Partager l'article ! Cauchemar...: Ma chérie s'est réveillée en pleine nuit, en sueur... Elle m'a alors réveillé, et m'a dit tout bas pour ne pas réveiller notr ...
Ma chérie s'est réveillée en pleine nuit, en sueur... Elle m'a alors réveillé, et m'a dit tout bas pour ne pas réveiller notre amante : "Prends-moi sans préliminaire s'il te plait..." Elle était presque suppliante... Quand j'ai acquiescé à sa demande, elle m'a susurré : "pas ici, dans le salon..."
Dans notre "jargon" sexuelle, le "prends-moi sans préliminaire" veut dire une sodomie sans que je la pénètre vaginalement avant. Dans ce cas je mets du lubrifiant sur mon sexe, et je pousse doucement mais fermement contre son anus jusqu'à ce que je sois entièrement en elle... pas de va-et-vient, juste un seul mouvement en avant, sans pause...
On est allés dans le salon, j'ai pris du lubrifiant... Elle s'est mise à genoux sur le divan, les coudes sur le dossier du divan... Je me suis placé derrière elle après m'être badigeonné le sexe de lubrifiant... Il y avait des gouttes de sueur partout sur son corps... Pourtant il ne faisait pas très chaud... Je lui ai demandé si ça allait, et elle m'a répondu : "oui... s'il te plait, vas-y fort cette fois... d'un seul coup et fort...". Je lui ai dit que ça allait lui faire mal... Elle m'a juste répondu : "s'il te plait..."
Alors je suis rentré d'un seul, et vraiment fort en elle... mes mains sur ses hanches je la tenais bien pour être sûr qu'elle ne se dégage pas en avançant... Sous la force de la pénétration et probablement la douleur qu'elle a due ressentir, j'ai cru que ses jambes n'allaient pas la supporter et qu'elle allait tomber sur le divan... mais son fléchissement n'a été que de très courte durée...
Comme une fois au fond d'elle j'ai arrêté de bouger, elle m'a dit, à voix très basse : "encore..."
Alors je l'ai pilonnée... Longuement...
Quand j'ai arrêté, elle pleurait... Je lui ai demandé ce qui n'allait pas, parce que je me doutais que ce n'était pas la douleur de la pénétration qui la mettait dans cet état... Alors elle m'a dit ce qui s'est passé... Elle a rêvé, ou plutôt cauchemardé, que notre maitresse et moi nous la quittions. La raison que je donnais c'était qu'elle était incapable de recevoir ma bite d'un coup dans son cul sans préparation, et dans son cauchemar Isabelle se mettait à quatre pattes, j'ouvrais ma braguette et je lui enfonçais tout d'un coup...
J'ai pris ma chérie dans mes bras... on s'est allongés sur le divan... Je l'ai rassurée, ce n'était qu'un cauchemar... Elle a fini par se rendormir, dans mes bras, sur le divan...
Au matin, quand on s'est réveillé, notre amante était assise dans un fauteuil proche de nous, à lire un livre... Elle nous a souri puis a dit à la blague : "je ronflais si fort que ça?" On lui a expliqué le cauchemar... Elle est venue s'allonger avec nous sur le divan en disant que la situation actuelle était parfaite pour elle, et que jamais elle ne voudrait laisser ne serait-ce qu'un de nous deux...
Et nous avons fait l'amour... Pas très longtemps, parce que nous devions tous les trois aller travailler, mais ça a été très chargé émotionnellement, très intense...
Lorsque le soir je suis rentré, ma chérie s'est jettée dans ma bras, et on ne s'est pas décollés l'un de l'autre... Quand Isabelle est arrivée, elle est aussitôt venue nous rejoindre et nous avons refait l'amour tous les trois, aussi intensément que le matin...
Un cauchemar, ça arrive, et ça trouble le réveil, les premières minutes après le réveil, je suis bien d'accord... Mais que ça dure jusqu'au soir, c'était particulier...