Partager l'article ! Lactation : courriel pour une suite...: Comme je disais dans mon dernier message, j'ai reçu un courriel de la sublime mère qui allaite, après ...
Comme je disais dans mon dernier message, j'ai reçu un courriel de la sublime mère qui allaite, après notre heure passée au motel. Si vous avez lu le résumé de notre rencontre, vous savez que son rêve était qu'un homme boive son lait directement à ses seins,sans autre acte sexuel. Elle ne voulait que faire avec un "inconnu" ce que son conjoint refuse de faire. Au final, en plus de savourer son lait, et je dis bien savourer, c'était la première fois que j'appréciais le goût de ce breuvage, je l'ai quand même faite jouir à l'aide de deux de mes doigts, j'ai à mon tour éclaboussé son ventre du produit de ma jouissance, et j'ai nettoyé son corps avec ma bouche, sans m'approcher de son sexe, et pourtant ce netait pas l'envie qui manquait!
Deux jours après notre rencontre, elle m'a écrit pour me dire qu'elle avait de nouvelles envies...
Elle avait toujours autant envie de se faire boire son lait par un homme. Elle a tenté de convaincre son conjoint, il refuse obstinément. Même pas par dégoût, juste par principe, mais comme je disais dans un message précédent son principe ne tient pas la route. Elle m'a écrit qu'elle a tenté le chantage : régulièrement son conjoint demande à la sodomiser, mais elle dit toujours non. Là elle lui a proposé d'essayer pour la première fois la sodomie en échange d'un buvage de lait aux seins, et il a refusé... Elle m'a écrit qu'elle a réfléchi à l'idée de lui proposer un plan à 3 en échange, qu'elle a hésité. Elle a hésité parce que si c'est du un pour un, un plan à 3 contre une fois boire son lait, ça ne l'intéresse pas plus que ça... Elle sait qu'elle n'allaitera pas pendant des années, et elle voudrait que ce soit naturel que son conjoint boive à ses seins, à n'importe quel moment : pour la réveiller le matin, pendant qu'ils regardent un film, pendant qu'elle lit un livre, n'importe quand... Pas forcément pour boire beaucoup, juste pour l'acte, pour le plaisir sur le coup...
Pour tout ce qui est lait, elle a fini par écrire qu'elle abandonne l'idée de convaincre son homme, ça ferait probablement plus de mal que de bien. Par contre elle a écrit qu'elle garde espoir de pouvoir vivre quand même des moments agréables de jeux lactés, avec moi.
Elle a ensuite écrit certaines envies que je lui au données, ou tout du moins que notre heure lui a inspirées. Et quelques constats qu'elle a fait.
Premier constat : elle ne voulait pas faire autre chose que me faire boire son lait parce qu'elle ne voulait pas culpabiliser de faire avec moi des choses qu'elle fait avec son conjoint. Et bien finalement non seulement elle n'a pas culpabilisé que je l'ai doigtée, mais elle n'a pas culpabilisé de m'avoir branlé, elle n'a pas culpabilisé davoir reçu mon sperme sur son corps, et en plus, le soir même elle a fait l'amour à son homme, et après lui avoir fait l'amour elle s'est masturbée en repensant à notre rencontre, et en imaginant que l'on était allé jusqu'au bout de nos envies. Parce que oui, elle m'a écrit que pendant que je l'amenais à l'orgasme elle aurait adoré que mon sexe remplace mes doigts. Bref, à la prochaine rencontre, si j'accepte qu'il y en ait une (et évidemment que j'accepte!!), il faudra des préservatifs...
Deuxième constat : elle a adoré non seulement que je boive à ses tétons, mais aussi que je lèche le lait sur son corps... Dans son courriel elle a écrit qu'elle aimerait beaucoup se caresser les seins à se faire gicler du lait sur le corps pendant que je me caresse en la regardant faire, que ça lui coule sur le ventre, sur les cuisses, sur son sexe, et que je m'applique à bien la nettoyer avec ma langue, en insistant longuement sur les zones les plus érogènes...
Troisième constat : elle a adoré que je ramasse mon sperme sur elle avec ma bouche... Elle voudrait que je le refasse sur ses seins, sur son ventre, sur son clitoris (oui, oui, précisément là), sur ses fesses, sur l'intérieur de ses cuisses... Ça ça veut dire qu'on va devoir se revoir bien plus qu'une fois... Elle aussi écrit que si on en arrive à avoir une vraie relation, elle aimerait que je jouisse en elle sans préservatif et que je la fasse jouir d'un cuni ensuite... Ça veut vraiment dire que l'on va devoir se voir à de nombreuses reprises!
Quatrième constat : son homme la fait jouir régulièrement avec des cunis, mais jamais il n'avait léché devant elle ses doigts plein de jus vaginal. Quand elle m'a vu faire ça si naturellement, ça l'a émoustillée... Elle voudrait me voir le faire encore et encore...
Autre envie : elle est prête à passer une nuit complète avec moi. Elle ne sait pas comment elle se débrouillerait pour justifier de découcher, mais non seulement elle est prête mais en plus elle le veut. Elle m'imagine buvant quelques gouttes à sa poitrine en après-midi avant daller à la piscine d'un hôtel, d'en reboire en enlevant le maillot dans la chambre, d'en reboire encore en apéro, avant d'aller manger le soir, etc. Elle a vraiment un fétichisme de l'allaitement, et que dire d'autre que : ça me plaît! Personnellement j'aurais agrémenté sa description de quelques pénétrations, mais j'imagine que c'était implicite vu qu'elle disait au début de courriel vouloir des pénétrations.
Autre envie : elle imagine apportant à l'hôtel du lait qu'elle aurait tiré plus tôt. Elle s'imagine se masturber en me regardant en boire un verre pur, dans une flûte de champagne... Elle imagine me préparant un cocktail alcoolisé à base de son lait... Quand je vous dis qu'elle a un fétichisme...
Dernière envie, mais pas la moindre : elle a écrit que jamais elle n'a essayé la sodomie, elle s'y est toujours refusée. Mais elle a expliqué que lorsqu'elle a proposé à son conjoint de faire un pacte "sodomie contre boire du lait à ses seins", l'idée de la sodomie l'a excitée. Pour la première fois de sa vie. Au point que même quand son conjoint a dit non à cet "échange", elle a failli lui proposer de la sodomiser quand même, parce qu'elle en avait tout simplement envie. Elle m'a tout décrit dans le courriel : il était sur le dos, elle accroupie sur lui, juste au-dessus de son sexe. Elle tenait son sexe dans sa main, elle le dirigeait vers son anus... Elle a "frémi de désir" quand elle a placé le gland contre son anus, prête à descendre dessus... Finalement au dernier moment elle s'est dit que ce n'est pas avec lui qu'elle voulait l'essayer, mais avec moi... Pourquoi? Parce qu'elle avait envie "d'offrir la virginité de ses fesses" à quelqu'un qui était plus à l'écoute de ses envies que l'homme allongé sous elle. Je ne connais pas leur vie privé, mais il me semble que c'est normal que parfois certaines choses puissent tenter l'un mais pas l'autre... Mais bon, si elle veut, comme elle dit, "m'offrir la virginité de ses fesses", il est clair que je ne dirais pas non! Elle y met cependant une condition : elle veut que ça se passe sans préservatif et que je jouisse dans ses fesses. Ce sera donc pour le jour où nous en serons rendus là de notre relation, si nous allons jusque là.
Ce que j'ai trouvé intéressant, c'est qu'elle parlait dans son courriel de lait à boire, de sperme que je nettoie, de son jus que je lèche, mais jamais elle ne mentionne qu'elle même pourrait boire quoi que ce soit : son propre lait ou mon sperme. Son lait, je l'ai déjà vu en boire en webcam, donc je sais qu'elle le ferait si je lui demandais. Mais mon sperme? Aucune idée...
Évidemment, je lui au répondu que tout ce qu'elle a décrit, c'est avec plaisir que je le partagerais avec elle : de boire son lait pur à jouir dans son anus, de lécher son corps souillé ou sa chatte dégoulinante de sperme à savourer mes doigts plein de jus un par un devant ses yeux, je suis prêt à tout ça quand elle veut. Elle sait que je suis marié et que je vis avec deux femmes, donc je lui ai proposé de venir à la maison : elle pourra dire qu'elle passe une soirée avec des amies, ce qui ne serait pas faux... Ou alors mes chéries pourront être absentes ce soir là. Je lui ai aussi dit que je n'avais aucun problème à passer une ou même deux nuits à l'hôtel avec elle. Bref, c'est où elle veut, quand elle veut.
En attendant quelle arrive à se libérer pour une nuit, je lui ai proposé de repasser d'autres moments comme celui au motel, que ce soit à nouveau au motel ou ailleurs (autrement dit chez nous). Je lui aussi proposé que, si elle a des activités régulières, je pourrais l'y rejoindre pour soit juste parler, soit juste des trucs simples. L'exemple que j'ai donné : elle rêve de me voir boire de son lait? On peut se retrouver n'importe où, juste 5 minutes, le temps qu'elle me donne un contenant rempli de lait que je boirais devant elle, en public, comme si c'était du cappuccino...
Dans la demi-heure qui a suivi elle m'a répondu que tous les midis, quand il ne pleut pas, elle va promener son bébé en poussette, elle en patins à roulettes, dans un parc proche de chez elle. Elle m'a proposé de l'y retrouver dès le lendemain pour me faire boire de son nectar. Elle m'a proposé soit de la retrouver quelques minutes si je n'ai pas de patins, soit de carrément faire le tour du parc avec elle si j'en ai. Je ne pouvais pas laisser passer l'occasion de la voir en tenue sportive à nouveau... Le lendemain je suis allé m'acheter des patins (j'en ai fait beaucoup plus jeune, mais je ne les avais pas gardé), je me suis pratiquer plusieurs fois pour retrouver mon aisance, et demain midi, s'il fait beau, je la rejoins pour une balade avec collation...