Vendredi 18 mai 5 18 /05 /Mai 14:58

En rentrant du travail hier soir, Isabelle m'a plaqué contre le mur à peine avais-je franchi la porte, pour me déshabiller et prendre mon sexe en bouche... Elle m'a ensuite emmener dans le salon et a pris le verre vide qui était sur la table... elle m'a dit de m'asseoir dans le divan... 

 

Elle s'est mise debout devant moi, et a soulevé sa jupe... Elle ne portait pas de culotte... Quelques instants plus tard, le verre se remplissait de son urine chaude, sous mes yeux... 

 

Une fois plein, elle a passé ses doigts entre ses jambes pour récupérer quelques gouttes trainantes, puis les a léchées... Elle m'a tendu le verre, que j'ai pris volontiers, et tout en maintenant sa jupe retroussée est venue s'asseoir sur moi, sur mon sexe...

 

J'ai savouré tranquillement le verre, mon amante sur mes genoux, mon sexe en elle... C'était très agréable...

 

Puis il y a eu un bruit... j'allais tourné ma tête pour regarder en direction du bruit quand Isabelle a saisi mon visage de ses deux mains et m'a proposé un long, très long baiser... et pour la première fois depuis que j'étais en elle, elle a commencé à bouger... 

 

Elle m'a ensuite murmuré : "va dans la chambre... Clarisse t'y attend...", et elle s'est levée, se désengageant de moi...

 

J'ai posé le verre vide que je tenais encore, puis je suis allé dans la chambre... ma chérie y était, effectivement, nue... elle m'a dit de venir m'allonger sur le lit, ce que j'ai fait... puis elle est venue s'asseoir sur mon visage...

 

Quand j'ai commencé à la savourer, ce n'était pas le goût habituel... Quand quelque chose a coulé dans ma bouche, j'ai compris... elle venait tout juste de se faire éjaculer dans la chatte par un homme, et c'est son sperme qu'elle m'offrait... 

 

Pendant que je récupérais tout, elle s'est un peu décalée sur mon visage... ça a aussi coulé de son anus... elle s'est faite prendre en double pénétration pendant que notre amante s'occupait de moi le temps que ma chérie soit prête... Tout en me régalant j'ai alors compris que le bruit que j'ai entendu du salon était la porte d'entrée qui se refermait... deux hommes ont attendu que j'arrive pour jouir dans les deux trous de ma chérie, à sa demande bien sûr... 

 

Une fois que j'ai nettoyé ma chérie avec application, Isabelle est venue nous rejoindre, et on a fini à trois, en faisant l'amour en parlant, riant, heureux d'être si bien les trois ensembles...

Par Etienne - Publié dans : Plaisir simple
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Vendredi 18 mai 5 18 /05 /Mai 13:44

Ma chérie s'est réveillée en pleine nuit, en sueur... Elle m'a alors réveillé, et m'a dit tout bas pour ne pas réveiller notre amante : "Prends-moi sans préliminaire s'il te plait..." Elle était presque suppliante... Quand j'ai acquiescé à sa demande, elle m'a susurré : "pas ici, dans le salon..."

 

Dans notre "jargon" sexuelle, le "prends-moi sans préliminaire" veut dire une sodomie sans que je la pénètre vaginalement avant. Dans ce cas je mets du lubrifiant sur mon sexe, et je pousse doucement mais fermement contre son anus jusqu'à ce que je sois entièrement en elle... pas de va-et-vient, juste un seul mouvement en avant, sans pause...

 

On est allés dans le salon, j'ai pris du lubrifiant... Elle s'est mise à genoux sur le divan, les coudes sur le dossier du divan... Je me suis placé derrière elle après m'être badigeonné le sexe de lubrifiant... Il y avait des gouttes de sueur partout sur son corps... Pourtant il ne faisait pas très chaud... Je lui ai demandé si ça allait, et elle m'a répondu : "oui... s'il te plait, vas-y fort cette fois... d'un seul coup et fort...". Je lui ai dit que ça allait lui faire mal... Elle m'a juste répondu : "s'il te plait..."

 

Alors je suis rentré d'un seul, et vraiment fort en elle... mes mains sur ses hanches je la tenais bien pour être sûr qu'elle ne se dégage pas en avançant... Sous la force de la pénétration et probablement la douleur qu'elle a due ressentir, j'ai cru que ses jambes n'allaient pas la supporter et qu'elle allait tomber sur le divan... mais son fléchissement n'a été que de très courte durée...

 

Comme une fois au fond d'elle j'ai arrêté de bouger, elle m'a dit, à voix très basse : "encore..."

 

Alors je l'ai pilonnée... Longuement...

 

Quand j'ai arrêté, elle pleurait... Je lui ai demandé ce qui n'allait pas, parce que je me doutais que ce n'était pas la douleur de la pénétration qui la mettait dans cet état... Alors elle m'a dit ce qui s'est passé... Elle a rêvé, ou plutôt cauchemardé, que notre maitresse et moi nous la quittions. La raison que je donnais c'était qu'elle était incapable de recevoir ma bite d'un coup dans son cul sans préparation, et dans son cauchemar Isabelle se mettait à quatre pattes, j'ouvrais ma braguette et je lui enfonçais tout d'un coup...

 

J'ai pris ma chérie dans mes bras... on s'est allongés sur le divan... Je l'ai rassurée, ce n'était qu'un cauchemar... Elle a fini par se rendormir, dans mes bras, sur le divan...

 

Au matin, quand on s'est réveillé, notre amante était assise dans un fauteuil proche de nous, à lire un livre... Elle nous a souri puis a dit à la blague : "je ronflais si fort que ça?" On lui a expliqué le cauchemar... Elle est venue s'allonger avec nous sur le divan en disant que la situation actuelle était parfaite pour elle, et que jamais elle ne voudrait laisser ne serait-ce qu'un de nous deux...

 

Et nous avons fait l'amour... Pas très longtemps, parce que nous devions tous les trois aller travailler, mais ça a été très chargé émotionnellement, très intense...

 

Lorsque le soir je suis rentré, ma chérie s'est jettée dans ma bras, et on ne s'est pas décollés l'un de l'autre... Quand Isabelle est arrivée, elle est aussitôt venue nous rejoindre et nous avons refait l'amour tous les trois, aussi intensément que le matin...

 

Un cauchemar, ça arrive, et ça trouble le réveil, les premières minutes après le réveil, je suis bien d'accord... Mais que ça dure jusqu'au soir, c'était particulier... 

Par Etienne - Publié dans : Vie privée
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Jeudi 17 mai 4 17 /05 /Mai 07:22

Si vous avez lu mon premier texte sur ma collègue, vous savez qu’elle souhaite que j’éjacule dans son café… Et bien ça a été fait le lendemain de cette demande…

 

Elle m’a envoyé le même genre de petit courriel très court que la veille : en objet elle avait juste indiqué « café crème? », et rien dans le corps du message. Sans répondre au courriel je suis allé la voir à son bureau… sa tasse de café fumait à côté de son ordinateur… Je lui ai demandé à haute voix puisque personne ne pouvait deviner de quoi il s’agissait : « je le fais tout seul ou tu veux m’aider? ». Elle m’a souri et sans un mot elle a pris sa tasse et s’est levée.

 

Sans nous consulter, nous avons marché jusqu’à un coin du sous-sol qui est toujours vide. On n’aurait pu prendre le bureau vacant que j’avais utilisé lors de cette histoire, mais je ne le lui ai pas proposé et je pense qu’elle préférait être plus loin…

 

Au sous-sol j’ai ouvert ma braguette et sorti mon sexe… elle l’a pris dans sa main libre et a commencé à me caresser… une fois bien dur elle l’a aussi pris en bouche…

 

Lorsque je lui ai annoncé que j’allais bientôt jouir, elle a approché la tasse… elle a penché mon sexe… J’ai vu qu’elle n’était pas à l’aise avec cette position, elle avait soit peur de me faire mal, soit de renverser du café, alors j’ai pris le relai, en me masturbant et en plaçant mon sexe dans la meilleure position pour ne pas perdre une goutte de ce qui allait sortir…

 

Et j’ai joui dans le café…

 

Des filaments blanchâtre flottaient dessus…

 

Avant que je rentre mon sexe dans mon caleçon, elle me l’a nettoyé comme elle sait si bien le faire… Puis elle a goûté au café…

 

Elle était déçue…

 

J’aurais pu lui dire avant que le goût du sperme ne paraitrait pas dans un café car le goût de ce dernier est trop prononcé et efface celui du sperme, mais je l’ai laissée le découvrir par elle-même…

 

Elle a dit que même si elle était déçue du résultat final, l’action à accomplir, l’image du sperme giclant de l’urètre dans le café était excitante…

Par Etienne - Publié dans : Plaisir simple
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Lundi 14 mai 1 14 /05 /Mai 13:34

Je vous ai déjà parlé de la représente d’une compagnie que j’ai rencontrée à plusieurs reprises dans le cadre de mon travail. Lors de notre dernière rencontre, nous nous étions mutuellement caressé, jusqu’à jouir, mais sans aller plus loin. Elle est revenue il y a trois semaines…

 

Lorsqu’un collègue est venu me voir au tout début de la journée pour me dire que quelqu’un souhaitait me parler et que j’ai vu qu’il s’agissait d’elle, je lui ai fait un grand sourire… Nous sommes allés dans le petit bureau où nous rencontrons les citoyens et les professionnels, le même que la dernière fois…

 

Après les banalités d’usage, nous avons parlé travail. Nous avons réglé certains points litigieux, puis elle m’a dit qu’il ne restait « plus qu’une chose à régler », et elle a un posé un préservatif sur le bureau, la main un peu tremblante…

 

J’ai pris le préservatif, et je lui ai demandé de me suivre… si vous vous rappelez l’article précédent à son sujet, j’avais brièvement décrit la pièce où nous étions en disant qu’une partie du mur était vitrée; nous avions pu nous caresser cachés par le bureau, mais nous n’aurions pas pu faire plus en étant discret… Je l’ai donc emmenée dans un autre bureau, vacant en ce moment, dont la seule fenêtre donne sur l’extérieur avec aucun bâtiment proche en face…

 

Une fois dans le bureau elle a soulevé sa jupe (« premier jour de l’année où il a fait assez chaud pour en porter sans que ça paraisse weird », c’est ce qu’elle m’a dit après coup pour expliquer pourquoi elle était venue ce jour-là…), dévoilant une absence de culotte et un sexe dont les poils étaient taillés… pubis pas imberbe, mais taillée, bien entretenue…

 

Elle s’est appuyée les fesses contre le bureau, et je me suis accroupi pour la savourer un peu le temps de dégager mon sexe… elle était délicieuse…

 

Lorsque je me suis remis debout, le sexe fièrement dressé et couvert du préservatif, elle a passé ses bras autour de mon cou, et je l’ai pénétrée dans la même position qu’elle avait pour le cunnilingus… Tout s’est opéré lentement, mais c’était ô combien plaisant…

 

Nous n’avons pratiqué que deux positions… Celle-ci, debout contre le bureau, et la seconde, où j’étais semi-allongé sur le bureau, elle assise sur mon sexe… J’avais une sublime vue de son décolleté, mais je n’ai pas osé la déshabiller… Elle doit avoir des seins magnifiques… Mes mains restaient sagement sur ses cuisses et ses fesses, les siennes sur mon torse (habillé) ou sur le bureau…

 

Nos gestes étaient relativement lents, mais elle a fini par jouir… des espèces de petites convulsions et le fait qu’elle mette la main sur sa bouche en étaient des preuves flagrantes… Quand j’ai constaté cela ça m’a « déclenché », et j’ai aussitôt joui…

 

Je suis resté un peu en elle, elle assise sur moi… Puis elle s’est relevée, a sorti sa culotte de sa sacoche en me regardant avec un regard qui voulait dire « tu vois, j’avais tout prévu », elle a enfilé cette petite pièce de tissu, a replacé sa jupe, et de mon côté je me suis rhabillé convenablement, en gardant le préservatif dans la main… Je ne pouvais pas le jeter dans la poubelle de ce bureau vacant…

 

En la raccompagnant à la sortie de notre étage, je lui ai dit que « comme d’habitude, mais cette fois-ci encore plus, ça a été un vrai plaisir de te voir ». Elle a ri. Elle a dit qu’elle n’hésitera pas à revenir si d’autres « choses sont à régler ».

 

Je suis retourné à mon bureau, le préservatif toujours à la main… je l’ai vidé dans la tasse qui contenait un reste de thé, et j’ai savouré. J’ai ensuite jeté le préservatif au fond d’une poubelle dans les toilettes, bien caché.

 

Ce que j’ai adoré avec elle? C’est qu’en faisant l’amour, elle souriait… Ses yeux disaient la même chose que son sourire… C’était rafraichissant… Drôle de terme, mais je trouve que c’était rafraichissant… C’est rare qu’avec quelqu’un d’autre que mes chéries il y ait ce genre de sourire tout le long…

Par Etienne - Publié dans : Partenaire inattendue
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Lundi 14 mai 1 14 /05 /Mai 13:06

Vous le savez si vous me suivez depuis le début, je travaille régulièrement les fins de semaine. Avant j’étais seul à l’étage, mais depuis quelques mois j’ai un ou une collègue, ça dépend des fois, qui est aussi présent. Nous sommes donc deux toutes les fins de semaines, avec des tâches différentes. Lorsque cette décision a été prise j’étais un peu déçu, parce que cela voulait dire que l’ancienne secrétaire à la retraite ne pourrait plus venir pour nos petits plaisir occasionnels, comme elle le faisait parfois… Ou du moins qu'elle ne pourrait plus venir à l'improviste : il faudrait prévoir le bon moment...

 

Samedi, c’est ma collègue qui était présente. On a parlé un peu en arrivant et elle m’a annoncé qu’elle était célibataire depuis une semaine. Elle a laissé son conjoint parce que selon elle ils n’avaient plus grand-chose en commun, même si elle l’appréciait beaucoup. Ça faisait un bout de temps déjà qu’elle m’avait dit que ça n’irait nulle part entre eux deux, mais j’ai quand même été surpris que la rupture soit faite.

 

Elle a parlé de ses anciens ex, disant que c’était la première fois pour elle que c’était difficile de rompre, parce que ce n’était pas parce que ça se passait mal ou qu’il y avait des problèmes. Elle disait aussi qu’un de ses ex ayant su qu’elle est à nouveau célibataire, il a recommencé à la texter, à vouloir la voir… Elle m’a dit qu’il n’y avait aucune chance qu’elle retourne avec lui, que c’était un « trou du cul ». Puis elle a rajouté en rigolant : « mais pour une baise par contre… ». J’ai ri et je lui ai dit : « une petite baise de soulagement ». Elle a continué à rigoler en disant que oui.

 

On a continué à parler, puis je lui ai dit que j’allais devoir commencer à travailler parce que j’avais pas mal de choses à faire. Les fins de semaines, comme il y personne d’autre dans ma partie du bureau je mets de la musique, mais pour ne pas déranger ma collègue plus loin à l’étage je ferme ma porte. Je lui ai dit en rigolant : « je ferme la porte pour pas déranger, mais n’hésite pas à venir me voir si besoin, par exemple pour une petite baise de soulagement ». Elle a ri et est allée à son bureau.

 

En milieu de matinée ma porte s’est ouverte, ma collègue a passé sa tête dans le cadre et a demandé : « tu étais sérieux tout à l’heure? ». J’ai répondu : « si on pense à la même chose, oui ». Elle a dit « ok », et a refermé la porte.

 

Je vais vous parler un peu d’elle maintenant… Physiquement elle est brune, relativement grande, un corps très svelte. Je pensais qu’elle faisait beaucoup de sport, mais non, elle n’en fait pas du tout… elle est juste très très chanceuse, parce qu’elle bouffe n’importe quoi et ne grossit pas… elle est très féminine physiquement, et très naturelle. Quand on parle, il n’y a pas de faux fuyant. Par exemple l’autre jour elle avait besoin d’aller aux toilettes, elle m’a clairement dit « Faut que j’aille chier », avec ses yeux rieurs. Bref, pas gênée. Mais jamais nous n’avons parlé sexe.

 

Le midi même si nous ne sommes que tous les deux au bureau, nous ne mangeons jamais ensemble. Ne me demandez pas pourquoi, je n’en ai aucune idée, c’est comme ça, simplement.

 

En début d’après-midi, la porte de mon bureau se rouvre, elle passe la tête entre le cadre et la porte entrebâillée et me demande : « Je peux te déranger? ». « Oui, oui, bien sûr ».

 

Et elle est entrée dans le bureau, entièrement nue… Elle a posé son linge sur un des bureaux, une boite de préservatifs dans la main, et elle est restée debout devant moi… Je regardais son corps, qui était très agréable… Des petits seins, mais en harmonie avec le reste de ses formes…

 

Avant de la toucher je me suis mis debout, et je me suis déshabillé, mon sexe en érection… Elle s’est alors accroupie devant moi, et a pris mon sexe en bouche, sans l’ombre d’une hésitation…

 

Pendant qu’elle jouait avec mon sexe, je me suis rassis sur ma chaise, jambes écartées… Elle léchait tout… sexe, gland, testicules… Elle alternait entre disparition complète de ma bite en elle et léchage du bout de la langue de toute ma tige… Elle allait me faire jouir, ce qui était hors de question…

 

Je me suis alors levé, et à son tour elle s’est assise sur ma chaise, jambes écartées… et j’ai commencé à la lécher… clitoris… l’intérieur d’elle… elle était délicieuse… j’ai agrémenté ce plaisir de mes doigts en elle…

 

Comme je le fais souvent lorsque c’est la première fois que je partage un tel moment avec une femme, par moment je passe ma langue un peu plus bas que le sexe, et je vois comment elle réagit… dans son cas, elle n’a rien dit… après quelques passages éclairs sur son anus, j’ai décidé de m’y attarder… Elle n’a rien dit, mis à part des gémissements…

 

Après un long moment de jeux entre ses cuisses, je me suis redressé, j’ai pris la boite de préservatifs, je l’ai ouverte, et j’en ai enfilé un… Pendant que je faisais cela, elle se caressait sous mon regard envieux…

 

Pour être un peu plus à la hauteur de mon sexe, elle est passée de la chaise à mon bureau… assise les fesses dessus, mon sexe est entré elle très facilement… et je vous assure que ça n’a pas été une partie de jambes en l’air paresseuse… ça a été très énergique… Très rapidement j’ai constaté qu’elle avait envie de mouvements « furieux »… Je l’ai prise par toutes les positions possibles sur mon bureau (en pénétration vaginale) : elle assise, moi assis elle assise sur moi, elle debout penchée en avant au-dessus du bureau, etc…

 

Puis elle m’a dit : « on va dans le bureau du boss? » J’ai ri, mais j’ai acquiescé. Seul problème : il y a quelques caméras à notre étage, juste à un endroit précis, mais pour aller dans le bureau de notre boss il faut passer à cet endroit précis… On s’est alors rhabillé, très succinctement, on est allé dans le bureau de notre boss, et on s’est enlevé mutuellement nos habits avec frénésie, avant de me remettre un préservatif et de baiser à nouveau, sur le bureau de notre chef…

 

On a trempé le bureau de notre boss de sueur…

 

Au bout d’un certain temps, alors que ma collègue était allongée sur le dos sur le bureau de notre chef, les jambes pendantes dans le vide, et que je lui défonçais son adorable chatte à grands coups de reins, tout en essayant de caresser son clitoris ce qui n’était évidemment vu comment on bougeait, elle a joui… J’ai gardé le même rythme le temps de son orgasme, puis je me suis retiré, et je me suis laissé tomber sur la chaise de notre boss… j’étais épuisé, en sueur, et elle aussi… Elle est restée allongée sur le bureau, sans bouger, à reprendre son souffle…

 

Après un certain moment, je l’ai entendu dire, sur un ton enjoué : « j’aurais aimé ça dans l’anus, sur ce bureau ». Il y a eu un silence de quelques secondes puis elle a dit, sur un ton rêveur : « me faire enculer sur le bureau de mon chef… ». Elle a éclaté de rire, puis s’est redressée sur les coudes. Elle a alors vu que je pointais quelque chose avec mon doigt. Elle a regardé ce que je montrais : et oui, j’étais encore en érection… Je lui ai dit : « je n’ai pas encore joui, alors si tu veux ce que tu viens de dire… »

 

Elle a cessé de rire pour sourire… elle s’est retournée, le ventre sur le bureau, les jambes écartées, pieds au sol… j’ai commencé par passer ma langue entre ses fesses… c’était toujours délicieux, très salé, très juteux…

 

Puis sans préparer la pénétration avec des doigts, j’ai directement posé mon gland protégé par le préservatif devant son anus… Alors que je poussais lentement, comme je le fais toujours pour la première pénétration sauf cas exceptionnel (cas exceptionnel = ma chérie quand elle veut me sentir passer violemment...), c’est elle qui s’est reculée pour que je m’enfonce rapidement dans ses intestins…

 

Sauf avec ma chérie, jamais je n’ai été aussi énergique dans un anus… mon ventre cognait ses fesses à un rythme fou… je l’attirais contre moi violemment mes deux mains sur ses hanches…  

 

Rapidement elle a joui à nouveau… Mais cette fois, contrairement à la pénétration vaginale, pendant l’orgasme elle s’est dégagée de moi… j’ai pu regarder son petit trou alterner entre contractions et dilatations rapides…

 

J’ai alors demandé à ma collègue si elle voulait que je revienne en elle… elle m’a dit que non, qu’elle n’en pouvait plus, mais qu’elle voulait que l’on recommence la prochaine fin de semaine où l’on travaillera ensemble… Qu’elle voudra la « même même chose »… Aucun problème…

 

Puis elle a vu que j’étais encore en érection… Je n’avais pas encore joui, trop concentré sur ce que je lui faisais… Elle m’a demandé comment j’avais envie de jouir, sachant que son anus était « temporairement indisponible »… Je lui ai dit que j’adorerais sentir ses mains sur mon sexe…

 

Elle m’a demandé de m’asseoir dans la chaise, ce que j’ai fait… Puis elle s’est accroupie devant moi, et effectivement, elle semblait avoir un peu mal à l’anus… Elle a eu un peu de mal à trouver une position non douloureuse... Elle a retiré le préservatif et a commencé un mélange de masturbation et de fellation qui a abouti par une éjaculation dans sa bouche…

 

Lorsque mon sexe est sorti de sa bouche, il était parfaitement propre…

 

Nous nous sommes rhabillés, et nous avons continué notre journée, qui était presque finie, comme si de rien n’était…

 

Finalement nous n’avons pas attendu la fin de semaine suivante où nous travaillerions ensemble… Le lendemain matin, donc le dimanche matin, nous sommes arrivés en même temps au bureau. En montant les escaliers vers notre étage, elle m’a demandé, avec son franc parlé habituel, naturel : « on rebaise ce matin? ». En franchissant la porte de notre étage je lui ai répondu que ce sera avec plaisir… Elle m’a ensuite demandé si j’étais d’accord pour l’aider à vivre un fantasme. Évidemment que j’étais partant! Je lui ai demandé lequel c’est, elle m’a répondu : « Un truc très simple. Je voudrais faire une longue fellation pendant laquelle je boirais mon café ». C’était effectivement très simple! Je le lui ai fait remarquer, alors elle m’a dit : « en fait mon fantasme complet c’est de faire une fellation en buvant mon café et fumant une cigarette, mais on ne peut pas dans les bureaux, ça déclencherait l’alarme ».

 

Oui, j’ai oublié de dire qu’elle fume. Elle fume beaucoup. C’est particulier : elle fume beaucoup, elle mangue beaucoup, elle ne fait aucun sport, mais elle a un corps qui rendrait jalouses beaucoup de femmes…

 

Revenons à son fantasme… Je lui ai répondu qu’effectivement on ne peut pas dans les bureaux, mais il y a deux endroits où l’on pourrait : dans le sous-sol du bâtiment, qui n’est pas équipé partout de détecteur de fumée, ou sur le toit. Au sous-sol, ce serait sombre et sale, et sur le toit il faudrait attendre un peu que le soleil soit plus haut dans le ciel pour ne pas avoir froid… On a choisi le toit. Le bâtiment où sont nos bureaux étant le plus haut du secteur, personne ne pouvait nous voir. Et le dimanche, tout le bâtiment est vide, pas juste notre étage. On était donc assuré d’être tranquille…

 

Elle m’a alors dit : « puisqu’il faut attendre, on baise quand même un coup pour patienter? ». J’ai répondu sur le même ton qu’elle, en jouant : « avec plaisir. Tu las veux où? ». Elle s’est esclaffée et m’a répondu : « pas dans le cul en tout cas, ce sera vraiment juste pour la prochaine fin de semaine commune! Il est en réparation pour le moment! »

 

Quelques instants plus tard ma bite entourée de latex était dans son adorable sexe, moi assis sur le bureau, les jambes dans le vide, elle assise sur mon sexe, ses jambes autour de ma taille... Par moment elle se redressait, se mettant debout sur le bureau au-dessus de mon visage pour que je la savoure, avant de se rasseoir sur moi…

 

Ça a vraiment été une « baise sociale ». Aucun de nous n’a joui, on s’est juste fait plaisir, comme on peut se faire plaisir en buvant un verre avec des amis… Puis on s’est mis chacun de notre côté à travailler…

 

Vers 11h ma collègue m’a envoyé un courriel, avec seulement un objet qui disait : « pause café-cigarette-bâton!!! ».

 

Je suis sorti de mon bureau pour la rejoindre et je lui ai dit en rigolant : « bâton?? Très élégant! ». Elle a ri et a répondu : « je ne pouvais pas mettre le terme qui me venait à l’esprit dans la messagerie du bureau! ». Puis elle a dit : « pause café-cigarette-bite! ».

 

Tout en la suivant dans l’escalier qui montait sur le toit, je regardais son joli petit cul à travers son pantalon et je passais ma main entre ses cuisses, pour commencer à l’exciter à travers le linge… Elle tenant sa tasse de café dans une main, son paquetde cigarette dans l’autre…

 

Arrivés à la porte menant sur le toit, j’ai sorti la clé pour la déverrouiller. Il ne faisait pas très chaud, mais pas froid non plus… On a fait le tour du toit en marchant tranquillement, puis je lui ai dit : « on aurait dû monter deux chaises quand même… ». Je suis redescendu en chercher deux, que j’ai placées au milieu du toit, pour être sûr de ne pas pouvoir être vu de plus bas…

 

Je me suis assis sur une des chaises… Ma collègue sur l’autre, devant moi… Elle a allumé une cigarette, puis s’est penchée en avant et a ouvert ma braguette pour sortir mon « bâton »…

 

Elle a embrassé mon gland du bout des lèvres, puis a continué à fumer tranquillement, mon sexe sortant de mon pantalon… elle s’est alors déchaussée, et a commencé à me le caresser avec ses pieds… Et on s’est mis à parler, de tout et de rien…

 

Par moment elle s’agenouillait devant moi et prenait mon sexe en bouche pour une fellation… ses lèvres étaient asséchées par la cigarette, ce n’était pas la fellation la plus douce de ma vie… mais j’aimais bien quand même… en fait ce qui touchait ses lèvres était en alternance irrégulière sa cigarette, sa tasse de café et mon sexe… Tout en parlant de tout et de rien…

 

Encore une fois, c’était un acte très « social »… Pas d’orgasme, mais beaucoup de plaisir nonchalant…

 

Assez rapidement elle a elle-même déboutonné son pantalon pour glisser une main, lorsqu’elle était libre, dans sa culotte…

 

Étant quand même pas mal excité par la situation, je me suis moi aussi accroupi devant elle, j’ai tiré son pantalon jusqu’à ses chevilles, et je lui ai léché le sexe… elle a passé ses jambes autour de ma tête, son pantalon toujours sur ses chevilles… Ses jambes reposaient sur mes épaules… Pendant que je lui procurais du plaisir oral, elle fumait… son café était déjà fini depuis un certain temps…

 

Nous alternions les positions... Nous avons cessé après qu’elle m’ait fait jouir dans sa bouche d’où s’échappait de la fumée de cigarette, accroupie devant moi, ses yeux plantés dans les miens…

 

Comme la veille, elle m’a rendu un sexe parfaitement propre…

 

Nous nous sommes rhabillés, puis nous sommes redescendus à notre étage…

 

Quelques instants après avoir rejoint nos bureaux respectifs, j’ai reçu un courriel disant : « Encore mieux que ce que j’imaginais… merci… ». J’ai répondu : « Tu donnes un nouveau sens au terme ‘pause-café’, j’adore ça… ». Je n’ai pas eu de réponse immédiate, mais quinze minutes plus tard elle m’a envoyé un courriel disant : « photo pour toi devant ta porte ». Je suis allé ouvrir ma porte, et effectivement, il y avait une photo d’elle montrant seulement en vue en plongée son ventre plat et ses cuisses, avec une cigarette posée sur la cuisse gauche, et une tasse sur la cuisse droite…

 

Je lui ai répondu par courriel : « Magnifique photo qui donne envie d’une nouvelle pause… »

 

Elle m’a répondu d’un « J »

 

Nous n’avons rien refait de la journée… Par contre au moment de partir dimanche en fin d’après-midi, je suis allé la voir et je lui ai rapporté sa photo. Enfin, pas vraiment… J’ai pris en photo sa photo initiale, je l’ai imprimée sur du papier photo (nous en avons au bureau car parfois nous devons en imprimer), et juste avant de partir je me suis masturbé jusqu’à éjaculer dessus… j’ai attendu le plus longtemps possible, car comme elle m’avait fait jouir le matin, je n’avais pas vraiment de « réserve »…

 

Ce que j’ai rapporté à ma collègue, c’est donc sa photo réimprimée sur papier photo pour qu’il soit plus étanche, et sur laquelle mon sperme avait giclé… Quand je lui ai porté la photo, elle a bien ri… Elle a regardé et m’a dit : « ça me donne une envie… tu éjaculerais dans mon café? ». Je lui ai dit que oui, avec plaisir, mais une autre fois parce que là j’étais vide…Elle a ri de plus belle, et m’a dit « la prochaine fin de semaine ensemble? » Je lui ai répondu que pour une éjaculation dans le café, ça peut être n’importe quand… Je peux aller m’isoler aux toilettes pour le faire, ou même on peut se trouver un coin tranquille n’importe quand en semaine pour le temps d’une éjaculation… Elle a souri, puis a monté sa photo à son visage et a léché le sperme qui était dessus avant de la ranger dans un de ses tiroirs. Et il était l’heure de partir…

 

J’étais bien content d’avoir joui deux fois aujourd’hui, parce que lorsque je suis arrivé à la maison mes deux chéries étaient nues sur une chaise longue, au soleil, à se procurer du plaisir… Vous savez que parfois je les laisse entre elles, ce que je pensais faire quand je les ai vu ainsi, mais elles m’ont demandé de les rejoindre… J’ai pu leur faire l’amour longtemps, très longtemps, sans craindre de jouir trop vite…

Par Etienne - Publié dans : Partenaire inattendue
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