Cassandra

Jeudi 23 juin 4 23 /06 /Juin 04:35

Depuis que j'ai baisé avec l'amie obèse de Cassandra, chaque qu'elles se voient son amie lui demande si on pourrait baiser à nouveau. Lorsque j'ai été offert en cadeau, il avait été précisé que ce serait une baise unique : une fois, rien qu'une fois. Son amie lui demande donc cela régulièrement, mais sans espoir réel. En fait c'est quasiment devenu une running joke.

 

Mais hier Cassandra m'a écrit pour me demander si j'étais d'accord pour servir de "récompense". Elle avait en tête de proposer à son amie de me "prêter" pour chaque tranche de 50 livres perdue. Elle pensait que ça pourrait peut être motiver son amie à prendre un peu plus soin de sa forme physique.

 

J'ai aquiescé à sa demande. Elle en a alors parlé à son amie qui a dit être partante. Reste juste à savoir si elle va vraiment faire un effort, et si oui combien de temps ça lui prendra pour perdre ses 50 premières livres...

Par Etienne - Publié dans : Cassandra
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Mardi 31 mai 2 31 /05 /Mai 19:56

Pour une seconde fois, Cassandra m’a écrit pour savoir si on pouvait aller se balader tous les deux, le soir même. N’ayant rien de particulier de prévu, je lui ai répondu que oui. Cette fois-ci, au lieu d’aller dans le Vieux-Port de Montréal elle a choisi un coin un peu plus boisé, le parc Angrignon.

 

On s’y est donc retrouvé vers 20h, toujours de nuit. Cette fois-ci elle ne portait pas son manteau très laid aux poches percées. En fait elle m’a dit qu’elle avait récupéré exprès ce vieux manteau pour notre soirée au Vieux-Port, après avoir été inspiré par un film (et pas un film porno, elle a précisé!). Elle ne l’a pas jeté, car elle pense le réutiliser… Mais pas ce soir. Elle portait une jupe assez courte, avec un collant, et son vrai manteau d’hiver, qui lui allait beaucoup mieux que l’autre!

 

Comme lors de notre dernière balade en amoureux, on s’est embrassé, puis on a marché main dans la main en parlant de tout et de rien.

 

À un endroit qu’elle a jugé propice, elle m’a emmené dernière des arbres. Elle a soulevé sa jupe, dévoilant que son collant était fendu sur tout l’entre-jambes. J’ai ouvert ma braguette, sorti mon sexe déjà dur… Je m’approchais d’elle pour un moment de plaisir à deux, lorsqu’elle m’a regardé en souriant, sortant de sa poche une petite bouteille thermos. Elle l’a débouchée, puis s’est penchée en avant, contre l’arbre. Avec sa minijupe relevée, j’avais une vue très excitante sur les deux endroits que je mourais d’envie de visiter…

 

Elle a placé la thermos contre son anus, et je l’ai entendu la remplir… Ça résonnait comme un liquide, pas du tout comme de la merde solide ou même crémeuse…

 

Quand elle s’est vidée, elle m’a tendu la thermos en disant : « De la pisse gardée au chaud dans mon cul! ».

 

Pendant que je goûtais une première gorgée pour vérifier ses dires, elle s’est accroupie devant moi et a commencé une fellation.

 

Pendant qu’elle me suçait, et après quelques gorgées de son cadeau, je lui ai demandé qui est le chanceux qui a eu le droit de remplir son petit trou. Réponse : « Personne, c’est ma pisse, injectée avec une poire ».

 

Elle a arrêté de me sucer, à sembler réfléchir, puis m’a demandé, en se remettant debout, l’air soucieux : « Tu aurais préféré que ce soit celle de quelqu’un d’autre? ». J’ai répondu que non, j’étais juste curieux. Elle a insisté : « Mais tu préfèrerais que ce soit celle de quelqu’un d’autre? »

 

Avant de lui répondre, je l’ai portée (elle est tellement légère!), je l’ai empalée sur ma queue tout en la plaquant contre un arbre. Puis je lui ai répondu : « J’adore tout ce qui sort de ton corps, comme j’adore tout ce qui sort du corps de mes chéries. Est-ce que j’aurais préféré que ce soit la pisse de quelqu’un d’autre? Non, pas pour la pisse en elle-même. Par contre, que tu fasses baiser par quelqu’un d’autre en pensant à moi, ça c’est excitant… Si tu te fais remplir le cul par quelqu’un d’autre tout en pensant que c’est pour te vider sur moi après, oui, psychologiquement, c’est excitant. Mais rien à voir avec le goût. »

 

Tout en disant ça, je la pénétrais violemment, lui écrasant les fesses contre l’écorce de l’arbre, en ayant pour objectif que ça la griffe jusqu’au sang, puisqu’elle aime la douleur…

 

Alors que j’allais jouir, et elle l’a senti, elle m’a dit précipitamment « Dans mon cul! Dans mon cul! ».

 

Sans perdre un instant je suis sorti d’elle, je l’ai posée au sol, elle s’est tournée visage vers l’arbre, en se penchant en avant, et j’ai enfoncé d’un coup ma bite dans son cul, lui arrachant une plainte étouffée. Il était grand temps, car tout mon sperme s’est déversé à cette première pénétration…

 

Avant de sortir de ses fesses je lui ai demandé si elle voulait que je la nettoie. Elle m’a dit que non, qu’elle avait envie de sentir le sperme couler le long de ses cuisses le temps de rentrer chez elle…

 

J’ai donc sorti mon sexe de son corps pour le replacer dans mon caleçon. Elle a rajusté sa robe, et nous sommes retournés vers nos autos. On s’est embrassé longuement, puis nous sommes partis chacun de notre côté. Et après coup je me suis rappelé que je n’ai même pas pensé à regarder l’état de ses fesses après le passage contre l’écorce de l’arbre!!

Par Etienne - Publié dans : Cassandra
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Mercredi 15 décembre 3 15 /12 /Déc 13:43

Avec Cassandra, nous nous écrivons souvent, et nous nous voyons une fois de temps en temps. Après le week-end à l’hôtel, je suis allé chez elle et elle est venue chez nous.

 

La première fois qu’elle est venue à la maison et qu’elle a rencontré mes deux chéries, étrangement il ne s’est rien passé de sexuel. Physiquement parlant, parce qu’en terme de discussion, ça a été le sujet principal de la soirée!

 

Cassandra a parlé de ses expériences passées, mes chéries et moi aussi ainsi que de notre vie actuelle. Et sans tabou. Et quand je dis sans tabou, je n’exagère pas : elle a appris que je baise à l’occasion avec ma belle-mère et que la scatophilie est devenue un mode de vie. C’est ce dernier point qui a beaucoup attiré Cassandra, au point qu’elle a goûté des « confiseries » que l’on garde au frigo ou dans le congélateur : des petites bouchées d’excréments, de la taille d’une truffe au chocolat. Elle en a goûté des fraiches du jour qui avaient été placées dans le frigo, ainsi que des congelées à faire fondre en bouche avant d’avaler.

 

Elle n’a pas dit que c’était bon, mais que c’était moins pire que ce qu’elle pensait, et que de savoir d’où ça venait rendait le tout très excitant. Elle a demandé si on savait de qui de nous trois les gourmandises venaient : pour celles du jour, c’était Magali, mais pour celles congelées, on ne savait plus.

 

Baiser avec une femme n’attire pas Cassandra plus que ça, mais quand je lui ai dit que si on continuait à se voir, mes chéries, tout du moins Magali, demandera sûrement un jour à participer, elle a répondu que ce sera avec plaisir. Quand elle a su que les confiseries du jour sortaient de Magali, elle en a repris. Était-ce un message codé pour dire qu’elle était prête?

 

Quoi qu’il en soit, ce soir-là nous n’avons rien fait, ni Cassandra et moi seulement, ni Cassandra avec mes chéries. Elle est rentrée chez elle, tout simplement, comme une amie « normale ».

 

Nous nous sommes revus à quelques reprises depuis, souvent pour des baises « violentes » comme elle aime, parfois chez elle, parfois chez nous, mais elle n’a pas encore eu de première expérience avec une femme.

 

La soirée dont je veux vous parler ici, est celle de vendredi. Dès lundi dernier, Cassandra m’avait écrit pour me demander si j’étais disponible. J’ai dit que oui. Ensuite je n’ai eu qu’une consigne : arriver l’anus plein…

 

Et c’est ce que j’ai fait…

 

Lorsque Cassandra m’a ouvert la porte de chez elle, elle était dans la même tenue que d’autres fois : bikini blanc sur sa peau noire… On s’est embrassé (pas la bise, le vrai baiser complet), elle m’a proposé de boire quelque chose, puis on a discuté un peu, jusqu’à ce qu’elle me dise : « je sens que je suis prête ».

 

Elle s’est déshabillée complètement sans m’en dire plus. Une fois nue, elle m’a demandé d’en faire autant. On est ensuite allés dans sa chambre, où elle m’a démontré encore une fois qu’elle était très souple : elle s’est allongée sur le dos sur le lit, puis a relevé ses deux jambes pour les passer derrière sa tête, donnant une vue et un accès incroyable à son entre-jambes.

 

Elle m’a dit « viens me lécher le cul, en te préparant à avaler ce qui va en sortir. Ça devrait être quelque chose de long, dur et croquant… »

 

Avec une telle vue, je n’aurais pas pu m’empêcher d’aller lécher son petit trou de toute façon… Une fois bien en place, lui léchant le sphincter bien fermé, j’ai senti ce dernier s’ouvrir… J’ai tenté de glisser ma langue dedans, mais c’est plutôt ce qui était dedans qui s’est glissé dans la bouche… Et elle avait raison : ça a été un long cigare que j’ai dû avaler en le coupant avec mes dents, et il était effectivement croquant car il y avait des cacahouètes non totalement digérées dedans…

 

En le mangeant, je bandais comme un fou… et je l’entendais gémir en se caressant les tétons…

 

Une fois que plus rien ne sortait de son petit trou, elle m’a dit d’approcher ma queue d’elle, pendant qu’elle prenait un tube de lubrifiant. Elle m’a badigeonné la queue, puis la consigne a été claire : « Dans mon cul, d’un coup au fond ».

 

Je suis quelqu’un de très obéissant : j’ai posé mon gland contre son petit trou, et j’ai poussé d’un coup. C’est vraiment rentré tout seul, son anus étant encore dilaté ce qui en était sorti juste auparavant. Elle a crié, mais bien moins fort que lors d’autres premières pénétrations…

 

Ces jambes toujours derrière sa tête, je l’ai pilonnée jusqu’à ce qu’elle jouisse…

 

Elle a ensuite dépliée ses jambes, a sucé ma queue qui n’était pas vraiment propre à 100%, loin de là, s’est levée, a pris une grosse serviette qu’elle a placé sur le lit, elle s’est rallongée dessus sur le dos, puis m’a dit de venir m’accroupir au-dessus de son ventre.

 

Elle a lubrifié trois doigts de sa main, et a commencé à forcer mon anus. Et je le rappelle : elle m’avait demandé de venir les intestins pleins…

 

Lorsqu’elle sortait ses doigts de moi, mon cul se vidait sur son ventre… Puis elle les réinsérait, en allant toujours plus loin, pour continuer à me vidanger…

 

Une fois satisfaite, elle a léché ses doigts plein de ma merde, en semblant y prendre du plaisir… Son autre main était entre ses jambes : elle se masturbait en même temps…

 

Une fois ses doigts propres, elle m’a dit : « Nettoie-moi. Avec ta bouche seulement ». Toujours aussi obéissant, j’ai commencé à récupérer tout ce qui avait coulé sur elle… Alors que j’en avais plein la bouche, à quelques reprises elle m’a demandé de venir l’embrasser, pour des longs baisers scatologiques…

 

Alors qu’il ne restait plus grand-chose, elle m’a demandé de tout placer dans sa bouche. Une fois la bouche en partie pleine de mes excréments plutôt mous, elle s’est redressée et m’a sucé : une pipe dans une bouche encombrée.

 

Après la fellation, elle m’a dit avoir été déçu : le sperme ne goutait pas, dissimulé par le goût plus fort de la merde. J’aurais pu le lui dire dès le début, en ayant déjà fait l’expérience!

 

On a ensuite pris une petite douche, et avant de se rhabiller elle m’a demandé si j’étais en état de lui faire l’amour « normalement ». Non seulement j’ai été en état, mais elle a joui plusieurs fois… Et j’ai joui moi aussi, pour la seconde fois de la soirée, mais cette fois dans son sexe…

 

Je suis descendu entre ses jambes pour la nettoyer, pour savourer le goût de son sexe trempé mélangé à mon sperme, puis je suis rentré chez moi. Où bien évidemment mes chéries ont voulu savoir tout ce qui s’est passé…

Par Etienne - Publié dans : Cassandra
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Mercredi 17 novembre 3 17 /11 /Nov 17:42

Cette rencontre s'est passée il y a quelques semaines déjà...

 

Après avoir échangé des centaines de courriels avec Cassandra, cette femme à la peau noire, extrêmement mince et avec zéro poitrine, nous nous sommes enfin retrouvés à l’hôtel, pour toute une fin de semaine : du vendredi après-midi au lundi matin.

 

Durant nos échanges de courriels, je lui ai avoué que je vis avec deux femmes, je n’avais pas envie de lui mentir plus longtemps, et de son côté elle m’a avoué bon nombre de fantasmes. Et je dois avouer que pour une fois, il s’agit d’une femme dont certains fantasmes dépassent mes envies, principalement du point de vue de la douleur. Elle est très attirée par des rapports agressifs, jusque là ça va, j’approuve, mais aussi où la douleur est volontairement provoquée d’une façon autre que la pénétration. Si une femme en a envie, je n’ai aucun problème à lubrifier mon sexe pour le lui enfoncer d’un coup loin dans son corps sans  préliminaire, la faisant crier de douleur, mais je n’anticipe aucun plaisir à l’idée de fouetter une femme, par exemple. Je n’irai plus dans le détail pour le moment, vous découvrirez certaines expériences dans cet article, sachez seulement qu’elle est attirée et a envie de douleur dans ses rapports sexuels. Elle veut aussi beaucoup de domination et de soumission.

 

Avant le début de la fin de semaine, elle m’avait dit par courriel qu’elle avait envie d’être dominée toute la fin de semaine. Et oui, elle l’a été, même si parfois elle a pris l’initiative de façon exemplaire…

 

On s’est retrouvés devant l’hôtel. Elle portait un pantalon moulant ses fesses et ses cuisses, et un haut moulant son corps svelte et musclé, ne dissimulant à personne que ses seins sont inexistants… De mon côté je portais un short « bien habillé » et une chemise. Elle comme moi ne portions aucun sous-vêtement, nous nous l’étions dit dans nos échanges de courriels…

 

On avait convenu d’agir comme un couple, donc en nous retrouvant nous nous sommes embrassés, comme deux amoureux. Bien qu’elle soit beaucoup plus petite que moi je l’ai serrée fort pendant notre baiser, nous tordant le cou à tous les deux, pour qu’elle sente ma queue en érection au travers de nos habits contre son ventre… Et ça n’a pas raté, car pendant le baiser elle a décollé ses lèvres pour me dire : « on se décolle et on va à la réception pour que tu me la mettes dans le cul le plus vite possible? ». Parce que oui, elle m’avait écrit à plusieurs reprises qu’à peine la porte de la chambre fermée, c’est dans son cul que je devrais me diriger, en toute urgence, sans tendresse.

 

Une fois la récupération de la carte magnétique de la chambre effectuée, nous sommes montés. Dans l’ascenseur j’étais collé à son dos, pour qu’elle sente ma queue bien dure contre elle, mais je n’ai rien fait de plus : elle avait été très claire : aucune préparation, aucun toucher avant que mon sexe entre dans son petit trou.

 

J’ai ouvert la porte de la chambre (de la suite plutôt), et j’ai laissé passer Cassandra. À peine dans la suite elle a laissé tomber son sac et a commencé à enlever son pantalon. De mon côté, le temps que je ferme la porte mon short était déjà tombé au sol, et j’ai enlevé mon chandail.

 

Elle s’est ensuite accroupie et a fouillé dans son sac en disant : « j’ai du lubrifiant ». Mais le temps qu’elle se déshabille et qu’elle le cherche, j’avais déjà la queue lubrifiée : j’avais prévu le coup, j’en avais un tube dans la poche de mon short…

 

Je le lui ai dit et avec un grand sourire elle s’est relevée, s’est appuyée sur la table qui était dans le couloir menant de la porte aux pièces de la suite, a écarté les jambes, et je me suis placé derrière elle.

 

J’ai posé mon gland sur son petit trou… À son contact, elle a frémi… Ses poings étaient serrés… Je savais qu’elle avait très envie que je la défonce d’un coup, tout en étant un peu craintive de la douleur…

 

Son petit trou n’ayant pas du tout été préparé, il n’était pas du tout dilaté. Pour être sûr que ma queue ne glisse pas ailleurs, j’ai commencé à pousser doucement, pour que me gland commence à pénétrer son corps… Une fois que j’ai jugé qu’il n’y avait plus de change de dérapage, j’ai poussé un grand coup et je me suis retiré aussitôt…

 

Elle a hurlé. Vraiment hurlé. J’ai cru qu’on allait venir cogner à notre porte pour savoir ce qui se passait, mais non…

 

Elle m’avait écrit dans les courriels que nous avions échangés que si elle criait, il ne fallait pas que j’arrête pour autant… En fait on s’était donné un code. Deux pour être précis : si elle était bâillonnée et ne pouvait parler, elle devait remuer énergiquement la tête de gauche à droite et de droite à gauche pour que j’arrête tout. Si elle était en mesure de parler, « banane » était le mot de passe pour que j’arrête tout.

 

Je me suis décalé le temps de ramasser mon chandail qui était parterre, je le lui ai donné pour qu’elle se l’applique contre la bouche, et sans attendre, j’ai répété ma pénétration initiale : un grand coup en elle avant de me retirer.

 

Puis une troisième fois.

 

Puis je l’ai pilonnée… J’ai défoncé son petit cul debout dans l’entrée, puis dans plusieurs positions et pièces de la chambre… Le seul endroit où je me suis gardé une petite gêne, c’est devant la grande baie vitrée : j’aurais adoré la baiser contre la fenêtre, que tout le monde puisse voir, mais avec la facilité de filmer de nos jours, je n’ai pas osé. Du trottoir personne n’aurait pu nous voir, mais de l’immeuble en face, oui.

 

Après un temps que je ne peux pas définir, les pénétrations ont été plus douces, presque romantiques. On a fini elle sur le dos sur le lit, jambes relevées, mon sexe toujours dans son anus, les yeux dans les yeux…

 

Alors que l’on s’embrassait dans cette position, elle m’a murmuré « jouis… ». Aucun autre mot. Quelques secondes plus tard, au plus profond d’elle, j’ai laissé couler ma semence…

 

Lorsque je me suis retiré, elle a levé le bassin et a serré les fesses pour tout garder en elle… Je me suis allongé sur le dos, et elle s’est installée, tête-bêche, au-dessus de moi. Elle a nettoyé mon sexe avec sa bouche, pendant que je goutais son sexe juteux, très juteux… puis elle a laissé le sperme s’échapper de ses fesses dans ma bouche…

 

Je n’ai rien avalé, mais j’ai tout récupéré, profitant de l’ouverture de son anus pour y glisser la langue…

 

Pour finir cette première partie, elle s’est allongée sur moi, dans le même sens que moi, et nous avons partagé mon sperme dans un baiser très crémeux…

 

Jusque là, il s’est passé exactement ce qui avait été « prévu » : elle avait dit qu’elle voulait que l’on commence par une grosse, grosse sodomie avec éjaculation dans son cul, 69 et baiser crémeux.

 

Ma queue n’est pas restée longtemps dans un état de mollesse ne permettant pas une pénétration. Pendant le long baiser crémeux, j’ai rapidement à nouveau pu investir le corps de Cassandra, mais cette fois-ci plus en douceur. Et ça a commencé par son sexe, que je n’avais pas encore eu le plaisir de visiter depuis notre arrivée.

 

Durant l’heure qui a suivi, il n’y a pas eu de domination de l’un ou de l’autre à proprement parlé. Nous avons baisé, parfois en parlant, parfois sans parler, parfois en douceur, parfois vigoureusement. J’ai visité son corps par toutes les entrées possibles, elle a visité le mien aussi avec ses doigts et sa langue.

 

Nous avons cessé de baiser quand il a été l’heure d’aller souper. Nous étions allongés sur le lit quand l’heure est arrivée, moi allongé sur le dos, elle empalée sur mon sexe. Elle a regardé l’heure, a dit qu’elle commençait avoir faim, mais qu’avant de descendre il lui restait une dernière chose à faire. Elle s’est dégagée de mon sexe, s’est accroupie au-dessus de mon visage, et a dit : « j’espère que tu as soif ». Avant qu’elle ne me plaque son entrejambes sur la bouche, je lui ai dit qu’il allait falloir qu’elle stoppe son jet régulièrement, pour que je puisse avaler sans dégâts à coup sûr. Elle n’a pas répondu, et j’ai senti son jet d’urine chaude couler dans ma bouche…

 

Lorsque je sentais son jet se tarir, j’avalais tout ce que j’avais en bouche, puis son urine jaillissait à nouveau…

 

Vous le savez, l’urine m’excite beaucoup… À la fin de cette dégustation j’ai sans ménagement pousser Cassandra, je l’ai mise à 4 pattes, et je lui ai enfoncé ma queue dans sa chatte d’un coup, pour ensuite la pilonner jusqu’à ce qu’elle jouisse…

 

Ça a été son je-ne-sais-combien-t-ième-orgasme de la journée. De mon côté, je n’avais pour l’instant joui que lors de la première sodomie…

 

Après ce moment de félicité, nous nous sommes habillés pour aller au restaurant de l’hôtel. Elle avait pour l’occasion une robe blanche très courte, ainsi qu’un tanga blanc (je lui avais dit c’était mon sous-vêtement préféré). La robe n’était pas vraiment décolletée, mais elle avait des fentes dans le dos et sur le ventre. Elle aurait eu plus de seins, en fait elle aurait eu des seins, j’aurais dit que c’était l’une des femmes les plus sexy sur terre…

 

Elle m’a aussi montré qu’elle n’avait pas besoin de faire grand-chose pour que son tanga soit visible de tous… Elle n’est pas vraiment exhibitionniste, mais elle aimait l’idée de m’exciter en dévoilant par moment des parties de son corps en public. Elle sait que ça me plait beaucoup…

 

De mon côté je faisais un peu branleur avec un pantalon en lin blanc et une chemise serrée sur le haut du corps. Sans sous-vêtement, il ne fallait pas regarder avec beaucoup d’insistance pour se rendre compte si j’étais en érection ou non…

 

Le souper a été très agréable. On a parlé de tout et de rien, le repas était délicieux, et le vin exquis. Quand j’ai vu qu’elle se forçait à finir certains plats alors que je savais qu’elle n’avait plus fin, j’ai compris qu’elle voulait que dès le premier soir nous faisions une des choses dont nous avions parlé par courriel…

 

Après nous être repus de nourriture, nous sommes remontés à la chambre. Tout comme lors de notre précédente entrée dans la suite, à peine la porte fermée je me suis déshabillé, je lui ai retiré sa robe, et sans prendre le temps de lui retirer son tanga je l’ai tirée par les cheveux vers la salle de bain. Nous sommes allés dans la baignoire, je l’ai forcée à s’agenouiller, et je lui ai défoncé la gorge à grands coups de bite.

 

Je guidais la pipe. Mes deux mains sur sa tête, j’imprimais le rythme que je voulais, la profondeur que je voulais, et je la voulais très, très profonde… Et quand j’étais bien au fond de sa gorge, son nez écrasé contre mon ventre, je la maintenais en place sans bouger vraiment, vraiment très longtemps…

 

Alors que je commençais à désespérer, ce qu’elle m’avait dit qu’elle voulait qui arrive est enfin arrivé : ma queue dans sa gorge, elle a eu des hauts le cœur, puis a régurgité son repas. Elle m’a vomi sur la queue, sur le ventre… Mais je la maintenais toujours contre moi…

 

Lorsque je lui ai permis de respirer à nouveau, je lui ai fait lécher mes couilles qui dégoulinaient de son vomi, puis je lui ai renfoncé ma queue pour une seconde séance… et elle n’a pas tardé à venir…

 

Lorsque je l’ai laissée se décoller de moi, elle avait du vomi sur la poitrine, le ventre, les cuisses… j’en avais sur le ventre, la queue, les couilles, les jambes… Et c’est là que je me suis rendu compte qu’elle se masturbait. Je lui ai demandé si elle le faisait depuis le début, elle m’a dit que oui…

 

Elle était encore à genoux dans le fond du bain devant moi. Sans lui demander son avis, je me suis mis à l’arroser de pisse pour un premier « nettoyage »… Lorsque mon jet était dirigé sur sa bouche, elle l’ouvrait en grand pour en boire, mais autrement elle ne courait pas après mon jet. Mais elle se masturbait encore et encore, recevant ma douche dorée sur son corps…

 

Finalement nous nous sommes douchés, douchés à l’eau propre, sans faire l’amour, puis nous avons décidé d’aller à la piscine de l’hôtel.

 

Vous le savez si vous me lisez régulièrement : le bikini est l’une de mes tenues préférées sur une femme. Ça n’a pas manqué : alors qu’elle allait ouvrir la porte de la suite, je l’ai plaquée contre, j’ai décalé son bas de maillot et je l’ai baisée sans retenue, avant que l’on descende à la piscine… Elle m’avait bien prévenu dans les courriels échangés qu’elle voulait que je la prenne à l’occasion sans lui demander son avis… J’ai été léger, je ne suis qu’aller dans son adorable chatte cette fois-là…

 

Une fois rendus à la piscine, nous n’avons fait que nous coller et nous embrasser… Ma queue en érection contre elle, parfois discrètement en elle alors qu’il y avait du monde autour de nous…

 

Nous sommes aussi allés dans le sauna. Encore une fois, si vous me lisez régulièrement vous savez que le corps propre d’une femme en sueur m’excite terriblement… Une fois qu’elle a été complètement recouverte de sueur nous sommes remontés rapidement à la chambre où j’ai léché chaque parcelle de sa peau, des orteils jusqu’au front… Entre chaque orteil… ses mollets… derrière ses genoux, ses cuisses… Elle se masturbait pendant ce temps là… son anus… entre ses fesses… Le temps que j’arrive plus haut, son corps avait séché… Alors nous sommes retournés dans le sauna… Comme cette fois nous y étions seuls, j’ai pu savourer la sueur sur place, sur des parties du corps plus accessibles : son cou, ses bras, ses aisselles…

 

J’ai aussi passé ma main entre mes jambes, récupérant ma sueur pour la lui faire gouter… Sous forme de domination, elle a bien aimé… On est alors remontés dans la chambre, je l’ai poussée sur le lit et je me suis assis sur son visage, l’obligeant à me lécher des couilles au bas de mon dos… Cette fois elle ne se masturbait pas : c’est moi qui aie mis deux doigts dans sa chatte pour la stimuler…

 

Jusque là, elle a joui beaucoup, beaucoup de fois. De mon côté, juste la première fois, à l’arrivée dans la chambre.

 

Nous avons baisé, fait l’amour, jusqu’à ce que la nuit débute. Dans de multiples positions, sans retenue, mais sans rien faire sortant de l’ordinaire non plus.

 

Pour nous changer les idées, nous sommes sortis faire une balade dans le Vieux Montréal, où était situé l’hôtel. Main dans la main, comme un couple… Régulièrement nous faisions des pauses pour nous embrasser, comme nouveau couple…

 

Nous étions habillés sans extravagance : jeans t-shirt pour moi, jupe relativement courte, mais pas une mini-jupe pour autant, et débardeur pour elle.

 

En marchant, nous parlions de tout et de n’importe quoi. Quand on croisait des femmes dont un élément du corps me plaisait, je disais à Cassandra ce que j’aurais envie de faire avec cette femme. De son côté, elle faisait la même chose avec les hommes.

 

Durant cette promenade nocturne elle m’a demandé pourquoi je l’ai choisie elle comme maitresse, ou comme une des mes maitresses. Elle disait qu’elle n’avait pas de formes, que je pouvais trouver plus féminin qu’elle. Elle me montrait des femmes que l’on croisait qui, selon elle, étaient sublimes, et je dois dire qu’elle avait bon goût! Bref, je lui ai dit que j’adorais son « p’tit cul », ses « abdos dessinés », ses « cuisses fines et musclées », et surtout, surtout, son comportement incroyable sexuellement parlant. Je lui ai expliqué que j’aime son dynamisme quand on baise, que j’adore qu’elle soit si petite et légère ce qui me permet de la porter sans me fatiguer, sa souplesse, etc.

 

Quand j’ai fini d’énumérer tout ce qui me plaisait, elle m’a longuement embrassé, lentement…

 

Alors que l’on retournait à l’hôtel on a croisé une prostituée qui essayait de se trouver des clients. La dernière fois que j’en avais vues agir ainsi c’était il y a des années sur la rue Sainte-Catherine (toujours à Montréal), et j’ai été pas mal surpris d’en voir une là. Elle devait avoir autour de 50 ans, très maigre, typiquement le genre de corps d’une personne accro à la drogue. Cassandra m’a dit « qui est-ce qui serait capable de fourrer ça? ».

 

Je rappelle qu’elle utilise souvent des termes très directs…

 

Je lui ai dit qu’être capable, je le serais sans problème. Mais l’envie par contre… Elle s’est arrêtée de marcher, et m’a dit « tu arriverais à bander pour fourrer ta graine dans un corps comme ça??? ».  Au lieu de répondre directement à sa question, je lui ai posé une question à mon tour « Tu veux la preuve? ». Elle a ri et m’a dit qu’elle ne me croyait pas.

 

J’ai regardé la prostituée, qui a croisé mon regard. Elle s’est aussitôt approchée de nous en disant qu’elle pouvait me sucer ou lécher Cassandra pour 20 $, ou pour 50$ elle pouvait s’occuper de nous deux avec pénétration en ce qui me concerne.

 

J’ai regardé Cassandra, j’ai souri et j’ai dit : « si tu as des condoms, pour 60 $ je te sodomise devant ma copine, mais elle ne participera pas, elle regardera seulement ». Cassandra s’est presque étranglée en m’entendant dire ça.

 

La pute a dit qu’elle n’avait pas de préservatifs sur elle, mais qui si on allait chez elle il y en avait. Ça ne me tentait pas trop. Personnellement j’imaginais une sodomie rapide dans une ruelle. C’est Cassandra qui m’a surprise à ce moment-là : elle a dit qu’elle en avait dans sa sacoche. J’ai alors demandé à la prostituée si elle connaissait un coin où on serait cachés, elle m’a dit que oui.

 

On l’a suivi, et quelques minutes plus tard, elle était face à un mur, dissimulée de tout passant par un conteneur à déchets. Elle a baissé son pantalon et sa culotte, dévoilant des fesses inexistantes et malgré tout pendantes (contradictoire, et pourtant...). J’ai pris le condom que me tendait Cassandra, j’ai bandé en pensant à plein de choses sauf au corps que j’allais baiser, j’ai posé mon gland contre l’anus de la prostituée, et je suis entré en elle.

 

Elle n’a pas fait semblant d’avoir plaisir, n’a pas gémi pour faire plaisir, elle était quasiment inerte. Je l’ai enculée pendant un certain nombre de va-et-vient, puis je me suis tanné. Je me suis retiré, j’ai enlevé le préservatif que j’ai aussitôt jeté dans le conteneur à déchets qui nous cachait, je me suis désinfecté les mains (avec la covid, on a toujours ça sur nous, ça a été un bon point dans le cas présent!), puis on est partis.

 

Cassandra était hyper excitée. Elle n’en revenait pas de ce que je venais de faire. Je ne l’ai pas précisé, mais pendant que j’enculais la pute, elle me tenait par la taille et regardait la pénétration…

 

Elle m’a demandé si ça m’arrivait souvent de baiser des femmes qui ne me plaisent pas. Je pensais le lui avoir dit, alors soit elle avait oublié soit c’est moi qui me trompais, mais je lui expliqué que parfois c’est le genre de défi que nous nous lançons avec ma femme. Parfois elle me montre, ou plutôt elle me montrait, parce que ça fait très longtemps que nous ne l’avons pas fait, une femme peu attrayante, et mon défi était de la baiser. Et vice-versa.

 

En marchant vers l’hôtel on est passé devant un groupe de jeunes hommes, tous assez beaux. J’ai demandé à Cassandra si elle aimerait s’agenouiller au milieu d’eux pour tous les sucer, pour qu’elle soit le réceptacle de tant de sperme. Elle m’a répondu que d’elle-même non, ça ne l’attire pas plus que ça, mais si c’est un ordre, donc une domination, oui.

 

J’ai noté ça dans un coin de mon esprit…

 

Nous sommes arrivés à l’hôtel. Dans l’ascenseur, je lui ai retiré sa jupe et sa culotte. De la porte de l’ascenseur à cette de notre chambre, elle ne portait donc qu’un débardeur… Il fallait croiser les doigts pour ne croiser personne, et au diable les caméras!

 

Malheureusement (pour moi) mais heureusement (pour elle), les couloirs de l’étage étaient complètement déserts. J’ai même pris mon temps pour ouvrir la porte… Décevant… ;)

 

Dans la chambre, ça a été l’apothéose : amour, sexe, urine… la totale. Dans son cul, dans mon cul, autant des doigts que des langues et des jouets que nous avions apportés… Double pénétration : vaginale et anale, sexe et jouet en même temps dans la chatte, sexe et deux doigts en même temps dans son anus, etc.

 

Nous nous sommes fait monter une bouteille de vin et un plateau de fromage. Nous sommes tous les deux allés ouvrir la porte en sous-vêtement. Ça aurait été un homme qui nous aurait livré, je prévoyais de lui proposer de se faire branler ou sucer par Cassandra. Elle aurait aimé cet ordre, cette obligation, cette domination. Pas de chance, c’était une femme… Elle a un peu sourcillé en nous voyant quasiment nus, mais n’a pas fait de remarque.

 

Nous avons bu la bouteille, puis elle a servi de sextoy dans sa chatte toute dilatée par mes pilonnages, nos jouets et mes doigts… Le goulot dégoulinant de son jus était exquis…

 

Avant de dormir, pour le dernier « épisode » de la soirée, je l’ai attachée au lit, je lui ai bandé les yeux, et je lui ai fait toute sorte de choses : petites morsures, légères griffures, tirage de cheveux, tentative de lui forcer ses trous avec mon poing… De la domination légère, sans abus.

 

Lorsque je l’ai détachée, elle m’a fait m’allonger sur le dos et m’a sucé, une lente fellation, jusqu’à ce que je jouisse. Mon deuxième orgasme de la journée, cette fois dans sa bouche.

 

Nous nous sommes ensuite collés, et nous nous sommes endormis.

 

Le lendemain matin, donc le samedi matin, quand je me suis réveillé j’étais seul dans le lit. Je me suis levé, j’ai entendu qu’elle était dans la salle de bain, alors que je suis voir ce qu’elle faisait. Sans entrer, j’ai vu par la porte entrouverte qu’elle se faisait un lavement. J’ai souri, je suis entré dans la salle de bain sans dire un mot, j’ai pris ma brosse à dents pour me les laver, et c’est à ce moment-là qu’elle m’a vu, alors qu’elle venait de finir sa toilette anale.

 

Elle m’a souri, m’a demandé si j’avais bien dormi, etc. Une discussion normale de réveil. Elle est sortie de la douche, s’est approchée de moi, m’a embrassé, puis m’a dit qu’elle retournait un peu au lit.

 

J’ai fini ce que je faisais, je me suis rapidement lavé les zones intimes et évidemment je suis allé la rejoindre. Mais avant d’entrer dans la chambre, j’ai pris un verre avec moi…

 

Quand je l’ai rejointe dans le lit, après avoir posé le verre sur une table de chevet, le temps que je me colle à elle elle m’a dit, avec son habituelle façon de parler directe : « j’ai envie d’une sodomie pour démarrer la journée ». Quelques secondes plus tard j’étais sous les draps à lui lécher le sexe, puis l’anus… Elle s’est retournée pour se mettre plus ou moins à 4 pattes, m’offrant un accès facilité à son petit trou.

 

Je l’ai savouré, doigté, puis pénétrer avec ma queue que j’ai glissée auparavant dans sa chatte pour la lubrifier…

 

Dès que j’ai été au fond d’elle, elle n’a pas pu s’empêcher de me dire « plus fort ».

 

Je l’ai donc défoncé au réveil.

 

Après la sodomie, je me suis agenouillé dans le lit, j’ai pris le verre, et j’ai uriné dedans. La première urine du matin, la plus concentrée. Celle qui sent le plus fort… Lorsque je lui ai tendu le verre, elle a tout bu, sans dire un mot… Je sais très bien qu’elle n’a pas aimé le goût plus que ça, mais ça faisait parti du jeu… Une fois le verre fini, elle m’a sauté dessus et nous avons à nouveau baisé…

 

La journée a passé avec parties de jambes en l’air, piscine, amour, sauna, nourriture, boisson, etc.

 

Le soir venu, nous sommes retournés marcher dehors. Ce soir-là encore nous parlions de tout et de rien, commentions les corps excitants des gens que l’on croisait, etc.

 

De retour à l’hôtel, on a baisé, évidemment, et cette fois je l’ai attachée au lit. Et elle a eu droit à une surprise…

 

J’avais planifié la venue d’un ami de confiance. Pas pour faire profiter à Cassandra d’un plan à 3, non. Au contraire, elle n’allait pas participer du tout… Attachée solidement au lit par les poignets et les chevilles, elle ne pouvait pas bouger. J’ai fait entrer mon ami dans la chambre et, vous l’avez compris, j’ai baisé avec lui. On s’est donné beaucoup, beaucoup de plaisir… Fellations, sodomies, léchage de cul, doigtage anal, jouets… Tout ça sur le lit, tantôt à côté de Cassandra que j’avais bâillonnée, tantôt à quatre pattes au-dessus d’elle, sans nous préoccuper d’elle…

 

Bien sûr, mon objectif était que Cassandra voit ce qui se passe le plus possible, mais je ne faisais pas d’effort visible pour que ce soit le cas.

 

Le seul moment où j’ai fait participer Cassandra volontairement, c’est après que mon ami m’ait joui dans le cul. J’ai retiré le bâillon de ma belle partenaire et je me suis accroupi au-dessus de son visage, vidant mon cul dans sa bouche, déversement le sperme de mon petit trou à son orifice buccal. À la sentir forcer mon anus avec sa langue, il était évident qu’elle appréciait…

 

Pendant ce temps mon ami s’est rhabillé, puis une fois ma vidange anal effectué je l’ai raccompagné à la porte.

 

Lorsque je suis revenu dans la chambre, j’ai détaché Cassandra, et je me suis littéralement fait violer : elle a bondi du lit, a pris le gode ceinture, l’a lubrifié et me l’a enfoncé d’un coup dans le cul. Heureusement que je venais tout juste d’avoir droit à des longues sodomies!

 

Elle m’a complètement dominé, me sodomisant, s’asseyant sur mon visage, me suçant frénétiquement, me plantant les ongles dans mes fesses, etc.

 

Je ne peux pas dire combien de temps ça a duré, mais lorsqu’elle a cessé, son corps était en sueur… Et j’ai passé du temps à le lécher un peu partout, avant que l’on aille sous la douche pour finalement nous coucher pour dormir…

 

Le lendemain, dimanche, a été une journée similaire à celle du samedi : moments coquins, piscine, sauna, etc. Mais par contre, et c’est ce qui était prévu d’avance et à sa demande, la soirée a été violente. Pour elle.

 

Elle m’avait demandé dans nos échanges de courriels si je pouvais la violenter, lui faire mal. Vous le savez, ce n’est pas tellement mon genre, mais j’ai dit que j’allais faire un effort. Elle m’avait alors écrit une liste de choses qu’elle voudrait, et que je pouvais piocher dans toute cette liste sans hésiter.

 

Étant donné que certaines de ces choses allaient laisser des marques sur son corps, je lui avais demandé si elle était d’accord pour que je lui fasse tout ça le dernier soir. Ça aurait été gênant d’aller à la piscine de l’hôtel le corps abimé!

 

Après le souper au restaurant de l’hôtel, elle était fébrile. Elle savait ce qui l’attendait, sans vraiment savoir ce que j’allais faire quand même.

 

J’ai commencé en douceur… Comme la veille, je l’ai attachée au lit de façon à ce qu’elle ne puisse pas bouger. Je lui ai même attaché le bassin, pour qu’elle ne puisse pas se cambrer…

 

Une fois contenue, j’ai caressé son corps, par un massage de mes deux mains… Tout son corps, sans oublier ses zones intimes que j’ai massées, lentement, autant de l’extérieur que de l’intérieur…

 

Puis j’ai pincé ses tétons… Sans prévenir, d’un seul coup… Elle a poussé un petit cri de surprise et de douleur, tout en disant aussitôt « Encore ». Étant donné qu’elle était la soumise, je n’ai pas accédé à sa demande… J’ai continué à la masser… Puis j’ai serré son cou, jusqu’à l’amener au bord de l’asphyxie…

 

Lorsque mes doigts ont desserré l’étreinte, elle a repris son souffle en haletant, et j’ai continué à masser son corps…

 

Une fois sur ses cuisses, j’ai planté mes ongles dans chacune d’elle et je les ai griffées sur une dizaine de centimètres, assez profondément pour que du sang perle par endroit… Gouttes de sang que j’ai léchées..

 

Puisque j’étais rendu à lécher son corps, j’ai déplacé ma bouche vers son entrejambes qui étaient ouvertes, étant donné la façon dont j’avais attaché ses jambes… Puis sans prévenir, j’ai mordillé son clitoris…

 

Chacun de ces actes a fait gémir ou pousser un petit cri à Cassandra… Mais elle ne cessait de répéter « Encore »…

 

Je suis alors allé chercher dans mon sac un élément de ses fantasmes. Sans lui montrer de quoi il s’agissait, je me suis accroupi au-dessus de son visage. Pas pour qu’elle me lèche le cul, même si j’ai évidemment apprécié qu’elle le fasse, mais parce que je voulais cacher ce que j’allais faire…

 

Elle m’avait écrit dans ses courriels qu’elle souhaitait que je lui enfonce des aiguilles dans les tétons. J’ai donc acheté des aiguilles chirurgicales, et je lui ai enfoncé la première d’un seul coup dans un de ses tétons durcis…

 

Elle a émis un bruit, mais je ne sais pas lequel, mon cul fermant sa bouche…

 

Sans me préoccuper d’elle, j’ai enfoncé une deuxième aiguille, dans son second téton. Son corps a tressailli, mais elle n’a pas émis un seul son.

 

Je me suis alors décalé, libérant son visage, je me suis assis à côté d’elle, et tout en caressant sa chatte, je lui ai montré le résultat. C’est le regard pétillant qu’elle m’a demandé si j’en avais d’autres. Je lui ai montré, il m’en restait encore pas mal…

 

Je me suis placé entre ses jambes, ma queue en elle, et tout en faisant quelques mouvements de bassin je lui ai planté une autre aiguille dans chaque téton.

 

Elle a eu un orgasme, le premier depuis que la « torture » avait commencé…

 

On avait aussi convenu que je pourrais la prendre en photo avec l’appareil qu’elle allait amener. Je lui ai demandé où il était, et j’ai pris quelques clichés…

 

Pour prendre l’appareil photo, je me suis évidemment éloigné d’elle. Quand je suis revenu, j’ai desserré un peu les cordes qui tenaient son bassin, puis je me suis remis entre ses jambes, mais cette fois ma queue dans son cul. C’est rentré tout seul tellement son sexe juteux avait coulé et avait tout lubrifié…

 

Ma queue dans son cul, je me suis alors mis à la griffer sur le ventre, à tirer (doucement) sur les aiguilles qui étaient dans ses tétons, à serrer à nouveau son cou, et pour finir, en pilonnant son petit trou frénétiquement, je lui ai mordu l’épaule. Et pas qu’un peu… Mes dents enfoncées dans sa peau, mon sexe dans son anus, elle eu un nouvel orgasme…

 

Je nous ai alors offert une « pause ». Je me suis dégagé d’elle, je lui ai fait lécher ma queue qui avait le goût de ses intestins, j’ai pris quelques photos d’elle, y compris pendant qu’elle léchait ma bite, puis je l’ai détachée.

 

Sans lui enlever les aiguilles, je l’ai tirée par les cheveux pour l’emmener dans la salle de bain. Je l’ai fait s’asseoir dans la douche, je lui offert un golden shower. Je ne l’ai pas forcée à en boire, mais d’elle-même par moment elle ouvrait la bouche. J’ai visé ses tétons transpercés des aiguilles, et encore une fois, j’ai pris des photos de ce moment particulier.

 

Assise dans la douche, sa tête était exactement au niveau de mon sexe. Je n’ai pas pu m’empêcher de lui violer la gorge. J’ai tenté de la refaire vomir, mais elle n’avait pas assez mangé pour cela, ni assez bu. Dommage… J’ai compensé en l’étouffant mon gland dans son larynx et mes doigts serrant son cou…

 

Lorsque je l’ai libérée, elle suffoquait, toussait… Sans lui laisser le temps de se remettre, je l’ai faite se redresser en la tirait (doucement) par les aiguilles, je l’ai retournée et plaquée contre le mur j’ai investi son corps, parfois sa chatte, parfois son cul, alternant consciencieusement.

 

Elle a joui plusieurs fois, entre mes coups de bassin, les griffures qui commençaient à parsemer son corps, et les morsures… Je ne l’aurais pas retenue, elle se serait écrouler à plusieurs reprises…

 

Mais malgré cela, elle continuait à répéter : « Encore »…

 

Je nous ai douchés, puis je l’ai emmenée dans le salon, lumières éteintes. Je lui ai dit de se mettre debout devant la fenêtre et de se caresser, avec ses doigts ou avec les jouets que j’avais déposés à côté d’elle.

 

Et régulièrement, j’allumais la lumière quelques secondes, la rendant parfaitement visible des immeubles voisins…

 

Dans le salon, même sans lumière je voyais assez bien ce qu’elle faisait, et je dois dire que le spectacle valait le coup d’œil… Ce qui m’a rappelé que j’avais son appareil photo… J’ai donc pris quelques photos dans le noir avec le flash, mais il y avait toujours un peu de flou, alors finalement lorsque j’allumais la lumière, j’en profitais pour immortaliser le moment. Parfois elle avait un jouet en elle, parfois deux, parfois en haut, parfois en bas…

 

Au moment où elle allait jouir, je me suis précipité vers elle et je lui ai asséné une grande gifle. Ça a claqué fort… Elle est alors tombée à quatre pattes, et sans perdre un instant je l’ai prise en levrette, lui procurant l’orgasme que je venais de lui « voler »…

 

On est resté dans le salon, mais je suis allé chercher une bouteille de lubrifiant… Jamais je n’avais pensé être capable de frapper une partenaire, de lui planter des aiguilles dans les tétons… Mais là j’allais tenter d’aller encore plus loin, un acte qu’elle m’a dit être le sujet de plusieurs séances de masturbation en l’imaginant…

 

J’ai recouvert ma main de lubrifiant, j’ai fait s’allonger Cassandra sur le côté sur le divan, et j’ai commencé à glisser mes doigts dans son cul… Directement trois, puis quatre… puis j’ai forcé pour cinq… Je n’ai pas procédé en trente seconde, ça a pris du temps, beaucoup de temps… Mais la finalité de cette acte n’était pas de faire entrer tout mon poing dans son cul… Ce qu’elle voulait, c’était que je lui déchire le cul. Littéralement. Elle voulait que son anus se déchire et saigne.

 

Et j’ai compris que j’avais réussi quand, alors qu'une bonne partie de mon poing entrait en elle, elle a mordu le divan pour ne pas crier… Lorsque j’ai retiré ma main, j’ai effectivement vu une déchirure autour de son sphincter anal. J’ai pris une photo, puis comme elle le souhaitait, j’ai léché lentement son anus, insistant sur la peau ouverte… Avant de lui glisser ma queue dedans et de la défoncer sans tenir compte de ce qui venait de se passer ni de sa douleur…

 

Ça a été un peu plus long que ce à quoi je m’attendais, mais elle a encore joui…

 

Quand je me suis retiré d’elle, elle était affalée, épuisée, en sueur, en douleur. Je l’ai prise en photo sous toutes les coutures, puis je me suis dit que j’avais accompli ma « mission », qu’il était inutile d’en faire plus.

 

Avec des gestes quasiment amoureux, je lui ai retiré les aiguilles, puis on est allé au lit, directement au lit. Allongés dans mes bras, son corps tremblait. Je lui ai demandé si je suis allé trop loin, mais elle m’a dit que non, que ça avait été parfait, à un détail près. Je lui ai demandé lequel. Elle m’a répondu : « une des choses que j’ai dit que j’aimerais vivre, c’est un baiser après m’avoir mordu les lèvres, pour que du sang s’en mêle. J’en ai vraiment, très, très envie ».

 

Si je n’avais pas fait ce baiser, c’est parce que je n’avais aucune idée d’à quel point mordre… Mais elle y tenait, alors je l’ai fait. Elle était allongée sur moi, on s’embrassait… Je n’avais pas joui de la soirée, ma queue n’a donc pas tardé à se dresser. Elle s’est déplacée un peu pour la prendre en elle, dans son sexe, puis je lui ai mordu une lèvre à en faire gicler le sang…

 

Je dois dire que ce baiser sanglant a été très, très agréable… Un mélange de langue, de salive, de liquide au goût métallique… C’était parfait…

 

Quand nos lèvres se sont séparées, elle m’a demandé : « As-tu envie de jouir sur mes abdos, comme tu avais fait? » Quelques instants plus tard, elle était allongée sur le dos, moi assis sur le haut de ses cuisses, et elle me masturbait, jusqu’à ce que je jouisse dans le sillon de ses abdos… Elle faisait exprès de relever la tête pour les contracter, que le sillon soit encore plus visible…

 

Alors que j’allais la nettoyer avec ma langue, elle m’a dit : « Laisse sécher, j’ai envie de le garder sur moi pour demain… ». On a poussé les draps pour être sûr que ça ne l’essuierait pas, et elle s’est endormie sur le dos, mon sperme séchant tranquillement…

 

Au réveil le lundi matin, elle ne s’est pas douchée pour garder ce qui restait de ma semence sur son ventre. On a fait l’amour, vraiment l’amour, tendrement, dans son sexe, les yeux dans les yeux. J’ai joui en elle tout simplement, dans un orgasme commun.

 

 

Elle avait plein de traces de morsures et griffures sur le corps, mais toutes dissimulables par les habits. En revanche son anus lui faisait mal, et ça pouvait se voir dans sa démarche, en quittant l’hôtel…

Par Etienne - Publié dans : Cassandra
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Mercredi 11 août 3 11 /08 /Août 17:20

Avec Cassandra, l’athlétique maigrichonne à la peau noire, nous avions échangé notre courriel, lors de notre rencontre au 5 à 7 qui s'était transformé en 9 et 11. 

 

Cette soirée s'est passée il y a déjà quelques mois, elle n'est pas récente, mais je ne l'avais pas encore raconté. Nous nous sommes revus depuis, mais j'avais envie de raconter cette fois-là avant d'en raconter des plus récentes...


Elle m'a réécrit récemment, en disant qu'elle n'avait pas eu d'autres rapports sexuels depuis notre première rencontre, et qu'elle était "due" pour remettre ça... Elle m'a demandé si j'étais disponible pour une nuit complète de samedi à dimanche. Malheureusement non : ma chérie passait la nuit avec l'un des rares clients qu'elle a conservé de l'époque de prostitution, et du coup j'en profitais pour passer une soirée et une nuit en amoureux avec notre amante, en tête à tête. Comme Cassandra ne voulait pas remettre à plus tard, on a convenu de passer une nuit ensemble dans la semaine, ce que nous avons fait.

Quand je suis arrivé chez elle, il était encore tôt, à peine 18h. J'ai sonné à l'interphone, elle a débloqué la porte, puis je suis monté jusqu'à son étage. J'ai cogné à la porte, et elle a aussitôt ouvert. 
Elle avait un grand sourire, les yeux pétillant de plaisir et de malice, et elle ne portait quasiment aucun vêtement... Lors de notre soirée j'avais dit que j'aimais beaucoup voir les femmes en bikini, que c'était ma tenue préférée, que je trouve cela plus sexy et excitant que nue, et c'est comme ça qu'elle m'a ouvert : en bikini noir, sur sa peau noire...

Et elle était sublime. Évidemment, n'ayant pas de poitrine le haut était beau et agréable à regarder mais sans plus, mais le bas... quel cul... quelles cuisses incroyables... Ça se voyait qu'elle était contente du plaisir que je prenais à la regarder, de la surprise de la voir ainsi...

On ne s'est pas embrassé, ni la bise, ni sur la bouche, mais en passant à côté d'elle j'ai passé ma main sur son ventre... j'ai adoré sentir du bout des doigts le sillon entre ses abdos... Il était évident pour moi qu'au cours de la soirée je jouirai à cet endroit, si elle l'acceptais. Et je ne vois pas pourquoi elle dirait non : elle m'a fait jouir sur son visage la dernière fois, sous la douche... J'imagine donc que ce n'est pas quelque chose qui la dégoute...

J'ai posé mon sac à dos parterre, et aussitôt j'ai dit : "j'égalise la situation", et je me suis déshabillé, pour ne rester qu'en boxer. Une fois dans cette tenue, j'étais en érection... elle a souri et a caressé mon bâton au travers du tissu, et son regard criait "je le veux". Mais nous n'avons rien fait à ce moment-là... juste des caresses presque innocentes...

Elle m’a ensuite proposé quelque chose à boire, tout en m’emmenant vers son salon. Je précise que son salon est ouvert sur la cuisine. Donc assis sur le canapé, je la regardais marcher de dos vers le frigo, en me disant dans ma tête : « quel cul incroyable »…

 

Nous parlions de tout et de rien, jusqu’à ce qu’elle vienne s’asseoir. Elle s’est assise à côté de moi, une jambe pliée sous ses fesses, tournée vers moi. On a trinqué, on a chacun bu une gorgée, puis il y a eu un petit silence.

 

Pour le briser je lui ai demandé en souriant : « si tu n’as pas eu de partenaire depuis moi, est-ce que tu as compensé en te masturbant? ». Toujours direct, quand je sais que la personne aime un tel langage.

 

Elle m’a répondu que oui, presque tous les jours, et qu’elle a essayé à quelques reprises de glisser un de ses jouets dans son anus au lieu de son sexe, mais qu’elle n’a pas aimé plus que ça… Je lui ai dit que ce soir le problème ne se présentera pas : elle aura droit à mon sexe bien dur autant de fois qu’elle en aura envie là où elle en aura envie.

 

Elle a ri en disant : « j’espère bien, sinon j’aurais préparé un super souper pour rien! ».

 

On a continué à discuter sur ce ton, léger, humoristique.

 

Elle m’a aussi dit qu’elle s’était achetée une poire pour lavement anal. Elle avait remarqué qu’elle n’était pas très propre lors de notre première fois… Et toujours avec son langage direct, elle a dit que voir toute « cette merde » sortir mélangée à de l’eau pour en faire une « purée », c’est « très dégueulasse »! Elle a bien insisté sur le fait que ce soir elle est probablement brillante de l’intérieur tellement elle est propre! Je lui ai dit qu’au cas où elle aurait envie de venir jouer en moi, de mon côté aussi j’ai pris les mesures nécessaires.

 

On a continué à parler sexe. De nos expériences passées, de nos envies, etc. Je ne lui ai pas dit que je vis avec deux femmes, mais je lui ai dit qu’on a souvent une amie à la maison pour agrémenter les plaisirs. Je ne voulais pas lui demander si elle avait déjà essayé avec une femme, pour ne pas qu’elle pense que je voulais l’attirer chez nous, mais elle a elle-même abordé le sujet en disant qu’elle n’a jamais essayé avec une femme, et que si l’idée ne la repousse pas elle ne peut pas dire non plus que c’est un fantasme.

 

Toujours en discutant, elle s’est levée pour aller dans la cuisine pour préparer les dernières choses pour le souper. Je l’ai suivie pour lui proposer mon aide, mais elle m’a dit qu’elle gérait très bien la situation.

 

Elle était en train de prendre un couteau pour couper des légumes. Je me suis alors placé derrière elle, j’ai posé mes mains sur ses hanches, et j’ai collé mon sexe en érection contre ses fesses, au travers de son bikini et de mon caleçon. Je lui ai demandé si elle gérait « assez bien la situation pour pouvoir être dérangée en même temps ». Elle m’a répondu en prenant un air humoristiquement supérieur que si je croyais que j’étais capable de la déconcentrer avec mon sexe je me trompais lourdement.

 

Je me suis reculé, sans dire un mot, et 30 secondes plus tard j’étais à nouveau derrière elle, mon boxer baissé, un préservatif sur mon sexe, et je décalais son bas de maillot pour libérer l’accès à son sexe. Sexe qui était complètement trempé, soit dit au passage…

 

30 autres secondes plus tard mon ventre cognait doucement contre ses fesses, mon sexe dans le sien.

 

30 autres secondes plus tard mon ventre cognait contre ses fesses, mon sexe dans son anus.

 

Elle a alors arrêté ce qu’elle faisait… Il faut dire que couper des légumes en se faisait sodomiser sans retenue, c’est un peu risqué!

 

Mais dès qu’elle a posé le couteau je me suis retiré, en disant : « Défi réussi pour moi, j’arrête là! », un grand sourire innocent sur le visage.

 

Elle s’est tournée vers moi, m’a répondu « j’ai tout ce qu’il faut pour continuer sans toi » en prenant le premier truc qui lui est tombé sous la main et en se l’enfonçant dans l’anus. On a tous les deux explosé de rire : ce n’est pas avec le manche d’une cuillère en bas qu’elle allait avoir beaucoup de sensation!

 

Je me suis rapproché d’elle à nouveau, face à elle cette fois-ci. Elle a passé ses bras autour de mon cou, je l’ai soulevée en mettant mes deux mains sous ses fesses (elle est tellement légère!), elle a entourée ses jambes autour de ma taille et je l’ai lentement pénétrée, encore dans l’anus, ne sachant pas si elle serait d’accord pour qu’un même préservatif passe de son petit trou à son exquise chatte.

 

Nous avons fait l’amour ainsi, dans la cuisine, lentement, quelques minutes, les yeux dans les yeux, mais sans échanger un seul baiser…

 

Lorsque je l’ai redéposée sur le sol, j’ai caressé ses fesses d’une main, glissé un doigt dans son anus dilaté, avant le porter à ma bouche pour le sentir et le lécher…

 

Elle a continué à préparer ce qu’elle avait commencé, tout en me parlant, après avoir repris son souffle et avoir dit « et bien, ça fait du bien! ». Et pendant ce temps-là, pour la déconcentrer encore un peu je me suis assis de façon bien visible face à elle, et je me suis mis à me masturber lentement, après avoir enlevé le préservatif, bien sûr.

 

Quand elle a terminé le plat qu’elle préparait, elle s’est approchée, s’est agenouillée devant moi et a pris mon sexe en bouche, en remplacement de ma masturbation. Je lisais dans son regard rieur qu’elle allait faire une niaiserie… Et en effet, peu après elle m’a montré un de ses doigts, couvert de margarine avant de le faire disparaitre entre mes jambes… j’ai senti le froid du lubrifiant improvisé contre mon anus… et son doigt entrer en moi, mon gland au fond de sa gorge…

 

Je ne vous raconterai pas toute la soirée/nuit, ce serait répétitif. En gros, nous avons alterné entre discussion, sodomie, fellation, cuni, anulingus, doigtage, etc., la grande majorité des pénétrations ayant été des sodomies…

 

Il y a deux moments que j’ai envie de décrire plus en détails.

 

Le premier moment, qui en regroupe deux : j’ai à plusieurs reprises fait l’amour/baisé une femme debout alors qu’elle était face au mur, appuyée dessus, moi derrière elle. J’ai aussi à maintes reprises fait l’amour/baisé une femme que je tenais dans mes bras, comme ce que j’ai décrit tout à l’heure dans la cuisine. Mais je n’avais jamais fait l’amour/baisé avec une femme que je portais dans mes bras, mais dos à moi, et non face à moi. C’est pourtant ce que j’ai fait, cette soirée. Ça a commencé alors qu’elle était assise sur moi, moi-même assis sur le divan. Elle était assise sur mon sexe, qui était dans son adorable cul, ses jambes entre les miennes. J’étais donc à moitié avachi sur le divan, jambes écartées, et elle assise sur mon bas ventre, comme si j’étais une chaise, ma queue au fond de son cul. Au bout d’un certain temps je me suis relevé, portant ma partenaire, mes mains derrière ses genoux. C’est comme si elle était encore assise, sauf qu’elle ne tenait que parce que je la maintenais contre moi, son dos contre mon torse, les jambes pliées me permettant de demeurer dans son p’tit cul. Comme elle me disait « plus fort, plus fort », mais que je n’avais pas de moyen d’augmenter le rythme, je l’ai plaquée contre le mur, la maintenant en tirant ses cuisses en arrière, vers moi, pour que le haut de son corps soit plaqué contre le mur, l’empêchant de tomber, et je lui ai pilonné le cul. Mais c’était assez épuisant comme position. J’ai remis mes mains sous ses genoux pour me déplacer vers le divan, et arrivé proche de lui je suis tombé en arrière.  Je suis tombé le cul sur le divan, elle dans mes bras. Mais nous n’avons pas été « séparés » dans la chute. Au contraire, elle est tombée sur ma bite qui était encore bien en elle : elle a poussé un cri que je croyais de douleur, mais qui en fait était un cri de surprise et de peur, qui a aussitôt suivi d’un « encore! ».  Elle avait adoré la violence et la profondeur de la pénétration…

 

Le second moment : l’éjaculation sur ses abdos… J’ai écrit au tout début de ce texte que je comptais éjaculer dans le sillon des abdos de ma partenaire. C’est ce que j’ai fait lors de la première éjaculation de la soirée (la plus abondante…). J’étais assis sur son visage, sa langue caressant mon anus, mes doigts jouant sur son clitoris, une de ses mains caressant ma queue. Caressant, et faisant jouir… mon sperme s’est étalé sur son ventre, puis a coulé dans le sillon de ses abdos… c’était terriblement sexy, selon moi… Et je n’ai pas pu me retenir de passer ma langue dedans, sous le regard excité de ma partenaire… J’ai tout récupéré dans ma bouche avant d’aller partager un baiser juteux…

 

Je ne saurais pas vous dire combien de fois on a baisé dans la nuit. Par contre je peux vous dire que l’on n’a pas beaucoup dormi. 

 

Ce que je peux dire aussi c'est que nous avons convenu de nous faire tester tous les deux afin que la prochaine fois nous n'ayons pas besoin de préservatif. Il semblerait qu'elle ait très envie de connaître la sensation d'une éjaculation dans les fesses...

 

Par Etienne - Publié dans : Cassandra
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