Dimanche dernier a été une journée catastrophique point de vue météo : des averses intenses à n’en plus finir. Pourtant selon les prévisions météos de la veille, il ne devait pleuvoir qu’avec un taux de probabilité de 40%.

Comme souvent ma chérie et moi-même étions partis faire une promenade, pensant bien éviter la pluie… Une promenade proche de l’eau, dans un endroit bien agréable à Montréal. Et évidemment, on s’est fait complètement tremper, ce qui ne nous a pas empêché d’écourter notre ballade! Il ne faisait pas froid, la pluie était plus chaude, donc au final, on était bien. Trempés, mais bien…

Vous nous connaissez, on a l’habitude de se procurer du plaisir dans des lieux publics. On se met un peu à l’écart en trouvant un coin discret, et on profite de nos corps… Et bien lors de cette ballade, nous n’avons pas dérogé à cette agréable habitude… La seule différence avec les autres fois, c’est qu’il pleuvait tellement fort qu’il n’y avait presque personne d’autre que nous, et que la pluie formait un écran où il était difficile de bien voir au travers à plus de 10 mètres.

Ma chérie ne portait qu’une jupe plutôt courte, sans être pour autant une mini-jupe, avec rien en dessous (c’est souvent le cas quand on fait une promenade), avec un haut moulant blanc et un soutien-gorge de sport. De mon côté je portais un short et un t-shirt blanc aussi. Pas de sous-vêtement.

Lors de notre ballade, nous nous sommes arrêtés sur un banc, toujours sous une averse très intense, presque un déluge… Elle s’est assise sur le dossier du banc, les jambes bien écartées, les pieds posés sur le siège du banc… Je me suis mis entre ses jambes, et j’ai léché son adorable sexe… Elle était délicieuse… Trempée à tout point de vue, mais délicieuse…

À aucun moment elle ne m’a demandé de relever la tête… On était donc vraiment tout seul… Il faut dire que qui sortirait par ce temps-là!

Après une bonne séance de ce plaisir oro-vaginal, je suis allé me placer derrière elle, derrière le banc… Je l’ai tirée un peu en arrière, de façon à ce que ses fesses dépassent du dossier, me donnant accès à la partie de son corps qui m’intéressait… J’ai sorti mon sexe en érection de mon short, et debout derrière elle, je l’ai pénétrée… dans son sexe humide…

Nous n’avons joui ni l’un ni l’autre… On s’est fait l’amour tendrement, même si c’était dans un lieu public, mais sans jouissance… On se gardait pour plus tard, d’un commun accord, sans en avoir parlé…

La pluie s’est un peu apaisée, et on a continué à marcher…

Lorsque l’intensité de la pluie a réaugmenté, j’ai dit à ma chérie que j’avais envie d’une fellation… Elle a souri, et sans nous écarter du chemin elle s’est agenouillée devant moi… Sauf qu’au lieu de se retrouver le visage au niveau de mon sexe bien dur, elle s’est retrouvée face à un sexe plutôt mou, mais duquel s’est mis à jaillir un jet d’urine…

Après la première giclée que j’ai fait durer à peine deux secondes, je me suis retenu pour lui dire en souriant : « il pleut tellement que ton linge sera lavé de l’urine après quelques minutes… alors je me le permets… ». Elle a souri, de sa bouche et de ses yeux, ce qui indique qu’elle aimait l’idée… Et j’ai laissé s’échapper de moi tout ce qui restait… J’ai vidé ma vessie au complet sur son visage, sur son haut, dans sa bouche… Elle en a bu un peu, elle s’est laissée arroser avec le reste…

Une fois mon jet tari, ma chérie m’a regardé et m’a dit : « j’ai toujours envie de cette fellation moi… ». Mon gland a alors disparu dans sa bouche, et quand il a réapparu au complet, je venais de perdre quelques millilitres supplémentaires de sécrétion, mais de sperme cette fois-ci…

Ma chérie m’a embrassé, mais sans partager malheureusement, elle avait déjà tout avalé, puis main dans la main on a fait demi-tour… Quand on est repassé au niveau du banc qui nous avait permis une pause à l’aller, elle s’est rassise dessus, et à mon tour je l’ai faite jouir grâce à ma langue…

Une fois de retour à l’auto, nous étions complètement trempée, comme c’était le cas depuis déjà bien longtemps… ma chérie ne sentait pas du tout l’urine, s’étant faite lessivée depuis par la pluie…

J’ai proposé à ma chérie d’aller prendre une petite collation au Tim Hortons le plus proche. Elle était tout à fait d’accord. Mais j’ai mis une condition : je lui ai demandé d’enlever son soutien-gorge. Je peux vous assurer que son haut blanc trempé ne cachant pas grand-chose de ses seins et de ses tétons… Je la trouvais terriblement excitante… Et je n’étais pas le seul je pense : quand on est rentré dans le Tim, beaucoup de regards se sont tournés vers elle… et pas vers ses yeux…