plusieurs années elle n’avait pas eu de sperme en elle (autre que le sien), elle m’a aussi dit que ces deux relations n’avait pas été assez longues pour qu’une réelle complicité s’installe et que le sexe anal ne soit pas protégé. Alors quand je lui ai demandé, dans le spa, comment elle voulait que je jouisse, c’est son plus vieux fantasme que je lui ai permis de réaliser : jouir dans l’anus de son partenaire, et lécher le sexe juteux de sperme et parfumé de l’intérieur d’un anus… Je lui ai demandé si la réalisation a été à la hauteur de ses attentes, de ce qu’elle imaginait, et vu le regard pétillant et le sourire l’accompagnant, j’ai compris que oui…


Elle devait être en moi depuis plus de 20 minutes…  Nos verres étaient à nouveaux vides. Je lui ai demandé si elle voulait boire autre chose avant que je continue avec des questions sur elle, et elle a acquiescé.


Je me suis dégagé d’elle, je me suis penché pour une faire une mini-fellation à son sexe,  puis je me suis déplacé pour échanger un baiser. Alors que j’étais en train de savourer ses lèvres et sa langue, elle a glissé un doigt dans mon p’tit trou dilaté, puis un deuxième… Elle les a poussés le plus loin possible en maintenant de son autre main ma tête contre la sienne pour le baiser, puis les a ressorti et les a glissé dans sa bouche, interrompant notre baiser… Elle a léché consciencieusement ses deux doigts puis m’a murmuré : « Ça aussi c’était un fantasme… ».


On a continué à s’embrasser quelques secondes, puis je suis allé remplir nos verres.


Alors que j’étais en train de verser l’alcool qu’elle désirait dans son verre, j’ai senti ses mains se poser sur mes hanches, et ses seins en béton se coller à mon dos. Juste au toucher, je pouvais clairement dire qu’elle n’avait plus aucun vêtement sur elle… Je ne l’avais pas entendu me suivre…


Elle m’a embrassé dans le haut du dos, puis est descendu progressivement, jusqu’à ce qu’elle soit accroupi, son visage à hauteur de mes fesses… J’ai senti ses lèvres se glisser entre mes fesses… Comprenant ce qu’elle voulait, j’ai légèrement écarté mes jambes, et je me suis cambré, pour libérer l’accès à la zone désirée… Pendant les minutes qui ont suivi, il y a eu alternance entre langue et doigts dans ma zone intime…


Lorsqu’elle s’est relevée, sa queue bien dure s’est placée à l’entrée de mon cul et si j’ai eu droit à une introduction en douceur, la suite a été sodomie dynamique, agressive, excitante… Je sentais son ventre cogner contre mes fesses… Parfois elle sortait sa verge pour glisser sa langue dans mon trou béant, laissant couler de la salive dedans, avant de mieux la renfoncer le plus loin possible dans mes entrailles… Et croyez-le ou non, elle a jouit une fois de plus… Là encore je ne peux pas dire que j’ai senti son sperme gicler en moi, il ne devait quasiment rien y avoir, mais elle a arrêté de bouger, j’ai senti son gland se gonfler, et ses jambes se sont mises à trembler…


Quand elle s’est retirée de moi, elle a reculé, m’a léché l’anus quelques instants, puis s’est relevée et a appuyé les fesses sur la table. Je l’ai rejointe, je me suis accroupi pour nettoyer mais surtout pour savourer sa queue. Quand je me suis relevé, elle a passé ses bras autour de mon cou et m’a serré contre elle.


Nous sommes restés longtemps ainsi…


Quand nous nous sommes décollés, elle m’a dit : « Je suis désolée… Quatre fois en quelques heures, j’ai l’impression que c’est moi la cliente… Excuse-moi… ». 


Je lui ai caressé le visage, et j’ai répondu : « Ne sois pas désolée, ne t’excuse pas. Je te l’ai dit, nous sommes conjoints pour le week-end… Comporte-toi avec moi comme tu aimerais te comporter avec ton amoureux… Parfois tu prends l’initiative, parfois c’est moi, comme dans un couple sain… »


Elle m’a serré encore plus fort contre elle… Nous avons ensuite pris nos verres, et nous sommes allés dehors, sur une chaise longue. Elle s’est allongée dessus, et je suis venu me placer à ses côtés, un peu plus bas. Sans faire trop de mouvement je pouvais soit poser ma tête sur son ventre, soit lui titiller les tétons avec ma bouche… De son côté, elle a simplement posé une de ses mains sur mon épaule, tenant son verre dans l’autre.


Je lui ai demandé si elle avait d’autres fantasmes, en embrassant distraitement un de ses seins…


Elle m’a répondu : « le plus fort de tous, je te l’ai dit tout à l’heure, celui que j’avais depuis longtemps et auquel je pense souvent en masturbant, c’était qu’un homme jouisse en moi, sans préservatif, et que je le savoure ensuite. J’avais envie de savoir ce que ça fait de sentir un homme éjaculer dans mon anus… Et le nettoyer ensuite, je trouvais ça très intime… L’idée m’excitait beaucoup… En deuxième place, jouir dans l’anus d’un homme, puis le lui lécher… Glisser ma langue dans l’anus grand ouvert, récupérer mon sperme… Encore très intime et excitant… Et je précise que ce que nous venons de faire ne compte pas pour ce fantasme, j’étais presque vide, je n’ai rien récupéré… En troisième place, jouer avec mes doigts et ma langue dans l’anus d’un homme, et celui-là, comme le premier, je l’ai assouvi ce soir. C’était aussi bien si ce n’est mieux que dans mes rêves… »


Il y a eu un silence de quelques secondes, puis elle a continué : « jouir dans la bouche d’un homme et qu’un homme jouisse dans ma bouche, je ne peux dire que ce sont des fantasmes puisque je l’avais déjà fait dans le passé, mais ça me manquait… ».


Un nouveau silence, en buvant une gorgée : « si on parle strictement sexe, le dernier qui me vient à l’esprit ce serait deux hommes pour s’occuper de moi… ». Je lui ai demandé ce qu’elle aimerait que les deux hommes lui fassent. La réponse a été claire : « Tout. Relation anale et buccale en même temps, dans plusieurs positions… Un baiser à trois… Être entre les deux, un sexe en moi le mien dans un de mes partenaires… Je ne peux pas tout lister : tout me fait envie. En douceur, mais tout. »


Pendant qu’elle me racontait tout cela, son sexe a durci à nouveau… Alors évidemment, j’ai posé ma main dessus pour le caresser… Pas pour une branlette à la faire jouir, mais juste pour le plaisir des sensations tactiles, passant de sa verge à ses couilles…


Je lui ai alors demandé « Tu as dis ‘si on parle strictement sexe’. As-tu des fantasmes qui ne sont pas nécessairement strictement sexuels? ». Le temps que sa réponse commence, j’ai glissé un peu vers le bas, et la tête posée sur ventre ferme, j’ai pris son gland en bouche…


« Oui, et ce sont les plus érotiques de mes fantasmes… Je suis une adepte de la masturbation. Même en couple et heureuse en couple, je sais que j’aurais envie de me masturber en pensant à mon homme. Alors un de mes fantasmes, c’est d’être en couple avec un homme qui comprenne cela, et qui partage mon envie… Un exemple : si mon conjoint reçoit ses amis une soirée, je sais qu’en le voyait sourire, s’amuser, être heureux, ça me donnera envie de le regarder en me masturbant. Avec une maison comme la tienne, ce serait facile que je reste derrière le comptoir de la cuisine à le regarder dans le salon : le comptoir cacherait à tous ma masturbation. Autre exemple : pendant que je me prépare le matin dans la chambre, j’adorerais que mon homme reste au lit et se masturbe, approuvant le spectacle de mon corps. J’ai imaginé tellement de scènes de ce genre pendant mes masturbations solitaires… Autre exemple : je rentre tard le soir, mon homme dort. Quand je vais dans la salle de bain, sans faire de bruit, je trouve à côté de ma brosse à dent un verre avec du sperme dedans, et un petit mot ‘j’ai pensé à toi en m’endormant’. Je trouverais ça tellement excitant et intime que mon homme agisse ainsi… ».


Et elle a continué.


« Je rêve de spontanéité. Quand je suis avec un client pour une heure, deux heures, une nuit, c’est sûr que je suis présente pour faire l’amour. C’est prévu. Je rêve de moments où rien n’est prévu, juste l’envie de l’un pour l’autre qui prend le dessus et qui s’exprime. Que ce soit à la maison ou n’importe où ailleurs. Je serais en couple, quand j’aurais le temps, c’est-à-dire probablement la plupart du temps, nous utiliserions notre salive pour nous lubrifier. Je comprends l’intérêt du lubrifiant, mais je préfère savourer un anus dilaté qui a été préalablement lubrifié à la salive plutôt qu’au lubrifiant commercial. Cependant, je serais du genre à avoir en permanence un petit tube de lubrifiant ou un préservatif pour les envies soudaines. Par exemple une soirée chez des amis : on s’isole dans la salle de bain pour une baise rapide, pas le temps de jouer. J’enfile le préservatif, et je sodomise mon homme, directement, rapidement, sans enfantillage. De l’impulsivité à n’importe quel moment. ».


Elle a fini avec un dernier point.


« Ce fantasme est lié à mon travail, mais j’adorerais rentrer à la maison et me coller à mon homme, après un client. Parfois parce que j’aurais envie que mon homme me fasse l’amour pour me ‘purifier’ suite à un client déplaisant, parfois parce que je serais juste ‘bien’ après un client satisfaisant, ou même parce que parfois un client m’aura allumé sans réussir à assouvir mes envies… »

 

Je m’amusais encore à caresser son gland avec mes lèvres pendant qu’elle parlait… Et j’ai senti un liquide chaud couler dans ma bouche. D’abord quelques gouttes, que j’ai avalées avec satisfaction. Puis un jet plus dur, plus intense, mais qui a vite été coupé. Encore une fois, je n’ai rien perdu du produit… J’ai ensuite entendu ma partenaire dire : « J’ai envie d’arroser ton visage… ». J’ai reculé un peu ma tête, son sexe est sorti de ma bouche, et le jet a redémarré… Je faisais des petits mouvements pour avoir partout : bouche, menton, front, yeux, joues…

Par Etienne - Publié dans : Partenaire inattendue
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Mercredi 2 novembre 3 02 /11 /Nov 15:39

Si vous avez lu mon article résumant très brièvement mon été, vous savez que mes chéries sont parties pour une fin de semaine dans un hôtel-spa, et qu’elles ont profité de l’occasion pour organiser ma fin de semaine avec une transsexuelle, sans m’avertir avant. Je reprends au moment où ma partenaire inconnue a sonné à ma porte.


Quand j’ai ouvert, une femme utrasexy en robe fourreau moulante, décolletée et fendue sur les côtés m’a dit « Bonjour et surprise ! », avec un grand sourire. Une femme aux cheveux longs brunes, les yeux marrons, une poitrine absolument époustouflante dans cette robe (mais clairement pas naturelle étant donné l’immobilisme des seins quand elle marchait), une taille menu, des fesses joliment rebondies, et des cuisses qui semblaient musclées comme il faut, sans abus. Et un maquillage léger, mais bel et bien présent.


Une femme magnifique, mais j’ai quand même très rapidement deviné qu’il s’agissait d’une transsexuelle. Le visage était très féminin, mais il manquait la « grâce » féminine, le plus quelque chose qu’une femme de naissance a. Et évidemment sa voix m’a aussi mis la puce à l’oreille. Dès que j’en ai pris conscience, j’avais hâte qu’elle vienne s’asseoir sur mon sexe…


Elle était jolie et avait du charme. À la regarder à ce moment-là, oui, je devinais qu’elle était une trans, mais elle était quand même très, très féminine. 


Je l’ai faite entrer, elle a posé son sac à côté de la porte et m’a dit, en gros : « cette situation est un peu inhabituelle pour moi. D’habitude mes clients veulent cacher à leurs femmes qu’ils me voient, mais dans votre cas, ce sont vos femmes qui m’ont choisi pour vous. »


Je l’ai tout de suite arrêté en lui disant que je préfèrerais qu’on se tutoie. Elle a souri, et a enchainé : « Tes deux femmes m’ont appelé après avoir vu mon annonce sur un site d’escortes, nous avons échangé assez longuement, autant de vive voix que par écrit, puis finalement je les ai rencontrées ici, chez vous. Nous avons parlé de tout et de rien, y compris bien sûr de sexe. À la fin de discussion, elles m’ont demandé si j’étais partante pour une fin de semaine complète avec leur mari, donc ici, en leur absence. Avant que je réponde, elles m’ont montré des photos de toi, même si j’en avais déjà vu un dans vos cadres. C’est le 2e élément un peu inhabituel : généralement je ne sais pas à quoi ressemblent mes clients avant d’accepter de les voir. Le 3e point inhabituel, c’est qu’elles m’ont demandé si j’étais d’accord pour me passer de protection pour tout ce qui allait arriver entre toi et moi pendant ces quelques jours. Évidemment elles m’ont montré un test d’infections sexuellement transmissibles négatif récent de toi, et m’ont demandé si j’en avais aussi, ou si j’étais prête à en passer un. Ce dernier point en lui-même n’est pas inhabituel, on me demande souvent d’avoir des rapports sans préservatif, et je dis toujours non. Mais dans le cas présent, voir tes femmes, chez vous, que ce soit elles qui m’engagent, voir des photos de toi et de vous trois avant de pouvoir répondre, ça m’a poussé à accepter. Alors pour résumer, je suis à toi pour tout le week-end. J’ai montré mes tests à tes femmes, mais le voilà ». Elle n’a donné une copie et a continué : « Je suis donc à toi pour tout le week-end, pour me conduire comme si j’étais ta conjointe, à faire l’amour selon tes désirs et sans besoin de protection. »


Je lui répondu avec un grand sourire que mes conjointes, quand elles rentrent à la maison je les embrasse. Je me suis approché d’elle, et nous nous sommes embrassés. D’abord du bout des lèvres, presque timidement, puis nos bouches se sont entrouvertes et nos langues ont fait connaissance…


Je me suis bien évidemment collé à elle, et j’ai confirmé ce que je pensais : ses seins étaient en béton armés… 


Lorsque j’ai fini de lui souhaiter la bienvenue, je lui ai proposé d’aller faire connaissance dans le spa. Je lui ai dit en riant que vu l’examen complet qu’elle a passé avec mes chéries et la préparation qu’elle semble avoir eue, elle devait savoir qu’il y avait un spa et une piscine, donc qu’elle devait avoir au moins un maillot de bain. Elle a ri et a répondu qu’effectivement, elle en a amenés plusieurs.


Le temps que l’on soit plus à l’aise l’un avec l’autre, je lui ai montré notre chambre et je lui ai proposé de se changer pendant que je nous servais quelque chose à boire (et que moi aussi je me changeais). Elle m’a dit que du vin blanc ferait son bonheur.


Lorsqu’elle est revenue dans le salon, elle était époustouflante… Son bikini noir mettait en valeur sa poitrine d’apparence parfaite, aussi parfaite que le reste du corps… Elle a vu à mon regard que j’appréciais énormément ce que je voyais, et son regard et son sourire semblait indiquer que c’était réciproque… D’un autre côté, son métier est de le faire croire même si ce n’est pas ce qu’elle ressent vraiment…


Je lui ai dit de passer devant moi pour aller jusqu’au spa, et j’en évidemment profiter pour me rincer l’œil sur son cul parfait… J’avais très hâte de lui enlever ce maillot de lui lécher l’entrée des artistes…


J’ai souvent dit que je trouvais que des faux seins, quand une femme est habillée, c’est magnifique, mais que nu je préfère, et de loin, des seins naturels. Dans son maillot, ses seins étaient ni plus ni moins que la perfection… Je ne pouvais m’empêcher d’y jeter des coups d’œil pendant que l’on discutait dans le spa, ainsi l’un en face de l’autre, sans que les jets ne soient en fonction (on ne s’entend pas autrement…). Elle me posait des questions sur ma relation avec mes chéries. Elle semblait fascinée par notre mode de fonctionnement…


Une fois que l’on avait tous les deux fini nos verres de vin, j’ai un peu coupé la discussion en lui disant que je la trouvais absolument magnifique… Je me suis approché d’elle, je me suis assis à ses côté, tourné vers elle et je l’ai embrassée à nouveau… 


J’ai posé ma main sur son ventre pendant ce long baiser… Puis je l’ai descendue, la glissant dans son maillot qui était distendu par son érection… Érection que j’ai lentement caressée… 


Sans perdre de temps, j’ai commencé à tenter de lui retirer le bas de son maillot… Elle a vite compris où je voulais en venir elle s’est mise debout, facilitant grandement son enlèvement… 


Elle était donc debout, devant moi, au milieu du spa… le sexe en érection, fièrement dressé vers le ciel, ses seins magnifiquement drapés dans son haut de bikini, son corps féminin, sans le moindre poil, ses couilles rondes qui semblaient juste attendre de se faire gober… Son visage, très beau… Je lui ai dit, sincèrement, qu’elle était « l’un des plus beaux êtres vivants que j’ai vus ». Et je le pensais vraiment…


Que je lui dise cette vérité a semblé la gêner, l’intimider… Alors j’ai changé de sujet, ou plutôt, j’ai changé l’usage de ma bouche : au lieu de parler, je me suis approché d’elle, je rappelle qu’elle était dans le spa, alors que moi j’étais assis dedans, donc l’objet de ma convoitise était pile au bon niveau. J’ai posé mes mains sur ses hanches, et j’ai déposé mes lèvres sur gland… 


Je ne sais plus dans quel ordre j’ai procédé, mais je sais que j’ai embrassé sa verge sur toute sa longueur, que j’ai léché ses couilles, que j’ai pris son sexe en bouche, jusqu’au fond de ma gorge, et le tout à plusieurs reprises… Elle gémissait de plaisir, me caressant la tête, les cheveux…


Au bout d’un moment, elle a compris que j’avais sorti ma queue de mon short de bain et je masturbais en la suçant… Elle m’a alors fait m’asseoir un peu différemment, simplement en me faisant me redresser au lieu que je sois penché en avant, elle s’est agenouillée au-dessus de mes cuisses, m’a fait déplacer mes fesses sur le bord du banc dans le spa pour que je puisse pencher mon dos vers l’arrière… Ayant compris ce qu’elle allait faire, j’ai tenu ma queue bien droite, et elle est venue s’empaler dessus… Sans lubrifiant, dans l’eau du spa, ça a pris quelques mouvements pour qu’enfin je sois bien en elle, confortablement…


Pendant les lents va-et-vient, je la masturbais… et je l’ai faite se pencher pour que l’on puisse s’embrasser…


Après un certain temps que je ne peux pas quantifier, elle m’a dit que si je continuais à ce rythme, elle allait jouir… et elle a aussitôt ajouté : « ce n’est pas que je ne veux pas, c’est juste que je pense que tu serais déçu que tout se perde dans l’eau… ».


Bien évidemment elle avait raison. Hors de question que son sperme, pour la première éjaculation, finisse ailleurs que dans ma bouche…


Je lui ai demandé de s’asseoir sur le bord du spa, et je me suis placé entre ses jambes… J’ai pris son sexe en bouche, j’ai glissé deux doigts en elle, caressant sa prostate, et peu après son nectar a jailli dans ma bouche… J’ai continué sans rien changer de ce que je faisais, jusqu’à être certain que plus une goutte ne sortirait…


Je ne peux pas dire que j’étais en manque de sperme puisque je suce mon boss en moyenne deux fois par semaine, mais je dois dire que sur cette éjaculation m’a paru bien plus savoureuse… Je sais bien que c’est juste psychologique, mais vous comprenez, j’ai littéralement adoré…


J’ai continué à lui titiller la prostate quelques instants, puis j’ai retiré mes doigts que j’ai lentement léchés sous son regard approbateur…


Je me suis redressé dans le spa, je me suis penché vers son visage, et nous nous sommes embrassés, longuement, sensuellement… Elle tenait mon sexe dans sa main, me caressant délicatement, puis, sans que nos lèvres ne se décollent, elle m’a demandé si j’avais envie de jouir à mon tour :

  • ELLE : As-tu envie de jouir? 

  • MOI : Oh oui, avec plaisir…

  • ELLE : Tu en as envie comment…? En continuant ce que nous faisons? Dans ma bouche? Ailleurs en moi?

  • MOI : Toi, qu’est-ce qui fera plaisir?

  • ELLE (en souriant) : Tu oublies que tu es mon client, que je suis là pour toi…

  • MOI (en souriant) : Tu oublies que tu es censée être ma conjointe pour la fin de semaine, et mon grand plaisir est de satisfaire ma conjointe… Alors dis-moi, comment as-tu envie de me faire jouir?


Elle a aussitôt arrêté de me masturber… Elle a posé ses deux mains sur mon visage, une de chaque côté de ma tête, et son baiser s’est fait plus profond, plus intense… En ce qui me concerne, j’avais une main sur le bord du spa pour me tenir en équilibre (je vous rappelle que j’étais penché en avant vers elle) et mon autre main caressant sa taille.


Lorsque nos lèvres se sont éloignées suffisamment les unes des autres pour parler, elle m’a susurré : « je veux qu’on sorte du spa et qu’on aille se rincer… On se sèche bien, on va dans la chambre, et juste avec nos salives, sans lubrifiant, tu me pénètres… Je veux que tu jouisses en moi, puis que tu me laisses te nettoyer à ma façon… ».


Sans lui demander quelle était sa « façon », je me suis redressé, je lui ai tendu la main, puis main dans la main, les doigts entremêlés, nous sommes sortis du spa, direction la salle de bain.


Pour se rincer, j’ai enlevé complètement mon short de bain, bien sûr, et elle a retiré son haut de bikini. Comme je le supposais, ses seins ne bougeaient pas du tout… Dans du linge ou de la lingerie ils étaient beaux, parfaits, quasiment une incitation au viol, mais une fois sans tissu dessus, c’est un peu moins à mon goût. Détrompez-vous, je les trouvais quand même beaux, c’est juste que j’aime des seins qui bougent, qui sont malléables en fonction de la force des caresses, et dans le cas présent, ce n’était pas le cas. Mais elle était quand même toujours très belle!!


Alors que j’allais prendre le savon pour nous laver, elle m’a dit « Non, pas de savon, juste un rinçage. Je veux que ton corps sente le corps propre, et non l’eau du spa ou le savon ».


 Nous nous sommes donc directement mutuellement séché, tout en nous caressant et nous embrassant. J’ai eu la très agréable surprise de constater qu’elle était déjà à nouveau en érection, malgré son orgasme d’il y a peine 15 minutes. Quand je le lui ai fait remarquer, elle m’a répondu « J’ai été testé par tes femmes sur ce point-là, je te raconterai après. J’ai envie de toi en moi… » et m’a embrassé.


Sans cesser d’échanger nos salives, je nous ai dirigés vers la chambre… Elle m’a dit de m’allonger sur le dos, et j’ai obtempéré à son ordre… Elle s’est placée au-dessus de moi en m’embrassant, puis a effectué un demi-tour complet pour prendre ma queue bien dure en bouche… J’étais tenté par lui prodiguer la même attention, mais je sais que son objectif était que je lui lubrifie l’anus avec ma salive… Alors c’est sur cette partie de son anatomie que ma langue s’est déployée…


J’adore le contact d’un anus sur ma langue… C’est une texture différente de tout le reste du corps, c’est terriblement excitant… et l’odeur d’un petit trou propre est absolument aphrodisiaque…


Je ne suis pas un grand fan des 69 parce que je trouve qu’on ne profite pas à fond des deux plaisirs. Et là aussi c’était vrai : je me concentrais sur son petit trou, et je ne profitais pas à sa juste valeur de la fellation profonde qu’elle me prodiguait… Extrêmement profonde, parce que je sentais ses lèvres qui tentaient en même temps d’avaler mes couilles…


Nous ne sommes pas restés longtemps tête-bêche. Une fois qu’elle a considéré que nous étions assez lubrifiés, elle m’a demandé de m’asseoir sur le lit, et elle est venue s’empaler sur moi, face à moi. 


Elle s’agrippait à moi, comme si la fin du monde allait arriver… Je sentais sa queue en érection contre mon ventre et mon torse… J’avais ses tétons directement au niveau de ma bouche, alors évidemment j’ai joué avec… Je la maintenais par les fesses, et le rythme des va-et-vient était plutôt lent, mais très profond… À chaque mouvement mon sexe ressortissait quasiment au complet d’elle, juste mon gland restait à l’intérieur, pour se renfoncer jusqu’à ce que ses fesses soient bloquées par mes cuisses…


Le seul moment où elle a accepté de relâcher un peu son étreinte, c’est lorsque j’ai glissé ma main entre elle et moi pour tenter de saisir son sexe et de la branler… Au début elle tentait de se maintenir collée, mais finalement elle s’est carrément laissée tomber sur le dos sur le lit. Pour maintenant le rythme, j’ai été obligé de lâcher son sexe pour la tenir par les hanches pour continuer les pénétrations profondes… 


Mes yeux passaient sans cesse de son visage à ses seins à son sexe… Tout un spectacle… 


Puis elle m’a dit « Remplis-moi… ».  Je voyais sa queue, j’avais envie de la branler en même temps que j’allais me vider… J’ai essayé, mais ça brisait complètement le rythme… J’ai alors pris sa main qui était posée sur une de mes jambes, et je l’ai déplacée vers sa verge. Elle a instantanément compris et s’est mise à se branler.


Peu après, j’ai joui… Je lui ai rempli son petit trou le plus au fond possible… Au mouvement du bassin qu’elle faisait, j’ai compris qu’elle a senti mon sperme chaud jaillir en elle, en plus de mes gémissements d’extase.


Une fois mes couilles complètement vides, je n’avais plus de raison de maintenir ma partenaire par les hanches de mes deux mains. Elle a alors pris une de mes mains avec la sienne, et comme je l’avais fait un peu plus tôt avec elle, elle l’a posée sur son sexe… Avec un sourire, j’ai pris la relève de sa masturbation. Peu après, elle éclaboussait son ventre…


Je me rends compte que je ne vous ai pas parlé de sa queue. En fait, je n’ai pas grand-chose à en dire. Elle était belle, elle était « normale ». Pas d’une longueur ou d’une épaisseur de concombre. Un beau gland bien dessiné, rose, qui coiffant parfaitement le membre phallique. Quelques vaisseaux sanguins bien placés et bien visibles qu’il était agréable de caresser avec la langue. J’aurais des talents de dessinateurs, on me demanderait de dessiner la bite de mes rêves je reproduirais celle que j’avais sous les yeux. En plus grosse, plus longue, mais avec exactement le même profil.


Revenons-en au lit où nous étions…


Son sperme venait de s’étaler sur son ventre. Pas une énorme quantité, mais pour une deuxième éjaculation en moins d’une heure, c’était quand même plus qu’honorable.


Je vous le dis : voir mon sexe dans son anus, son sexe encore presque complètement en érection posé sur son ventre, du sperme un peu au-dessus, cette fausse poitrine magnifique (je me répète, pas aussi belle qu’une vraie ou qu’une vrai rehaussée, mais pour une 100% fausse, elle était sublime), ce joli visage, c’était un tableau époustouflant.


Alors que je la contemplais, elle m’a dit, timidement : « tu ne… tu ne débandes pas? ». J’ai souri et j’ai répondu : « Généralement oui, mais il y a des cas où après avoir joui, je reste dur. Ça semble être le cas en ce moment, et ça ne me surprend pas. Le ‘tableau’ que j’ai sous les yeux est magnifique et excitant ».


Elle a rétorqué : « j’imaginais que j’allais avoir du plaisir à nettoyer un sexe juteux et mou, mais ça va être encore plus agréable alors… ».


Elle s’est dégagée de moi, m’a fait m’allonger sur le dos, a pris mon sexe en main et a commencé à le sentir, en disant qu’elle adorait l’odeur… Elle l’a ensuite léché, puis l’a pris complètement en bouche. Après une fellation de nettoyage, elle a dit que le goût était encore meilleur que l’odeur…


Je lui alors demandé de changer de position, parce que moi aussi j’avais quelque chose à nettoyer… Elle s’est alors déplacée pour mettre son ventre au-dessus de mon visage… J’ai léché le sperme qui y était encore, puis je lui ai dit que ce n’était qu’une introduction à la zone de son corps que je voulais vraiment nettoyer…


Elle n’a rien dit pendant quelques secondes, puis a ri et est venue s’accroupir au-dessus de mon visage. Je savourais son cul, mais mon sperme n’en ressortait pas… je n’aurais pas dû jouir aussi profondément en elle… Je lui ai alors dit qu’il ne fallait pas qu’elle hésite à pousser un peu, pour forcer l’évacuation… J’ai commencé à sentir les contractions de son p’tit cul, puis un liquide chaud a fini par couler un peu… Pour finir, j’ai aidé l’évacuation avec mes doigts… C’était délicieux…


Pendant que je procédais au recyclage de mon sperme, ma partenaire s’est peu à peu penchée en avant et a à nouveau pris mon sexe, qui ne débandait pas, en bouche. Comme je l’ai dit plutôt, pendant un 69 (je considère toute position tête-bêche comme étant un 69, même si je ne jouais pas avec son sexe) je suis moins sensible à cet acte. Par contre, quand j’ai fini de la nettoyer, même si j’avais encore son cul sur mon visage j’ai pu me consacrer aux sensations que me produisaient sa pipe.


J’ai senti qu’un de ses doigts cherchaient à entrer dans mon anus… Je lui ai dit que ne m’attendant pas à une telle visite, je n’avais pas fait le nettoyage requis et qu’il se pouvait que je ne sois pas complètement vide, donc que je lui déconseillais d’aller plus loin pour le moment. Elle a continué à jouer avec mon petit trou, mais quand elle sentait que le passage s’ouvrait, elle cessait la pression, pour recommencer un peu plus tard. C’était la définition même de la torture : j’avais tellement envie qu’elle s’y enfonce…


Heureusement mon bourreau a arrêté cette action quand j’ai joui dans sa bouche… À mon tour j’ai donc joui deux fois en très peu de temps. Nous étions à égalité…


Elle a à nouveau fait demi-tour puis s’est allongée contre moi, la tête dans le creux de mon épaule. Nous sommes restés ainsi, sans dire un mot, échangeant des baisers par moment. Puis son ventre à fait un « ggloouuu glouuuu » caractéristique… Nous avons tous les deux ri, et je lui ai demandé si par hasard elle ne commencerait pas à voir faim. Il était presque 19h (il faut savoir qu’au Québec on mange le soir parfois des 17h, donc 19h, ça comment à être une heure tardive pour manger pour pas mal de personnes).


Nous nous sommes levés du lit, et elle m’a demandé comment j’aimerais qu’elle s’habille. Sans lui donner la tenue exacte, j’ai mentionné des exemples qui me plairaient beaucoup : jupe courte, jeans moulant, pantalon de yoga, et dans tous les cas rien en-dessous, et pour le haut du corps un soutien gorge sexy, ou un chandail décontracté mais qui laisse entrevoir les seins, le dos ou le ventre. Elle a ri et m’a dit « C’est quasiment mot pour mot ce que tes femmes m’ont dit d’apporter! Vous vous connaissez par cœur, c’est adorable… ». Et elle m’a embrassé… 

 

Je lui ai demandé comment elle elle voulait que je m’habille. La réponse a fusé : « ton pantalon et chemise en lin blanc. Tu seras mon James Bond de la soirée ». Elle a vu mon regard surpris, et encore une fois a ri : « Tes femmes m’ont fait faire le tour de tes habits, parce qu’elles se doutaient que tu poserais la question à un moment ou à un autre… ».

Par Etienne - Publié dans : Partenaire inattendue
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Jeudi 20 octobre 4 20 /10 /Oct 07:49

Cet été, j’ai fait, avec mes chéries, une bonne action qui a été drôlement récompensée…

 

Il pleuvait très fort, une pluie d’orage, même s’il n’y avait pas vraiment d’orage. Je roulais en auto avec une de mes chéries (Clarisse, pas ma femme, mais notre amante), quand j’ai vu une personne en fauteuil roulant sur le trottoir qui semblait lutter contre la pluie et le vent. C’était un trottoir très long sans aucune maison, donc il était évident qu’elle en avait encore pour un bout de temps à se faire tremper et à avancer contre les éléments.

 

Quand je l’ai mentionné à ma chérie en approchant, elle m’a dit « arrête-toi, on va lui proposer de la raccompagner ». C’est ce que l’on a fait : j’ai ralenti puis je me suis arrêté à la hauteur de la « piétonne », ma chérie a ouvert sa fenêtre et lui a crié à travers la pluie « Veux-tu que l’on t’amène quelque part? ». On s’est alors rendu compte que c’était une jeune femme, environ 30-35 ans, et qu’elle pleurait.

 

Sans attendre sa réponse, ma chérie est descendue, lui a parlé (je n’entendais pas ce qu’elle disait), puis elle a rouvert la porte avant côté passager en me faisant signe de venir l’aider.

 

J’ai pris la jeune femme dans mes bras, je l’ai portée sur le siège de l’auto, on a plié son fauteuil, on l’a mis dans le coffre, et ma chérie est montée en arrière.

 

J’ai redémarré doucement, puis j’ai attendu que notre passagère me dise où aller. C’est ma chérie qui tentait de faire la conversation, qui tentait de la faire parler, mais elle pleurait vraiment beaucoup. Je me suis alors arrêté un peu plus loin sur un stationnement, puis on a tenté de la réconforter.

 

Après quelques instants elle s’est excusée, puis nous a dit que sa journée a été infernale. Elle nous a expliqué qu’elle venait de se faire voler ou de perdre son sac contenant ses papiers, son téléphone, etc., et que du coup elle rentrait chez elle en fauteuil roulant puisqu’elle n’avait plus rien pour prendre le bus ou un taxi. C’est alors qu’elle s’est faite prendre par la pluie, et ça faisait un sacré bout de temps qu’elle était dessous, sans savoir combien de temps exactement.

 

Elle nous a dit que quand elle nous a vus nous arrêter pour lui demander si on voulait l’aider les vannes ont lâché, et qu’elle s’est mise à pleurer.

 

Une fois tout ceci dit, on lui a proposé de l’emmener au poste de police le plus proche pour faire une déclaration de vol ou de perte, ce qu’elle a accepté. Après cela on est allé à une succursale de sa banque pour qu’elle fasse opposition sur ses cartes. On lui a proposé de l’emmener à une succursale de son fournisseur téléphonique pour bloquer l’appareil, mais elle a dit qu’elle n’avait rien dessus et que le forfait qu’elle a ne permet pas de faire des appels longue distance ou d’utiliser des données, donc pas de souci. On l’a ensuite ramenée chez elle (par chance elle n’avait pas ses clés dans son sac mais dans une poche), et pendant le trajet elle nous a un peu parlé d’elle, notamment du fait qu’elle vit seule.

 

En bas de chez elle, ma chérie lui a proposé de venir finir la journée chez nous pour se changer les idées. Notre invitée avait déjà fait tout ce qu’elle pouvait pour se prémunir d’éventuelles fraudes, donc ma chérie pensait que ce serait une bonne façon de finir la journée, plutôt que seule chez elle. Elle n’a pas été difficile à convaincre. Du coup on n’est même pas descendu de l’auto, et on a filé vers chez nous.

 

Dans l’auto j’ai alors appelé notre chérie pour l’avertir qu’on allait arriver avec une « amie ». J’ai appelé en main libre, puisque je conduisais, donc quand ma chérie a décroché en disant « allô mon amour », ça a fait rire notre invitée. Quand j’ai raccroché, elle nous a dit qu’elle avait pensé naïvement que Clarisse et moi étions ensembles. Il y a eu un léger blanc, et j’ai répondu en toute franchise. J’ai expliqué que l’on vivait à trois, Clarisse a confirmé, et on lui a dit que si jamais ça la mettait mal à l’aise et qu’elle préférait qu’on la ramène chez elle, on pouvait sans problème.

 

Elle nous a répondu quelque chose du genre : « Non non. Je suis moi-même différente de la plupart des gens à cause de mon handicap, et je déteste qu’on me traite différemment des autres personnes. Je serais vraiment mal placée de dire que je suis choquée. »

 

Lorsque nous sommes arrivés chez nous, on a pris conscience qu’avec tout ça, notre amie, Ludivine, avait encore sur elle du linge mouillé. On était peu de temps avant au pied de son immeuble et on est reparti sans même penser à prendre du linge sec. On n’a pas été brillant sur ce coup là!

 

Mes chéries lui ont trouvé des habits, et elle est allée se changer dans la salle de bain. Pendant ce temps-là, on a rapidement résumé à ma chérie la situation, comment nous avons rencontré Ludivine et pourquoi on lui a proposé de venir chez nous.

 

Quand Ludivine est sortie de la salle de bain, pour la première fois je l’ai regardée avec mon regard d’homme qui juge (gentiment!) une femme. Elle était en fauteuil roulant, donc difficile de qualifier ses fesses, mais elle avait un très joli haut de corps, à la limite du un peu trop musclé à mon goût. Elle avait de sacrées épaules et biceps, ce qui, quand on y pense, est un peu logique pour quelqu’un d’actif en fauteuil roulant. Parce que oui, à la voir rafraichie, il était évident que c’était une femme active.

 

Nous lui avons proposé quelque chose à boire, puis nous lui avons suggéré d’appeler au moins les personnes les plus proches d’elle dont elle connaît les numéros pour ne pas qu’ils s’inquiètent si elle ne répond pas.

 

Elle a donc commencé par appeler sa mère, et coup de chance incroyable, celle-ci lui a dit qu’elle a été appelée par quelqu’un ayant trouvé son sac avec son téléphone! En fait Ludivine n’ayant aucune info intéressante dans son téléphone ni aucune possibilité d’exploser son forfait, elle n’avait pas mis de mot de passe. Du coup la personne qui l’a trouvé à juste parcouru son répertoire jusqu'à tomber sur « maman ».

 

Bref, sa mère nous a donné le numéro de téléphone de la personne ayant trouvé son sac, Ludivine l’a appelée aussitôt et elle nous a proposé de la rejoindre. Notre amante, qui avait l’air de vouloir prendre soin de Ludivine, l’a emmenée pour ensuite la ramener chez elle.

 

Mais finalement, une heure plus tard Clarisse est revenue, toujours en présence de Ludivine. Cette dernière semblait vraiment soulagée (ça se comprend!!), et notre amante nous a expliqué lui avoir proposé de finir la soirée chez nous pour fêter ce dénouement.

 

On s’est improvisé un bon souper, on a beaucoup parlé, ri, et finalement on est allé dans la piscine, la pluie ayant cessé. Évidemment Ludivine n’avait pas de maillot, mais au lieu de lui dire que l’on pourrait y aller nus, mes chéries lui en ont prêté un. Surtout qu’il a fallu que je la porte sur mon dos pour aller de son fauteuil à dans l’eau, alors le contact de ses seins nus m’aurait pas mal excité… Déjà que là, en bikini son corps était magnifique, malgré les muscles atrophiés de ses jambes…

 

Dans la piscine nous nous amusions. Ludivine alternait entre nager un peu, s’accrocher au bord ou bien s’accrocher à nous. Alors qu’elle était accrochée à Magali à l’autre bout de la piscine, Clarisse m’a dit que dans l’auto Ludivine et elles ont discuté, et parmi les sujets évoqués, il y a eu le néant de sa vie sexuelle : aucun homme ne l’a touchée depuis plus de 2 ans. Et toujours selon leur discussion, physiquement je lui plaisais… Bref, Clarisse a décidé de revenir avec elle chez nous dans l’espoir que je « m’occupe » d’elle dans la soirée. Ludivine n’a pas dit clairement qu’elle le souhaitait, mais Clarisse a bien expliqué, subtilement selon elle, que nous formons un trio libertin et que si elle le désirait, elle pouvait passer du bon temps avec moi, que c’est sûr que je ne dirais pas non.

 

J’avoue qu’après qu’elle m’ait dit ça, j’ai pas mal cherché des contacts un peu plus peau à peau avec Ludivine… Et dans la piscine, c’était l’endroit parfait… Mes mains se sont pas mal attardées sur son corps, et je peux sans me tromper affirmer que les siennes aussi, pas mal plus de temps que requis sur ma peau… Mais nous ne sommes pas allés plus loin.

 

Pour sortir de la piscine, Ludivine s’est accrochée dans mon dos. J’allais la porter sur son fauteuil quand je lui ai dit que j’allais plutôt l’amener directement dans la salle de bain pour qu’elle puisse se changer, pour ne pas le remouiller. Une de mes chéries est allée placer une chaise dans la douche, et je suis allé déposer Ludivine dessus, en riant : ce n’étant pas évident!

 

Puis elle m’a dit que soit je devais lui donner le pommeau de douche, soit je devais rester avec elle pour l’aider à la rincer. Je n’ai pas hésité un instant : j’ai fermé la porte de la salle de bain, tout en restant dedans.

 

Quand elle a vu que je restais, elle a souri. Un grand et magnifique sourire… Je l’ai rejointe, j’ai pris la pomme de douche, j’ai démarré l’eau, et j’ai commencé à la rincer.

 

Quelques instants plus tard, je lui ai demandé, de façon très innocente bien sûr, si elle voulait enlever son maillot, pour se rincer complètement. Elle semblait en avoir envie, mais était gênée. Alors je lui ai proposé un marché : je me mets nu en premier pour briser la glace, et si elle s’en sent capable, elle enlèvera le tissu qui restait sur son corps.

 

Elle a acquiescé, en faisant oui avec la tête, sans me regarder dans les yeux.

 

J’ai alors baissé mon short de bain, et vous vous en doutez, j’étais en érection… Quand elle a vu mon sexe si dur, elle est restée les yeux dessus, sans rien dire… J’ai fait des pseudo-excuses, en lui disant que je la trouvais magnifique, magnifique et sexy en maillot…

 

Je me suis approché d’elle un peu plus, et sans me regarder dans les yeux, sans quitter mon sexe des yeux, elle a tendu une main vers moi pour commencer à me caresser…

 

J’ai coupé l’eau, j’ai accroché le pommeau de douche au mur, et j’ai demandé si elle voulait que je lui enlève son haut. Toujours sans me regarder dans les yeux, elle a dit oui. Je me suis alors approché d’elle, je me suis penché au-dessus de son épaule pour lui retirer le haut… et alors que je prenais conscience que mon sexe était très proche de son visage dans cette position, j’ai senti sa bouche se fermer dessus…

 

Tout en me suçant, le rythme était très lent, j’ai retiré son haut de maillot, avec son aide. Je ne pouvais pas regarder ses seins dans cette position, mais j’ai passé une main dessus : ils étaient extrêmement fermes… Et pas petits. Ils semblaient être ni plus ni moins comme je l’imaginais quand je la voyais en maillot.

 

Sa fellation n’était pas profonde, mais elle serrait fort avec ses lèvres, elle jouait avec sa langue, c’était très plaisant… Avec ses mains, elle caressait mon ventre, mon torse, mes fesses…J’avais une main sur sa tête, mais je la forçais à rien… je lui caressais simplement les cheveux…

 

Lorsque je lui ai dit que si elle continuait j’allais jouir, pour la première fois depuis que j’étais nu elle m’a regardé dans les yeux… Elle m’a demandé si ça me dérangeait de me laisser aller. Je lui ai dit que non, mais que peut-être que l’on pourrait continuer dans une chambre, pour une plus grande variété de plaisir, surtout pour elle…

 

Elle a acquiescé.

 

Je nous ai séchés rapidement, j’ai pris Ludivine dans mes bras, cette fois face à moi et non dans mon dos, la soutenant par les fesses, et je nous ai emmenés dans une chambre. À peine sur le lit, je lui ai retiré son bas de maillot, et je ne suis pas remonté : mon visage est resté entre ses jambes que j’ai écartées, pour savourer sa délicieuse chatte…

 

Oui, elle est paraplégique, mais non, elle n’a pas d’handicap sexuel, mis à part le fait qu’elle ne peut pas bouger ses jambes comme vous et moi, donc qu’il faut en tenir compte.

 

Bref, sa chatte était juteuse et délicieuse… Je me suis régalé, et à écouter ses gémissements, elle a adoré aussi!

 

Avant d’entrer en elle, je lui ai demandé si elle voulait que l’on utilise des préservatifs, mais sa réponse a été limpide : non. Elle m’a dit ce qu’elle avait déjà dit à Clarisse, c’est-à-dire qu’elle n’a pas eu de partenaire depuis plus de 2 ans et que les tests sanguins qu’elle a fait entre temps pour sa santé en général ont toujours été négatifs. Je lui ai dit que de mon côté j’ai un test relativement récent, mais elle n’a pas demandé à le voir, et on a fait l’amour…

 

Nous avons donc fait l’amour, dans une seule position : elle allongée sur le dos, moi allongé sur elle, avec un rythme lent et énormément de baisers langoureux... Chaque fois que je tentais doucement de me décoller de son corps pour changer de position, elle m’agrippait et me collait à elle extrêmement fort, parfois en me griffant un peu avec ses ongles.

 

Je ne pense pas qu’elle ait joui pendant que j’étais en elle. Beaucoup de plaisir, oui, c’était flagrant, mais un orgasme, je ne pense pas. En fait, je sais même à 100% que non. En revanche, moi j’ai fini par jouir en elle…

 

Après avoir éjaculé, je suis resté longtemps en elle, toujours allongé sur elle. On s’embrassait quasi amoureusement… Après un certain temps, alors que mon sexe commençait à sortir d’elle car je débandais, j’ai commencé à descendre… Je l’ai embrassée dans le cou, j’ai joué avec ses tétons du bout de ma langue, j’ai continué à descendre, j’ai embrassé son ventre, titillé son nombril, j’ai encore continué à descendre, j’ai embrassé ses poils pubiens, son clitoris, et enfin j’ai glissé ma langue dans la partie de son corps où je venais de me vider…

 

Toujours langoureusement, toujours quasi amoureusement, j’ai savouré son sexe agrémenté du goût de mon sperme…

 

Si je peux affirmer qu’elle n’avait pas eu d’orgasme pendant la pénétration, c’est parce qu’elle en a eu pendant que je la savourais, et la réaction était bien différente…

 

Lorsque j’ai cessé, je suis remonté un petit peu, et j’ai posé ma tête sur son ventre. Je suis resté allongé la tête sur son ventre, mon corps entre ses jambes… Je caressais une de ses hanches, et elle caressait mes cheveux… Nous n’avons pas échangé un seul mot… Et elle s’est endormie… À sa décharge, il était un peu plus de 23h à ce moment-là…

 

Je me suis levé, j’ai pris un peu de temps pour la regarder. Ou plutôt, pour la contempler tellement elle avait un joli corps. Et en dormant, elle était vraiment, vraiment belle, tranquille.

 

J’ai remonté les draps sur elle, et je suis sorti de la chambre pour aller voir mes chéries, sans me rhabiller. Comme je m’y attendais, dès que Magali m’a vu nu elle a demandé à goûter à mon sexe, pour me goûter moi, mais tel que je la connais c’était surtout pour goûter à ce qui restait sur moi de l’intérieur de Ludivine…

 

J’ai dit à mes chéries que Ludivine s’était endormie. Nous avons un peu parlé tous les trois, et j’ai notamment demandé si elles pensaient que je devais laisser Ludivine dormir seule, ou si je devais rester avec elle. Finalement on s’est dit que ce serait mieux qu’elle ne se réveille pas seule, au cas où elle ne se souviendrait plus où elle était (façon de parler, évidemment).

 

J’ai discuté un peu avec mes chéries, puis on s’est dit bonne nuit, elles sont allées se coucher dans notre chambre et moi je suis allé chercher le fauteuil roulant de Ludivine pour l’amener dans la chambre, avant de me coucher à côté d’elle.

 

Le matin j’ai été réveillé par des bruits de draps. C’était Ludivine, qui se glissait sous les draps, évidemment sans pouvoir s’aider de ses jambes, pour atteindre mon sexe… J’ai compris quel était son objectif quand je l’ai sentie prendre mon sexe avec une de ses mains et que ses lèvres se sont posées sur mon gland…

 

Évidemment, j’ai instantanément durci… J’aurais su qu’elle voudrait un tel réveil, je me serais lavé le sexe avant de revenir me coucher… Oui, ma chérie m’avait sucé hier soir après que j’ai fait l’amour avec Ludivine, mais ce n’est pas comme m’être nettoyé…

 

Cette fois, au moment de jouir je n’ai rien dit… Je n’ai pas prévenu ma partenaire, du moins pas directement : j’ai gémis un peu différemment, indiquant quand même assez clairement que j’allais jouir, mais sans le lui dire de vive voix.

 

Après avoir tapissé sa bouche de mon premier jet, elle a continué sur le même rythme, qui était un rythme relativement lent, mais comme la veille, ses lèvres appuyaient fermement sur ma queue…

 

Lorsqu’elle est remontée jusqu'à mon visage, elle avait un super joli sourire et m’a dit « je m’excuse, mais depuis la douche d’hier, j’avais terriblement envie d’aller jusqu’au bout ». Je lui ai répondu qu’elle n’avait pas à s’excuser, bien au contraire, c’était à moi de la remercier! Et de mon côté, je me suis excusé aussi en disant que j’aurais su, je me serais lavé le sexe depuis la veille pour ne pas qu’elle « s’auto-goûte ». Elle m’a répondu que mon sexe ne sentait pas du tout le sien, et que même si ça avait été le cas, ça ne l’aurait pas dérangé du tout. Elle a rajouté « Étant donné ce que tu as fait hier soir, je peux dire que comme toi, ce qui sort de mon propre sexe ne me déplait pas ». J’aurais pu rajouter que ce n’est pas juste mon sperme qui me plait, mais le sperme en général, mais je ne suis pas allé jusque là.

 

Allongée dans mes bras, elle a continué sur le sujet en disant que ce que j’ai fait hier, elle ne l’avait jamais vécu, et qu’elle a trouvé que c’était d’une intimité incroyable, et que c’est ce qui a provoqué son orgasme…

 

Nous n’avons pas parlé sexe plus que ça. Nous avons fini par nous lever, je l’ai emmené dans la salle de bain avec son fauteuil, puis nous sommes allés rejoindre mes chéries pour prendre notre petit déjeuner. Ça a été un moment très simple et très agréable.

 

On était samedi, donc il n’y avait pas d’urgence professionnelle de notre côté, mais Ludivine devait rentrer chez elle parce qu’elle devait rejoindre sa mère pour midi. Clarisse s’est sans hésiter portée volontaire pour la ramener chez elle. Personnellement, je pensais que Clarisse a eu un genre de coup de foudre pour Ludivine. Pas un coup de foudre amoureux, mais une envie de tendresse avec elle. Ce n’était que mon avis, mais il s’est avéré par la suite que c’était bien le cas.

 

En effet, lorsqu’elle est revenue après l’avoir ramenée chez elle, elle s’est lovée dans les bras de Magali et a dit qu’elle trouvait Ludivine vraiment, vraiment adorable, et qu’elles avaient convenues de se revoir pour aller courir (pour Clarisse) et faire du fauteuil rapide (pour Ludivine). Elle a aussi dit que Ludivine a demandé si mes chéries et moi serions d’accord pour que je passe du temps à l’occasion avec elle, à partager des moments complices/sexuels. Clarisse lui a répondu qu’elle a juste à me contacter directement, qu’il n’y aura aucun problème. Et elle lui a donné mon numéro, en plus du sien.

 

Tout ceci s’est passé il y a déjà plusieurs semaines. Depuis cette première rencontre, une fois par semaine Clarisse va faire du sport ou une activité autre (shopping, cinéma, etc) avec Ludivine. De mon côté, je n’ai passé qu’une autre nuit avec elle. Un peu comme la première fois, en soirée nous avons fait l’amour, j’ai joui en elle, et je l’ai nettoyée. La différence principale est que cette fois, le nettoyage a été mutuel… Et le matin, au lieu de juste une fellation, nous avons refait l’amour. Par contre, comme lors de notre première rencontre, elle voulait que je jouisse dans sa bouche. Donc après avoir longuement fait l’amour, je me suis agenouillé au-dessus de sa poitrine, je me suis masturbé pendant que ses mains étaient posées sur mes cuisses, son regard passant de mon gland à mes yeux. Au moment de jouir, je me suis approché de sa bouche, pensant qu’elle allait prendre mon gland en elle, mais non, elle a juste tiré la langue le regard rieur, et je me suis déchargé sur sa langue, avant qu’elle n’avale le tout…

 

 

 

 

Par Etienne - Publié dans : Partenaire inattendue
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