Lactation

Vendredi 24 février 5 24 /02 /Fév 15:59

Sara, la sublime jeune mère dont je m’abreuvais de lait jusqu’à récemment, m’a proposé de rencontrer une de ces amies qui a récemment accouché et qui est célibataire. La garde du bébé est partagée, donc plusieurs jours par semaine elle est seule, les seins gonflés de lait… Elle ne fantasme pas particulièrement sur offrir son lait à un homme, même si elle est curieuse d’essayer, c’est surtout qu’elle est en manque de sexe.


Selon ce que j’ai compris, avant d’être avec le père de son enfant elle n’avait jamais eu de relation sérieuse, elle enchaînait les hommes car elle adorait séduire et baiser. Lorsqu’elle a rencontré le père de son fils, le début de la relation a été difficile car elle continuait à séduire et coucher avec des hommes, tout en étant “officiellement” avec son copain. Finalement elle s’est assagie, et après plus de dix ans ensemble ils ont décidé d’avoir un enfant. Et pendant la grossesse, ils se sont séparés…


Ils sont restés en bon terme, la garde du bébé se passe bien, mais, selon Sara, depuis quelques semaines elle lui dit que le sexe lui manque mais qu’elle ne sent pas capable d’aller draguer et baiser n’importe qui en tant que mère.


Sara lui a alors parlé de moi, elle lui a avoué qu’elle trompait son conjoint depuis plusieurs mois, et a expliqué comment elle en est arrivée à la situation actuelle : une envie initiale d’allaiter un homme, envie qui a “dégénéré” en une relation encore plus intime. Elle a aussi évidemment mentionné que son conjoint baise à l’occasion avec ma chérie (elle n’a pas parlé du fait que j’en ai deux), mais qu’il ne sait pas qu’elle le sait.


Tout ça pour dire que Sara a proposé à son amie de me parler d’elle, et de nous organiser une rencontre si nous étions tous les deux d’accord. Elle lui a dit que si nous nous convenions, ce serait une bonne solution pour assouvir ses envies/besoins de sexe sans avoir à courroyer auprès d’inconnus. Non, il n’y aurait pas nécessairement de jeu de séduction, mais au moins il y aurait du sexe sécuritaire. Son amie a dit oui.


De mon côté, j’ai d’abord dit non, ce qui a surpris autant Sara que mes chéries quand je leur en ai parlé. J’ai expliqué que je trouvais que je commençais à avoir trop de partenaires réguliers (Sara, Ludivine, Cassandra, Crystal, mon boss et sa conjointe) sans parler des partenaires occasionnels (ma belle-mère, notamment), et qu’à trop en avoir, j’avais peur de ne plus satisfaire les deux plus importantes à mon coeur : mes chéries.


Elles m’ont assuré qu’elles n’avaient pour le moment aucune raison de se plaindre, et que je devrais pas dire non à une femme qui me permettrait de savoureux son nectar lacté. Alors que voulez-vous, si mes propres chéries me poussent dans les bras d’une autre femme, je n’ai pas le choix de dire oui! 🙂


Le plus drôle, c’est que rendu là, je n’avais encore aucune idée du physique de la personne en question, je n’avais tout simplement pas pensé à poser de questions à ce sujet! Lorsque j’ai enfin demandé une description de cette amie à Sara, elle m’a répondu que c’est une femme de la même taille qu’elle, avec un joli corps mais aux courbes différentes des siennes, et avec un certain nombre de tatouages, cheveux mi-long bruns, yeux marrons. Je n’ai rien eu de plus comme information.


Peu de temps après l’annonce de ma décision, Sara m’a appelé pour me dire que son amie souhaitait profiter de notre première fois pour réaliser un fantasme. En fait, elle avait deux fantasmes : baiser avec un mec en ayant les yeux bandés, pour ne pas avoir la moindre idée de à quoi ressemblerait son partenaire, et baiser avec un partenaire qui aurait les yeux bandés, et non elle. Les deux fantasmes étaient réalisables car Sara n’a ni montré une photo de moi à son amie ni une photo de son amie à moi, mais elle ne savait pas lequel choisir. C’est Sara qui lui a proposé une solution : nous aurons tous les yeux bandés…


Et c’est ce qui s’est passé. Le jour J, Sara a servi d’entremetteuse. Je me suis présenté chez son amie, et avant même de passer la porte, Sara m’a bandé les yeux. Elle m’a ensuite guidé jusqu’à la chambre où était son amie, qui avait aussi les yeux bandés, puis elle nous a laissés seuls, non sans m’embrasser avec passion avant de partir... 


Quelques règles ou détails avaient été définis au préalable. Il avait été convenu que Sara m’introduirait chez son amie les yeux bandés, qu’elle nous approcherait l’un de l’autre en guidant nos mains pour qu’elles se trouvent, puis quitterait l’appartement. Quand nous aurions fini notre séance de plaisir, son amie me guiderait jusqu’à la porte de son appartement, tous les deux les yeux bandés, et aucun de nous n’enlèverait notre bandeau avant que la porte soit refermée. Sexuellement parlant, il a été convenu que ce serait sans préservatif, et que toutes les zones de nos corps où un sexe ou des doigts peuvent entrer seraient mises à contribution (quand Sara lui a dit que j’aimais que l’on joue en moi, son amie aurait répondu avec un grand sourire : “Intéressant”). Il a aussi été convenu que je pourrais jouir n’importe où, que ce soit en elle ou sur elle, que les pénétrations pourraient se faire dans n’importe quel ordre (elle n’aurait aucun dégoût un lécher un sexe qui est passé en elle, quel que soit la partie de son corps; et l’inverse est vrai : elle pourrait glisser des doigts en moi et me les faire lécher ensuite). Et je pourrais boire à ses seins autant que je voudrais, même si à ses yeux ce n’est pas le but premier de notre rencontre. Et la dernière consigne : nous n’étions pas là pour parler, mais pour baiser. Alors le moins de bla bla possible…


Sara nous a donc laissé alors que nous nous tenions par la main, dans le noir. Nous étions tous les deux gênés. C’est un peu spécial, complètement à l’aveugle… On riait de malaise. Finalement, j’ai levé ma main libre pour la poser quelque part sur son corps. Elle était debout, devant moi, et c’est son ventre que ma main a touché. Son ventre au travers de son linge, car nous n’étions pas nus. Elle ne semblait pas avoir le ventre ferme et plat de Clarisse ou de Cassandra, mais je ne pouvais non plus dire qu’elle avait du ventre. 


J’ai déplacé ma main libre vers sa hanche, puis j’ai lâché sa main pour poser ma seconde sur sa hanche aussi. Je me suis retenu de les remonter directement sur ses seins, pourtant je mourrais d’envie de les toucher, de les évaluer… Je suis remonté le long de son corps en évitant ses seins, donc en passant par ses bras et ses épaules, jusqu’à son cou… J’ai fini avec une main de chaque côté de son visage… 


De son côté, elle n’avait pas perdu beaucoup de temps non plus : ses deux mains s’étaient glissées sous mon t-shirt, directement sur ma peau… Elle me caressait le ventre, le torse, le dos… 


Mes deux mains encadrant son visage, je lui ai murmuré de ne pas être surprise, de ne pas avoir peur, que j’allais l’embrasser. Sans nous voir, j’ai donc approché mon visage du sien, et le guidant de mes mains, il n’a pas été trop difficile d’entrer en contact avec ses lèvres…


Pendant le long baiser qui a suivi, elle a été la plus entreprenante de nous deux : mon pantalon a vite été déboutonné, et ses mains ont plongé dans mon caleçon pour jouer avec mon sexe qui était dur comme du béton… La situation était très, très excitante… Et le fait qu’elle cesse le baiser pour s’agenouiller devant moi et embrasser mon sexe et mes couilles n’a pas contribuer à diminuer l’excitation vécue…


Pendant cette première fellation, j’ai compris deux choses : qu’elle faisait toujours attention à ce que mon sexe n’aille pas trop loin en elle, donc j’ai compris qu’elle n’aimait pas les gorges profondes, et au bruit  que j’entendais j’ai compris qu’elle se déshabillait en même temps. Alors moi aussi, j’ai retiré ce que je portais en haut…


Quand elle s’est relevée, je l’ai faite tourner sur elle-même, collant mon sexe en érection contre ses fesses, fesses qui étaient complètement nues… j’ai placé mes mains sur ses hanches, je les ai déplacées sur son ventre, puis cette fois sans hésitation je les ai remontées pour saisir ses seins… Très agréable surprise… Ils étaient massifs, fermes, et j’estimais que si elle le désirait, c’est sans problème qu’elle pourrait me faire vivre une belle branlette espagnole… 


Pendant que je lui caressais les seins, je sentais déjà du lait couler… Je me suis retenu de ne pas commencer à le boire aussitôt… De son côté, elle se trémoussait, tentait de passer une main entre mon corps et ses fesses pour saisir ma queue… 


Lorsque j’ai cessé de me coller à ses fesses, lui permettant de saisir ma queue à pleine main, elle s’est retournée, et tout en m’embrassant m’a fait reculer un peu… J’ai senti le haut de mes cuisses taper contre quelque chose de souple, son matelas… Comprenant où elle voulait en venir, je suis monté sur le lit, et je me suis allongé sur le dos… Elle a suivi mon mouvement sans que nos lèvres ne se décollent…


Une fois tous les deux bien sur le lit, elle a fait aussitôt demi-tour… Précautionneusement elle a placé un genoux de chaque côté de mon visage, et s’est penchée en avant pour embrasser ma tige… J’ai posé mes mains sur ses deux fesses, et j’ai levé un peu la tête, attiré par l’odeur de son sexe. Sexe qui était complètement trempé avant même que je n’y passe ma langue… La situation en double aveugle semblait l’exciter tout autant que moi…


Comme la plupart des chattes que j’ai léchées, elle était absolument délicieuse… Elle mouillait énormément, un vrai plaisir… J’en avais plein le menton, les lèvres, le nez… Je me régalais, mes mains toujours sur son cul…


De son côté, d’une main elle tenait ma queue dressée, sa bouche la parcourant de haut en bas par l’extérieur, et faisait entrer mon gland et une petite partie de mon membre dans sa cavité buccale pour des fellations. Elle n’hésitait pas à plonger son nez entre mes jambes pour lécher mes couilles, mon anus étant caressé par sa respiration…


J’ai évidemment accompagné ma langue avec ma doigts dans son sexe juteux… Un premier, un second, un troisième… Pour faciliter l'accès, j'ai fini par consacrer ma bouche à sa chatte, et mes doigts lubrifiés à son anus, ne résistant pas à l’envie de passer à l’occasion des petits coups de langue sur son trou dilaté…


C’est lorsque j’ai entamé des va-et-vient avec trois doigts en elle que ses gémissements ont commencé… Elle a cessé de jouer avec sa bouche sur mon sexe, le tenant simplement fermement dans sa main, et a posé sa tête sur une de mes cuisses… J’ai compris qu’elle savourait le moment… 


Pour me permettre de meilleurs mouvements, j’ai délaissé un peu son petit trou, et j’ai repris les mêmes mouvements dans son sexe, en augmentant la cadence… Ce qui me rendait fou, c’est que je sentais des gouttes couler le long de mon avant-bras… Elle mouillait énormément… Et elle a joui… Tout son corps s’est mis à trembler, puis elle s’est laissée tomber sur le côté, roulant sur le dos sur le lit… 


Je n’ai pas perdu de temps… à mon tour, j’ai réalisé un 180°, et en trouvant ses jambes à taton, j’ai embrassé ses genoux, remontant le long de son corps… Ses cuisses… L’intérieur chaud de ses cuisses… son sexe trempé… J’ai confirmé en continuant à remonter qu’elle n’avait pas le moindre poil sur le pubis… son ventre… ses seins, où je ne me suis pas attardé même si j’avais envie d’y boire, surtout que sur son ventre j’ai goûté au lait légèrement séché qui avait coulé lorsque je lui ai sensuellement massé la poitrine… son cou… Et enfin sa bouche… Et au moment où j’ai commencé à l’embrasser sur la bouche, j’étais allongé sur elle, faisant entrer mon sexe là où mes doigts étaient présents quelques instants plus tôt… 


Elle a passé ses bras autour de mon cou, et sensuellement, langue contre langue, nous avons fait l’amour, jusqu’à ce qu’elle jouisse à nouveau…


Lorsque les tremblements de son corps ont disparu, elle nous a fait rouler : je me suis retrouvé allongé sur le dos, elle sur moi. Mais cette fois, pas de 69, elle est restée dans le même sens que moi. Elle a pris mon sexe dans sa main alors qu’elle était accroupie au-dessus de mon corps, le buste en avant (ses seins me frôlaient le visage dans le noir…), puis s’est lentement empalée sur moi. Dès le début de sa descente sur ma queue, j’ai senti que c’est son anus qu’elle cherchait à faire pénétrer… Quel délice… J’aurais adoré voir son visage pendant que mon gland forçait doucement l’entrée… 


Après quelques va-et-vient où je l’ai laissée guider, je me suis enfin attelé à la tâche que j’attendais depuis le début : la traire de ma bouche… 


Je dois avouer que son lait était abondant, chaud, visqueux à souhait, mais il n’était pas aussi bon que celui de Sara. Probablement une alimentation différente ou bien une question de génétique, je n’y connais rien… Mais l’action de la boire était très, très excitante…


Par moment elle se redressait, s’asseyant carrément sur mon bas-ventre/le haut de mes cuisses. Dans cette position, mon gland était au plus profond possible de ses intestins… Puis elle reprenait les va-et-vient, ne tardant pas à se repencher au-dessus de moi, ses seins venant cogner mon visage, ma bouche accueillant ses tétons pour une nouvelle dose de lait…


Après un certain temps, je l’ai faite se dissocier de mon sexe, puis d’une pression insistante de mes mains sur ses fesses elle a compris que je voulais qu’elle remonte le long de mon corps… Je n’ai diminué la pression sur son cul que lorsque son petit trou dilaté s’est retrouvé à la portée de ma langue, et que j’ai pu la lui enfoncer dedans, me régalant de son intérieur… 


Après m’être rassasié, au lieu de continuer à la faire monter le long de mon corps, je me suis glissé vers le bas, ce qui a été rapide : je n’avais que ma tête sous elle. Je me suis retourné, je l’ai tirée un peu arrière par les hanches pour qu’elle se retrouve à quatre pattes, et j’ai glissé mon sexe là où il a bien voulu entrer facilement. C’était dans son cul. 


La tenant toujours par les hanches, nous sommes montés d’un cran dans la vigueur : je la défonçait, alternant entre son cul et sa chatte. Elle gémissait, elle jouissait… Elle a plusieurs orgasmes, je ne sais pas combien exactement.


À un certain moment j’ai senti qu’elle étirait son corps vers la gauche, et j’ai compris pourquoi lorsque j’ai senti qu’elle posait sur une de mes mains qui tenait ses hanches un objet. Ça ne m’a pas pris un quart de seconde à comprendre qu’il s’agissait d’un sex toy. J’ai souri dans le noir, j’ai léché le jouet, sucer voracement en fait, et pendant que mon sexe était dans le sien, j’ai lentement glissé le jouet dans son trou libre. 


Nous avons alors alterné les positions, offrant une variation intéressante de plaisir. Parfois le jouet dans le cul, ma queue dans sa chatte, parfois le jouet dans sa chatte, ma queue dans son cul, et elle a eu droit à la double vaginale, qui s’est terminée sur un nième orgasme, le dernier de cette série… 


Nous étions tous les deux en sueur sur le lit après cet intense round. 


Alors qu’elle était allongée sur le dos, je suis venu m’accroupir au-dessus de sa poitrine. J’ai cherché, trouvé, et pris une de ses mains dans la mienne, lui plaçant le jouet visqueux de son jus dedans. Puis j’ai guidé l'extrémité du jouet vers mon propre anus… 


Quand elle a compris ce que je voulais qu’elle fasse, elle a murmuré un “oh mon dieu”... Mais au lieu de pousser doucement comme je l’espérais, elle s’est dégagée de moi… J’ai cru que je l’avais choqué, mais non : elle m’a demandé de me mettre à quatre pattes, les fesses bien relevées, puis elle s’est mise à me lécher l’anus. C’était très, très plaisant… 


Aux bruits que j’entendais, il était évident que cet acte lui plaisait : j’entendais le son du jouet entrant et sortant de sa chatte trempée… 


Après avoir joué avec sa langue, ce sont ces doigts qui ont pris la place : un premier, puis un second. Doigts que je l’entendais lécher chaque fois qu’elle les sortait de moi…


Puis ça a enfin été au tour du jouet… Une grosseur adéquate, une longueur parfaite, j’ai eu beaucoup de plaisir à le sentir investir mon corps… 


Au début elle s’amusait à le sortir souvent, passant ensuite sa langue sur mon trou dilaté, mais après un certain temps elle s’est allongée sur le dos, passant sa tête entre mes jambes de façon à être juste où il fallait pour prendre ma queue en bouche sans la gêner dans les mouvements de va-et-vient qu’elle imposait au jouet avec ses mains. Mouvements qui ont pris de la vigueur jusqu’à ce que je puisse dire qu’à mon tour, je me faisais défoncer…


J’aurais bien enfoncé ma queue loin dans sa gorge, mais j’avais compris assez tôt qu’elle ne semblait pas apprécier cette pratique. Alors je me suis retenu, juste mon gland dans sa bouche que sa langue caressait à un bon rythme. Et je n’ai pas tenu plus longtemps, je me suis vidé…


J’ai joui dans sa bouche, sans l’avertir même si je suis sûr qu’elle se doutait que ça s’en venait… Elle a aussitôt ralenti le rythme pour s’appliquer à me sucer plus précautionneusement, appuyant fort sur ma tige avec ses lèvres mais surtout avec ses mains, abandonnant le jouet, pour me vider… 


Elle a semblé surprise que je vienne l’embrasser juste après mon éjaculation, surprise, mais pas déçue : le baiser a été long et passionné…


Et elle a semblé encore plus surprise quand mon sexe est à nouveau entré en elle, pendant le baiser. Elle a arrêté de m’embrasser une seconde au moment où elle m’a senti entrer en elle, pour m’embrasser à nouveau encore plus voracement dès que j’étais bien à ma place…


Nous avons baisé dans de multiples positions, mais sans réutiliser le jouet. Elle a joui plusieurs fois, et j’ai fini par jouir en elle, dans son sexe. Une petite éjaculation, mais encore une fois je l’ai surprise, cette fois-ci en allant la lécher après… 


Pour finir, elle m’a demandé si avant de partir ça me tentait de boire à ses seins. Évidemment que oui… Elle s’est assise sur le lit soit contre la tête de lit soit contre le mur, aucune idée à cause des yeux bandés, et j’ai posé ma tête sur mes cuisses. Sans avoir à lever la tête, ses tétons arrivaient à hauteur de ma bouche, et je sentais la lourdeur de ses seins… Elle doit vraiment en avoir de magnifiques…


J’y ai bu longuement. Je n’avais aucune notion du temps, et je m’en fichais… Pendant que je la buvais, ses mains se baladaient sur mon corps, caressaient mon torse, mon sexe qui n’était pas complètement mou, mes couilles, mon petit trou (sans oser y entrer…).


Quand j’ai décollé mes lèvres de ses tétons, elle m’a dit : “avant de partir, est-ce que je peux refaire une dernière chose?”. Je lui ai répondu “Avec plaisir”, sans même savoir de quoi il s’agissait.


Elle m’a demandé de me remettre à quatre pattes, s’est glissée sous moi tête-bêche, et m’a demandé de la lécher pendant qu’elle jouait avec ses doigts dans mon cul… Elle a encore joui deux fois dans cette position, puis je suis parti…


Nous nous sommes revus à plusieurs reprises, même si le terme n’ait pas approprié : nous avons décidé de rester les yeux bandés à chacune de nos rencontres… Donc j’arrive chez elle, il y a un bandeau accroché à la poignée de porte, je le mets, puis elle m’ouvre…




Par Etienne - Publié dans : Lactation
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 1 août 1 01 /08 /Août 23:27

Après avoir bien profité du début de l'été, avec plusieurs jours où notre amie allaitante est venue chez nous, s'allonger au soleil nue plusieurs heures pendant que je buvais son nectar, parfois en la caressant, parfois en lui faisant l'amour, parfois en ne faisant rien d'autre que boire, nous sommes partis, mes deux chéries et moi, deux semaines en camping. 

 

Il était prévu qu'après le camping, ce serait la fin du trésor lacté. Ça devient difficile de justifier auprès de son homme qu'elle produit encore du lait alors qu'elle n'allaite plus... Mais ce n'est que partie remise! À la prochaine grossesse, elle compte bien m'abreuver à nouveau. Et d'ici là, on continue à se voir. Que ce soit lors de soirées de couples, ou bien juste elle et moi. Et juste son conjoint et mes chéries, aussi...

Par Etienne - Publié dans : Lactation
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 31 mai 2 31 /05 /Mai 19:57

Comme « convenu » lors de la dernière rencontre au motel, la jeune mère qui allaite  a mangé au restaurant un midi avec mes chéries et moi. La rencontre s’est super bien passée, le courant est vraiment, vraiment bien passé entre mes chéries et elle. Pas d’un point de vue sexuel, car elle n’est pas attirée par les femmes, mais d’un point de vue amical.

 

À l’occasion notre amante nous surprend, ma chérie et moi. Et là, ça a été le cas : elle a proposé à la jeune mère de venir chez nous un soir, avec le bébé et son conjoint, pour un repas de couples. Notre amante n’ayant pas une vie sociale très développée, on a deviné qu’elle avait envie de se faire une amie de ma partenaire au sein laiteux. Quand je vous disais que le courant passait bien!

 

On a donc convenu, si son conjoint était d’accord, de les inviter chez nous. Nous avons aussi convenu que tout serait dit honnêtement. Enfin, tout… Pas le fait que la mère et moi baisons régulièrement, mais le fait que nous vivons dans un ménage à trois très heureux. Ça fera une vérité de moins à cacher.

 

Le soir même notre nouvelle amie, que je vais appeler Sara, nous a confirmé que son conjoint était d’accord pour une soirée chez nous. Selon ce qu’elle nous a répondu, le fait que nous vivions à trois a beaucoup intrigué son conjoint! Nous avons convenu d’une date, qui était trois semaines plus tard, et Sara et moi nous nous sommes revus entre temps, juste pour aller courir, pas au motel.

 

Je vous l’avais mentionné, ces midis où l’on se retrouvait pour patiner et maintenant pour courir était donné que c’est l’hiver, ce ne sont plus des midis « sexuels » comme au début. Oui, elle m’apporte du lait, oui, parfois elle récolte mon sperme, mais ce sont surtout des moments agréables, comme entre deux amis « normaux ».

 

Un des midis j’ai eu un empêchement de dernière minute, et étant donné que le sexe est devenu secondaire dans ces rencontres, Clarisse a proposé d’y aller à ma place, pour ne pas que Sara soit seule à courir. Elles se sont donc retrouvées, et outre le fait d’avoir couru, elles ont parlé très longuement. Clarisse est rentrée bien plus tard que quand c’est moi qui y vais. Il faut dire que ça n’a pas gêné Sara de faire entrer notre amante chez elle après le jogging : c’est une femme. Quand c’est moi, elle est mal à l’aise de faire entrer un homme chez elle en l’absence de son conjoint, mais le problème ne se posait pas ce midi là. Je vous le disais plus tôt : le courant passe très bien!

 

La date prévue de notre soirée de couples est arrivée. Lorsqu’ils se sont présentés à notre porte, ils étaient tous les deux très, très élégants. Après les avoir débarrassé de leurs manteaux, Sara portait un jeans moulant ses jambes et ses fesses à la perfection, et un haut qui laissait une épaule nue et qui ne dissimulait rien de se poitrine généreuse. Elle était très légèrement maquillée et était coiffée d’un genre de double tresses : elle était superbe. Superbe, sans être trop sexy pour autant. Lui, que l’on va appeler Damien, portait aussi un jeans parfaitement taillé et une chemise décontractée. Je ne peux pas le nier : ils allaient, physiquement, parfaitement ensembles : tous les deux ont un corps athlétique, deux très beaux visages, et l’air vraiment agréable.

 

Leur fils était présent aussi. Ils avaient emmené son parc et des jouets pour l’occuper jusqu’à ce qu’il s’endorme.

 

La soirée a très bien commencé, dans le salon, autour d’un verre et de petits fours. La glace a vite été brisée, et tout le monde était très à l’aise. Il aurait été difficile pour quelqu’un de l’extérieur de croire que c’était la première fois que l’on se rencontrait tous!

 

En tout début de soirée, alors que j’étais dans la cuisine à finir des détails relatifs au repas qui nous attendait, ma chérie était là aussi et m’a glissé à l’oreille : « je me ferais bien prendre en levrette par Damien pendant que je savourerais les seins de Sara ». J’ai répondu en souriant : « je me ferais bien prendre à quatre pattes par Damien pendant que je savourerais les seins de Sara. Ou même l’inverse, me faire prendre à quatre pattes par Sara pendant que je savourerais la queue de Damien ». On a ri tous les deux, on s’est embrassé, puis on est retourné dans le salon.

 

Évidemment au cours de la soirée les questions sur comment nous nous sommes rencontrés, comment nous avons eu l’idée de vivre à trois, est-ce que l’un de nous s’est déjà senti délaissé dans le trio, est-ce qu’on veut des enfants, etc. ont été posées. Sara ayant déjà posé un certain nombre de ces questions par le passé, c’est surtout Damien qui étaient curieux. Nous avons répondu à tout. Y compris quand certaines questions sont devenues un peu plus sexuel…

 

Outre les questions que l’on considère basiques (est-ce que vous faites toujours l’amour à trois ou bien parfois juste à deux? Est-ce que ça arrive que l’une ait envie de faire l’amour alors que les deux autres viennent de le faire et qu’ils n’ont plus la même envie? Quand vous faites l’amour à trois, comment vous choisissez avec qui Étienne va jouir? Etc.), il y en a eu une plus intéressante (mais je ne dis pas qu’elle est plus intelligente!), tout du moins à nos yeux : il a demandé si on trouvait équitable que j’ai le droit à deux femmes pour moi, alors qu’elles n’ont le droit qu’à un homme.

 

J’ai répondu à cette question de la façon suivante : « Il ne faut pas que tu nous considères comme un homme qui a deux femmes pour lui. Nous sommes trois personnes, quel que soit notre sexe, nous nous aimons tous les trois, nous aimons nous faire l’amour tous les trois. Prenons un exemple : je ne sais pas à quoi ressemble votre vie sexuelle, mais imaginons qu’un soir tu aies envie d’une fellation, juste de ça. Sara prend ton sexe en bouche avec plaisir, tu vis la fellation avec plaisir, et tu éjacules. Vous n’avez rien fait d’autre. Ça ne veut pas dire que le lendemain tu n’auras pas envie de jouir en elle, dans son sexe, après une baise d’une heure pendant laquelle de multiples positions ont été utilisées. Et bien c’est pareil : ce n’est pas parce que Magali a envie du goût du sexe de Clarisse en bouche qu’elle n’aura pas envie de mon sexe en elle en même temps ou après. Ce n’est pas parce qu’elle aura envie de se faire défoncer par mon sexe et un gode ceinture autour de la taille de Clarisse qu’elle n’aura pas envie pour finir d’un 69 juste toutes les deux, en toute simplicité. Ne pense pas à deux femmes et un homme, mais à trois personnes et toutes les possibilités que ça ajoute. »

 

J’ai laissé un blanc, puis j’ai ajouté : « Cependant, dans ‘l’entente’ que nous avons, elles ont le ‘droit’ d’avoir des partenaires masculins autres que moi. Pas féminins, mais masculins, oui. »

 

Pourquoi j’ai ajouté ce détail qui contient une part de vérité mais aussi un mensonge? Parce que Sara nous a dit, un peu plus tôt dans la soirée, que par moment elle culpabilise un peu de ce que l’on fait, elle et moi, et elle a demandé à Clarisse et Magali si l’une des deux accepterait de tenter de séduire son conjoint. Selon elle ça la déculpabiliserait au moins un peu, et quitte à provoquer une relation extra-conjugale pour son conjoint, elle préfère que ce soit avec une personne qui ne sera pas intéressée à plus que du sexe, qui a « le cœur définitivement pris ». Mes deux chéries se sont portées volontaires pour l’expérience!

 

Revenons au fil de la discussion. Suite à ce que j’ai annoncé, Damien a évidemment eu d’autres questions :

-        Avez-vous beaucoup de partenaires autres qu’Étienne? Réponse : régulièrement;

-        Est-ce qu’Étienne est au courant quand vous le trompez? Réponse : on ne le trompe pas puisqu’il est d’accord. Et oui, parfois il le sait avant, parfois après si c’était non planifié. Et parfois pendant, parce qu’il m’arrive (c’est Magali qui parlait) de l’appeler en visio pendant que je suis en train de me faire baiser;

-        Est-ce que tu connais les hommes avec qui elles font ça? Réponse : généralement non, mais ça arrive qu’elles me les fassent rencontrer, par exemple si ça passe à la maison;

-        Est-ce que vous faites ses rencontres ensembles, ou chacune de votre côté? Réponse : ça varie;

-        Étienne, ça ne te dérange pas? Même quand ça se passe ici et que tu es présent? Réponse : non, pas du tout. C’est du sexe, pas de l’amour. Et parfois je m’y joins.

-        Du coup elles ont droit à des relations extra-conjugales, mais pas toi, c’est injuste, non? Réponse : je n’ai jamais dit que je n’avais pas le droit. L’entente est valable pour elles, comme pour moi : on a le droit d’aller voir ailleurs, pour des partenaires masculins.

 

Là il y a eu un autre blanc… « Tu couches avec des hommes? ». J’ai répondu que oui, ça m’arrive. « Fellation, sodomie… tout? ». Oui, tout. « Tu donnes ou tu reçois? ». J’aime les deux.

 

Il y a eu un autre blanc. Puis il a demandé à mes chéries : « Ça ne vous dérange pas qu’il baise des hommes? ». Réponse de Clarisse : « Pourquoi ça nous dérangerait?  Parce qu’ils sont du même sexe? Dans ce cas, ça devrait déranger Étienne que Magali et moi couchions ensembles ».

 

Damien a répondu que non, ce n’est pas de ce point de vue là qu’il pose la question, mais du point de vue maladie. Il y a beaucoup d’infections sexuellement transmissibles dans le milieu gay, donc il se demandait si ça inquiétait mes chéries. Nous avons répondu que non, toutes nos relations sont protégées, tout du moins jusqu’à ce que, si c’est un partenaire régulier, on ait un test de dépistage prouvant qu’ils sont clean. Ok, ce n’est pas 100% vrai, pour les fellations parfois, souvent, c’est sans protection dès le début… Nous avons aussi dit que nous nous faisons régulièrement dépister tous les trois, par sécurité.

 

Sara a posé la question suivante. Elle a demandé si le fait que je baise avec des hommes les excite, comme le fait que souvent deux femmes ensembles excitent un homme. Réponse de ma chérie : un « Oui » franc et massif! Elle a décrit notamment une fois, un peu comme ceci : « On a un couple d’amis homosexuels de confiance qui aime bien qu’Étienne se joigne à eux. Et Étienne adore ce joindre à eux! Parfois, ils se font plaisir devant nous, comme un spectacle. C’est peu dire que de dire que de voir Étienne à 4 pattes, un sexe dans la bouche et l’autre dans l’anus m’excite… C’est vrai aussi pour Clarisse, mais surtout pour moi. Il faut savoir que généralement quand ils font un show comme ça, Étienne n’éjacule pas, il se garde pour nous plus tard. Par contre nos deux amis s’en donnent à cœur joie. Et une fois en particulier, ça m’a rendu folle. Souvent ils jouissent chacun leur tour, parfois à quelques secondes d’écart, mais chacun leur tour quand même. Mais la fois en question, j’ai la scène en tête comme si c’était hier : on était dans le sous-sol, Étienne à quatre pattes sur le divan, un sexe dans la bouche, l’autre dans l’anus. J’étais assise dans le divan d’en face, à les regarder, Clarisse contre moi. On était toutes les deux habillées, mais j’avais la main dans mon pantalon et je me caressais. Soudain Étienne s’est assis parterre, ce qui n’est pas inhabituel quand il a envie de sucer les deux partenaires. Mais alors qu’il allait tourner la tête pour commencer la double fellation, un partenaire debout à sa gauche, l’autre à sa droite,  l’un des deux lui a maintenu la tête droite et a placé son sexe contre une des joues d’Étienne, juste sous son œil. Le second a fait la même chose, et ils se sont mis à se masturber frénétiquement. Mon chéri était juste face à nous, j’avais mes yeux rivés dans les siens. Enfin, rivés… Je n’arrivais pas à me décider entre rester mes yeux scotchés aux siens ou regarder les deux glands qui allaient éjaculer d’un moment à l’autre… Je me caressais comme une folle, et les deux partenaires ont joui exactement en même temps tous les deux. Pas avec une seconde d’écart, vraiment exactement en même temps. Après les plus grosses éjaculations, il s’est tourné vers l’un, puis vers l’autre pour récupérer les dernières gouttes dans sa bouche, puis il s’est tourné vers nous. Et que vous voulez-vous que je vous dise… De voir mon chéri, parterre, en train de se masturber doucement, du sperme coulant sur ses deux joues mal rasées… »

 

Là Damien a crié « Stooooop !!! » en riant. Il a dit « C’est trop de détails pour moi!! »

 

On a tous ri, mais j’ai bien vu que l’histoire plaisait à Sara…

 

C’est cette dernière qui a enchainé, et clairement avec une idée derrière la tête. Elle a demandé : « J’imagine que pour tous les trois la sodomie, c’est oui? ». Cette question était, à mes yeux, tout sauf innocente. Elle m’a déjà dit que son conjoint rêve de sodomie, mais qu’elle a toujours refusé (soit dit en passant, maintenant qu’elle a eu sa première sodomie avec moi, je ne comprends pas trop pourquoi elle s’y refuse encore avec son conjoint…). Le fait de demander si mes chéries aiment la sodomie, tout en ayant dit au début qu’elles ont le droit de baiser avec d’autres partenaires masculins, pour moi c’était évidemment pour exciter son conjoint, pour qu’il se laisse plus facilement séduire par l’une de mes chéries.

 

Mes deux chéries ont évidemment dit que oui, et plusieurs questions basiques ont été posées : est-ce que ça a fait mal, est-ce que ça a fait mal la première fois, est-ce que parfois il y a des « accidents », est-ce qu’elles se font des lavements, etc. Personnellement, j’aime beaucoup ce genre de moment, où on répond à des questions sur des actes sexuels.

 

Nous avons ensuite proposé d’aller dans le spa. Nous les avions avertis que nous en avions un, que nous laissons ouvert même en hiver, et donc qu’ils pouvaient apporter leurs maillots si ça les tentait. Tout le monde s’est donc changé (chaque couple/trio dans une pièce différente), puis on s’est retrouvé dans le salon pour aller vers le spa. Je dois avouer : les deux étaient magnifiques. Autant lui avec son corps bien dessiné, et elle, dont je connaissais déjà le corps. Et j’ai bien remarqué que lui aussi appréciait beaucoup les deux corps en bikini assez sexy qu’il n’avait jamais vu auparavant.

 

Alors que l’on se dirigeait pour sortir, Sara a mentionné qu’elle voulait mettre le babyphone pour entendre leur fils au cas où il se réveillerait. Damien et mes chéries sont partis vers le spa pendant que je restais avec Sara le temps qu’elle cherche dans son sac le babyphone.

 

Comme nous n’étions que tous les deux je lui ai dit que je la trouvais sublime ce soir. Comme toutes les autres fois, en fait. Quelle que soit la tenue qu’elle porte, elle est sublime. Et même quand elle n’en porte pas du tout!

 

Elle m’a regardé dans les yeux et m’a répondu, en souriant : « La réciproque est vraie ». Elle s’est redressée, je l’ai prise dans mes bras, et je lui ai dit que j’avais très envie de lui faire l’amour ce soir. Elle m’a répondu, en riant : « La réciproque est vrai ». Puis plus sérieusement, elle a complété en disant qu’elle espérait vraiment que son conjoint allait se laisser séduire par l’une de mes chéries, parce que pendant qu’il serait occupé, elle en profiterait elle aussi pour être occupée, avec moi.

 

On s’est embrassé langoureusement, puis elle a éclaté de rire en donnant une petite tape sur mon sexe qui durcissait dans mon caleçon de bain, en disant : « Garde ça pour tout à l’heure! ».

 

On s’est désenlacé en riant, elle est allée poser le babyphone à côté du lit, elle a pris l’autre morceau avec elle, puis on est allé dans le spa.

 

Mes deux chéries et Damien étaient tranquillement assis dans l’eau chaude, Damien d’un côté, Clarisse dans les bras de Magali de l’autre. Avant d’entrer dans l’eau, et pourtant j’en avais très envie : ici c’est l’hiver, il devait faire -20°C, j’avais froid!, j’ai demandé si quelqu’un voulait quelque chose à boire.

 

La réponse a été unanime, et j’ai apporté une bouteille de vin blanc pétillant ainsi qu’une bouteille de vin rouge. Avec 5 verres, évidemment.

 

J’ai sauté dans l’eau, j’ai rempli les verres pour chacun, puis j’ai tendu la bouteille de mousseux à Magali pour qu’elle se penche par-dessus le spa pour la poser dans la neige au sol. Pourquoi je ne l’ai pas fait moi-même? Pas par manque de galanterie : j’avais juste envie de voir si Damien allait se rincer l’œil en voyant ma chérie se lever en bikini, dégoulinante d’eau, puis en la regardant se pencher. Ça n’a pas loupé…

 

Pendant que nous discutions, les jets coupés sinon on ne s’entend pas (en plus sans les tourbillons générés par les jets on peut allègrement contempler les parties des corps qui sont sous l’eau…), j’ai demandé à Clarisse si elle pouvait récupérer la bouteille qui était dans la neige.

 

Mes chéries ne sont pas naïves, elles me connaissent. Jamais je ne demande quelque chose comme ça, je me lève toujours pour m’en occuper moi-même. Elles savaient donc que j’avais un but derrière cette question, tout comme lorsque j’ai demandé à Magali de la déposer dans la neige, et elles savaient très bien quel était ce but. Pour atteindre ce but, au lieu de simplement se pencher Clarisse s’est mise debout dans le spa, a réajusté son maillot qui n’avait pas du tout besoin de l’être, pour que tout le monde, Damien y compris, la regarde faire, puis a enjambé le bord du spa en riant, en prenant tout son temps. En prenant la bouteille, elle s’est aussi mise de la neige sur le corps, toujours pour donner une raison de la regarder, puis est revenue dans l’eau chaude, où elle nous a dit qu’elle voulait voir en combien de temps la neige (qui comme par hasard était sur ses seins) allait fondre. Raison complètement bidon!

 

Peu après Sara a dit qu’elle allait retourner à l’intérieur : dans l’eau elle avait trop chaud, mais si elle sortait son corps de l’eau elle avait trop froid. Bref, elle a décidé de rentrer en précisant bien que l’on pouvait rester dans le spa, elle ne voulait pas gâcher le moment.

 

Elle a embrassé Damien, s’est levée, et ça a été à son tour de faire admirer son corps pendant qu’elle quittait le spa.

 

Mes chéries ont dit à Damien qu’il avait une conjointe absolument superbe, avec une poitrine incroyable. Il a répondu que physiquement il adore effectivement le corps de sa Sara et ses seins gonflés au lait, mais qu’il les préférait avant : il adorait jouer avec, passer du temps à les caresses, les lécher, les titiller, mais que maintenant dès qu’il les touche du lait coule involontairement. Et ce lait le dégoûte un peu, donc il n’y touche plus vraiment.

 

De but en blanc, je lui ai demandé s’il avait déjà trompé Sara. Il a eu l’air surpris de la question, puis a répondu « Non », mais ça ne semblait absolument pas sincère… C’est Clarisse qui a répondu en riant ce que je pensais aussi : « Ce n’est pas convainquant comme réponse! Ne t’inquiète pas, on ne dira rien à Sara. ».

 

J’imagine que l’alcool qu’il avait dans le corps l’a poussé à nous l’avouer : oui, une fois, il a payé une prostituée pour essayer la sodomie car Sara ne veut pas de cette pénétration (sic!). Et ça s’était vraiment mal passé. Il ne culpabilise pas d’avoir pris cette décision, mais il aurait préféré que ça se passe mieux. Évidemment, on lui a demandé des détails sur pourquoi ça c’est mal passé. La réponse a été décevante : c’est juste qu’il s’est senti comme un numéro. Il est allé chez l’escorte, ils se sont aussitôt attelé à la tâche, elle à quatre pattes, lui derrière elle. Elle n’a eu aucune réaction, a simulé un orgasme à la fin quand elle a senti qu’il allait jouir, puis c’est tout, merci, bye. Il n’a jamais réessayé. Pas par manque d’envie, pas par culpabilité, mais parce qu’il a été choqué par la façon dont il a été traité.

 

Je me suis mis debout dans le spa, puis j’en suis sorti. J’ai pris une serviette que j’ai mise autour de mon corps pour me sécher et éviter d’avoir trop froid, puis j’ai dit à Damien : « Si les seins te manquent, Magali et Clarisse en ont chacune des magnifiques, et des fesses prêtes à te recevoir avec le comportement tu voudras. Sur ce, si tu as envie de t’amuser avec l’une des deux, ou les deux, je vous laisse. Je vous attendrai à l’intérieur. Je vais aller avec Sara dans le salon du sous-sol, d’où on ne peut pas voir le spa ».

 

Mes deux chéries m’ont embrassé, et à leurs sourires et regards, c’était évident qu’elles espéraient qu’il se laisserait aller… J’ai tourné le dos au spa et je me suis dirigé vers la maison. J’ai fait quelques pas puis je me suis retourné : « oh, j’ai oublié de préciser : elles sont parfaitement propres, alors aucun risque d’accident ».

 

À l’intérieur, j’ai rejoint Sara qui s’était séchée, mais qui était restée en bikini. En me voyant arriver, elle m’a souri et m’a fait savoir qu’elle espérait que je revienne tout seul, pour que l’on ait un peu de temps.

 

Je l’ai prise dans mes bras, je l’ai embrassée, puis je lui ai raconté comment je suis sorti du spa. Son corps tremblait dans mes bras. Elle était à la fois heureuse et anxieuse de la situation. Ça se voyait qu’elle se demandait si elle avait pris la bonne décision en nous proposant de séduire son homme.

 

Elle a posé sa tête sur mon épaule, debout, enlacés, puis elle a fini par se calmer.

 

En entendant quelqu’un marcher vers la porte-patio, nous nous sommes séparés, comme si de rien n’était. Finalement ce n’était « que » ma chérie, qui avec un grand sourire nous a dit : « Je viens chercher un préservatif! A priori, il va s’amuser avec nous deux… »

 

J’ai vu Sara trembler un peu en entendant cela. Elle venait de s’apaiser, j’espérais qu’elle n’allait pas se remettre à angoisser… Finalement elle s’est ressaisie aussitôt. Elle souriait comme si elle était ravie.

 

Ma chérie est repartie avec la protection, et Sara et moi nous sommes dirigés au sous-sol. On a commencé par parler un peu. Pas longtemps, mais je voulais m’assurer qu’elle allait bien. Elle m’a dit qu’elle se doutait que ça lui ferait quelque chose de savoir que son homme la tromperait (même si elle était d’accord, il ne lui en a pas parlé, donc c’est vraiment tromper), et en plus dans un plan à 3. Je lui ai rappelé ce qu’elle nous avait dit en début de soirée : elle préférait que son conjoint baise avec quelqu’un dont le cœur est pris. Dans le cas présent, c’est évident que non seulement les cœurs sont pris, mais qu’en plus c’est un plan à 3, c’est pour baiser, sans sentiment autre que le plaisir de la baise. Et je lui ai aussi rappelé qu’elle fait la même chose : elle le trompe aussi…

 

Finalement elle m’a dit : « On arrête de parler de ça, et on s’occupe de nous ». Elle a enlevé son haut de bikini, gardant le bas, puis est venue s’agenouiller devant moi sur le divan, ses seins à la hauteur de ma bouche. J’ai commencé à la boire, toujours délicieuse…

 

Tout en la tétant, je caressais son dos, ses cuisses, ses fesses… puis j’ai décalé son maillot pour commencer à jouer avec mes doigts sur son clitoris, dans son sexe… Elle était déjà très humide…

 

J’ai sorti ma verge aussi raide que chaque fois, et elle a remplacé mes doigts… Sara a alors pris le contrôle des mouvements, pour que ce soit exactement à son goût…

 

Pendant de longue mais très agréables minutes, nous n’avons rien dit… on entendait que le bruit (très discret) de la succion de mes lèvres sur ses tétons et celui de son entre-jambes qui frottait un peu contre mon caleçon de bain…

 

Pendant ce moment magique, elle m’a demandé si on ne risquait pas de se faire surprendre. Je lui ai répondu que non, qu’une des me chéries rentrera avant Damien pour nous prévenir.

 

Elle a alors reposé sa tête sur la mienne, et on a continué longuement…

 

Rien de plus : pas de sodomie, pas de fellation, pas de cunnilingus, pas de changement de position… Juste ses seins se déversant dans ma bouche, et mon sexe jouant dans le sien.

 

Puis elle a repris la parole, sans lever sa tête, qui était toujours posée sur la mienne : « Tu sais, je serais censée arrêter d’allaiter… Ou tout du moins baisser la fréquence. Mais je n’y arrive pas. Je ne veux pas que les moments comme celui cessent. Je veux que tu continues à me boire en me faisant l’amour. C’est un moment qui dépasse tout ce que j’avais connu en termes de bien-être. Pour moi, ce n’est même plus sexuel, c’est du bien-être pur. Je ne veux pas que ça s’arrête. Si je n’ai plus de lait, tu vas me dire qu’on peut continuer quand même, et même que mon conjoint pourra le faire, mais c’est vraiment différent avec le lait. Je ne sais même pas quel mot utiliser. J’allaite moins mon fils, mais je tire mon lait plus souvent pour garder un bon volume… Damien va forcément finir par se rendre compte qu’il se passe quelque chose d’anormal. Il ne devinera pas la réalité, mais il devinera que ce n’est pas normal ».

 

Elle s’est tue, puis elle a repris : « La solution que je vois, c’est de retomber enceinte plus tôt que ce qu’on planifiait. On aimerait que je sois à nouveau enceinte dans 2 ans. Si j’arrive à le convaincre d’avoir un autre enfant plus tôt, peut-être que j’arriverais à étendre la lactation jusqu’au prochain… »

 

Là je me suis arrêté de la boire, elle s’est redressée, et en la regardant droit dans les yeux je lui ai dit : « Avoir un enfant, ce n’est pas rien. Je ne pense pas que ce soit judicieux de changer votre vision de l’avenir pour un plaisir charnel. Et puis si vous avez un autre enfant plus tard, et que tu as toujours envie de ce que l’on fait aujourd’hui, ce n’est que partie remise : je serais là à ce moment-là aussi, parce que j’espère bien qu’on continuera à se voir, même si c’est juste en tant qu’amis, que ce soit tous les deux ou pour des rencontres de ‘couples’ ».

 

Elle a soupiré puis m’a dit que j’ai raison (toujours agréable d’entendre se faire dire ça!!). Elle s’est replacée comme précédemment, et j’ai recommencé à la boire, mon sexe en elle…

 

Un peu plus tard, on a entendu une de mes chéries rentrer dans la maison. Elle est directement descendue au sous-sol, c’était Magali. Sara s’est redressée, mais est restée assise sur moi, sur mon sexe. Ma chérie nous a regardé, et a demandé si on préférait qu’elle remonte. Sara a dit que non. Elle a tenté de se dégager, mais j’ai appuyé un peu sur ses cuisses, pour lui faire comprendre que si elle le voulait, elle pouvait rester là. Elle n’a pas insisté, et n’a finalement pas bougé.

 

Magali s’est assise à côté de nous en nous expliquant que Clarisse et Damien restait un peu dans le spa pour finir leurs verres, qu’ils allaient rentrer après. Puis, tout en sachant que Sara n’est pas du porté sur les femmes, elle lui a demandé si elle pouvait goûter aussi son lait, directement au sein…

 

Sans un mot Sara s’est un peu tournée, rendant son sein facilement accessible, et ma chérie s’en est approchée pour boire un peu…

 

Après quelques gorgées, elle s’est décollée du sein en disant : « Je comprends qu’Étienne désire ton lait à ce point. Il est effectivement délicieux ».

 

Puis elle a demandé à Sara : « Veux-tu savoir ce qu’il s’est passé dans le spa, ou tu préfères que l’on n’en parle pas? ».

 

Sara a hésité. Puis elle dit : « Je ne veux pas tout savoir, j’ai juste une question. Est-ce qu’il est allé partout en vous? ».

 

Ma chérie a répondu : « Non, on l’a juste laissé faire ce qu’il a dit ne pas avoir le droit de faire ou ne plus faire avec toi, c’est-à-dire la sodomie et jouer avec nos seins. On lui a dit que l’on t’appréciait énormément, et qu’on était d’accord pour lui faire vivre ce qu’il ne connaissait pas, mais qu’on ne voulait pas faire des choses qu’il peut faire avec toi. ».

 

Je pensais que Sara allait subir à nouveau un choc en entendant ce qui s’est passé, mais au contraire, elle a poussé un soupir de soulagement. Elle a ri, s’est mise à pleurer, et a dit « Merci Magali. Merci à toutes les deux. Et à toi Étienne. Je n’osais pas demander à ce que vous vous limitez à ça, mais c’est ce que je souhaitais du fond du cœur. ».

 

C’était « fais ce que je dis fais pas ce que je fais », parce que oui, la première fois que j’ai rencontré Sara c’était juste pour goûter son lait, mais très vite on est passé à faire absolument tout, incluant ce qu’elle faisait avec son conjoint. Cela dit, c’est peut-être pour ça qu’elle n’avait pas osé mettre de limite, parce qu’elle savait qu’elle était mal placée pour en poser…

 

Magali s’est approchée, l’a prise dans ses bras et lui a dit qu’il ne faut pas qu’elle se sente gênée de quoi que ce soit, sur aucun sujet. Sara a séché ses larmes, puis lui a proposé de reboire en remerciement.

 

Elle s’est alors désengagée de moi pour aller s’assoir de la même façon sur ma chérie, mais évidemment sans se faire pénétrer du coup… Ma chérie a bu à ses seins pendant que je surveillais que Damien et Clarisse n’arrivent pas. J’ai hésité à aller me placer derrière Sara pour la pénétrer, que ce soit dans le sexe ou dans l’anus… Ou alors à me placer debout à côté d’elle pour qu’elle savoure mon sexe en même temps. Finalement, je n’ai pas bougé, je les ai juste regardées. C’était un magnifique tableau.

 

Je savais très bien que Sara n’a proposé cela que pour faire plaisir, par pour son plaisir. Mais elle a été très généreuse : elle a laissé ma chérie boire longtemps. Je ne sais pas combien de temps exactement, car je suis allé rejoindre Damien et Clarisse dans le spa : c’était la meilleure façon de surveiller leur retour, parce que je ne sais pas si Damien aurait aimé voir sa conjointe avec une femme. Probablement que oui, surtout que c’était juste pour de la dégustation lactée, mais on ne sait jamais. Et puis soyons honnête : j’avais une envie précise aussi en tête…

 

Une fois dans le spa, où les deux amants rigolaient bien mais sans se toucher, j’ai murmuré à Clarisse ce dont j’ai envie. Sans hésiter, elle a acquiescé. J’ai regardé Damien, et je lui proposé : « S’il te reste un peu d’énergie pour une nouvelle érection, est-ce que ça t’intéresse un plan à trois, mais cette fois avec moi comme troisième partenaire? Clarisse sur mes genoux, tournée vers moi, mon sexe dans le sien, et toi qui joue à nouveau dans son petit trou… »

 

La réponse a été instantanée : « Je suis prêt! ». Puis il a dit : « Par contre il faudrait aller chercher un autre préservatif, et il faudrait s’assurer que Sara ne vienne pas sans que l’on s’en rende compte ».

 

Dans ma tête, il était évident que je me disais que l’on n’avait pas besoin de préservatif. Effectivement, je baise sans protection avec sa conjointe qui s’est faite tester peu avant. Il est donc peu probable qu’il est une maladie. Cependant, pour faire bonne figure, je lui ai demandé s’il avait utilisé un préservatif quand il était allé voir l’escorte. La réponse était positive. J’ai répondu que de notre côté, s’il n’a trompé sa chérie avec personne d’autre on lui fait assez confiance pour ne pas en utiliser. Ensuite c’était à lui de décider s’il avait la même confiance, et il a décidé que oui.

 

Quant au problème de la venue de Sara, je lui ai assuré que Magali s’arrangera pour ne pas que ça arrive.

 

Quelques instants plus tard, Clarisse prenait son pied avec deux queues en elle, en m’embrassant amoureusement. Ça faisait très longtemps qu’elle n’avait pas eu un moment de plaisir avec deux hommes en même temps.

 

Quand Damien a commencé à gémir plus fort, ma chérie m’a demandé de jouir en même temps que lui. Alors lorsque je l’ai entendu jouir, je me suis vidé à mon tour quelques secondes plus tard, pour le plus grand plaisir de ma chérie. Qui de son côté avait déjà joui deux fois depuis le début…

 

Quand il s’est retiré de l’anus accueillant de Clarisse, elle l’a sucé pour le nettoyer puis elle lui a demandé s’il aimerait un plaisir visuel : regarder le sperme couler du trou qu’il venait de remplir. Encore une fois, il a acquiescé. Elle s’est alors dégagée de moi, s’est accoudée sur le bord du spa, les fesses hors de l’eau, dans le froid, et Damien et moi avons pu contempler son anus dilaté pousser le sperme hors du corps, avec des petites contractions…

 

J’ai proposé à notre ami de remettre le sperme à l’intérieur avec ses doigts, s’il le désirait. Il l’a fait lentement, délicatement, d’abord en introduisant un doigt, puis deux dans l’anus de ma chérie. Elle gémissait doucement…

 

Je lui ai ensuite suggéré, s’il en avait envie, de carrément lécher l’anus encore dilaté, plein de sperme. Là il a dit non, il n’était pas fan de goûter à du sperme. Jouer avec ses doigts dedans, oui, en avoir en bouche, non…

 

Loin d’être déçu, c’est même la réponse que j’espérais, ma question suivante étant toute prête : « Ça te dérange si moi je vais lécher tout ça? ». Il m’a répondu « Non non », et quelques secondes après ma chérie était toute propre, ma langue ayant nettoyée son anus, son sexe et ses cuisses où ça avait commencé à couler… Le goût dans le spa n’est pas le meilleur à cause de l’eau traitée, mais c’était plaisant… En fait le principal obstacle était que je devais faire vite pour ne pas qu’il se dise qu’il allait rentrer dans la maison sans nous. Il fallait que je m’assure avant qu’il entre que Sara ne servait plus à boire à Magali…

 

Ça donc été un nettoyage express, puis on s’est tous rhabillés, et je suis parti en premier en courant vers la maison, en simulant que j’étais gelé. Quand j’ai franchi la porte patio, Sara et Magali étaient assises dans le salon du rez-de-chaussée, habillées, à regarder des photos. Damien pouvait donc entrer sans problème…

 

 

Si ce dernier était mal à l’aise, il ne l’a pas montré un instant. D’un autre côté, Sara non plus. Ils se sont assis ensembles, mais dans la main, pour finir la soirée autour d’un dernier verre, non alcoolisé cette fois-ci. Sara, qui a très peu bu, était la conductrice pour le retour.

 

Nous avons donc terminé la soirée en discutant, c’était bien sympa et détendu, contrairement à ce que je craignais. Finalement nos invités sont rentrés chez eux, vers 1h du matin.

 

Cette soirée s’est passée il y a déjà plusieurs semaines, j’ai un peu de retard… Depuis, nous avons eu une autre soirée qui s’est déroulée un peu comme la première, avec du sexe à profusion Damien et mes chéries d’un côté, Sara et moi d’un autre. Damien est aussi venu tout seul chez nous, où il a passé plusieurs heures avec mes chéries; je les ai laissés seuls, et où est-ce que j’en ai profité pour aller? Chez Sara… Elle savait qu’il était chez nous, mais lui ne savait pas que j’étais chez eux avec sa conjointe. Leur fils était chez ses grands-parents, donc Sara et moi avons pleinement profité des quelques heures que nous avons partagées. Pour une rare fois, nous avons vraiment pris notre temps pour tout faire, et non juste boire son lait. Évidemment dès que ses seins passaient à proximité de ma bouche j’en buvais un peu, mais ça n’a pas été l’acte principal. Cela étant dit, sans que ce soit sexuel, elle m’a aussi réchauffé, après que l’on ait longuement fait l’amour, l’équivalent d’un litre de son lait qu’elle avait au frigo, que j’ai bu dans un grand verre pendant que l’on discutait.

 

 

Bref, on se dirige vers un couple d’amis, qui sont plus que des amis…

Par Etienne - Publié dans : Lactation
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 22 décembre 3 22 /12 /Déc 20:57

Suite au second moment passé au motel, les choses ont un peu évolué entre la jeune mère qui allaite et moi. Il faut dire que le retour au travail de son conjoint aide, tout comme le fait que son bébé soit régulièrement en garderie. Nous avons donc un peu plus la chance de nous voir.

 

Nous nous sommes revus peu temps après la séance d’initiation à la sodomie, toujours au même motel. En fait ça été si peu de temps après, que ça a été la même semaine...

 

Cette fois-ci, dès le début elle a voulu prendre les choses en main : je me suis allongé sur le dos, et elle s’est encastrée sur mon sexe bien dur, dans sa grotte humide. Étant donné qu’elle était au-dessus de moi, ses seins à porter de ma bouche, je n’ai pas pu me retenir, et de toute façon elle ne voulait pas que je me retienne, alors j’ai bu.

 

Lorsqu’elle a senti que ma queue était assez lubrifiée par son jus, elle s’est désengagée de moi, a saisi mon sexe d’une main, l’a guidé vers son petit trou, et s’est rempalée, lentement, contrôlant le tout…

 

Une fois bien en elle, elle a entamé des va-et-vient très agréables, s’appuyant de ses deux mains sur mon ventre, ce qui compressait ses seins pour les rendre encore plus attirant…

 

Alors qu’elle semblait avoir beaucoup de plaisir, elle m’a demandé de jouir vite, parce qu’elle avait une autre envie depuis quelques temps, et qu’elle voulait l’assouvir… Il suffisait de demander : peu après, j’évacuais toute ma semence en elle, et je crois que la sentir en elle a déclenché son orgasme, car elle a aussitôt joui à son tour…

 

Pendant qu’elle reprenait son souffle, elle m’a demandé si j’avais exagéré quand je lui avais dit, au cours d’une de nos discussions, que j’aimais lécher une femme après avoir joui en elle, que ce soit dans le sexe ou dans l’anus. Évidemment que non, je n’avais pas exagéré!

 

Avec un grand sourire elle s’est alors dégagée de mon sexe et est rapidement venue placer ses fesses au-dessus de mon visage, pour se vider en moi pendant que je savourais son odeur, ainsi que sa chatte humide, bien sûr… J’ai été efficace : elle a eu un second orgasme! Mon sperme mélangé à l'odeur de son anus et de son sexe, c'était une symphonie olfactive...

 

De son côté elle n’est pas descendue me nettoyer, mais je ne le lui ai pas demandé non plus. Après une sodomie, je ne demande jamais. Si ma partenaire le souhaite, avec plaisir, mais je n’initie pas. Sauf dans de la domination, ce qui n’était pas du tout le cas ici.

 

Elle s’est ensuite allongée sur le lit, un peu sur le côté, et m’a dit ce dont elle avait envie : elle souhaitait qu’allongé à côté d’elle, je la tète, très longuement, très lentement, sans rien faire d’autre de sexuel… Alors c’est ce que nous avons fait…

 

Allongé contre ses seins, j’ai bu son lait exquis pendant près d’une demi-heure, juste en caressant ses hanches, amoureusement…

 

Il était chaud, visqueux, fort... Délicieux...

 

Ce n’était pas évident car j’avais la queue en feu, même si j’avais déjà joui… Et elle, je l’entendais gémir de plaisir : excitation? Juste moment de bonheur? Aucune idée… Quoi que si, j’avais ma petite idée car après cette demi-heure c’est elle qui a demandé à ce que j’arrête en me disant juste quelques mots : « fais-moi l’amour ».

 

Quelques instants plus tard j’étais allongé sur elle, allongé en elle, et tout en nous embrassant, en nous regardant, nous avons joui encore tous les deux…

 

Alors que nous étions encore enlacés, elle m’a dit qu’elle aimerait que l’on se voit ailleurs que dans un motel. Elle ne veut pas que ce soit chez elle, elle a peur des voisins en termes d’indiscrétion, alors que je lui ai proposé chez moi, en attendant qu’elle se libère pour notre virée coquine à l’hôtel. Elle m’a répondu qu’elle n’était pas à l’aise à l’idée de rencontrer mes chéries, même si je lui ai assuré que de leur côté, ça leur aurait plaisir.

 

 

Finalement après une agréable discussion, je lui ai proposé de les rencontrer dans un contexte qui sera tout sauf sexuel : au restaurant, un midi pour ne pas que son conjoint se pose de question. Elle a acquiescé. Elles vont donc se rencontrer, en ma présence, pour briser la glace. Si ça se passe bien, elle acceptera à l’avenir de venir chez nous, même si ce n’est que pour baiser avec moi, pas avec mes chéries.

 

Après cette discussion, je suis resdescendu la lécher un peu, puis nous nous en sommes aller, chacun chez nous...

Par Etienne - Publié dans : Lactation
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 22 décembre 3 22 /12 /Déc 20:51

La jeune mère qui allaite et moi sommes censés passer une nuit ou une fin de semaine débridée à l’hôtel. Comme vous le savez si vous me lisez, ça ne s’est toujours pas produit, et je doute que ça se produise un jour : si elle y tenait vraiment, elle aurait trouvé comment faire.

 

Du moins c’est ce que je pensais jusqu’à peu. Une fois par semaine on se retrouvait pour faire du patin au parc, elle poussait la poussette de son bébé (je parle au passé, car actuellement il y a de la neige; on s'y retrouve pour courir au lieu de patiner, quand c'est possible). Au début lorsque l’on se retrouvait, c’était principalement pour qu’il se passe quelque chose : elle me donnait à boire du lait, je lui offrais du sperme, etc. Ce n’était pas toujours évident car nous étions au parc. Avec le temps, bien que nous continuions à savourer ce que l’autre nous apportait, je dois avouer que c’est surtout devenu un moment qui me plaisant en tant qu’amis. Parce que oui, nous sommes vraiment devenus amis. Discuter avec elle est un plaisir, et pas seulement de sexe!

 

Je pensais donc que l’idée de l’hôtel était perdue, jusqu’à ce qu’elle me dise, il y a deux semaines, qu’au lieu d’aller au parc elle aimerait que l’on se retrouve au motel où nous nous sommes rencontrés pour la première fois.

 

Et c’est ce que nous avons fait.

 

Nous n’avons pas discuté de ce que nous ferions en nous y retrouvant. La première fois, nous avions échangé par courriel nos envies, comment ça allait se dérouler. On avait pas mal dévié de ce qui était prévu, mais on en avait parlé.

 

Cette fois-ci, pas un mot. Lorsque l’on a franchi la porte du motel, on s’est pris dans les bras, debout, et on s’est embrassés. Ça été très naturel. Un long baiser, d’abord du bout des lèvres, puis nos langues se sont cherchées jusqu’à se mêler avec plaisir…

 

Le baiser est devenu extrêmement intense… mon sexe en érection au travers du tissu contre son corps… nos mains passant partout…

 

Quand on s’est décollés, on s’est déshabillés. Elle était absolument sublime. Je ne sais pas si vous connaissez Eiza González, mais elle a ce genre de corps, avec les seins gonflés par l’allaitement. Une beauté, une réelle beauté.

 

Elle s’est mise à quatre pattes sur le lit, posant la tête sur l’oreiller, me dévoilant ses fesses sans aucune pudeur. Elle m’a dit très exactement ceci : « j’ai envie de ton sexe en moi, dans mes fesses, mais sans douleur. Prends ton temps, mais je te veux là ».

 

On avait discuté il y a des semaines qu’elle aimerait une première sodomie naturelle, sans préservatif. On s’est tous les deux fait tester rapidement, et même si ce test remonte quand même à il y a un certain temps, on est allés de l’avant avec ce désir.

 

J’ai pris tout mon temps. Je me suis placé derrière elle, et j’ai embrassé son dos, ses fesses… Je me suis déplacé tranquillement vers son anus, sur lequel j’ai glissé ma langue… J’ai adoré ce contact, comme avec beaucoup des petits trous que j’ai savourés jusqu’à aujourd’hui…

 

J’ai passé du temps à bien le lubrifier avec ma salive, avec de m’amuser à passer mon doigt dessus… juste le passer… sans forcer… puis petit à petit, à chaque passage j’appuyais un peu plus fort… Jusqu’à ce que ma première phalange y disparaisse…

 

Je l’ai ressortie, je l’ai léchée, puis que je l’y ai reglissée, suivie du reste du doigt…

 

Tout en lui doigtant l’anus, je continuais à le lécher… mais j’ai décidé de descendre un peu avec ma bouche…

 

Son sexe était exquis… Me délectant de son jus, j’ai longuement doigté son petit trou d’un seul doigt… Lorsque j’ai décidé d’en ajouter un second, je l’ai glissé d’abord dans sa chatte soyeuse et humide pour le lubrifier, puis je l’ai inséré dans ses fesses, qui n’ont opposé que très peu de résistance…

 

Pendant tout ce temps, elle gémissait beaucoup… Par moment ses doigts venaient même caresser son clitoris…

 

J’ai continué ainsi pendant longtemps… Je n’avais pas regardé l’heure, mais je dirais que pendant 20 minutes j’ai juste glissé des doigts dans son petit trou, en montant jusqu’à 3, tant en léchant son sexe…

 

Lorsque j’ai jugé qu’elle était prête, je me suis mis à genoux derrière elle… j’ai placé mon gland contre l’entrée de son vagin et j’ai poussé lentement pour me le lubrifier… J’ai fait quelques va-et-vient pour être sûr que tout mon sexe était bien recouvert de cyprine, puis j’ai posé mon gland gonflé par l’excitation sur son anus. Et j’ai poussé lentement…

 

C’est rentré assez facilement… Il faut dire que j’avais longuement préparé le terrain!

 

Lentement je suis allé le plus loin possible, mon ventre atteignant ses fesses… Puis les va-et-vient ont commencé, mes deux mains sur ses hanches…

 

Très rapidement, elle a demandé à changer de position : elle voulait être au-dessus de moi, pour que je boive à ses seins en même temps. Cette proposition faisait mon bonheur…

 

Je me suis allongé sur le dos, et elle est venue s’empaler sur moi, mon sexe bien gonflé dans son petit cul. En se penchant en avant, j’avais ses seins massifs à proximité de ma bouche… j’entendais quasiment ses tétons m’appeler! Alors j’ai bu… bu, et rebu… pendant qu'elle allait et venait le long e ma verge... J’ai adoré…

 

Lorsque je lui disais que c’était sur le point de jouir, elle ralentissait… Lorsqu’elle-même était sur le point de jouir, nous ralentissions tous les deux…

 

Nous n’avons pas changé de position de tout notre moment ensemble… Elle assise sur mon sexe, ses tétons dans ma bouche…

 

Lorsqu’enfin elle s’est laissé jouir, j’ai automatiquement joui dans la seconde qui a suivi… Tout mon sperme a giclé dans ses entrailles, pour notre plus grand plaisir commun…

 

Elle s’est alors laissée tomber sur moi, son visage dans le creux de mon épaule, mon sexe toujours en elle.

 

On est restés longtemps ainsi, sans bouger, moi la serrant dans mes bras…

 

Quand on s’est relevés, on est allés sous la douche ensemble. Il n’y a pas eu de nouvelles pénétrations, mais nous nous sommes énormément embrassés. Quasiment pendant toute la douche en fait…

 

 

Quand nous avons quitté la chambre du motel, elle m’a dit qu’elle essayait toujours de se libérer une fin de semaine, que ce n’était pas de la mauvaise volonté de sa part. Après le moment vécu au motel, j’ai changé d’avis : elle tient vraiment à ce que l’on ait du temps ensemble, et la fin de semaine finira par arriver…

Par Etienne - Publié dans : Lactation
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog de ma vie sexuelle, passée et présente...
  • Le blog de ma vie sexuelle, passée et présente...
  • : Amateur Histoires érotiques Journal Intime
  • : Vivant de frustration sexuelle en frustration sexuelle, j'ai développé de nombreux, très nombreux et très variés fantasmes... Puis j'ai rencontré ma chérie actuelle : elle me comble sexuellement... Ce blog parlera donc des mes fantasmes passés, et des anecdotes croustillantes de ma vie sexuelle actuelle...
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Créer un Blog

Recherche

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés