Comme convenu, la soirée chez mon nouveau boss a eu lieu. Le but de la soirée était que sa femme nous regarde, lui et moi, nous amuser, mais il était aussi plus que sous-entendu que si mon accompagnatrice était tentée, les femmes pourraient aussi s’amuser entre elles. Pas de mélange par contre : hommes d’un côté, femmes de l’autre, pour respecter les consignes de nos hôtes.

 

Le choix a été vite fait entre Clarisse et Magali. Cette dernière est beaucoup plus à l’aise à baiser avec une femme, surtout une femme dont nous n’avions aucune idée de ce à quoi elle ressemblait. Mon boss étant bel homme, on pouvait supposer que sa femme serait très belle aussi, mais c’était loin d’être une certitude.

 

Nous sommes donc allés au souper, ma chérie et moi. Nous étions bien habillés, ma chérie avec une robe fourreau dos nu et assez fendue le long d’une cuisse, qui mettait parfaitement en valeur son corps, et moi avec un pantalon en jeans et une chemise. À noter aussi que ma chérie ne portait aucun sous-vêtement, ce qui pouvait se deviner en regardant bien…

 

Nos hôtes étaient un peu comme nous : elle en robe, un peu moins sexy que celle de ma chérie mais qui lui allait à merveille, et lui dans la même tenue qu’au bureau (en tant que gestionnaire il se doit d’être bien habillé tous les jours).

 

Maintenant, comment décrire la femme de mon boss. Belle, sans aucun doute. Du charme, un joli visage agréable, et un corps d’ancienne sportive. L’impression qu’elle me donnait c’est qu’elle a dû très sportive plus jeune, et que sans se laisser aller, elle l’est un peu moins. À la voir en robe, je n’avais aucun problème à m’imaginer avec elle en bikini à la plage. Et je sais que ma chérie a pensé la même chose, ça se lisait dans son regard…

 

Nous avons donc fait le tour de leur maison, un beau bâtiment bien agréable avec un jardin contenant un spa, malheureusement visible des voisins (ça a été ma première réflexion en le voyant!).

 

Ils nous ont servi à boire, et nous nous sommes assis dehors, sur la terrasse. Après quelques banalités d’usage, la femme de mon boss lui a pris la main et m’a dit : « j’ai cru comprendre que vous aviez du plaisir le matin au bureau? » Je lui ai répondu que je me régalais à chaque fois, et j’ai ajouté que je suis sensible à ses petites attentions quand je sexe de son homme goûte l’odeur de son corps à elle… Elle a ri et a dit que c’était sa façon de s’imaginer sur place. Ma chérie a répondu du tac au tac : « ce soir il sera inutile d’imager, on sera aux premières loges! ». Avec la même promptitude, notre hôte féminine a répliqué « je suis prête pour la première scène! ».

 

Son mari a demandé à combien de scènes elle s’attendait, et elle a répondu : « au moins trois : je veux te voir ton sexe dans sa bouche, ton sexe dans son anus, et enfin son sexe dans ta bouche. J’aimerais aussi te voir te faire sodomiser, mais je sais que je rêve… ».

 

En effet, mon boss me l’a dit : se faire sodomiser, il trouve ça douloureux, donc il ne le souhaite pas.

 

J’ai proposé de commencer avec la première scène : une répétition générale de ce qui se passe les journées où nous sommes tous les deux au bureau. J’ai obtenu l’unanimité des votes!

 

Mon partenaire de la soirée s’est mis debout, sa femme a ouvert son pantalon, a sorti son sexe, l’a sucé un peu, par plaisir et pour le rendre bien dur, puis elle m’a dit : « il est à toi! ».

 

Il s’est déplacé un peu, je me suis agenouillé devant lui, et j’ai commencé à embrasser son gland, ses couilles… J’ai passé ma langue dessus, avant d’enfin le prendre en bouche…

 

Ma chérie buvait tranquillement son verre, elle a l’habitude de me voir avec d’autres personnes, mais notre hôte était fascinée… Elle s’est approchée pour bien regarder… Elle ne ratait rien. Elle ne ratait pas la vue de mon nez venant s’écraser contre le bas ventre de son mari quand je l’engouffrais au complet, tout comme elle ne ratait pas ma langue qui jouait dans son urètre ou qui léchait ses couilles rasées quand je le laissais quitter ma bouche…

 

Ça a été une longue fellation… Quand je le sentais sur le bord de jouir, je ralentissais… je prenais ses couilles en bouche… Je déplaçais ma langue vers son anus… Je me caressais la joue avec sa queue recouverte de salive…

 

Notre hôtesse a changé de position, s’accroupissant, la jupe relevée jusqu’aux hanches, dévoilant un string assez sexy, même si je préfère les tangas… Elle a décalé le bout de tissu et s’est mise à se caresser, regardant son mari se faire sucer…

 

Je ne sais pas trop comment elles en sont arrivées là, mais alors qu’après un moment de pipe intense (des va-et-vient très rapides et très profonds, avec des pauses son gland au fond de ma gorge) j’ai tourné la tête, et j’ai vu que notre hôte était toujours accroupie, jupe relevée, mais qu’au lieu de se caresser ma chérie était allongée sur le dos sur le sol, sous elle, et lui léchait la chatte…

 

À ce moment mon partenaire, mon boss, m’a dit qu’il allait falloir arrêter sinon il allait jouir. Personnellement, je trouve qu’une telle fellation sans avoir droit au sperme c’est une torture, mais je comprends que s’il avait joui à cet instant, en ce qui le concerne la soirée sexuelle aurait probablement pris fin, au grand désarroi de sa conjointe…

 

N’ayant plus rien à regarder, notre hôtesse a fait demi-tour sur elle-même, s’est penchée en avant, a relevé la robe de ma chérie par son échancrure, et le cuni s’est transformé en 69, un 69 agréable à regarder en sirotant un verre…

 

J’ai alors remarqué les fesses de notre partenaire féminine. Dans cette position, jupe relevée, à 4 pattes au sol, la vue était magnifique : de belles fesses assez rebondies pour être excitantes, qui semblaient bien fermes. Ça aurait été ma chérie sur le dessus, je me serais invité dans le 69 avec une gentille sodomie…

 

Ah oui, je dois corriger ce que j’ai dit au début : la règle n’est pas que seuls des contacts entre personnes du même sexe sont autorisés. La règle c’est que les deux membres d’un même couple peuvent se faire ce qu’ils veulent, tout comme deux personnes du même sexe peuvent se toucher et se baiser. En fait la seule interdiction est que moi je touche/baise notre hôte féminine, et que son conjoint touche/baise ma chérie.

 

En ce qui concerne les contacts indirects, nous n’en avions pas parlés mais étant donné que parfois mon boss me fait sucer sa queue au bureau qui goûte l’intérieur de sa femme, j’ai supposé qu’ils étaient « autorisés ». Et effectivement, à plusieurs reprises au cours de la soirée nous avons goûté à l’intérieur du corps d’un autre sexe, par exemple en léchant des doigts qui étaient passés dans le corps du sexe opposé…

 

Mais revenons où nous en étions.

 

Le 69 est devenu de plus en plus sauvage… La frénésie de la langue de ma chérie n’a cessé de croitre, ne se limitant plus au sexe humide, mais cherchant aussi l’anus…

 

L’alternance des zones caressées a conduit notre hôtesse à la jouissance. Mais loin de l’arrêter, après son premier orgasme elle a provoqué un changement de position, se trouvant sur le sol sur le dos et ma chérie au-dessus d’elle.

 

Voyant son cul accessible, j’ai eu envie d’y aller, mais avant que je me lève c’est notre hôtesse qui s’est mise à le stimuler de la langue, comme l’avait fait ma chérie juste avant sur elle…Et à son tour, ma chérie a fini par jouir, sans pénétration autre qu’une langue…

 

Lorsqu’elles se sont relevées, elles avaient chacune le bas du visage luisant du jus de l’autre. Évidemment, mon boss et moi n’avons pas perdu de temps et nous avons chacun embrassé notre conjointe, goûtant ainsi de façon indirecte au sexe de l’autre…

 

Une fois tous les quatre à nouveau assis, notre hôtesse a demandé à ma chérie : « Tu n’avais pas mi de sous-vêtement? ». Réponse : « Ça t’aurait gêné plus qu’autre chose, non? », avec un grand sourire. Réplique : « Tu as bien raison! ». Et elle s’est mise debout, pour retirer elle aussi son string en riant.

 

Nous sommes ensuite passés à table, et tout en mangeant, nous avons parlé de nos vies et de sexe. Beaucoup de sexe. Notre hôtesse voulant des détails sur les fellations au bureau, ce que j’ai raconté avec plaisir. Par moment sa main disparaissait sous la table, il était évident qu’elle se caressait en écoutant, en imaginant.

 

J’ai raconté que j’avais déjà eu une collègue qui aimait me sucer et que je jouisse dans son café. Je n’ai pas dit à quelle époque, ni son nom, donc impossible pour mon chef de savoir que c’était il y a quelques mois à peine, dans les bureaux où parfois je le suce. Notre hôtesse a demandé à ma chérie si on était déjà ensemble (oui), et si ça la dérangeait de savoir que je faisais des choses avec d’autres femmes (non). Elle a insisté sur un point : « Si Étienne se faisait sucer avant de rentrer chez vous et que tu avais envie de lui, ça ne te dérangerait pas qu’il ne puisse pas forcément assouvir tes besoins? ».

 

Ma chérie a souri et a répondu : « Éjaculer ne l’empêche pas de rebaiser aussitôt après… Heureusement pour moi! ». Notre hôtesse m’a demandé : « Donc si tu jouis là, maintenant, tu serais prêt à continuer à jouer après? ». J’ai répondu que oui.

 

On était au milieu du repas, et notre hôtesse s’est tournée vers son conjoint : « Fais-lui une fellation… J’ai envie de te voir une queue en bouche… Et jusqu’au bout… ».

 

Mon boss était alors un peu plus gêné. Se faire sucer, aucun problème, mais que lui me procure la fellation, ça semblait soit moins lui plaire, soit le gêner, je ne sais pas. Mais je sais qu’il allait faire parce qu’il voulait que la soirée soit parfaite aux yeux de sa chérie…

 

Je me suis levé, et contrairement en début de soirée, je n’ai pas juste sorti mon sexe de mon pantalon : je me suis carrément mis nu. Ce qui semble avoir plu aux deux membres féminins de la soirée…

 

Notre hôtesse regardait ma queue dressée vers le plafond, et il était évident qu’elle avait envie de jouer avec… Tout comme il était évident que son conjoint aurait aimé baiser ma chérie. Mais ils ont imposé les règles, eux, et pas nous, donc elle ne s’est pas approchée de moi…

 

Son homme s’est mis à genoux devant moi, a pris mon sexe du bout des doigts, et s’en prendre le temps de le caresser, de l’embrasser, de le titiller, il a ouvert la bouche, l’y a mis, puis a refermé les lèvres. La fellation a alors commencé…

 

Je ne peux pas dire que ça a été la meilleure fellation de ma vie, mais me faire regarder par deux femmes, dont celle de l’homme me suçant, a été une compensation. Surtout quand elle a pris la direction des choses… En effet, elle s’est rapidement amusée à nous donner des directives, des positions dans lesquelles elle voulait nous voir : moi debout lui à genoux devant moi, moi assis sur une chaise lui au sol entre mes jambes, moi allongé sur le dos lui penché à me sucer, puis lui sur le dos moi au-dessus de lui lui enfonçant ma queue dans la bouche (pas dans la gorge, il avait des haut-le-cœur).

 

Évidemment, lui allongé sur le dos, je n’ai pas résisté à l’envie de sortir sa queue pour à notre tour vivre un 69. Il ne bandait pas au début, mais dès que mes lèvres sont entrées en contact avec son gland, son sexe a grossi…

 

Pendant que mes fesses étaient en l’air, j’ai senti un doigt se poser sur mon anus, le titiller quelques secondes avant de glisser dedans… Quelques mouvements, puis il est ressorti, avant de revenir, rapidement accompagné d’un second… Quand j’ai levé la tête pour voir si c’était mon boss ou ma chérie qui jouait avec mon petit trou, j’ai vu nos deux femmes nues, qui se caressaient mutuellement. Ma chérie a retiré ses doigts de mon cul, m’a regardé dans les yeux puis a dirigé ses doigts vers la bouche de notre hôtesse qui les a léchés, sans me regarder, avant que ma chérie les replonge en moi…

 

J’ai vite compris que le but n’était pas de s’amuser avec un ou deux doigts, mais de carrément forcer mon petit trou. Sans lubrifiant, juste avec de la salive et probablement du jus de chatte quand même, j’ai senti ses 5 doigts former une pyramide pour entrer en moi… Évidemment tout n’est pas rentré, mais ça a été très plaisant…

 

Le 69 entre hommes, je ne trouve pas que ce soit évident. La position pour que la queue entre en bouche n’est pas l’idéale, donc je savais que je ne jouirai pas ainsi. Du coup, lorsque j’ai senti que mon cul avait été bien dilaté et bien lubrifié par ma chérie et indirectement par notre hôtesse, je me suis redressé sans prévenir, j’ai fait demi-tour, j’ai pris le sexe de mon boss en main, et je me suis empalé dessus et me penchant en arrière…

 

Je savais très bien quelle vue avait mes trois partenaires de la soirée : ils me voyaient faire des va-et-vient sur une belle bite, la mienne dressée vers le plafond, mon corps penché en arrière leur permettant de bien voir la pénétration, mon anus dilaté, le sexe dur de mon boss aller et venir…

 

Instinctivement notre hôtesse est venue s’accroupir au-dessus du visage de son homme… Pendant qu’elle se faisait lécher la chatte, elle contemplait son homme me sodomiser… Je voyais dans son regard qu’elle envie de me branler ou même de me sucer, mais encore une fois, ce sont eux qui ont établi les règles…

 

Lorsque sans faire exprès je me suis trop reculé et que la bite en moi s’est retrouvée à l’air libre, notre hôtesse s’est aussitôt penchée en avant pour jouer avec : la sentir, l’embrasser, puis la sucer… Avant de la replacer dans la bonne position pour que la sodomie reprenne…

 

Ma chérie, qui ne faisait que regarder, est venue se placer debout au-dessus de moi. Elle m’a susurré, avant de se mettre en position, qu’elle allait me remplir la bouche d’urine, mais qu’il ne fallait pas que nos hôtes s’en aperçoivent…

 

J’ai ralenti la sodomie pour privilégier une pénétration profonde mais lente, et alors que ma chérie venait juste de coller son entre-jambes au-dessus de mon visage les premières gouttes ont coulé dans ma bouche, suivies d’un jet plus intense…

 

Nous avons tellement l’habitude d’uriner dans nos bouches que nous savons quand couper la source, pour laisser le temps au buveur d’avaler sans dégât. C’est qu’elle a fait à la perfection, au point qu’aucune goutte ne m’a échappée. C’était tellement excitant de boire sans que nos hôtes ne le soupçonnent, tout en se faisant sodomiser et regarder, que quelqu’un aurait effleuré mon sexe, je pense que j’aurais joui…

 

Quand ma chérie s’est dégagée de mon visage, j’ai d’ailleurs mentionné à mon boss que s’il voulait me branler dans cette position, ça me ferait jouir instantanément… C’était plus une invitation qu’un constat, j’avais envie qu’il le fasse, que j’éclabousse son ventre imberbe…

 

Comme il avait sa femme assise sur son visage, il ne pouvait rien voir, mais à tâtons il a trouvé mon sexe, et s’est mis à la branlé frénétiquement. Comme prévu, j’ai joui quasiment aussitôt, des giclées de sperme parsemant son ventre plat…

 

Quand je me suis relevé, ma chérie en a profité pour glisser deux doigts dans mon petit trou tout en récupérant les dernières gouttes sur ma queue. Notre hôtesse, qui était toujours accroupie sur le visage de son homme, s’est penchée en avant pour une nouvelle fellation sur la queue de son homme sortant de mon cul, puis a remonté progressivement le long de son corps, en embrassant son bas ventre, son ventre, récupérant tout mon sperme avec sa bouche, avant d’aller embrasser goulument son chéri. Je ne sais pas si elle avait tout avalé avant ou s’ils ont partagé…

 

Tout en nous rhabillant, notre hôtesse a demandé : « Tu pourrais recommencer là, maintenant, à baiser? ». J’ai regardé ma chérie, qui s’est alors accroupie devant moi, ressortant mon sexe que je venais à peine de remettre dans mon pantalon, a pris mon sexe en bouche quelques instants, puis m’a présenté son sexe, debout contre la table, dos à moi, sexe que j’ai pénétré avec vigueur… Quand j’ai cessé, j’ai retiré ma queue luisante du jus de ma chérie, en disant : « Convaincue? », avec un grand sourire. C’est mon boss cette fois qui s’est mis à genoux pour me sucer, avec beaucoup moins de gène qu’il y avait quelques minutes. Il faut dire qu’il était évident que c’était le jus de ma chérie parsemant mon sexe qui l’intéressait, et pas mon sexe en lui-même…

 

Nous avons fini le repas, puis nous sommes allés dans le spa. Il commençait à faire nuit, mais les voisins pouvaient quand même nous voir. Notre hôtesse a donc prêté un maillot à ma chérie, et mon hôte un à moi.

 

C’est un peu décevant, mais du fait d’être visible d’autrui, dans le spa nous avons tous été assez sages… Je sais que nos conjointes se sont caressées mutuellement sous l’eau, mais c’est tout.

 

Par contre, au retour à l’intérieur, ça a été tout autre chose…

 

Dans le salon, on s’est mis nus tous les quatre, et on a commencé à baiser, chacun avec son homologue du même sexe… Mon partenaire ne souhaitant pas se faire sodomiser, nos positions étaient assez limitées, mais ça a été plaisant quand même : fellation, anulingus, sodomie et doigtage en moi, tout en regardant nos amoureuses s’amuser aussi. De leur bord, elles n’étaient pas en reste : des jouets ont été sortis, et ils ont pas mal servi…

 

Par moment nous allions les aider : on se faisait sucer pendant qu’elle se pénétrant d’un double gode, ou bien on a eu quelques doubles pénétrations aussi…

 

Elles ont joui à de multiples reprises…

 

Quand mon partenaire a mentionné qu’il n’en pouvait plus, qu’il allait jouir, sa chérie lui a demandé de se vider en moi, dans mon petit trou. Quelques secondes plus tard, je sentais son sperme chaud me remplir…

 

Quand il a sorti sa queue de mon anus, sa chérie la lui lécher avidement, pendant que la mienne a cherché à récupérer ce qui était en moi avec sa langue. Pour l’aider, je me suis accroupi au-dessus de son visage. Quand notre hôtesse a vu ça, elle s’est masturbée frénétiquement en demandant à son chéri s’il voulait que je jouisse dans son cul pour qu’elle aussi puisse goûter à du sperme dégoulinait d’un petit trou… Notre hôte voulait faire plaisir à sa femme, mais la sodomie, c’était trop, il ne voulait vraiment pas, il avait vraiment peur…

 

Ma chérie a alors pris les choses en main : elle a saisi ma queue d’une main, l’a dirigée vers son anus, elle s’est empalée dessus et m’a dit de jouir dès que je le pouvais…

 

Dès que j’ai éjaculé, la bouche de notre hôtesse a remplacé ma queue. Pendant qu’elle « nettoyait » ma chérie, son homme la doigtait, lui offrant un nouvel orgasme…

 

Après cela, la soirée a pris fin tranquillement. Nous sommes rentrés chez nous, heureux de l’expérience.

 

Quelques jours plus tard au bureau mon chef m’a mentionné qu’ils seraient prêts à vivre à nouveau une soirée de couple…

 

À suivre!