Partager l'article ! La nuit du "viol"...: Voici comment s’est passée ma nuit… Ça a été la nuit du « viol »… Je suis ...
Voici comment s’est passée ma nuit… Ça a été la nuit du « viol »…
Je suis arrivé chez Clarisse vers 3h30 du matin… À cette heure-là, j’avais toutes les chances de la trouver endormie… Ce qui a été effectivement été le cas… Mais allons-y par étape…
Je suis arrivé devant sa porte, la clé dans ma main… Ça commençait mal : une clé, mais deux serrures. Laquelle je devais utiliser? La clé ne rentrait pas dans celle du haut, mais par contre a parfaitement fonctionné dans celle du bas… La clé a tourné sans que ça fasse trop de bruit… j’ai aussi pu ouvrir la porte sans qu’elle grince…
Je suis rentré… Stéphanie m’avait dit qu’elle n’avait pas d’animaux… heureusement, ça faisait ça en moins à se soucier… Je me suis déshabillé aussitôt la porte fermée… je bandais d’excitation…
Je me suis dirigé vers sa chambre… Stéphanie m’avait expliqué que c’était la dernière porte à gauche dans le couloir… La porte de la chambre était ouverte… Je voyais une forme dans le lit… de loin, avec le peu de lumière, je ne pouvais rien voir de plus précis…
En m’approchant, j’ai pu voir qu’elle était allongée sur le côté, la tête tournée à l’apposé de la porte… Je ne distinguais pas vraiment le corps… il y avait une couette à moitié sur elle…
Ma première décision a été de tenter de retirer la couette sans la réveiller… alors je me suis approché du lit… le plancher a un peu craqué, mais ça ne l’a pas réveillée… Quand j’ai retiré la couette, j’ai pu constater qu’elle avait un corps exactement comme je m’y attendais en voyant les photos : quelques rondeurs bien placées (très bien placées…), un léger ventre, des fesses rebondies… Je dirais qu’elle était « appétissante »…
Pendant que je la contemplais en caressant mon sexe, elle s’est tournée dans le lit… elle est passée sur le dos… sans se réveiller heureusement… mais ça ne m’arrangeait pas… j’aurais trouvé plus facile si elle était sur le ventre… Tant pis… j’ai alors commencé vraiment le « viol »…
J’ai pris le deuxième oreiller qui était à côté d’elle, et je l’ai posé sur son visage, tout en m’asseyant sur son ventre, chacune de mes jambes de chaque côté de son corps…
Évidemment elle a crié, mais le cri a été étouffé par l’oreiller… Elle s’est mise à gesticuler dans tous les sens… à tenter de me faire tomber d’elle… à tenter de retirer l’oreiller…
Par moment je le soulevais un peu pour lui permettre de respirer, puis je le remettais sur son visage… je ne voulais pas qu’elle me voit… mais je me suis rendu compte qu’il était trop difficile d’être stable dans cette position avec cette démone qui se remuait… je ne pouvais rien faire…
Dans un mouvement rapide, je me suis assis sur son visage tout en retirant le coussin… je maintenais sa tête droite entre mes cuisses, pour que son nez soit à proximité de mon anus et mes testicules de sa bouche… Elle s’est alors mise à me griffer légèrement le dos, à me taper doucement… Tout son corps continuait à bouger pour se dégager…
De mes mains j’ai écarté ses cuisses, et j’ai plongé ma tête entre ses jambes à l’instant où elles étaient suffisamment écartées pour que ce soit faisable… j’ai alors pu commencer à lécher son clitoris, à passer ma langue sur son sexe… Elle ne mouillait pas du tout…au début en tout cas...
Au bout d’un certain temps je me suis redressé… il faut dire que je commençais à avoir mal à la tête tellement elle me la serrait fort avec ses cuisses pour me faire lâcher... C’est alors mon doigt qui est allé jouer en elle… un premier qui a été vite accompagné d’un second… puis j’ai retiré les deux pour les glisser un peu plus bas… dans son anus serré… Elle a crié entre mes jambes… heureusement que l’on avait dit qu’on ne mordait pas, sinon je n’aurais plus de testicules à l’heure où je vous écris… hi hi hi…
Il a fallu que je force dans son petit cul pour que ça rentre… surtout que je voulais que les deux rentrent d’un coup, et non pas l’un après l’autre… quand enfin j’y suis arrivé, j’ai joué en elle…
Après quelques instants dans cette position, j’ai retiré mes doigts de son cul, je me suis redressé tout est restant accroupi au-dessus de son visage, et j’ai forcé sa bouche… j’ai glissé les deux doigts pénétrateurs dans sa bouche, jusqu’à sa gorge… Elle a eu un haut le cœur…
Lorsque j’ai retiré mes doigts, je me suis levé… je l’ai faite se retourner d’un coup… et je me suis aussitôt allongé sur elle, pour l’immobiliser… ma bite très dure était sur ses fesses… je n’avais qu’une envie : l’enfoncer entre ses fesses… Tout en lui maintenant la tête contre l’oreiller d’une main, avec mon autre main j’ai guidé mon sexe vers son petit trou… j’ai forcé… mais ça faisait mal… autant à elle qu’à moi… c’était vraiment sec…
J’ai alors changé de destination, et j’ai planté ma bite dans sa chatte… évidemment elle bougeait beaucoup, ça n’a pas été facile… mais une fois dedans, quel plaisir… Je n’ai pas pris le temps de rentrer doucement… ça a été d’un seul coup, jusqu’au fond… Elle a encore crié, mais encore une fois ça a été étouffé par l’oreiller…
Quand j’ai jugé que mon sexe était assez lubrifié par le sien, je suis remonté de quelques centimètres pour lui mettre dans le cul… ça a été une vraie guerre… elle luttait… mais j’ai fini par y arriver… et là aussi, d’un seul coup… et là aussi, elle a encore crié… mais je m’en fichais… je lui ai défoncé l’anus…
Lorsque je me suis retiré de son cul, elle gémissait… de plaisir, de douleur, aucune idée… je ne lui ai pas demandé, j’étais ici pour la « violer »… alors j’ai continué… je l’ai tiré par les cheveux pour qu’elle se redresse… je l’ai faite descendre du lit… je me suis assis sur le bord du lit… et je l’ai forcée à me sucer…
Elle ne voulait pas ouvrir la bouche… je lui ai pincé le nez, mais elle n’ouvrait pas assez… je lui ai alors donné une (petite) gifle… Elle a ouvert… j’y suis rentré d’un coup, comme pour son sexe et son anus… j’imprimais le rythme de la fellation en la tirant par les cheveux… je m’amusais à l’étouffer en la maintenant contre moi, mon sexe en entier dans sa bouche… elle bavait énormément…
Et c’est là que j’ai joui… j’aurais voulu tenir plus longtemps… mais je n’ai pas réussi… j’ai joui dans sa bouche, dans sa gorge… je lui ai alors dis la seule phrase que j’ai dite de la soirée « Avale ou je te frappe »… Elle a avalé…
Toujours en la tirant par les cheveux, je l’ai faite se reculer de moi quand je me suis senti vide et propre… au moment où elle allait lever la tête vers moi, je lui ai craché à la figure… je devais rester inconnu…
Je me suis alors levé, je me suis rhabillé, et je suis parti… j’ai laissé la clé parterre devant la porte, avec une rose que j’avais apportée en venant…
Au final, ça n’a pas duré 15 minutes… mais quelles quinze minutes intenses… En rentrant chez moi, j’espérais que ça lui a plu…