Cette rencontre s'est passée il y a quelques semaines déjà...
Après avoir échangé des centaines de courriels avec Cassandra, cette femme à la peau noire, extrêmement mince et avec zéro poitrine, nous nous sommes enfin retrouvés à l’hôtel, pour toute une fin
de semaine : du vendredi après-midi au lundi matin.
Durant nos échanges de courriels, je lui ai avoué que je vis avec deux femmes, je n’avais pas envie de lui mentir plus longtemps, et de son côté elle m’a avoué bon nombre de fantasmes. Et je dois
avouer que pour une fois, il s’agit d’une femme dont certains fantasmes dépassent mes envies, principalement du point de vue de la douleur. Elle est très attirée par des rapports agressifs,
jusque là ça va, j’approuve, mais aussi où la douleur est volontairement provoquée d’une façon autre que la pénétration. Si une femme en a envie, je n’ai aucun problème à lubrifier mon sexe pour
le lui enfoncer d’un coup loin dans son corps sans préliminaire, la faisant crier de douleur, mais je n’anticipe aucun plaisir à l’idée de fouetter une femme, par exemple. Je n’irai plus
dans le détail pour le moment, vous découvrirez certaines expériences dans cet article, sachez seulement qu’elle est attirée et a envie de douleur dans ses rapports sexuels. Elle veut aussi
beaucoup de domination et de soumission.
Avant le début de la fin de semaine, elle m’avait dit par courriel qu’elle avait envie d’être dominée toute la fin de semaine. Et oui, elle l’a été, même si parfois elle a pris l’initiative de
façon exemplaire…
On s’est retrouvés devant l’hôtel. Elle portait un pantalon moulant ses fesses et ses cuisses, et un haut moulant son corps svelte et musclé, ne dissimulant à personne que ses seins sont
inexistants… De mon côté je portais un short « bien habillé » et une chemise. Elle comme moi ne portions aucun sous-vêtement, nous nous l’étions dit dans nos échanges de courriels…
On avait convenu d’agir comme un couple, donc en nous retrouvant nous nous sommes embrassés, comme deux amoureux. Bien qu’elle soit beaucoup plus petite que moi je l’ai serrée fort pendant notre
baiser, nous tordant le cou à tous les deux, pour qu’elle sente ma queue en érection au travers de nos habits contre son ventre… Et ça n’a pas raté, car pendant le baiser elle a décollé ses
lèvres pour me dire : « on se décolle et on va à la réception pour que tu me la mettes dans le cul le plus vite possible? ». Parce que oui, elle m’avait écrit à plusieurs reprises
qu’à peine la porte de la chambre fermée, c’est dans son cul que je devrais me diriger, en toute urgence, sans tendresse.
Une fois la récupération de la carte magnétique de la chambre effectuée, nous sommes montés. Dans l’ascenseur j’étais collé à son dos, pour qu’elle sente ma queue bien dure contre elle, mais je
n’ai rien fait de plus : elle avait été très claire : aucune préparation, aucun toucher avant que mon sexe entre dans son petit trou.
J’ai ouvert la porte de la chambre (de la suite plutôt), et j’ai laissé passer Cassandra. À peine dans la suite elle a laissé tomber son sac et a commencé à enlever son pantalon. De mon côté, le
temps que je ferme la porte mon short était déjà tombé au sol, et j’ai enlevé mon chandail.
Elle s’est ensuite accroupie et a fouillé dans son sac en disant : « j’ai du lubrifiant ». Mais le temps qu’elle se déshabille et qu’elle le cherche, j’avais déjà la queue
lubrifiée : j’avais prévu le coup, j’en avais un tube dans la poche de mon short…
Je le lui ai dit et avec un grand sourire elle s’est relevée, s’est appuyée sur la table qui était dans le couloir menant de la porte aux pièces de la suite, a écarté les jambes, et je me suis
placé derrière elle.
J’ai posé mon gland sur son petit trou… À son contact, elle a frémi… Ses poings étaient serrés… Je savais qu’elle avait très envie que je la défonce d’un coup, tout en étant un peu craintive de
la douleur…
Son petit trou n’ayant pas du tout été préparé, il n’était pas du tout dilaté. Pour être sûr que ma queue ne glisse pas ailleurs, j’ai commencé à pousser doucement, pour que me gland commence à
pénétrer son corps… Une fois que j’ai jugé qu’il n’y avait plus de change de dérapage, j’ai poussé un grand coup et je me suis retiré aussitôt…
Elle a hurlé. Vraiment hurlé. J’ai cru qu’on allait venir cogner à notre porte pour savoir ce qui se passait, mais non…
Elle m’avait écrit dans les courriels que nous avions échangés que si elle criait, il ne fallait pas que j’arrête pour autant… En fait on s’était donné un code. Deux pour être précis : si
elle était bâillonnée et ne pouvait parler, elle devait remuer énergiquement la tête de gauche à droite et de droite à gauche pour que j’arrête tout. Si elle était en mesure de parler,
« banane » était le mot de passe pour que j’arrête tout.
Je me suis décalé le temps de ramasser mon chandail qui était parterre, je le lui ai donné pour qu’elle se l’applique contre la bouche, et sans attendre, j’ai répété ma pénétration
initiale : un grand coup en elle avant de me retirer.
Puis une troisième fois.
Puis je l’ai pilonnée… J’ai défoncé son petit cul debout dans l’entrée, puis dans plusieurs positions et pièces de la chambre… Le seul endroit où je me suis gardé une petite gêne, c’est devant la
grande baie vitrée : j’aurais adoré la baiser contre la fenêtre, que tout le monde puisse voir, mais avec la facilité de filmer de nos jours, je n’ai pas osé. Du trottoir personne n’aurait
pu nous voir, mais de l’immeuble en face, oui.
Après un temps que je ne peux pas définir, les pénétrations ont été plus douces, presque romantiques. On a fini elle sur le dos sur le lit, jambes relevées, mon sexe toujours dans son anus, les
yeux dans les yeux…
Alors que l’on s’embrassait dans cette position, elle m’a murmuré « jouis… ». Aucun autre mot. Quelques secondes plus tard, au plus profond d’elle, j’ai laissé couler ma semence…
Lorsque je me suis retiré, elle a levé le bassin et a serré les fesses pour tout garder en elle… Je me suis allongé sur le dos, et elle s’est installée, tête-bêche, au-dessus de moi. Elle a
nettoyé mon sexe avec sa bouche, pendant que je goutais son sexe juteux, très juteux… puis elle a laissé le sperme s’échapper de ses fesses dans ma bouche…
Je n’ai rien avalé, mais j’ai tout récupéré, profitant de l’ouverture de son anus pour y glisser la langue…
Pour finir cette première partie, elle s’est allongée sur moi, dans le même sens que moi, et nous avons partagé mon sperme dans un baiser très crémeux…
Jusque là, il s’est passé exactement ce qui avait été « prévu » : elle avait dit qu’elle voulait que l’on commence par une grosse, grosse sodomie avec éjaculation dans son cul, 69
et baiser crémeux.
Ma queue n’est pas restée longtemps dans un état de mollesse ne permettant pas une pénétration. Pendant le long baiser crémeux, j’ai rapidement à nouveau pu investir le corps de Cassandra, mais
cette fois-ci plus en douceur. Et ça a commencé par son sexe, que je n’avais pas encore eu le plaisir de visiter depuis notre arrivée.
Durant l’heure qui a suivi, il n’y a pas eu de domination de l’un ou de l’autre à proprement parlé. Nous avons baisé, parfois en parlant, parfois sans parler, parfois en douceur, parfois
vigoureusement. J’ai visité son corps par toutes les entrées possibles, elle a visité le mien aussi avec ses doigts et sa langue.
Nous avons cessé de baiser quand il a été l’heure d’aller souper. Nous étions allongés sur le lit quand l’heure est arrivée, moi allongé sur le dos, elle empalée sur mon sexe. Elle a regardé
l’heure, a dit qu’elle commençait avoir faim, mais qu’avant de descendre il lui restait une dernière chose à faire. Elle s’est dégagée de mon sexe, s’est accroupie au-dessus de mon visage, et a
dit : « j’espère que tu as soif ». Avant qu’elle ne me plaque son entrejambes sur la bouche, je lui ai dit qu’il allait falloir qu’elle stoppe son jet régulièrement, pour que je
puisse avaler sans dégâts à coup sûr. Elle n’a pas répondu, et j’ai senti son jet d’urine chaude couler dans ma bouche…
Lorsque je sentais son jet se tarir, j’avalais tout ce que j’avais en bouche, puis son urine jaillissait à nouveau…
Vous le savez, l’urine m’excite beaucoup… À la fin de cette dégustation j’ai sans ménagement pousser Cassandra, je l’ai mise à 4 pattes, et je lui ai enfoncé ma queue dans sa chatte d’un coup,
pour ensuite la pilonner jusqu’à ce qu’elle jouisse…
Ça a été son je-ne-sais-combien-t-ième-orgasme de la journée. De mon côté, je n’avais pour l’instant joui que lors de la première sodomie…
Après ce moment de félicité, nous nous sommes habillés pour aller au restaurant de l’hôtel. Elle avait pour l’occasion une robe blanche très courte, ainsi qu’un tanga blanc (je lui avais dit
c’était mon sous-vêtement préféré). La robe n’était pas vraiment décolletée, mais elle avait des fentes dans le dos et sur le ventre. Elle aurait eu plus de seins, en fait elle aurait eu des
seins, j’aurais dit que c’était l’une des femmes les plus sexy sur terre…
Elle m’a aussi montré qu’elle n’avait pas besoin de faire grand-chose pour que son tanga soit visible de tous… Elle n’est pas vraiment exhibitionniste, mais elle aimait l’idée de m’exciter en
dévoilant par moment des parties de son corps en public. Elle sait que ça me plait beaucoup…
De mon côté je faisais un peu branleur avec un pantalon en lin blanc et une chemise serrée sur le haut du corps. Sans sous-vêtement, il ne fallait pas regarder avec beaucoup d’insistance pour se
rendre compte si j’étais en érection ou non…
Le souper a été très agréable. On a parlé de tout et de rien, le repas était délicieux, et le vin exquis. Quand j’ai vu qu’elle se forçait à finir certains plats alors que je savais qu’elle
n’avait plus fin, j’ai compris qu’elle voulait que dès le premier soir nous faisions une des choses dont nous avions parlé par courriel…
Après nous être repus de nourriture, nous sommes remontés à la chambre. Tout comme lors de notre précédente entrée dans la suite, à peine la porte fermée je me suis déshabillé, je lui ai retiré
sa robe, et sans prendre le temps de lui retirer son tanga je l’ai tirée par les cheveux vers la salle de bain. Nous sommes allés dans la baignoire, je l’ai forcée à s’agenouiller, et je lui ai
défoncé la gorge à grands coups de bite.
Je guidais la pipe. Mes deux mains sur sa tête, j’imprimais le rythme que je voulais, la profondeur que je voulais, et je la voulais très, très profonde… Et quand j’étais bien au fond de sa
gorge, son nez écrasé contre mon ventre, je la maintenais en place sans bouger vraiment, vraiment très longtemps…
Alors que je commençais à désespérer, ce qu’elle m’avait dit qu’elle voulait qui arrive est enfin arrivé : ma queue dans sa gorge, elle a eu des hauts le cœur, puis a régurgité son repas.
Elle m’a vomi sur la queue, sur le ventre… Mais je la maintenais toujours contre moi…
Lorsque je lui ai permis de respirer à nouveau, je lui ai fait lécher mes couilles qui dégoulinaient de son vomi, puis je lui ai renfoncé ma queue pour une seconde séance… et elle n’a pas tardé à
venir…
Lorsque je l’ai laissée se décoller de moi, elle avait du vomi sur la poitrine, le ventre, les cuisses… j’en avais sur le ventre, la queue, les couilles, les jambes… Et c’est là que je me suis
rendu compte qu’elle se masturbait. Je lui ai demandé si elle le faisait depuis le début, elle m’a dit que oui…
Elle était encore à genoux dans le fond du bain devant moi. Sans lui demander son avis, je me suis mis à l’arroser de pisse pour un premier « nettoyage »… Lorsque mon jet était dirigé
sur sa bouche, elle l’ouvrait en grand pour en boire, mais autrement elle ne courait pas après mon jet. Mais elle se masturbait encore et encore, recevant ma douche dorée sur son corps…
Finalement nous nous sommes douchés, douchés à l’eau propre, sans faire l’amour, puis nous avons décidé d’aller à la piscine de l’hôtel.
Vous le savez si vous me lisez régulièrement : le bikini est l’une de mes tenues préférées sur une femme. Ça n’a pas manqué : alors qu’elle allait ouvrir la porte de la suite, je l’ai
plaquée contre, j’ai décalé son bas de maillot et je l’ai baisée sans retenue, avant que l’on descende à la piscine… Elle m’avait bien prévenu dans les courriels échangés qu’elle voulait que je
la prenne à l’occasion sans lui demander son avis… J’ai été léger, je ne suis qu’aller dans son adorable chatte cette fois-là…
Une fois rendus à la piscine, nous n’avons fait que nous coller et nous embrasser… Ma queue en érection contre elle, parfois discrètement en elle alors qu’il y avait du monde autour de nous…
Nous sommes aussi allés dans le sauna. Encore une fois, si vous me lisez régulièrement vous savez que le corps propre d’une femme en sueur m’excite terriblement… Une fois qu’elle a été
complètement recouverte de sueur nous sommes remontés rapidement à la chambre où j’ai léché chaque parcelle de sa peau, des orteils jusqu’au front… Entre chaque orteil… ses mollets… derrière ses
genoux, ses cuisses… Elle se masturbait pendant ce temps là… son anus… entre ses fesses… Le temps que j’arrive plus haut, son corps avait séché… Alors nous sommes retournés dans le sauna… Comme
cette fois nous y étions seuls, j’ai pu savourer la sueur sur place, sur des parties du corps plus accessibles : son cou, ses bras, ses aisselles…
J’ai aussi passé ma main entre mes jambes, récupérant ma sueur pour la lui faire gouter… Sous forme de domination, elle a bien aimé… On est alors remontés dans la chambre, je l’ai poussée sur le
lit et je me suis assis sur son visage, l’obligeant à me lécher des couilles au bas de mon dos… Cette fois elle ne se masturbait pas : c’est moi qui aie mis deux doigts dans sa chatte pour
la stimuler…
Jusque là, elle a joui beaucoup, beaucoup de fois. De mon côté, juste la première fois, à l’arrivée dans la chambre.
Nous avons baisé, fait l’amour, jusqu’à ce que la nuit débute. Dans de multiples positions, sans retenue, mais sans rien faire sortant de l’ordinaire non plus.
Pour nous changer les idées, nous sommes sortis faire une balade dans le Vieux Montréal, où était situé l’hôtel. Main dans la main, comme un couple… Régulièrement nous faisions des pauses pour
nous embrasser, comme nouveau couple…
Nous étions habillés sans extravagance : jeans t-shirt pour moi, jupe relativement courte, mais pas une mini-jupe pour autant, et débardeur pour elle.
En marchant, nous parlions de tout et de n’importe quoi. Quand on croisait des femmes dont un élément du corps me plaisait, je disais à Cassandra ce que j’aurais envie de faire avec cette femme.
De son côté, elle faisait la même chose avec les hommes.
Durant cette promenade nocturne elle m’a demandé pourquoi je l’ai choisie elle comme maitresse, ou comme une des mes maitresses. Elle disait qu’elle n’avait pas de formes, que je pouvais trouver
plus féminin qu’elle. Elle me montrait des femmes que l’on croisait qui, selon elle, étaient sublimes, et je dois dire qu’elle avait bon goût! Bref, je lui ai dit que j’adorais son « p’tit
cul », ses « abdos dessinés », ses « cuisses fines et musclées », et surtout, surtout, son comportement incroyable sexuellement parlant. Je lui ai expliqué que j’aime son
dynamisme quand on baise, que j’adore qu’elle soit si petite et légère ce qui me permet de la porter sans me fatiguer, sa souplesse, etc.
Quand j’ai fini d’énumérer tout ce qui me plaisait, elle m’a longuement embrassé, lentement…
Alors que l’on retournait à l’hôtel on a croisé une prostituée qui essayait de se trouver des clients. La dernière fois que j’en avais vues agir ainsi c’était il y a des années sur la rue
Sainte-Catherine (toujours à Montréal), et j’ai été pas mal surpris d’en voir une là. Elle devait avoir autour de 50 ans, très maigre, typiquement le genre de corps d’une personne accro à la
drogue. Cassandra m’a dit « qui est-ce qui serait capable de fourrer ça? ».
Je rappelle qu’elle utilise souvent des termes très directs…
Je lui ai dit qu’être capable, je le serais sans problème. Mais l’envie par contre… Elle s’est arrêtée de marcher, et m’a dit « tu arriverais à bander pour fourrer ta graine dans un corps
comme ça??? ». Au lieu de répondre directement à sa question, je lui ai posé une question à mon tour « Tu veux la preuve? ». Elle a ri et m’a dit qu’elle ne me croyait pas.
J’ai regardé la prostituée, qui a croisé mon regard. Elle s’est aussitôt approchée de nous en disant qu’elle pouvait me sucer ou lécher Cassandra pour 20 $, ou pour 50$ elle pouvait s’occuper de
nous deux avec pénétration en ce qui me concerne.
J’ai regardé Cassandra, j’ai souri et j’ai dit : « si tu as des condoms, pour 60 $ je te sodomise devant ma copine, mais elle ne participera pas, elle regardera seulement ».
Cassandra s’est presque étranglée en m’entendant dire ça.
La pute a dit qu’elle n’avait pas de préservatifs sur elle, mais qui si on allait chez elle il y en avait. Ça ne me tentait pas trop. Personnellement j’imaginais une sodomie rapide dans une
ruelle. C’est Cassandra qui m’a surprise à ce moment-là : elle a dit qu’elle en avait dans sa sacoche. J’ai alors demandé à la prostituée si elle connaissait un coin où on serait cachés,
elle m’a dit que oui.
On l’a suivi, et quelques minutes plus tard, elle était face à un mur, dissimulée de tout passant par un conteneur à déchets. Elle a baissé son pantalon et sa culotte, dévoilant des fesses
inexistantes et malgré tout pendantes (contradictoire, et pourtant...). J’ai pris le condom que me tendait Cassandra, j’ai bandé en pensant à plein de choses sauf au corps que j’allais baiser,
j’ai posé mon gland contre l’anus de la prostituée, et je suis entré en elle.
Elle n’a pas fait semblant d’avoir plaisir, n’a pas gémi pour faire plaisir, elle était quasiment inerte. Je l’ai enculée pendant un certain nombre de va-et-vient, puis je me suis tanné. Je me
suis retiré, j’ai enlevé le préservatif que j’ai aussitôt jeté dans le conteneur à déchets qui nous cachait, je me suis désinfecté les mains (avec la covid, on a toujours ça sur nous, ça a été un
bon point dans le cas présent!), puis on est partis.
Cassandra était hyper excitée. Elle n’en revenait pas de ce que je venais de faire. Je ne l’ai pas précisé, mais pendant que j’enculais la pute, elle me tenait par la taille et regardait la
pénétration…
Elle m’a demandé si ça m’arrivait souvent de baiser des femmes qui ne me plaisent pas. Je pensais le lui avoir dit, alors soit elle avait oublié soit c’est moi qui me trompais, mais je lui
expliqué que parfois c’est le genre de défi que nous nous lançons avec ma femme. Parfois elle me montre, ou plutôt elle me montrait, parce que ça fait très longtemps que nous ne l’avons pas fait,
une femme peu attrayante, et mon défi était de la baiser. Et vice-versa.
En marchant vers l’hôtel on est passé devant un groupe de jeunes hommes, tous assez beaux. J’ai demandé à Cassandra si elle aimerait s’agenouiller au milieu d’eux pour tous les sucer, pour
qu’elle soit le réceptacle de tant de sperme. Elle m’a répondu que d’elle-même non, ça ne l’attire pas plus que ça, mais si c’est un ordre, donc une domination, oui.
J’ai noté ça dans un coin de mon esprit…
Nous sommes arrivés à l’hôtel. Dans l’ascenseur, je lui ai retiré sa jupe et sa culotte. De la porte de l’ascenseur à cette de notre chambre, elle ne portait donc qu’un débardeur… Il fallait
croiser les doigts pour ne croiser personne, et au diable les caméras!
Malheureusement (pour moi) mais heureusement (pour elle), les couloirs de l’étage étaient complètement déserts. J’ai même pris mon temps pour ouvrir la porte… Décevant… ;)
Dans la chambre, ça a été l’apothéose : amour, sexe, urine… la totale. Dans son cul, dans mon cul, autant des doigts que des langues et des jouets que nous avions apportés… Double
pénétration : vaginale et anale, sexe et jouet en même temps dans la chatte, sexe et deux doigts en même temps dans son anus, etc.
Nous nous sommes fait monter une bouteille de vin et un plateau de fromage. Nous sommes tous les deux allés ouvrir la porte en sous-vêtement. Ça aurait été un homme qui nous aurait livré, je
prévoyais de lui proposer de se faire branler ou sucer par Cassandra. Elle aurait aimé cet ordre, cette obligation, cette domination. Pas de chance, c’était une femme… Elle a un peu sourcillé en
nous voyant quasiment nus, mais n’a pas fait de remarque.
Nous avons bu la bouteille, puis elle a servi de sextoy dans sa chatte toute dilatée par mes pilonnages, nos jouets et mes doigts… Le goulot dégoulinant de son jus était exquis…
Avant de dormir, pour le dernier « épisode » de la soirée, je l’ai attachée au lit, je lui ai bandé les yeux, et je lui ai fait toute sorte de choses : petites morsures, légères
griffures, tirage de cheveux, tentative de lui forcer ses trous avec mon poing… De la domination légère, sans abus.
Lorsque je l’ai détachée, elle m’a fait m’allonger sur le dos et m’a sucé, une lente fellation, jusqu’à ce que je jouisse. Mon deuxième orgasme de la journée, cette fois dans sa bouche.
Nous nous sommes ensuite collés, et nous nous sommes endormis.
Le lendemain matin, donc le samedi matin, quand je me suis réveillé j’étais seul dans le lit. Je me suis levé, j’ai entendu qu’elle était dans la salle de bain, alors que je suis voir ce qu’elle
faisait. Sans entrer, j’ai vu par la porte entrouverte qu’elle se faisait un lavement. J’ai souri, je suis entré dans la salle de bain sans dire un mot, j’ai pris ma brosse à dents pour me les
laver, et c’est à ce moment-là qu’elle m’a vu, alors qu’elle venait de finir sa toilette anale.
Elle m’a souri, m’a demandé si j’avais bien dormi, etc. Une discussion normale de réveil. Elle est sortie de la douche, s’est approchée de moi, m’a embrassé, puis m’a dit qu’elle retournait un
peu au lit.
J’ai fini ce que je faisais, je me suis rapidement lavé les zones intimes et évidemment je suis allé la rejoindre. Mais avant d’entrer dans la chambre, j’ai pris un verre avec moi…
Quand je l’ai rejointe dans le lit, après avoir posé le verre sur une table de chevet, le temps que je me colle à elle elle m’a dit, avec son habituelle façon de parler directe : « j’ai
envie d’une sodomie pour démarrer la journée ». Quelques secondes plus tard j’étais sous les draps à lui lécher le sexe, puis l’anus… Elle s’est retournée pour se mettre plus ou moins à 4
pattes, m’offrant un accès facilité à son petit trou.
Je l’ai savouré, doigté, puis pénétrer avec ma queue que j’ai glissée auparavant dans sa chatte pour la lubrifier…
Dès que j’ai été au fond d’elle, elle n’a pas pu s’empêcher de me dire « plus fort ».
Je l’ai donc défoncé au réveil.
Après la sodomie, je me suis agenouillé dans le lit, j’ai pris le verre, et j’ai uriné dedans. La première urine du matin, la plus concentrée. Celle qui sent le plus fort… Lorsque je lui ai tendu
le verre, elle a tout bu, sans dire un mot… Je sais très bien qu’elle n’a pas aimé le goût plus que ça, mais ça faisait parti du jeu… Une fois le verre fini, elle m’a sauté dessus et nous avons à
nouveau baisé…
La journée a passé avec parties de jambes en l’air, piscine, amour, sauna, nourriture, boisson, etc.
Le soir venu, nous sommes retournés marcher dehors. Ce soir-là encore nous parlions de tout et de rien, commentions les corps excitants des gens que l’on croisait, etc.
De retour à l’hôtel, on a baisé, évidemment, et cette fois je l’ai attachée au lit. Et elle a eu droit à une surprise…
J’avais planifié la venue d’un ami de confiance. Pas pour faire profiter à Cassandra d’un plan à 3, non. Au contraire, elle n’allait pas participer du tout… Attachée solidement au lit par les
poignets et les chevilles, elle ne pouvait pas bouger. J’ai fait entrer mon ami dans la chambre et, vous l’avez compris, j’ai baisé avec lui. On s’est donné beaucoup, beaucoup de plaisir…
Fellations, sodomies, léchage de cul, doigtage anal, jouets… Tout ça sur le lit, tantôt à côté de Cassandra que j’avais bâillonnée, tantôt à quatre pattes au-dessus d’elle, sans nous préoccuper
d’elle…
Bien sûr, mon objectif était que Cassandra voit ce qui se passe le plus possible, mais je ne faisais pas d’effort visible pour que ce soit le cas.
Le seul moment où j’ai fait participer Cassandra volontairement, c’est après que mon ami m’ait joui dans le cul. J’ai retiré le bâillon de ma belle partenaire et je me suis accroupi au-dessus de
son visage, vidant mon cul dans sa bouche, déversement le sperme de mon petit trou à son orifice buccal. À la sentir forcer mon anus avec sa langue, il était évident qu’elle appréciait…
Pendant ce temps mon ami s’est rhabillé, puis une fois ma vidange anal effectué je l’ai raccompagné à la porte.
Lorsque je suis revenu dans la chambre, j’ai détaché Cassandra, et je me suis littéralement fait violer : elle a bondi du lit, a pris le gode ceinture, l’a lubrifié et me l’a enfoncé d’un
coup dans le cul. Heureusement que je venais tout juste d’avoir droit à des longues sodomies!
Elle m’a complètement dominé, me sodomisant, s’asseyant sur mon visage, me suçant frénétiquement, me plantant les ongles dans mes fesses, etc.
Je ne peux pas dire combien de temps ça a duré, mais lorsqu’elle a cessé, son corps était en sueur… Et j’ai passé du temps à le lécher un peu partout, avant que l’on aille sous la douche pour
finalement nous coucher pour dormir…
Le lendemain, dimanche, a été une journée similaire à celle du samedi : moments coquins, piscine, sauna, etc. Mais par contre, et c’est ce qui était prévu d’avance et à sa demande, la soirée
a été violente. Pour elle.
Elle m’avait demandé dans nos échanges de courriels si je pouvais la violenter, lui faire mal. Vous le savez, ce n’est pas tellement mon genre, mais j’ai dit que j’allais faire un effort. Elle
m’avait alors écrit une liste de choses qu’elle voudrait, et que je pouvais piocher dans toute cette liste sans hésiter.
Étant donné que certaines de ces choses allaient laisser des marques sur son corps, je lui avais demandé si elle était d’accord pour que je lui fasse tout ça le dernier soir. Ça aurait été gênant
d’aller à la piscine de l’hôtel le corps abimé!
Après le souper au restaurant de l’hôtel, elle était fébrile. Elle savait ce qui l’attendait, sans vraiment savoir ce que j’allais faire quand même.
J’ai commencé en douceur… Comme la veille, je l’ai attachée au lit de façon à ce qu’elle ne puisse pas bouger. Je lui ai même attaché le bassin, pour qu’elle ne puisse pas se cambrer…
Une fois contenue, j’ai caressé son corps, par un massage de mes deux mains… Tout son corps, sans oublier ses zones intimes que j’ai massées, lentement, autant de l’extérieur que de l’intérieur…
Puis j’ai pincé ses tétons… Sans prévenir, d’un seul coup… Elle a poussé un petit cri de surprise et de douleur, tout en disant aussitôt « Encore ». Étant donné qu’elle était la
soumise, je n’ai pas accédé à sa demande… J’ai continué à la masser… Puis j’ai serré son cou, jusqu’à l’amener au bord de l’asphyxie…
Lorsque mes doigts ont desserré l’étreinte, elle a repris son souffle en haletant, et j’ai continué à masser son corps…
Une fois sur ses cuisses, j’ai planté mes ongles dans chacune d’elle et je les ai griffées sur une dizaine de centimètres, assez profondément pour que du sang perle par endroit… Gouttes de sang
que j’ai léchées..
Puisque j’étais rendu à lécher son corps, j’ai déplacé ma bouche vers son entrejambes qui étaient ouvertes, étant donné la façon dont j’avais attaché ses jambes… Puis sans prévenir, j’ai mordillé
son clitoris…
Chacun de ces actes a fait gémir ou pousser un petit cri à Cassandra… Mais elle ne cessait de répéter « Encore »…
Je suis alors allé chercher dans mon sac un élément de ses fantasmes. Sans lui montrer de quoi il s’agissait, je me suis accroupi au-dessus de son visage. Pas pour qu’elle me lèche le cul, même
si j’ai évidemment apprécié qu’elle le fasse, mais parce que je voulais cacher ce que j’allais faire…
Elle m’avait écrit dans ses courriels qu’elle souhaitait que je lui enfonce des aiguilles dans les tétons. J’ai donc acheté des aiguilles chirurgicales, et je lui ai enfoncé la première d’un seul
coup dans un de ses tétons durcis…
Elle a émis un bruit, mais je ne sais pas lequel, mon cul fermant sa bouche…
Sans me préoccuper d’elle, j’ai enfoncé une deuxième aiguille, dans son second téton. Son corps a tressailli, mais elle n’a pas émis un seul son.
Je me suis alors décalé, libérant son visage, je me suis assis à côté d’elle, et tout en caressant sa chatte, je lui ai montré le résultat. C’est le regard pétillant qu’elle m’a demandé si j’en
avais d’autres. Je lui ai montré, il m’en restait encore pas mal…
Je me suis placé entre ses jambes, ma queue en elle, et tout en faisant quelques mouvements de bassin je lui ai planté une autre aiguille dans chaque téton.
Elle a eu un orgasme, le premier depuis que la « torture » avait commencé…
On avait aussi convenu que je pourrais la prendre en photo avec l’appareil qu’elle allait amener. Je lui ai demandé où il était, et j’ai pris quelques clichés…
Pour prendre l’appareil photo, je me suis évidemment éloigné d’elle. Quand je suis revenu, j’ai desserré un peu les cordes qui tenaient son bassin, puis je me suis remis entre ses jambes, mais
cette fois ma queue dans son cul. C’est rentré tout seul tellement son sexe juteux avait coulé et avait tout lubrifié…
Ma queue dans son cul, je me suis alors mis à la griffer sur le ventre, à tirer (doucement) sur les aiguilles qui étaient dans ses tétons, à serrer à nouveau son cou, et pour finir, en pilonnant
son petit trou frénétiquement, je lui ai mordu l’épaule. Et pas qu’un peu… Mes dents enfoncées dans sa peau, mon sexe dans son anus, elle eu un nouvel orgasme…
Je nous ai alors offert une « pause ». Je me suis dégagé d’elle, je lui ai fait lécher ma queue qui avait le goût de ses intestins, j’ai pris quelques photos d’elle, y compris pendant
qu’elle léchait ma bite, puis je l’ai détachée.
Sans lui enlever les aiguilles, je l’ai tirée par les cheveux pour l’emmener dans la salle de bain. Je l’ai fait s’asseoir dans la douche, je lui offert un golden shower. Je ne l’ai pas forcée à
en boire, mais d’elle-même par moment elle ouvrait la bouche. J’ai visé ses tétons transpercés des aiguilles, et encore une fois, j’ai pris des photos de ce moment particulier.
Assise dans la douche, sa tête était exactement au niveau de mon sexe. Je n’ai pas pu m’empêcher de lui violer la gorge. J’ai tenté de la refaire vomir, mais elle n’avait pas assez mangé pour
cela, ni assez bu. Dommage… J’ai compensé en l’étouffant mon gland dans son larynx et mes doigts serrant son cou…
Lorsque je l’ai libérée, elle suffoquait, toussait… Sans lui laisser le temps de se remettre, je l’ai faite se redresser en la tirait (doucement) par les aiguilles, je l’ai retournée et plaquée
contre le mur j’ai investi son corps, parfois sa chatte, parfois son cul, alternant consciencieusement.
Elle a joui plusieurs fois, entre mes coups de bassin, les griffures qui commençaient à parsemer son corps, et les morsures… Je ne l’aurais pas retenue, elle se serait écrouler à plusieurs
reprises…
Mais malgré cela, elle continuait à répéter : « Encore »…
Je nous ai douchés, puis je l’ai emmenée dans le salon, lumières éteintes. Je lui ai dit de se mettre debout devant la fenêtre et de se caresser, avec ses doigts ou avec les jouets que j’avais
déposés à côté d’elle.
Et régulièrement, j’allumais la lumière quelques secondes, la rendant parfaitement visible des immeubles voisins…
Dans le salon, même sans lumière je voyais assez bien ce qu’elle faisait, et je dois dire que le spectacle valait le coup d’œil… Ce qui m’a rappelé que j’avais son appareil photo… J’ai donc pris
quelques photos dans le noir avec le flash, mais il y avait toujours un peu de flou, alors finalement lorsque j’allumais la lumière, j’en profitais pour immortaliser le moment. Parfois elle avait
un jouet en elle, parfois deux, parfois en haut, parfois en bas…
Au moment où elle allait jouir, je me suis précipité vers elle et je lui ai asséné une grande gifle. Ça a claqué fort… Elle est alors tombée à quatre pattes, et sans perdre un instant je l’ai
prise en levrette, lui procurant l’orgasme que je venais de lui « voler »…
On est resté dans le salon, mais je suis allé chercher une bouteille de lubrifiant… Jamais je n’avais pensé être capable de frapper une partenaire, de lui planter des aiguilles dans les tétons…
Mais là j’allais tenter d’aller encore plus loin, un acte qu’elle m’a dit être le sujet de plusieurs séances de masturbation en l’imaginant…
J’ai recouvert ma main de lubrifiant, j’ai fait s’allonger Cassandra sur le côté sur le divan, et j’ai commencé à glisser mes doigts dans son cul… Directement trois, puis quatre… puis j’ai forcé
pour cinq… Je n’ai pas procédé en trente seconde, ça a pris du temps, beaucoup de temps… Mais la finalité de cette acte n’était pas de faire entrer tout mon poing dans son cul… Ce qu’elle
voulait, c’était que je lui déchire le cul. Littéralement. Elle voulait que son anus se déchire et saigne.
Et j’ai compris que j’avais réussi quand, alors qu'une bonne partie de mon poing entrait en elle, elle a mordu le divan pour ne pas crier… Lorsque j’ai retiré ma main, j’ai effectivement vu une
déchirure autour de son sphincter anal. J’ai pris une photo, puis comme elle le souhaitait, j’ai léché lentement son anus, insistant sur la peau ouverte… Avant de lui glisser ma queue dedans et
de la défoncer sans tenir compte de ce qui venait de se passer ni de sa douleur…
Ça a été un peu plus long que ce à quoi je m’attendais, mais elle a encore joui…
Quand je me suis retiré d’elle, elle était affalée, épuisée, en sueur, en douleur. Je l’ai prise en photo sous toutes les coutures, puis je me suis dit que j’avais accompli ma
« mission », qu’il était inutile d’en faire plus.
Avec des gestes quasiment amoureux, je lui ai retiré les aiguilles, puis on est allé au lit, directement au lit. Allongés dans mes bras, son corps tremblait. Je lui ai demandé si je suis allé
trop loin, mais elle m’a dit que non, que ça avait été parfait, à un détail près. Je lui ai demandé lequel. Elle m’a répondu : « une des choses que j’ai dit que j’aimerais vivre, c’est
un baiser après m’avoir mordu les lèvres, pour que du sang s’en mêle. J’en ai vraiment, très, très envie ».
Si je n’avais pas fait ce baiser, c’est parce que je n’avais aucune idée d’à quel point mordre… Mais elle y tenait, alors je l’ai fait. Elle était allongée sur moi, on s’embrassait… Je n’avais
pas joui de la soirée, ma queue n’a donc pas tardé à se dresser. Elle s’est déplacée un peu pour la prendre en elle, dans son sexe, puis je lui ai mordu une lèvre à en faire gicler le sang…
Je dois dire que ce baiser sanglant a été très, très agréable… Un mélange de langue, de salive, de liquide au goût métallique… C’était parfait…
Quand nos lèvres se sont séparées, elle m’a demandé : « As-tu envie de jouir sur mes abdos, comme tu avais fait? » Quelques instants plus tard, elle était allongée sur le dos, moi
assis sur le haut de ses cuisses, et elle me masturbait, jusqu’à ce que je jouisse dans le sillon de ses abdos… Elle faisait exprès de relever la tête pour les contracter, que le sillon soit
encore plus visible…
Alors que j’allais la nettoyer avec ma langue, elle m’a dit : « Laisse sécher, j’ai envie de le garder sur moi pour demain… ». On a poussé les draps pour être sûr que ça ne
l’essuierait pas, et elle s’est endormie sur le dos, mon sperme séchant tranquillement…
Au réveil le lundi matin, elle ne s’est pas douchée pour garder ce qui restait de ma semence sur son ventre. On a fait l’amour, vraiment l’amour, tendrement, dans son sexe, les yeux dans les
yeux. J’ai joui en elle tout simplement, dans un orgasme commun.
Elle avait plein de traces de morsures et griffures sur le corps, mais toutes dissimulables par les habits. En revanche son anus lui faisait mal, et ça pouvait se voir dans sa démarche, en
quittant l’hôtel…