Mercredi 2 novembre 3 02 /11 /Nov 15:46

Pendant qu’elle décidait ce qu’elle allait porter, je me suis habillé. Alors que j’allais enfiler un caleçon, elle m’a dit que comme pour elle, elle préférait que je ne mette rien sous le pantalon. Aucun problème!


Elle m’a ensuite demandé de sortir de la chambre, sous prétexte que si je n’étais pas capable d’être plus précis dans ce que je voulais qu’elle porte, elle allait me faire la surprise, donc que je ne devais pas la voir s’habiller. J’ai acquiescé en riant et je lui ai demandé si elle avait une idée précise de ce qu’elle voulait manger. Elle m’a répondu que si j’avais de quoi faire une salade consistante (salade, tomate, morceau de poulet ou tout autre viande, fromage, pomme, olives, etc.) ça ferait son bonheur.


Je suis allé dans la cuisine, et comme par hasard, le frigo avait été rempli dans l’après-midi avec exactement ce que ma « conjointe » avait mentionné. Mes chéries avaient vraiment tout prévu dans les moindres détails…


Alors que je préparais le tout, Crystal (pseudonyme que je choisis pour l’histoire; cliché, je sais, j’assume…) est apparue. Légèrement remaquillée, mais surtout dans un pantalon de yoga blanc ultra-moulant, et une brassière sexy, moitié blanche, moitié transparente. Encore une fois, elle était d’une beauté incroyable, et je le lui ai dit.


Elle m’a rejoint au comptoir où je préparais la salade, s’est collée à mon dos embrassant mon cou, passant ses mains sur mon ventre, et m’a demandé si je pouvais l’aider à quelque chose. Je lui proposé d’aller chercher nos verres vides qui sont sur le bord du spa pour que l’on se serve à nouveau quelque chose à boire. Elle m’a fait tourner la tête, m’a embrassé sur la bouche, puis est sortie les chercher.


Lorsqu’elle est revenue, elle tenait deux verres pleins! Elle m’a dit sur un ton faussement désolé qu’elle n’avait voulu en remplir qu’un seul, mais qu’il fallait bien qu’elle finisse ce qu’elle avait commencé… Et elle a ajouté que du coup les deux verres étaient pour moi. 


J’ai baissé les yeux, et au travers de son pantalon de yoga blanc moulant je voyais clairement que son sexe avait encore une fois gonflé… J’ai posé le couteau que je tenais, je me suis rincé les mains et je me suis approché d’elle. Je lui ai dit : « apparemment remplir les verres t’a excité », tout en passant ma main sur sa queue au travers du linge. Sa réponse a été : « Autant les remplir que t’imaginer les boire ».


J’ai pris un verre dans une main, et j’en ai bu une gorgée tout en caressant son sexe… Je l’ai senti durcir encore plus… Je me suis accroupi, j’ai dégagé l’objet de ma convoitise d’une main, et tout à la regardant le plus possible dans les yeux, j’ai commencé une fellation, alternant entre une gorgée d’urine chaude et quelques va-et-vient… 


L’urine avait un goût légèrement trop prononcé pour que je puisse dire qu’elle était excellente, mais c’était agréable de la boire…


Quand j’ai fini le premier verre, je l’ai posé au sol et j’ai pris le second des mains de ma partenaire. J’ai rempli ma bouche au complet avec, et précautionneusement, pour ne pas faire de dégât, j’ai repris la fellation… J’ai sucé Crystal, sa verge faisant des va-et-vient dans ma bouche pleine de sa propre urine… J’imposais un rythme moyen, faisait surtout attention à ce que mes lèvres restent bien hermétiques autour de son sexe… Elle avait les deux mains posées sur ma tête, suivant mon rythme…


Puis elle a pris la relève… Par une pression de ses mains, elle a augmenté la cadence et la profondeur de la pipe… Je vous assure que ce n’est pas facile de garder les lèvres bien fermées sur un objet et de respirer en même temps, la bouche pleine d’un liquide… De dominateur, je suis passé à soumis. Je ne peux pas nier que c’était agréable… Elle maintenait parfois son gland dans ma gorge quelques secondes avant de me permettre de recommencer les mouvements… Parfois elle était lente, parfois rapide… Puis elle a tout arrêté, et dans ma gorge j’ai senti son gland se gonfler un peu plus, j’ai senti Crystal trembler sur ses jambes, puis gémir… Je n’ai pas senti de sperme gicler, mais il était évident qu’elle venait de jouir encore une fois…


Elle a retiré doucement sa queue de ma bouche… Je l’ai regardé dans les yeux, puis j’ai avalé toute l’urine que j’avais dans la bouche… J’ai bu ce qui restait dans le second verre que j’ai tenu en main pendant toute la fellation plus violente, mais avec tous les mouvements je n’ai pas été très stable… Un peu d’urine était répondue sur le sol…


Alors que Crystal allait remettre son sexe dans son pantalon, je lui ai dit d’attendre 30 secondes, j’allais le nettoyer un peu mieux avec un linge humide. Je me suis levé, je suis allé chercher ce dont j’avais besoin, j’ai nettoyé ma partenaire puis j’ai nettoyé les dégâts au sol.


Je suis alors revenu vers elle. Elle n’avait pas bougé. J’avais remis sa queue dans son pantalon, mais elle était encore debout au même endroit, et n’avait pas dit un mot. Ne voulant pas lui faire sentir mon haleine d’urine, ne sachant pas si elle aimerait ou non, je suis allé me placer derrière elle, comme elle l’avait fait avec moi quand je préparais la salade au comptoir, et je l’ai enlacée… Je lui ai demandé si tout allait bien. Ça a semblé la sortir de sa torpeur. Elle s’est retournée, m’a dit que oui et m’a embrassé, malgré mon haleine. Puis elle m’a dit : « je te propose de continuer moi-même la salade pendant que tu vas faire le ‘nettoyage requis’, si tu veux bien. Parce que je ne pourrais pas me retenir toute la soirée d’aller dans ton corps à cet endroit… ».


Je l’ai embrassé à nouveau, et je suis allé dans la salle de bain…


Lorsque je suis revenu dans la cuisine, Crystal était assise dehors, sur une chaise, en train de boire un verre de vin. La salade semblait quasiment prête, du poulet en morceaux frémissait dans une poêle, tous les légumes étaient coupés. Je me suis aussi servi en verre et je suis allé la rejoindre. Arrivant par derrière, j’ai posé ma main sur son cou, je me suis passé à côté d’elle, et je me suis penché pour l’embrasser tendrement.


Elle m’a rendu mon baiser, puis j’ai pris une chaise que j’ai placée un peu devant elle, à 90°. J’ai alors pris ses deux jambes, que j’ai posées sur les miennes, ses mollets sur mes cuisses, et nonchalamment je lui caressais les pieds, les mollets, un peu le bas des cuisses, tout en discutant…


De quoi avons-nous parlé? Tout d’abord, elle a tenu à s’excuser. Je lui ai demandé pourquoi, et elle m’a répondu que c’était pour le moment où elle a « figé », après la fellation dans l’urine. Je lui ai dit que tant qu’elle va bien, qu’il n’y a rien eu de mal, elle n’a pas besoin de s’expliquer. Elle m’a remercié, et m’a dit qu’elle s’excusait quand même…


Pour détendre l’atmosphère, j’ai changé de sujet et je lui ai demandé ce qu’elle a voulu dire tout à l’heure quand elle a mentionné « J’ai été testé par tes femmes sur ce point-là, je te raconterai après. J’ai envie de toi en moi… ». Elle a ri, et m’a tout raconté.


Magali, du moins je suppose que c’était elle, l’a appelé une première fois au téléphone disant qu’elle cherchait une transsexuelle pour faire plaisir à son mari. Comme elle me l’a dit au début, ce genre de demande est plutôt inhabituel. La plupart du temps ce sont des personnes célibataires ou alors qui veulent cacher cette relation à leurs conjoints/conjointes. Rarement, ce sont des couples. Mais qu’une personne appelle pour son mari, c’était la première fois. Magali a demandé si elle proposait ses services pour des périodes de 2 jours, soit d’un vendredi soir à un dimanche soir, et si oui si ça pouvait être au domicile du client. Elle a ensuite demandé si Crystal acceptait tout, c’est-à-dire pénétrer, se faire pénétrer, les fellations et à éventuellement les jeux d’urine. Elle avait répondu que oui pour tout ce qui est rapport sexuel, avec protection. Que pour les jeux d’urine, elle accepte d’en donner et d’en recevoir, mais pas dans sa bouche.


Après ces premières réponses, ma chérie a proposé à Crystal de passer à la maison, en mon absence, pour parler plus en détails du « programme » du potentiel weed-end, et ce en payant le prix d’une prestation. Évidemment, elle a accepté.


Quand elle est arrivée chez nous, je n’étais pas là, bien sûr, mais mes deux chéries étaient présentes. Elles se sont présentées, lui ont proposé quelque chose à boire, puis lui ont fait faire le tour de la maison et de la cour, tout en parlant. Elles lui ont montré des photos de nous trois, de moi, avant de poser deux questions bien précises. D’abord la première : « Est-ce que tu voudrais bien te mettre nue devant nous, que l’on voit si ton corps plaira à notre mari? ». Cette demande n’a pas gêné Crystal, elle a l’habitude de se déshabiller devant ses clients, et dans le cas présent, puisqu’elle était payée pour cette rencontre, mes chéries étaient ses clientes. Alors elle s’est déshabillée. 


Une fois nue, après avoir été regardée intensément, la seconde question a été posée : « Si tu jouis, es-tu capable d’être à nouveau en érection peu de temps après? Pas nécessairement être capable de jouir à nouveau, mais au moins d’être assez dur pour que le plaisir puisse reprendre avant le lendemain? ». Elle a répondu que oui, sans problème. Et mes chéries lui ont demandé une preuve… Crystal a alors demandé si elle devait agir seule ou s’il y avait une volontaire pour l’aider. Ne me demandez pas pourquoi, mais je n’ai pas été surpris quand elle a dit que Magali s’était portée volontaire! Crystal a été clair : pour le moment, elle ne ferait rien sans préservatif. Donc soit il fallait en enfiler un, soit c’était juste une branlette faite par Magali. Ma chérie a répondu que la première fois sera à la main, mais que la deuxième, pour vérifier qu’elle redevienne dur rapidement, ce sera une sodomie avec préservatif. Pourquoi? Pour faire un test comme en condition réelle. Et c’est ce qui a été fait. Ma chérie l’a branlée pendant quelques instants, le temps qu’elle jouisse sur ses seins qu’elle avait dénudés. J’ai fait remarquer que Magali lui a sûrement dit que c’était du gâchis de sperme. Elle a ri et répondu que oui, alors que pour ne pas la vexer elle s’est accroupie et lui a nettoyé la poitrine à la bouche.


À la fin du nettoyage, Crystal alors posé la question suivante : « Prête pour la sodomie? Moi oui ». Clarisse a alors sorti un préservatif, l’a déroulé elle-même sur la verge à nouveau bien dure, et Magali s’est mise complètement nue. Apparemment, ça été une bonne partie de plaisir à laquelle Clarisse s’est finalement jointe. Juste de la sodomie, mais dans divers positions et divers combinaison, des doigts ayant été utilisés dans les anus libres de sexe (celui de Crystal, et en alternance celui de mes deux chéries).


Puis la question la plus délicate a été posée : elles ont demandé si sur présentation mutuel d’un test sanguin négatif, elle accepterait que tout se fasse sans protection. Là, Crystal m’a dit ne pas avoir répondu tout de suite. Elle a regardé à nouveau les photos de tous les trois, s’est levée, a marché un peu dans la maison, dans le jardin, puis a dit : « J’accepte ».


Il parait que mes chéries étaient aux anges. Elles lui ont alors demandé ce qu’elle aimait manger et boire en règle générale, elles lui ont montré ce que je possède comme linge, elles lui ont dit comment j’aimais que des femmes soient habillées… Crystal n’a posé qu’une question : « pourquoi vous m’en dites ou vous m’en demandez autant? ». La réponse de mes chéries a été en gros la suivante : « Notre chéri est super attentionné, et on sait qu’il le sera avec toi. Il va te demander ce que tu auras envie de manger pour te faire plaisir, alors si on sait à l’avance quelles genres de choses tu aimes, on les achètera à l’avance et il les trouvera lorsque le temps viendra. On se doute aussi qu’il va te demander comment tu veux qu’il s’habille, parce qu’il va vouloir te plaire le plus possible physiquement. Alors en te montrant à l’avance quel genre de linge il a, tu pourras lui répondre facilement. On veut que la fin de semaine où vous serez ensembles soit mémorable, on veut qu’il soit bien, et le connaissant, pour cela il faudra que toi aussi tu sois bien, que tu sois contente d’être là. Alors on met toutes les chances de notre côté pour que tu te sentes le plus à l’aise possible, pour que lui aussi le soit ».


Elles lui ont dit tout ce que j’aime : fellation, sodomie, doigtage, jouet, urine, sperme, et ce dans n’importe quel ordre. Elles lui on dit de ne pas hésiter à prendre l’initiative…


Lorsqu’elle a fini de dire tout ce qui s’est passé pour préparer le week-end, elle a aussitôt enchaîné sur le fait que l’on avait l’air d’être à la fois fusionnels, libres, et heureux, mes deux chéries et moi. J’ai bien sûr confirmé, et je lui ai raconté comment nous nous sommes rencontrés, d’abord ma chérie et moi, puis Clarisse, comment elle s’est intégrée dans notre couple, comment est notre style de vie, nos jeux sexuels, etc.


Évidemment toute l’histoire a été longue. Nous ne sommes pas restés dehors tout le temps. Rapidement nous avons dû retourner dans la cuisine pour ne pas que le poulet brûle, puis nous avons mangé. L’histoire a duré plus longtemps que le repas, et nous sommes retournés dehors pour siroter un cocktail. 


C’est alors que nous étions chacun allongé sur une chaise longue, la nuit proche de tomber, que j’étais rendu à parler de nos jeux sexuels. Rapidement j’ai constaté que son sexe grossissait dans son pantalon de yoga… 


Je me suis levé, je l’ai embrassée, puis je l’ai dit que j’allais revenir dans une minute.


Une minute plus tard je faisais effectivement mon retour, complètement nu, la bite dressée vers le ciel, une bouteille de lubrifiant à la main… Quand elle m’a vu ainsi son visage s’est illuminé… J’ai sorti son sexe qui semblait étouffer à l’étroit, je l’ai recouvert de lubrifiant, et sans rien dire, je me suis assis dessus, le visage vers celui de ma partenaire.


Comme je l’ai mentionné plus tôt, sa bite n’avait rien d’exceptionnel en termes de taille. Elle était agréable à sentir entrer en moi, mais je ne la sentais pas loin dans mes entrailles comme j’en ai déjà senti d’autres, et je ne me sentais pas non plus avec un petit trou très dilaté…


Je chevauchais donc son sexe, mais lentement, pour un moment de bien-être et non pour atteindre un orgasme. Et j’ai continué avec mes histoires… De son côté, elle caressait ma queue, lentement, de façon presque discrète, pendant que nous discutions.


Une fois que j’ai fini avec mes anecdotes, je me suis levé, avec le plaisir de sentir son gland sortir de mon cul, et je suis allé remplir nos verres. Quand je suis revenu, j’ai eu le plaisir de constater qu’en mon absence, elle avait remplacé mon corps par sa main… Bref, elle se masturbait, lentement, comme si c’était juste pour rester en érection.


J’ai repris ma place, m’empalant sur elle, et à nouveau sa main a entouré ma queue… Cette fois, au lieu de parler de moi, de ma vie, je lui ai posé des questions sur elle.


Elle a commencé par me dire que son histoire n’allait pas être joyeuse pour les premières années qu’elle allait raconter, mais qu’elle n’allait pas me raconter ces moments pour que je m’apitoie. Cette période de sa vie est derrière elle, et elle a tourné la page.


Adolescent, je parle au masculin parce qu’à ce moment-là elle/il se considérait encore comme un homme, il ne sentait pas à l’aise dans son entourage. Il savait qu’il était attiré par les hommes, mais il vivait dans une famille et dans un milieu où l’homosexualité était mal vue. Il a quelques histoires, jamais bien longues, jamais satisfaisantes. Il allait de moins en moins bien dans sa peau, et a fini par avouer son penchant pour les hommes à sa famille. Comme il s’y attendait, ça a été très mal perçu. L’ambiance chez lui s’est grandement dégradée, et peu après ses 18 ans il s’est fait montrer la porte du logement familial. Il a rapidement trouvé un travail, a abandonné ses études, et s’est mis à fréquenter les milieux gays. Mais il n’aimait pas ça, il ne voulait pas avoir à vivre dans une communauté « à part », il ne voulait pas se sentir différent, même si tout le monde l’était dans ces groupes. Il a eu de nombreuses relations durant cette période, toutes encore moins satisfaisantes que lorsqu’il était ado. 


Puis un jour, il a eu un déclic. Il s’est rendu compte que depuis quelques mois il s’était mis à regarder les femmes. Pas en tant qu’homme attiré par les femmes, mais parce qu’il aimait le linge qu’elles portaient. Et là tout est allé très vite. Il a commencé à se travestir dans le privé, puis parfois à juste sortir dans la rue, habillé en femme. Et ça a été une évidence : il se sentait plus femme que homme.


Il a alors commencé une thérapie hormonale, puis s’est fait poser des implants mammaires. Tout le processus a été long, mais il/elle ne l’a jamais regretté. Elle a officiellement changé son prénom, et en a profité pour changer son nom, pour rompre tout lien avec la famille qui l’a rejetée.


Dans la rue, elle a constaté que bien des hommes la regardaient, ou plutôt regardaient les courbes de son corps… Ça l’a émoustillé plus que jamais, plus que toutes les fois où elle essayait de plaire à un homme en particulier… Elle avait un joli corps, elle avait une forte libido (je ne l’ai pas dit, mais elle a avoué se masturber au moins une fois par jour à cette époque, le plus souvent deux fois), alors elle s’est dit qu’elle pourrait profiter de ses belles années pour faire de l’argent facilement. Elle a alors commencé à se prostituer… Elle était consciente que son corps de rêve, parce que oui, elle a un corps de rêve, ne durera pas éternellement, alors elle a mis de côté l’idée d’avoir une vie amoureuse pour privilégier le nombre de clients… Tout en reprenant des études à distance pour avoir un diplôme pour le « après ».


Elle a quand même tenté d’avoir des relations amoureuses (deux fois), mais elles ont été des échecs, une fois à cause de sa profession, une fois pour d’autres raisons. La dernière remonte à plus de trois ans, et depuis, jamais un sexe n’était entré en elle sans être entouré d’un préservatif, que ce soit dans son anus ou dans sa bouche. Depuis trois ans, elle n’avait plus goûté à du sperme autre que le sien…


Petit aparté ici : son sperme, elle le savoure quasiment tous les jours. Comme je l’ai dit plus haut, depuis son adolescence elle a une très forte libido, et elle continue à se masturber tous les jours, même si elle a des clients. Et il n’est pas rare non plus qu’elle nettoie le corps de ses clients si elle a éjaculé à un endroit sécuritaire (ventre, torse, etc.) ou même qu’elle retire son préservatif avec précaution pour récupérer en toute sécurité son sperme qui est dedans…


Pour en revenir au fait que depuis plusieurs années elle n’avait pas eu de sperme en elle (autre que le sien), elle m’a aussi dit que ces deux relations n’avait pas été assez longues pour qu’une réelle complicité s’installe et que le sexe anal ne soit pas protégé. Alors quand je lui ai demandé, dans le spa, comment elle voulait que je jouisse, c’est son plus vieux fantasme que je lui ai permis de réaliser : jouir dans l’anus de son partenaire, et lécher le sexe juteux de sperme et parfumé de l’intérieur d’un anus… Je lui ai demandé si la réalisation a été à la hauteur de ses attentes, de ce qu’elle imaginait, et vu le regard pétillant et le sourire l’accompagnant, j’ai compris que oui…


Elle devait être en moi depuis plus de 20 minutes…  Nos verres étaient à nouveaux vides. Je lui ai demandé si elle voulait boire autre chose avant que je continue avec des questions sur elle, et elle a acquiescé.


Je me suis dégagé d’elle, je me suis penché pour une faire une mini-fellation à son sexe,  puis je me suis déplacé pour échanger un baiser. Alors que j’étais en train de savourer ses lèvres et sa langue, elle a glissé un doigt dans mon p’tit trou dilaté, puis un deuxième… Elle les a poussés le plus loin possible en maintenant de son autre main ma tête contre la sienne pour le baiser, puis les a ressorti et les a glissé dans sa bouche, interrompant notre baiser… Elle a léché consciencieusement ses deux doigts puis m’a murmuré : « Ça aussi c’était un fantasme… ».


On a continué à s’embrasser quelques secondes, puis je suis allé remplir nos verres.


Alors que j’étais en train de verser l’alcool qu’elle désirait dans son verre, j’ai senti ses mains se poser sur mes hanches, et ses seins en béton se coller à mon dos. Juste au toucher, je pouvais clairement dire qu’elle n’avait plus aucun vêtement sur elle… Je ne l’avais pas entendu me suivre…


Elle m’a embrassé dans le haut du dos, puis est descendu progressivement, jusqu’à ce qu’elle soit accroupi, son visage à hauteur de mes fesses… J’ai senti ses lèvres se glisser entre mes fesses… Comprenant ce qu’elle voulait, j’ai légèrement écarté mes jambes, et je me suis cambré, pour libérer l’accès à la zone désirée… Pendant les minutes qui ont suivi, il y a eu alternance entre langue et doigts dans ma zone intime…


Lorsqu’elle s’est relevée, sa queue bien dure s’est placée à l’entrée de mon cul et si j’ai eu droit à une introduction en douceur, la suite a été sodomie dynamique, agressive, excitante… Je sentais son ventre cogner contre mes fesses… Parfois elle sortait sa verge pour glisser sa langue dans mon trou béant, laissant couler de la salive dedans, avant de mieux la renfoncer le plus loin possible dans mes entrailles… Et croyez-le ou non, elle a jouit une fois de plus… Là encore je ne peux pas dire que j’ai senti son sperme gicler en moi, il ne devait quasiment rien y avoir, mais elle a arrêté de bouger, j’ai senti son gland se gonfler, et ses jambes se sont mises à trembler…


Quand elle s’est retirée de moi, elle a reculé, m’a léché l’anus quelques instants, puis s’est relevée et a appuyé les fesses sur la table. Je l’ai rejointe, je me suis accroupi pour nettoyer mais surtout pour savourer sa queue. Quand je me suis relevé, elle a passé ses bras autour de mon cou et m’a serré contre elle.


Nous sommes restés longtemps ainsi…


Quand nous nous sommes décollés, elle m’a dit : « Je suis désolée… Quatre fois en quelques heures, j’ai l’impression que c’est moi la cliente… Excuse-moi… ». 


Je lui ai caressé le visage, et j’ai répondu : « Ne sois pas désolée, ne t’excuse pas. Je te l’ai dit, nous sommes conjoints pour le week-end… Comporte-toi avec moi comme tu aimerais te comporter avec ton amoureux… Parfois tu prends l’initiative, parfois c’est moi, comme dans un couple sain… »


Elle m’a serré encore plus fort contre elle… Nous avons ensuite pris nos verres, et nous sommes allés dehors, sur une chaise longue. Elle s’est allongée dessus, et je suis venu me placer à ses côtés, un peu plus bas. Sans faire trop de mouvement je pouvais soit poser ma tête sur son ventre, soit lui titiller les tétons avec ma bouche… De son côté, elle a simplement posé une de ses mains sur mon épaule, tenant son verre dans l’autre.


Je lui ai demandé si elle avait d’autres fantasmes, en embrassant distraitement un de ses seins…


Elle m’a répondu : « le plus fort de tous, je te l’ai dit tout à l’heure, celui que j’avais depuis longtemps et auquel je pense souvent en masturbant, c’était qu’un homme jouisse en moi, sans préservatif, et que je le savoure ensuite. J’avais envie de savoir ce que ça fait de sentir un homme éjaculer dans mon anus… Et le nettoyer ensuite, je trouvais ça très intime… L’idée m’excitait beaucoup… En deuxième place, jouir dans l’anus d’un homme, puis le lui lécher… Glisser ma langue dans l’anus grand ouvert, récupérer mon sperme… Encore très intime et excitant… Et je précise que ce que nous venons de faire ne compte pas pour ce fantasme, j’étais presque vide, je n’ai rien récupéré… En troisième place, jouer avec mes doigts et ma langue dans l’anus d’un homme, et celui-là, comme le premier, je l’ai assouvi ce soir. C’était aussi bien si ce n’est mieux que dans mes rêves… »


Il y a eu un silence de quelques secondes, puis elle a continué : « jouir dans la bouche d’un homme et qu’un homme jouisse dans ma bouche, je ne peux dire que ce sont des fantasmes puisque je l’avais déjà fait dans le passé, mais ça me manquait… ».


Un nouveau silence, en buvant une gorgée : « si on parle strictement sexe, le dernier qui me vient à l’esprit ce serait deux hommes pour s’occuper de moi… ». Je lui ai demandé ce qu’elle aimerait que les deux hommes lui fassent. La réponse a été claire : « Tout. Relation anale et buccale en même temps, dans plusieurs positions… Un baiser à trois… Être entre les deux, un sexe en moi le mien dans un de mes partenaires… Je ne peux pas tout lister : tout me fait envie. En douceur, mais tout. »


Pendant qu’elle me racontait tout cela, son sexe a durci à nouveau… Alors évidemment, j’ai posé ma main dessus pour le caresser… Pas pour une branlette à la faire jouir, mais juste pour le plaisir des sensations tactiles, passant de sa verge à ses couilles…


Je lui ai alors demandé « Tu as dis ‘si on parle strictement sexe’. As-tu des fantasmes qui ne sont pas nécessairement strictement sexuels? ». Le temps que sa réponse commence, j’ai glissé un peu vers le bas, et la tête posée sur ventre ferme, j’ai pris son gland en bouche…


« Oui, et ce sont les plus érotiques de mes fantasmes… Je suis une adepte de la masturbation. Même en couple et heureuse en couple, je sais que j’aurais envie de me masturber en pensant à mon homme. Alors un de mes fantasmes, c’est d’être en couple avec un homme qui comprenne cela, et qui partage mon envie… Un exemple : si mon conjoint reçoit ses amis une soirée, je sais qu’en le voyait sourire, s’amuser, être heureux, ça me donnera envie de le regarder en me masturbant. Avec une maison comme la tienne, ce serait facile que je reste derrière le comptoir de la cuisine à le regarder dans le salon : le comptoir cacherait à tous ma masturbation. Autre exemple : pendant que je me prépare le matin dans la chambre, j’adorerais que mon homme reste au lit et se masturbe, approuvant le spectacle de mon corps. J’ai imaginé tellement de scènes de ce genre pendant mes masturbations solitaires… Autre exemple : je rentre tard le soir, mon homme dort. Quand je vais dans la salle de bain, sans faire de bruit, je trouve à côté de ma brosse à dent un verre avec du sperme dedans, et un petit mot ‘j’ai pensé à toi en m’endormant’. Je trouverais ça tellement excitant et intime que mon homme agisse ainsi… ».


Et elle a continué.


« Je rêve de spontanéité. Quand je suis avec un client pour une heure, deux heures, une nuit, c’est sûr que je suis présente pour faire l’amour. C’est prévu. Je rêve de moments où rien n’est prévu, juste l’envie de l’un pour l’autre qui prend le dessus et qui s’exprime. Que ce soit à la maison ou n’importe où ailleurs. Je serais en couple, quand j’aurais le temps, c’est-à-dire probablement la plupart du temps, nous utiliserions notre salive pour nous lubrifier. Je comprends l’intérêt du lubrifiant, mais je préfère savourer un anus dilaté qui a été préalablement lubrifié à la salive plutôt qu’au lubrifiant commercial. Cependant, je serais du genre à avoir en permanence un petit tube de lubrifiant ou un préservatif pour les envies soudaines. Par exemple une soirée chez des amis : on s’isole dans la salle de bain pour une baise rapide, pas le temps de jouer. J’enfile le préservatif, et je sodomise mon homme, directement, rapidement, sans enfantillage. De l’impulsivité à n’importe quel moment. ».


Elle a fini avec un dernier point.


« Ce fantasme est lié à mon travail, mais j’adorerais rentrer à la maison et me coller à mon homme, après un client. Parfois parce que j’aurais envie que mon homme me fasse l’amour pour me ‘purifier’ suite à un client déplaisant, parfois parce que je serais juste ‘bien’ après un client satisfaisant, ou même parce que parfois un client m’aura allumé sans réussir à assouvir mes envies… »

 

Je m’amusais encore à caresser son gland avec mes lèvres pendant qu’elle parlait… Et j’ai senti un liquide chaud couler dans ma bouche. D’abord quelques gouttes, que j’ai avalées avec satisfaction. Puis un jet plus dur, plus intense, mais qui a vite été coupé. Encore une fois, je n’ai rien perdu du produit… J’ai ensuite entendu ma partenaire dire : « J’ai envie d’arroser ton visage… ». J’ai reculé un peu ma tête, son sexe est sorti de ma bouche, et le jet a redémarré… Je faisais des petits mouvements pour avoir partout : bouche, menton, front, yeux, joues…

Par Etienne - Publié dans : Partenaire inattendue
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Mercredi 2 novembre 3 02 /11 /Nov 15:39

Si vous avez lu mon article résumant très brièvement mon été, vous savez que mes chéries sont parties pour une fin de semaine dans un hôtel-spa, et qu’elles ont profité de l’occasion pour organiser ma fin de semaine avec une transsexuelle, sans m’avertir avant. Je reprends au moment où ma partenaire inconnue a sonné à ma porte.


Quand j’ai ouvert, une femme utrasexy en robe fourreau moulante, décolletée et fendue sur les côtés m’a dit « Bonjour et surprise ! », avec un grand sourire. Une femme aux cheveux longs brunes, les yeux marrons, une poitrine absolument époustouflante dans cette robe (mais clairement pas naturelle étant donné l’immobilisme des seins quand elle marchait), une taille menu, des fesses joliment rebondies, et des cuisses qui semblaient musclées comme il faut, sans abus. Et un maquillage léger, mais bel et bien présent.


Une femme magnifique, mais j’ai quand même très rapidement deviné qu’il s’agissait d’une transsexuelle. Le visage était très féminin, mais il manquait la « grâce » féminine, le plus quelque chose qu’une femme de naissance a. Et évidemment sa voix m’a aussi mis la puce à l’oreille. Dès que j’en ai pris conscience, j’avais hâte qu’elle vienne s’asseoir sur mon sexe…


Elle était jolie et avait du charme. À la regarder à ce moment-là, oui, je devinais qu’elle était une trans, mais elle était quand même très, très féminine. 


Je l’ai faite entrer, elle a posé son sac à côté de la porte et m’a dit, en gros : « cette situation est un peu inhabituelle pour moi. D’habitude mes clients veulent cacher à leurs femmes qu’ils me voient, mais dans votre cas, ce sont vos femmes qui m’ont choisi pour vous. »


Je l’ai tout de suite arrêté en lui disant que je préfèrerais qu’on se tutoie. Elle a souri, et a enchainé : « Tes deux femmes m’ont appelé après avoir vu mon annonce sur un site d’escortes, nous avons échangé assez longuement, autant de vive voix que par écrit, puis finalement je les ai rencontrées ici, chez vous. Nous avons parlé de tout et de rien, y compris bien sûr de sexe. À la fin de discussion, elles m’ont demandé si j’étais partante pour une fin de semaine complète avec leur mari, donc ici, en leur absence. Avant que je réponde, elles m’ont montré des photos de toi, même si j’en avais déjà vu un dans vos cadres. C’est le 2e élément un peu inhabituel : généralement je ne sais pas à quoi ressemblent mes clients avant d’accepter de les voir. Le 3e point inhabituel, c’est qu’elles m’ont demandé si j’étais d’accord pour me passer de protection pour tout ce qui allait arriver entre toi et moi pendant ces quelques jours. Évidemment elles m’ont montré un test d’infections sexuellement transmissibles négatif récent de toi, et m’ont demandé si j’en avais aussi, ou si j’étais prête à en passer un. Ce dernier point en lui-même n’est pas inhabituel, on me demande souvent d’avoir des rapports sans préservatif, et je dis toujours non. Mais dans le cas présent, voir tes femmes, chez vous, que ce soit elles qui m’engagent, voir des photos de toi et de vous trois avant de pouvoir répondre, ça m’a poussé à accepter. Alors pour résumer, je suis à toi pour tout le week-end. J’ai montré mes tests à tes femmes, mais le voilà ». Elle n’a donné une copie et a continué : « Je suis donc à toi pour tout le week-end, pour me conduire comme si j’étais ta conjointe, à faire l’amour selon tes désirs et sans besoin de protection. »


Je lui répondu avec un grand sourire que mes conjointes, quand elles rentrent à la maison je les embrasse. Je me suis approché d’elle, et nous nous sommes embrassés. D’abord du bout des lèvres, presque timidement, puis nos bouches se sont entrouvertes et nos langues ont fait connaissance…


Je me suis bien évidemment collé à elle, et j’ai confirmé ce que je pensais : ses seins étaient en béton armés… 


Lorsque j’ai fini de lui souhaiter la bienvenue, je lui ai proposé d’aller faire connaissance dans le spa. Je lui ai dit en riant que vu l’examen complet qu’elle a passé avec mes chéries et la préparation qu’elle semble avoir eue, elle devait savoir qu’il y avait un spa et une piscine, donc qu’elle devait avoir au moins un maillot de bain. Elle a ri et a répondu qu’effectivement, elle en a amenés plusieurs.


Le temps que l’on soit plus à l’aise l’un avec l’autre, je lui ai montré notre chambre et je lui ai proposé de se changer pendant que je nous servais quelque chose à boire (et que moi aussi je me changeais). Elle m’a dit que du vin blanc ferait son bonheur.


Lorsqu’elle est revenue dans le salon, elle était époustouflante… Son bikini noir mettait en valeur sa poitrine d’apparence parfaite, aussi parfaite que le reste du corps… Elle a vu à mon regard que j’appréciais énormément ce que je voyais, et son regard et son sourire semblait indiquer que c’était réciproque… D’un autre côté, son métier est de le faire croire même si ce n’est pas ce qu’elle ressent vraiment…


Je lui ai dit de passer devant moi pour aller jusqu’au spa, et j’en évidemment profiter pour me rincer l’œil sur son cul parfait… J’avais très hâte de lui enlever ce maillot de lui lécher l’entrée des artistes…


J’ai souvent dit que je trouvais que des faux seins, quand une femme est habillée, c’est magnifique, mais que nu je préfère, et de loin, des seins naturels. Dans son maillot, ses seins étaient ni plus ni moins que la perfection… Je ne pouvais m’empêcher d’y jeter des coups d’œil pendant que l’on discutait dans le spa, ainsi l’un en face de l’autre, sans que les jets ne soient en fonction (on ne s’entend pas autrement…). Elle me posait des questions sur ma relation avec mes chéries. Elle semblait fascinée par notre mode de fonctionnement…


Une fois que l’on avait tous les deux fini nos verres de vin, j’ai un peu coupé la discussion en lui disant que je la trouvais absolument magnifique… Je me suis approché d’elle, je me suis assis à ses côté, tourné vers elle et je l’ai embrassée à nouveau… 


J’ai posé ma main sur son ventre pendant ce long baiser… Puis je l’ai descendue, la glissant dans son maillot qui était distendu par son érection… Érection que j’ai lentement caressée… 


Sans perdre de temps, j’ai commencé à tenter de lui retirer le bas de son maillot… Elle a vite compris où je voulais en venir elle s’est mise debout, facilitant grandement son enlèvement… 


Elle était donc debout, devant moi, au milieu du spa… le sexe en érection, fièrement dressé vers le ciel, ses seins magnifiquement drapés dans son haut de bikini, son corps féminin, sans le moindre poil, ses couilles rondes qui semblaient juste attendre de se faire gober… Son visage, très beau… Je lui ai dit, sincèrement, qu’elle était « l’un des plus beaux êtres vivants que j’ai vus ». Et je le pensais vraiment…


Que je lui dise cette vérité a semblé la gêner, l’intimider… Alors j’ai changé de sujet, ou plutôt, j’ai changé l’usage de ma bouche : au lieu de parler, je me suis approché d’elle, je rappelle qu’elle était dans le spa, alors que moi j’étais assis dedans, donc l’objet de ma convoitise était pile au bon niveau. J’ai posé mes mains sur ses hanches, et j’ai déposé mes lèvres sur gland… 


Je ne sais plus dans quel ordre j’ai procédé, mais je sais que j’ai embrassé sa verge sur toute sa longueur, que j’ai léché ses couilles, que j’ai pris son sexe en bouche, jusqu’au fond de ma gorge, et le tout à plusieurs reprises… Elle gémissait de plaisir, me caressant la tête, les cheveux…


Au bout d’un moment, elle a compris que j’avais sorti ma queue de mon short de bain et je masturbais en la suçant… Elle m’a alors fait m’asseoir un peu différemment, simplement en me faisant me redresser au lieu que je sois penché en avant, elle s’est agenouillée au-dessus de mes cuisses, m’a fait déplacer mes fesses sur le bord du banc dans le spa pour que je puisse pencher mon dos vers l’arrière… Ayant compris ce qu’elle allait faire, j’ai tenu ma queue bien droite, et elle est venue s’empaler dessus… Sans lubrifiant, dans l’eau du spa, ça a pris quelques mouvements pour qu’enfin je sois bien en elle, confortablement…


Pendant les lents va-et-vient, je la masturbais… et je l’ai faite se pencher pour que l’on puisse s’embrasser…


Après un certain temps que je ne peux pas quantifier, elle m’a dit que si je continuais à ce rythme, elle allait jouir… et elle a aussitôt ajouté : « ce n’est pas que je ne veux pas, c’est juste que je pense que tu serais déçu que tout se perde dans l’eau… ».


Bien évidemment elle avait raison. Hors de question que son sperme, pour la première éjaculation, finisse ailleurs que dans ma bouche…


Je lui ai demandé de s’asseoir sur le bord du spa, et je me suis placé entre ses jambes… J’ai pris son sexe en bouche, j’ai glissé deux doigts en elle, caressant sa prostate, et peu après son nectar a jailli dans ma bouche… J’ai continué sans rien changer de ce que je faisais, jusqu’à être certain que plus une goutte ne sortirait…


Je ne peux pas dire que j’étais en manque de sperme puisque je suce mon boss en moyenne deux fois par semaine, mais je dois dire que sur cette éjaculation m’a paru bien plus savoureuse… Je sais bien que c’est juste psychologique, mais vous comprenez, j’ai littéralement adoré…


J’ai continué à lui titiller la prostate quelques instants, puis j’ai retiré mes doigts que j’ai lentement léchés sous son regard approbateur…


Je me suis redressé dans le spa, je me suis penché vers son visage, et nous nous sommes embrassés, longuement, sensuellement… Elle tenait mon sexe dans sa main, me caressant délicatement, puis, sans que nos lèvres ne se décollent, elle m’a demandé si j’avais envie de jouir à mon tour :

  • ELLE : As-tu envie de jouir? 

  • MOI : Oh oui, avec plaisir…

  • ELLE : Tu en as envie comment…? En continuant ce que nous faisons? Dans ma bouche? Ailleurs en moi?

  • MOI : Toi, qu’est-ce qui fera plaisir?

  • ELLE (en souriant) : Tu oublies que tu es mon client, que je suis là pour toi…

  • MOI (en souriant) : Tu oublies que tu es censée être ma conjointe pour la fin de semaine, et mon grand plaisir est de satisfaire ma conjointe… Alors dis-moi, comment as-tu envie de me faire jouir?


Elle a aussitôt arrêté de me masturber… Elle a posé ses deux mains sur mon visage, une de chaque côté de ma tête, et son baiser s’est fait plus profond, plus intense… En ce qui me concerne, j’avais une main sur le bord du spa pour me tenir en équilibre (je vous rappelle que j’étais penché en avant vers elle) et mon autre main caressant sa taille.


Lorsque nos lèvres se sont éloignées suffisamment les unes des autres pour parler, elle m’a susurré : « je veux qu’on sorte du spa et qu’on aille se rincer… On se sèche bien, on va dans la chambre, et juste avec nos salives, sans lubrifiant, tu me pénètres… Je veux que tu jouisses en moi, puis que tu me laisses te nettoyer à ma façon… ».


Sans lui demander quelle était sa « façon », je me suis redressé, je lui ai tendu la main, puis main dans la main, les doigts entremêlés, nous sommes sortis du spa, direction la salle de bain.


Pour se rincer, j’ai enlevé complètement mon short de bain, bien sûr, et elle a retiré son haut de bikini. Comme je le supposais, ses seins ne bougeaient pas du tout… Dans du linge ou de la lingerie ils étaient beaux, parfaits, quasiment une incitation au viol, mais une fois sans tissu dessus, c’est un peu moins à mon goût. Détrompez-vous, je les trouvais quand même beaux, c’est juste que j’aime des seins qui bougent, qui sont malléables en fonction de la force des caresses, et dans le cas présent, ce n’était pas le cas. Mais elle était quand même toujours très belle!!


Alors que j’allais prendre le savon pour nous laver, elle m’a dit « Non, pas de savon, juste un rinçage. Je veux que ton corps sente le corps propre, et non l’eau du spa ou le savon ».


 Nous nous sommes donc directement mutuellement séché, tout en nous caressant et nous embrassant. J’ai eu la très agréable surprise de constater qu’elle était déjà à nouveau en érection, malgré son orgasme d’il y a peine 15 minutes. Quand je le lui ai fait remarquer, elle m’a répondu « J’ai été testé par tes femmes sur ce point-là, je te raconterai après. J’ai envie de toi en moi… » et m’a embrassé.


Sans cesser d’échanger nos salives, je nous ai dirigés vers la chambre… Elle m’a dit de m’allonger sur le dos, et j’ai obtempéré à son ordre… Elle s’est placée au-dessus de moi en m’embrassant, puis a effectué un demi-tour complet pour prendre ma queue bien dure en bouche… J’étais tenté par lui prodiguer la même attention, mais je sais que son objectif était que je lui lubrifie l’anus avec ma salive… Alors c’est sur cette partie de son anatomie que ma langue s’est déployée…


J’adore le contact d’un anus sur ma langue… C’est une texture différente de tout le reste du corps, c’est terriblement excitant… et l’odeur d’un petit trou propre est absolument aphrodisiaque…


Je ne suis pas un grand fan des 69 parce que je trouve qu’on ne profite pas à fond des deux plaisirs. Et là aussi c’était vrai : je me concentrais sur son petit trou, et je ne profitais pas à sa juste valeur de la fellation profonde qu’elle me prodiguait… Extrêmement profonde, parce que je sentais ses lèvres qui tentaient en même temps d’avaler mes couilles…


Nous ne sommes pas restés longtemps tête-bêche. Une fois qu’elle a considéré que nous étions assez lubrifiés, elle m’a demandé de m’asseoir sur le lit, et elle est venue s’empaler sur moi, face à moi. 


Elle s’agrippait à moi, comme si la fin du monde allait arriver… Je sentais sa queue en érection contre mon ventre et mon torse… J’avais ses tétons directement au niveau de ma bouche, alors évidemment j’ai joué avec… Je la maintenais par les fesses, et le rythme des va-et-vient était plutôt lent, mais très profond… À chaque mouvement mon sexe ressortissait quasiment au complet d’elle, juste mon gland restait à l’intérieur, pour se renfoncer jusqu’à ce que ses fesses soient bloquées par mes cuisses…


Le seul moment où elle a accepté de relâcher un peu son étreinte, c’est lorsque j’ai glissé ma main entre elle et moi pour tenter de saisir son sexe et de la branler… Au début elle tentait de se maintenir collée, mais finalement elle s’est carrément laissée tomber sur le dos sur le lit. Pour maintenant le rythme, j’ai été obligé de lâcher son sexe pour la tenir par les hanches pour continuer les pénétrations profondes… 


Mes yeux passaient sans cesse de son visage à ses seins à son sexe… Tout un spectacle… 


Puis elle m’a dit « Remplis-moi… ».  Je voyais sa queue, j’avais envie de la branler en même temps que j’allais me vider… J’ai essayé, mais ça brisait complètement le rythme… J’ai alors pris sa main qui était posée sur une de mes jambes, et je l’ai déplacée vers sa verge. Elle a instantanément compris et s’est mise à se branler.


Peu après, j’ai joui… Je lui ai rempli son petit trou le plus au fond possible… Au mouvement du bassin qu’elle faisait, j’ai compris qu’elle a senti mon sperme chaud jaillir en elle, en plus de mes gémissements d’extase.


Une fois mes couilles complètement vides, je n’avais plus de raison de maintenir ma partenaire par les hanches de mes deux mains. Elle a alors pris une de mes mains avec la sienne, et comme je l’avais fait un peu plus tôt avec elle, elle l’a posée sur son sexe… Avec un sourire, j’ai pris la relève de sa masturbation. Peu après, elle éclaboussait son ventre…


Je me rends compte que je ne vous ai pas parlé de sa queue. En fait, je n’ai pas grand-chose à en dire. Elle était belle, elle était « normale ». Pas d’une longueur ou d’une épaisseur de concombre. Un beau gland bien dessiné, rose, qui coiffant parfaitement le membre phallique. Quelques vaisseaux sanguins bien placés et bien visibles qu’il était agréable de caresser avec la langue. J’aurais des talents de dessinateurs, on me demanderait de dessiner la bite de mes rêves je reproduirais celle que j’avais sous les yeux. En plus grosse, plus longue, mais avec exactement le même profil.


Revenons-en au lit où nous étions…


Son sperme venait de s’étaler sur son ventre. Pas une énorme quantité, mais pour une deuxième éjaculation en moins d’une heure, c’était quand même plus qu’honorable.


Je vous le dis : voir mon sexe dans son anus, son sexe encore presque complètement en érection posé sur son ventre, du sperme un peu au-dessus, cette fausse poitrine magnifique (je me répète, pas aussi belle qu’une vraie ou qu’une vrai rehaussée, mais pour une 100% fausse, elle était sublime), ce joli visage, c’était un tableau époustouflant.


Alors que je la contemplais, elle m’a dit, timidement : « tu ne… tu ne débandes pas? ». J’ai souri et j’ai répondu : « Généralement oui, mais il y a des cas où après avoir joui, je reste dur. Ça semble être le cas en ce moment, et ça ne me surprend pas. Le ‘tableau’ que j’ai sous les yeux est magnifique et excitant ».


Elle a rétorqué : « j’imaginais que j’allais avoir du plaisir à nettoyer un sexe juteux et mou, mais ça va être encore plus agréable alors… ».


Elle s’est dégagée de moi, m’a fait m’allonger sur le dos, a pris mon sexe en main et a commencé à le sentir, en disant qu’elle adorait l’odeur… Elle l’a ensuite léché, puis l’a pris complètement en bouche. Après une fellation de nettoyage, elle a dit que le goût était encore meilleur que l’odeur…


Je lui alors demandé de changer de position, parce que moi aussi j’avais quelque chose à nettoyer… Elle s’est alors déplacée pour mettre son ventre au-dessus de mon visage… J’ai léché le sperme qui y était encore, puis je lui ai dit que ce n’était qu’une introduction à la zone de son corps que je voulais vraiment nettoyer…


Elle n’a rien dit pendant quelques secondes, puis a ri et est venue s’accroupir au-dessus de mon visage. Je savourais son cul, mais mon sperme n’en ressortait pas… je n’aurais pas dû jouir aussi profondément en elle… Je lui ai alors dit qu’il ne fallait pas qu’elle hésite à pousser un peu, pour forcer l’évacuation… J’ai commencé à sentir les contractions de son p’tit cul, puis un liquide chaud a fini par couler un peu… Pour finir, j’ai aidé l’évacuation avec mes doigts… C’était délicieux…


Pendant que je procédais au recyclage de mon sperme, ma partenaire s’est peu à peu penchée en avant et a à nouveau pris mon sexe, qui ne débandait pas, en bouche. Comme je l’ai dit plutôt, pendant un 69 (je considère toute position tête-bêche comme étant un 69, même si je ne jouais pas avec son sexe) je suis moins sensible à cet acte. Par contre, quand j’ai fini de la nettoyer, même si j’avais encore son cul sur mon visage j’ai pu me consacrer aux sensations que me produisaient sa pipe.


J’ai senti qu’un de ses doigts cherchaient à entrer dans mon anus… Je lui ai dit que ne m’attendant pas à une telle visite, je n’avais pas fait le nettoyage requis et qu’il se pouvait que je ne sois pas complètement vide, donc que je lui déconseillais d’aller plus loin pour le moment. Elle a continué à jouer avec mon petit trou, mais quand elle sentait que le passage s’ouvrait, elle cessait la pression, pour recommencer un peu plus tard. C’était la définition même de la torture : j’avais tellement envie qu’elle s’y enfonce…


Heureusement mon bourreau a arrêté cette action quand j’ai joui dans sa bouche… À mon tour j’ai donc joui deux fois en très peu de temps. Nous étions à égalité…


Elle a à nouveau fait demi-tour puis s’est allongée contre moi, la tête dans le creux de mon épaule. Nous sommes restés ainsi, sans dire un mot, échangeant des baisers par moment. Puis son ventre à fait un « ggloouuu glouuuu » caractéristique… Nous avons tous les deux ri, et je lui ai demandé si par hasard elle ne commencerait pas à voir faim. Il était presque 19h (il faut savoir qu’au Québec on mange le soir parfois des 17h, donc 19h, ça comment à être une heure tardive pour manger pour pas mal de personnes).


Nous nous sommes levés du lit, et elle m’a demandé comment j’aimerais qu’elle s’habille. Sans lui donner la tenue exacte, j’ai mentionné des exemples qui me plairaient beaucoup : jupe courte, jeans moulant, pantalon de yoga, et dans tous les cas rien en-dessous, et pour le haut du corps un soutien gorge sexy, ou un chandail décontracté mais qui laisse entrevoir les seins, le dos ou le ventre. Elle a ri et m’a dit « C’est quasiment mot pour mot ce que tes femmes m’ont dit d’apporter! Vous vous connaissez par cœur, c’est adorable… ». Et elle m’a embrassé… 

 

Je lui ai demandé comment elle elle voulait que je m’habille. La réponse a fusé : « ton pantalon et chemise en lin blanc. Tu seras mon James Bond de la soirée ». Elle a vu mon regard surpris, et encore une fois a ri : « Tes femmes m’ont fait faire le tour de tes habits, parce qu’elles se doutaient que tu poserais la question à un moment ou à un autre… ».

Par Etienne - Publié dans : Partenaire inattendue
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Jeudi 20 octobre 4 20 /10 /Oct 07:49

Cet été, j’ai fait, avec mes chéries, une bonne action qui a été drôlement récompensée…

 

Il pleuvait très fort, une pluie d’orage, même s’il n’y avait pas vraiment d’orage. Je roulais en auto avec une de mes chéries (Clarisse, pas ma femme, mais notre amante), quand j’ai vu une personne en fauteuil roulant sur le trottoir qui semblait lutter contre la pluie et le vent. C’était un trottoir très long sans aucune maison, donc il était évident qu’elle en avait encore pour un bout de temps à se faire tremper et à avancer contre les éléments.

 

Quand je l’ai mentionné à ma chérie en approchant, elle m’a dit « arrête-toi, on va lui proposer de la raccompagner ». C’est ce que l’on a fait : j’ai ralenti puis je me suis arrêté à la hauteur de la « piétonne », ma chérie a ouvert sa fenêtre et lui a crié à travers la pluie « Veux-tu que l’on t’amène quelque part? ». On s’est alors rendu compte que c’était une jeune femme, environ 30-35 ans, et qu’elle pleurait.

 

Sans attendre sa réponse, ma chérie est descendue, lui a parlé (je n’entendais pas ce qu’elle disait), puis elle a rouvert la porte avant côté passager en me faisant signe de venir l’aider.

 

J’ai pris la jeune femme dans mes bras, je l’ai portée sur le siège de l’auto, on a plié son fauteuil, on l’a mis dans le coffre, et ma chérie est montée en arrière.

 

J’ai redémarré doucement, puis j’ai attendu que notre passagère me dise où aller. C’est ma chérie qui tentait de faire la conversation, qui tentait de la faire parler, mais elle pleurait vraiment beaucoup. Je me suis alors arrêté un peu plus loin sur un stationnement, puis on a tenté de la réconforter.

 

Après quelques instants elle s’est excusée, puis nous a dit que sa journée a été infernale. Elle nous a expliqué qu’elle venait de se faire voler ou de perdre son sac contenant ses papiers, son téléphone, etc., et que du coup elle rentrait chez elle en fauteuil roulant puisqu’elle n’avait plus rien pour prendre le bus ou un taxi. C’est alors qu’elle s’est faite prendre par la pluie, et ça faisait un sacré bout de temps qu’elle était dessous, sans savoir combien de temps exactement.

 

Elle nous a dit que quand elle nous a vus nous arrêter pour lui demander si on voulait l’aider les vannes ont lâché, et qu’elle s’est mise à pleurer.

 

Une fois tout ceci dit, on lui a proposé de l’emmener au poste de police le plus proche pour faire une déclaration de vol ou de perte, ce qu’elle a accepté. Après cela on est allé à une succursale de sa banque pour qu’elle fasse opposition sur ses cartes. On lui a proposé de l’emmener à une succursale de son fournisseur téléphonique pour bloquer l’appareil, mais elle a dit qu’elle n’avait rien dessus et que le forfait qu’elle a ne permet pas de faire des appels longue distance ou d’utiliser des données, donc pas de souci. On l’a ensuite ramenée chez elle (par chance elle n’avait pas ses clés dans son sac mais dans une poche), et pendant le trajet elle nous a un peu parlé d’elle, notamment du fait qu’elle vit seule.

 

En bas de chez elle, ma chérie lui a proposé de venir finir la journée chez nous pour se changer les idées. Notre invitée avait déjà fait tout ce qu’elle pouvait pour se prémunir d’éventuelles fraudes, donc ma chérie pensait que ce serait une bonne façon de finir la journée, plutôt que seule chez elle. Elle n’a pas été difficile à convaincre. Du coup on n’est même pas descendu de l’auto, et on a filé vers chez nous.

 

Dans l’auto j’ai alors appelé notre chérie pour l’avertir qu’on allait arriver avec une « amie ». J’ai appelé en main libre, puisque je conduisais, donc quand ma chérie a décroché en disant « allô mon amour », ça a fait rire notre invitée. Quand j’ai raccroché, elle nous a dit qu’elle avait pensé naïvement que Clarisse et moi étions ensembles. Il y a eu un léger blanc, et j’ai répondu en toute franchise. J’ai expliqué que l’on vivait à trois, Clarisse a confirmé, et on lui a dit que si jamais ça la mettait mal à l’aise et qu’elle préférait qu’on la ramène chez elle, on pouvait sans problème.

 

Elle nous a répondu quelque chose du genre : « Non non. Je suis moi-même différente de la plupart des gens à cause de mon handicap, et je déteste qu’on me traite différemment des autres personnes. Je serais vraiment mal placée de dire que je suis choquée. »

 

Lorsque nous sommes arrivés chez nous, on a pris conscience qu’avec tout ça, notre amie, Ludivine, avait encore sur elle du linge mouillé. On était peu de temps avant au pied de son immeuble et on est reparti sans même penser à prendre du linge sec. On n’a pas été brillant sur ce coup là!

 

Mes chéries lui ont trouvé des habits, et elle est allée se changer dans la salle de bain. Pendant ce temps-là, on a rapidement résumé à ma chérie la situation, comment nous avons rencontré Ludivine et pourquoi on lui a proposé de venir chez nous.

 

Quand Ludivine est sortie de la salle de bain, pour la première fois je l’ai regardée avec mon regard d’homme qui juge (gentiment!) une femme. Elle était en fauteuil roulant, donc difficile de qualifier ses fesses, mais elle avait un très joli haut de corps, à la limite du un peu trop musclé à mon goût. Elle avait de sacrées épaules et biceps, ce qui, quand on y pense, est un peu logique pour quelqu’un d’actif en fauteuil roulant. Parce que oui, à la voir rafraichie, il était évident que c’était une femme active.

 

Nous lui avons proposé quelque chose à boire, puis nous lui avons suggéré d’appeler au moins les personnes les plus proches d’elle dont elle connaît les numéros pour ne pas qu’ils s’inquiètent si elle ne répond pas.

 

Elle a donc commencé par appeler sa mère, et coup de chance incroyable, celle-ci lui a dit qu’elle a été appelée par quelqu’un ayant trouvé son sac avec son téléphone! En fait Ludivine n’ayant aucune info intéressante dans son téléphone ni aucune possibilité d’exploser son forfait, elle n’avait pas mis de mot de passe. Du coup la personne qui l’a trouvé à juste parcouru son répertoire jusqu'à tomber sur « maman ».

 

Bref, sa mère nous a donné le numéro de téléphone de la personne ayant trouvé son sac, Ludivine l’a appelée aussitôt et elle nous a proposé de la rejoindre. Notre amante, qui avait l’air de vouloir prendre soin de Ludivine, l’a emmenée pour ensuite la ramener chez elle.

 

Mais finalement, une heure plus tard Clarisse est revenue, toujours en présence de Ludivine. Cette dernière semblait vraiment soulagée (ça se comprend!!), et notre amante nous a expliqué lui avoir proposé de finir la soirée chez nous pour fêter ce dénouement.

 

On s’est improvisé un bon souper, on a beaucoup parlé, ri, et finalement on est allé dans la piscine, la pluie ayant cessé. Évidemment Ludivine n’avait pas de maillot, mais au lieu de lui dire que l’on pourrait y aller nus, mes chéries lui en ont prêté un. Surtout qu’il a fallu que je la porte sur mon dos pour aller de son fauteuil à dans l’eau, alors le contact de ses seins nus m’aurait pas mal excité… Déjà que là, en bikini son corps était magnifique, malgré les muscles atrophiés de ses jambes…

 

Dans la piscine nous nous amusions. Ludivine alternait entre nager un peu, s’accrocher au bord ou bien s’accrocher à nous. Alors qu’elle était accrochée à Magali à l’autre bout de la piscine, Clarisse m’a dit que dans l’auto Ludivine et elles ont discuté, et parmi les sujets évoqués, il y a eu le néant de sa vie sexuelle : aucun homme ne l’a touchée depuis plus de 2 ans. Et toujours selon leur discussion, physiquement je lui plaisais… Bref, Clarisse a décidé de revenir avec elle chez nous dans l’espoir que je « m’occupe » d’elle dans la soirée. Ludivine n’a pas dit clairement qu’elle le souhaitait, mais Clarisse a bien expliqué, subtilement selon elle, que nous formons un trio libertin et que si elle le désirait, elle pouvait passer du bon temps avec moi, que c’est sûr que je ne dirais pas non.

 

J’avoue qu’après qu’elle m’ait dit ça, j’ai pas mal cherché des contacts un peu plus peau à peau avec Ludivine… Et dans la piscine, c’était l’endroit parfait… Mes mains se sont pas mal attardées sur son corps, et je peux sans me tromper affirmer que les siennes aussi, pas mal plus de temps que requis sur ma peau… Mais nous ne sommes pas allés plus loin.

 

Pour sortir de la piscine, Ludivine s’est accrochée dans mon dos. J’allais la porter sur son fauteuil quand je lui ai dit que j’allais plutôt l’amener directement dans la salle de bain pour qu’elle puisse se changer, pour ne pas le remouiller. Une de mes chéries est allée placer une chaise dans la douche, et je suis allé déposer Ludivine dessus, en riant : ce n’étant pas évident!

 

Puis elle m’a dit que soit je devais lui donner le pommeau de douche, soit je devais rester avec elle pour l’aider à la rincer. Je n’ai pas hésité un instant : j’ai fermé la porte de la salle de bain, tout en restant dedans.

 

Quand elle a vu que je restais, elle a souri. Un grand et magnifique sourire… Je l’ai rejointe, j’ai pris la pomme de douche, j’ai démarré l’eau, et j’ai commencé à la rincer.

 

Quelques instants plus tard, je lui ai demandé, de façon très innocente bien sûr, si elle voulait enlever son maillot, pour se rincer complètement. Elle semblait en avoir envie, mais était gênée. Alors je lui ai proposé un marché : je me mets nu en premier pour briser la glace, et si elle s’en sent capable, elle enlèvera le tissu qui restait sur son corps.

 

Elle a acquiescé, en faisant oui avec la tête, sans me regarder dans les yeux.

 

J’ai alors baissé mon short de bain, et vous vous en doutez, j’étais en érection… Quand elle a vu mon sexe si dur, elle est restée les yeux dessus, sans rien dire… J’ai fait des pseudo-excuses, en lui disant que je la trouvais magnifique, magnifique et sexy en maillot…

 

Je me suis approché d’elle un peu plus, et sans me regarder dans les yeux, sans quitter mon sexe des yeux, elle a tendu une main vers moi pour commencer à me caresser…

 

J’ai coupé l’eau, j’ai accroché le pommeau de douche au mur, et j’ai demandé si elle voulait que je lui enlève son haut. Toujours sans me regarder dans les yeux, elle a dit oui. Je me suis alors approché d’elle, je me suis penché au-dessus de son épaule pour lui retirer le haut… et alors que je prenais conscience que mon sexe était très proche de son visage dans cette position, j’ai senti sa bouche se fermer dessus…

 

Tout en me suçant, le rythme était très lent, j’ai retiré son haut de maillot, avec son aide. Je ne pouvais pas regarder ses seins dans cette position, mais j’ai passé une main dessus : ils étaient extrêmement fermes… Et pas petits. Ils semblaient être ni plus ni moins comme je l’imaginais quand je la voyais en maillot.

 

Sa fellation n’était pas profonde, mais elle serrait fort avec ses lèvres, elle jouait avec sa langue, c’était très plaisant… Avec ses mains, elle caressait mon ventre, mon torse, mes fesses…J’avais une main sur sa tête, mais je la forçais à rien… je lui caressais simplement les cheveux…

 

Lorsque je lui ai dit que si elle continuait j’allais jouir, pour la première fois depuis que j’étais nu elle m’a regardé dans les yeux… Elle m’a demandé si ça me dérangeait de me laisser aller. Je lui ai dit que non, mais que peut-être que l’on pourrait continuer dans une chambre, pour une plus grande variété de plaisir, surtout pour elle…

 

Elle a acquiescé.

 

Je nous ai séchés rapidement, j’ai pris Ludivine dans mes bras, cette fois face à moi et non dans mon dos, la soutenant par les fesses, et je nous ai emmenés dans une chambre. À peine sur le lit, je lui ai retiré son bas de maillot, et je ne suis pas remonté : mon visage est resté entre ses jambes que j’ai écartées, pour savourer sa délicieuse chatte…

 

Oui, elle est paraplégique, mais non, elle n’a pas d’handicap sexuel, mis à part le fait qu’elle ne peut pas bouger ses jambes comme vous et moi, donc qu’il faut en tenir compte.

 

Bref, sa chatte était juteuse et délicieuse… Je me suis régalé, et à écouter ses gémissements, elle a adoré aussi!

 

Avant d’entrer en elle, je lui ai demandé si elle voulait que l’on utilise des préservatifs, mais sa réponse a été limpide : non. Elle m’a dit ce qu’elle avait déjà dit à Clarisse, c’est-à-dire qu’elle n’a pas eu de partenaire depuis plus de 2 ans et que les tests sanguins qu’elle a fait entre temps pour sa santé en général ont toujours été négatifs. Je lui ai dit que de mon côté j’ai un test relativement récent, mais elle n’a pas demandé à le voir, et on a fait l’amour…

 

Nous avons donc fait l’amour, dans une seule position : elle allongée sur le dos, moi allongé sur elle, avec un rythme lent et énormément de baisers langoureux... Chaque fois que je tentais doucement de me décoller de son corps pour changer de position, elle m’agrippait et me collait à elle extrêmement fort, parfois en me griffant un peu avec ses ongles.

 

Je ne pense pas qu’elle ait joui pendant que j’étais en elle. Beaucoup de plaisir, oui, c’était flagrant, mais un orgasme, je ne pense pas. En fait, je sais même à 100% que non. En revanche, moi j’ai fini par jouir en elle…

 

Après avoir éjaculé, je suis resté longtemps en elle, toujours allongé sur elle. On s’embrassait quasi amoureusement… Après un certain temps, alors que mon sexe commençait à sortir d’elle car je débandais, j’ai commencé à descendre… Je l’ai embrassée dans le cou, j’ai joué avec ses tétons du bout de ma langue, j’ai continué à descendre, j’ai embrassé son ventre, titillé son nombril, j’ai encore continué à descendre, j’ai embrassé ses poils pubiens, son clitoris, et enfin j’ai glissé ma langue dans la partie de son corps où je venais de me vider…

 

Toujours langoureusement, toujours quasi amoureusement, j’ai savouré son sexe agrémenté du goût de mon sperme…

 

Si je peux affirmer qu’elle n’avait pas eu d’orgasme pendant la pénétration, c’est parce qu’elle en a eu pendant que je la savourais, et la réaction était bien différente…

 

Lorsque j’ai cessé, je suis remonté un petit peu, et j’ai posé ma tête sur son ventre. Je suis resté allongé la tête sur son ventre, mon corps entre ses jambes… Je caressais une de ses hanches, et elle caressait mes cheveux… Nous n’avons pas échangé un seul mot… Et elle s’est endormie… À sa décharge, il était un peu plus de 23h à ce moment-là…

 

Je me suis levé, j’ai pris un peu de temps pour la regarder. Ou plutôt, pour la contempler tellement elle avait un joli corps. Et en dormant, elle était vraiment, vraiment belle, tranquille.

 

J’ai remonté les draps sur elle, et je suis sorti de la chambre pour aller voir mes chéries, sans me rhabiller. Comme je m’y attendais, dès que Magali m’a vu nu elle a demandé à goûter à mon sexe, pour me goûter moi, mais tel que je la connais c’était surtout pour goûter à ce qui restait sur moi de l’intérieur de Ludivine…

 

J’ai dit à mes chéries que Ludivine s’était endormie. Nous avons un peu parlé tous les trois, et j’ai notamment demandé si elles pensaient que je devais laisser Ludivine dormir seule, ou si je devais rester avec elle. Finalement on s’est dit que ce serait mieux qu’elle ne se réveille pas seule, au cas où elle ne se souviendrait plus où elle était (façon de parler, évidemment).

 

J’ai discuté un peu avec mes chéries, puis on s’est dit bonne nuit, elles sont allées se coucher dans notre chambre et moi je suis allé chercher le fauteuil roulant de Ludivine pour l’amener dans la chambre, avant de me coucher à côté d’elle.

 

Le matin j’ai été réveillé par des bruits de draps. C’était Ludivine, qui se glissait sous les draps, évidemment sans pouvoir s’aider de ses jambes, pour atteindre mon sexe… J’ai compris quel était son objectif quand je l’ai sentie prendre mon sexe avec une de ses mains et que ses lèvres se sont posées sur mon gland…

 

Évidemment, j’ai instantanément durci… J’aurais su qu’elle voudrait un tel réveil, je me serais lavé le sexe avant de revenir me coucher… Oui, ma chérie m’avait sucé hier soir après que j’ai fait l’amour avec Ludivine, mais ce n’est pas comme m’être nettoyé…

 

Cette fois, au moment de jouir je n’ai rien dit… Je n’ai pas prévenu ma partenaire, du moins pas directement : j’ai gémis un peu différemment, indiquant quand même assez clairement que j’allais jouir, mais sans le lui dire de vive voix.

 

Après avoir tapissé sa bouche de mon premier jet, elle a continué sur le même rythme, qui était un rythme relativement lent, mais comme la veille, ses lèvres appuyaient fermement sur ma queue…

 

Lorsqu’elle est remontée jusqu'à mon visage, elle avait un super joli sourire et m’a dit « je m’excuse, mais depuis la douche d’hier, j’avais terriblement envie d’aller jusqu’au bout ». Je lui ai répondu qu’elle n’avait pas à s’excuser, bien au contraire, c’était à moi de la remercier! Et de mon côté, je me suis excusé aussi en disant que j’aurais su, je me serais lavé le sexe depuis la veille pour ne pas qu’elle « s’auto-goûte ». Elle m’a répondu que mon sexe ne sentait pas du tout le sien, et que même si ça avait été le cas, ça ne l’aurait pas dérangé du tout. Elle a rajouté « Étant donné ce que tu as fait hier soir, je peux dire que comme toi, ce qui sort de mon propre sexe ne me déplait pas ». J’aurais pu rajouter que ce n’est pas juste mon sperme qui me plait, mais le sperme en général, mais je ne suis pas allé jusque là.

 

Allongée dans mes bras, elle a continué sur le sujet en disant que ce que j’ai fait hier, elle ne l’avait jamais vécu, et qu’elle a trouvé que c’était d’une intimité incroyable, et que c’est ce qui a provoqué son orgasme…

 

Nous n’avons pas parlé sexe plus que ça. Nous avons fini par nous lever, je l’ai emmené dans la salle de bain avec son fauteuil, puis nous sommes allés rejoindre mes chéries pour prendre notre petit déjeuner. Ça a été un moment très simple et très agréable.

 

On était samedi, donc il n’y avait pas d’urgence professionnelle de notre côté, mais Ludivine devait rentrer chez elle parce qu’elle devait rejoindre sa mère pour midi. Clarisse s’est sans hésiter portée volontaire pour la ramener chez elle. Personnellement, je pensais que Clarisse a eu un genre de coup de foudre pour Ludivine. Pas un coup de foudre amoureux, mais une envie de tendresse avec elle. Ce n’était que mon avis, mais il s’est avéré par la suite que c’était bien le cas.

 

En effet, lorsqu’elle est revenue après l’avoir ramenée chez elle, elle s’est lovée dans les bras de Magali et a dit qu’elle trouvait Ludivine vraiment, vraiment adorable, et qu’elles avaient convenues de se revoir pour aller courir (pour Clarisse) et faire du fauteuil rapide (pour Ludivine). Elle a aussi dit que Ludivine a demandé si mes chéries et moi serions d’accord pour que je passe du temps à l’occasion avec elle, à partager des moments complices/sexuels. Clarisse lui a répondu qu’elle a juste à me contacter directement, qu’il n’y aura aucun problème. Et elle lui a donné mon numéro, en plus du sien.

 

Tout ceci s’est passé il y a déjà plusieurs semaines. Depuis cette première rencontre, une fois par semaine Clarisse va faire du sport ou une activité autre (shopping, cinéma, etc) avec Ludivine. De mon côté, je n’ai passé qu’une autre nuit avec elle. Un peu comme la première fois, en soirée nous avons fait l’amour, j’ai joui en elle, et je l’ai nettoyée. La différence principale est que cette fois, le nettoyage a été mutuel… Et le matin, au lieu de juste une fellation, nous avons refait l’amour. Par contre, comme lors de notre première rencontre, elle voulait que je jouisse dans sa bouche. Donc après avoir longuement fait l’amour, je me suis agenouillé au-dessus de sa poitrine, je me suis masturbé pendant que ses mains étaient posées sur mes cuisses, son regard passant de mon gland à mes yeux. Au moment de jouir, je me suis approché de sa bouche, pensant qu’elle allait prendre mon gland en elle, mais non, elle a juste tiré la langue le regard rieur, et je me suis déchargé sur sa langue, avant qu’elle n’avale le tout…

 

 

 

 

Par Etienne - Publié dans : Partenaire inattendue
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Mercredi 19 octobre 3 19 /10 /Oct 13:33

C’est drôle… Dans ma mise à récente de mes histoires je vous disais qu’il ne s’était rien passé avec ma belle-mère depuis longtemps, et évidemment il suffisait que j’en parle pour qu’il se passe quelque chose…

 

Je suis allé chez elle pour l’aider à préparer sa cour/maison pour l’hiver : ranger les meubles de jardin, élaguer quelques arbres, fermer le spa et la piscine, etc. J’y suis allé seul, sans mes chéries. Je n’y allais pas seul dans l’optique de baiser, mes chéries étaient simplement occupées.

 

Je suis arrivé chez elle en tout début d’après-midi, vers 13h. Quand elle m’a ouvert, elle avait encore les cheveux mouillés, donc elle sortait de la douche, et portait de vieux vêtements : un vieux pantalon « mou » troué et tâché de peinture, ainsi qu’un hoodie, lui avec des tâches de peinture. Très peu de peau était visible, mais son charme naturel faisait qu’elle était très jolie ainsi habillée.

 

Sans perdre de temps, nous sommes directement allés dans son jardin pour faire ce pour quoi je suis venu.

 

Au début, il ne faisait pas très chaud, mais avec les efforts physiques que nous faisions, nous nous sommes réchauffés assez rapidement. J’ai fini torse nu, et ma belle-mère a enlevé son hoodie, pour ne porter plus qu’une camisole qui, comme le reste, était tâchée de peinture. Si vous me suivez, vous savez que ma belle-mère à une poitrine absolument affriolante, massive, grosse, imposante. Et bien il n’y avait pas besoin de faire beaucoup d’effort pour constater que sous sa camisole, elle ne portait rien pour soutenir cette partie excitante de son anatomie…

 

Pendant que l’on travaillait, on parlait de tout et de rien. Nous avons évidemment parlé de son copain, avec qui elle est depuis quelque temps déjà. Elle m’a dit que c’était « véritablement un amour », mais que sexuellement « il est très, très ennuyeux ». Évidemment, j’ai demandé des détails…

 

Apparemment, il ne fait l’amour qu’au lit. Elle a essayé à plusieurs reprises, et essaye encore de lui faire l’amour ailleurs, par exemple dans le spa ou la piscine, dans la salon, n’importe où, mais à chaque qu’elle commence quelque chose avant toute pénétration il l’emmène dans la chambre… Le seul acte qu’il accepte hors du lit, c’est la fellation. Mais attention : hors du lit ne veut pas dire dans une voiture ou dans le jardin. Non non! Ça veut dire dans la salle de bain, après une douche. C’est tout.

 

Quant aux actes qu’il accepte au lit, c’est dans la même lignée : fellation, cunnilingus si elle sort de la douche, missionnaire, levrette, et quand elle va s’asseoir sur son sexe. Le reste, doigtage, anulingus, sodomie, branlette (autre que pour guider sa queue vers la bouche ou le sexe), branlette espagnole, il ne pratique pas et ne veut pas commencer. Les éjaculations, c’est encore une fois dans la même veine : dans le sexe et dans la bouche, d’accord. Sur le corps (celui de ma belle-mère ou le sien), sur le visage, dans un verre ou autre, non.

 

Elle m’a raconté quelques anecdotes/exemples.

-        alors qu’elle le suçait, lui allongé sur le lit, elle s’amusait avec sa queue et ses couilles. Quand elle est descendue plus bas pour aller atteindre son anus, il lui dit « Attention mon amour, tu vas trop bas, remonte un peu »;

-        alors qu’elle sortait de la douche, elle est allée s’asseoir sur le visage de son copain qui était allongé au lit. Elle a directement tenté de placer son anus sur sa bouche. Elle en a été incapable : il se débattait poliment pour se déplacer, mais comme un diable quand même. Elle n’a évidemment pas forcé;

-        lors d’une fellation dans la salle de bain alors qu’il sortait de la douche et qu’à son tour elle allait y aller, au denier moment elle a sorti le sexe de sa bouche pour tout recevoir sur le visage. Au premier jet il s’est reculé, se confondant en excuses. Il a pris des lingettes pour lui nettoyer le visage, comme si c’était du poison qu’elle avait dessus. Elle avait beau lui dire qu’elle avait exprès, que c’est ce qu’elle voulait, il s’excusait.

 

Elle a fini en disant : « Si je lui avouais que j’ai très envie de me faire pisser dessus, de jouer dans son anus, qu’il joue dans le mien, qu’il prenne l’initiative en me dominant, qu’il m’enfonce sa queue pleine de mon propre jus dans ma bouche, et qu’il utilise des jouets sur moi au lit, il va me prendre pour une extraterrestre! ».

 

Je lui ai demandé s’il avait quand même une qualité, sexuellement parlant. Elle m’a dit oui, deux :

-        quand elle est elle-même d’humeur plus sensuelle, sans « extravagance », il est très attentionné et c’est vraiment parfait;

- sa production de sperme semble très impressionnante. Mais ce côté-là, autant ça l’enchante quand elle le reçoit en bouche ou que ça lui coule le long des cuisses pendant un bout de temps, autant ça la frustre de ne pas pouvoir jouer avec cette quantité de sperme sur son corps, sur celui de son homme, dans un verre, etc.

 

Toujours en travaillant dehors, je lui ai proposé de nous prévoir un petit « scénario » : une fois je viendrais, qu’elle fasse jouir son homme en elle, et c’est avec plaisir que j’irai tout récupérer ensuite avec ma langue, entre ses cuisses, discrètement, bien entendu… La réponse de ma belle-mère? « Avec plaisir ». Puis nous avons changé de sujet.

 

Bien qu’il ne faisait pas très chaud, avec toute l’activité physique, comme je l'ai dit plus haut, nous avions chaud, et on buvait pas mal d’eau.

 

À un moment où elle était accroupie au sol en train d’accrocher des branches coupées en fagot pour le ramassage, je me suis approché d’elle, en sortant mon sexe de mon pantalon. J’étais donc en pantalon, torse nu, le sexe sorti. Pas 100% en érection, mais pas au plus petit non plus. Ma belle-mère était penchée en avant, son débardeur ne demandant qu’à craquer pour ne plus avoir à soutenir les lourds seins qu'il avait la pénible tâche de contrôler…

 

Je me suis placé devant elle, j’ai lâché une giclée d’urine qui a atterri dans ses cheveux, et je lui ai dit : « C’est ça dont tu as envie? ». Lorsqu’elle a levé la tête, j’ai lâché une seconde giclée qui a éclaboussé son visage. Elle a ri et a dit : « Oh mon Dieu oui! ».

 

Elle s’est assise au sol, s’est penchée en arrière se tenant sur un bras, et la main de son autre bras a disparu dans son pantalon. J’ai alors commencé l’arrosage en règle, du visage aux cuisses, m’appliquant sur la bouche ouverte et les seins dont les tétons pointaient au travers de la camisole…

 

Quand la force du jet a commencé à diminuer, elle s’est approchée de ma queue et la prise en bouche, buvant les dernières gorgées. Ma bite a évidemment gonflé jusqu’à avoir une érection bien dure…

 

Elle reproche à son copain de ne pas prendre d’initiative? J’ai comblé ce désir ce jour-là.

 

Une fois ma queue bien dure, j’ai imposé mon rythme à la fellation, alternant entre pilonnage de gorge et temps accordé à ses lèvres pour qu’elles jouent sensuellement…

 

Puis en la tirant (respectueusement, mais sous forme de domination quand même) par les cheveux, je l’ai faite se tourner pour qu’elle soit à quatre pattes au sol. J’ai baissé son pantalon, et sans rien demander j’ai enfoncé ma queue dans sa chatte qui n’attendait que ça… Une fois mon membre bien lubrifié, ça a été avec un grand plaisir, autant pour elle que pour moi, que j’ai alterné entre son petit trou et sa chatte. Parfois « violemment », parfois « amoureusement ». Pendant ce temps, elle a fait sortir ses seins du débardeur pour se les caresser, quand elle le pouvait.

 

Elle a joui plusieurs fois. Elle n’était plus capable de tenir à quatre pattes, tout son corps tremblait. Je lui ai demandé de se rasseoir au sol comme elle l’était quand je l’ai arrosée, puis j’ai glissé ma queue entre ses lèvres, sur sa langue, pour qu’elle me finisse avec son propre goût en bouche.

 

Au moment de jouir je suis sorti d’elle, et j’ai éjaculé sur son visage qui était illuminé d’un grand sourire…

 

Suite à cela, elle s’est laissée tomber sur le dos dans l’herbe, le visage souillé de sperme, de l’urine luisante sur son corps… Je l’ai contemplée, ses seins massifs cherchant à s’étaler de chaque côté de son corps (elle a plus de 60 quand même!). Elle était belle.

 

Je me suis allongé à côté d’elle, et j’ai commencé à embrasser son corps, de son cou jusqu’à son sexe, goûtant au salé de mon urine tout le long du parcourt… Je l’ai fait jouir une fois avec ma bouche, puis je suis remonté, embrassant et nettoyant son visage…

 

Nous ne sommes pas restés sans bouger : il faisait froid dès que toute activité cessait. Elle a regardé ce qui restait à faire dans la cour, et nous avions presque fini. Elle m’a dit qu’elle sera capable de faire le reste seule, et m’a proposé d’aller prendre une douche, ce à quoi j’ai acquiescé.

 

Alors qu’elle m’apportait une serviette dans la salle de bain, elle a déposé une poire de lavement anal, en me disant avec un sourire coquin : « Pour le 2e round… »

 

J’ai ri, et j’ai obéi aux ordres. Pendant ce temps, elle-même a aussi pris une douche, dans une autre salle de bain.

 

Elle m’avait dit je finissais avant elle d’aller m’attendre dans le salon, et me servir à boire ce que je voulais. Je n’avais pas particulièrement chaud, alors je me suis fait un thé, et j’étais debout à regarder par la porte patio l’état de la cour quand elle est arrivée, elle avait un beau gode-ceinture, fièrement dressé vers ses seins… Elle s’est assise sur le divan, m’a fait signe de la rejoindre. Elle m’a fait sucer sa « queue » abondamment pour que ma salive la lubrifie, puis m’a demandé de m’empaler dessus… A alors commencé le « 2e round », durant lequel elle m’a dominé de bout en bout, mon cul étant visité alternativement par sa « queue », sa langue et ses doigts…

 

Je suis rentré chez moi ravi de ma journée, et ma belle-mère sur un nuage de satisfaction sexuelle… Ça a fait du bien de rebaiser avec elle…

 

 

Par Etienne - Publié dans : La mère à ma chérie
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Jeudi 13 octobre 4 13 /10 /Oct 07:20

Je n’ai pas beaucoup écrit cet été, je manque de temps! Parce qu’il s’est passé pas mal d’histoires qui valent le coup d’être racontées. Alors des résumés, au gré de ce qui me vient à l’esprit :

 

Mon boss

 

Je vais au bureau deux fois par semaine dorénavant, et chaque fois mon boss et moi nous nous offrons un moment de plaisir. Je dirais que 9 fois sur 10 c’est juste moi qui le savoure, léchant son sexe, ses testicules, son anus, jusqu’à recevoir son exquise semence dans ma bouche. Régulièrement son sexe sent le corps de sa femme (parfois une odeur de sexe, parfois d’anus), et je n’en suis que plus excité. Et 1 fois 10, il me sodomise, en finissant dans mon anus ou en se retirant au dernier moment pour finir dans ma bouche.

 

Nous avons aussi eu deux autres soirées avec sa femme. Les deux soirées ont eu lieu chez moi, en présence de mes deux chéries. Lors de la première soirée, la « règle » a été respectée : il n’y a pas eu de contacts entre personnes du sexe opposé. À la seconde soirée, cette règle à légèrement été enfreinte… Je vous le raconterai plus en détail dans une histoire dédiée.

 

Cassandra

 

La belle fille très mince à la peau noire est partie un mois et demi faire de la randonnée en Amérique du Sud, seule. C’est quelque chose qu’elle voulait faire depuis des années, partir avec son sac à dos et visiter différentes pays à pied et en fonction des rencontres qu’elle y fera.

 

La veille de son départ nous avons eu une séance de baise très, très intense. À sa demande, je l’ai énormément griffée… À son retour, elle m’a envoyé un message disant à peu près ceci : « De retour. Je ne me suis ni épilée ni rasée nulle part depuis mon départ. J’ai envie d’un scénario : tu viens me rejoindre chez moi, heureux de me retrouver, et quand tu constates que je ne me suis pas du tout ‘entretenue’, tu me punis. À toi d’imaginer la ou les punitions ». J’ai accédé à ses désirs, et là encore, je vous le raconterai dans une histoire dédiée.

 

L’amie de Cassandra

 

Si vous me suivez, vous savez que je dois baiser avec une amie de Cassandra chaque fois que cette amie perd 50 livres. C’est une amie obèse, et ma partie de jambes en l’air avec elle est une sorte de récompense pour l’encourager. Je ne vous raconterai pas ce qu’il s’est passé, ce serait pas mal redondant avec la première fois : pénétration dans tous les sens, avec jouets, doigts, langues et ma bite. Ce que je peux dire, c’est que si elle a perdu 50 livres, ce que je crois puisque pour le prouver elle est montée sur la balance, physiquement, ça ne se voit pas vraiment…

 

Sara (la jeune mère)

 

Je vous l’ai déjà écrit, la période de lactation de Sara a tiré à sa fin. On continue à se voir, pour ce soit pour avoir du plaisir charnel ou pour faire du sport (courir, patiner, etc.), mais la source de l’exquis lait s’est tarie.

 

De même, son conjoint continue à baiser à l’occasion avec mes chéries. Si les premières fois il ne pratiquait que la sodomie avec elles, donc le seul acte que Sara ne voulait pas pratiquer (avec lui, parce qu’avec moi, si vous me suivez régulièrement, elle le pratique; et j’ai expliqué précédemment pourquoi elle dit oui avec moi mais non à son homme), dorénavant il n’y a plus de limite. Sara est au courant pour son homme et mes chéries, puisque c’est elle qui nous y avait poussés, mais lui ne sait pas que je couche avec elle.

 

D’un côté c’est une situation excitante, mais d’un autre côté ça ferait de super soirées échangiste si tout le monde savait tout…

 

Immobilier

 

En passant dans la rue en arrière de chez nous, on a vu que la maison de nos voisins était à vendre. Et bien on a décidé de l’acheter. On vit à trois dans notre belle grande maison, sans enfant, et en cumulant nos revenus sans dire que nous sommes riches, nous avons un niveau de vie bien plus que confortable. Au début on s’est dit qu’on allait l’acheter pour la louer, mais finalement nous avons eu une toute autre idée. En fait ma chérie a eu une toute autre idée.

 

Elle nous a annoncé qu’elle aimerait beaucoup refaire « un peu » de prostitution. Pas recommencer comme la première fois où on enchainait les clients, mais elle aimerait en avoir quelques uns, se faire plaisir avec des inconnus, dans un cadre à son goût, à son rythme.

 

Nous en avons tous les trois discuté, et nous avons fini par convenir que si elle en avait envie, ce pouvait être une bonne idée.

 

Nous avons donc acheté la maison, et nous sommes en train de faire faire quelques travaux pour l’aménager au goût de ma chérie (mais avec notre accord aussi!), car ce sera son « lieu de travail ». Je vous la décrirai dans une histoire dédiée.

 

Bukkake

 

Encore une fois, si vous me lisez depuis longtemps vous le savez, ma chérie participe parfois à des bukkakes payants, organisé par quelqu’un d’autre que nous. J’y vais aussi, parce qu’évidemment ça m’excite terriblement de la voir couverte de sperme, mais notre amante préfère s’abstenir.

 

Ça faisait quelques temps que ma chérie n’avait pas participé à un des ces moments, alors quand elle a dit qu’elle en avait envie, j’étais plus qu’heureux! Le temps que l’on choisisse la date, que l’organisateur convie ses clients (parce que oui, au final, il met en relation ses clients avec ma chérie), et ma chérie s’est retrouvée couverte du sperme de 11 hommes (je participais, mais je n’ai pas joui, je me suis gardé pour plus tard).

 

Elle était absolument sublime. Évidemment, j’ai pris des photos de son corps pour notre usage personnel, mais une fois dans la salle de bain de l’organisateur pour se nettoyer, elle m’a fait une branlette espagnole entre ses seins extrêmement gluants. C’était incroyable. Ça glissant tout seul, c’était humide, ça sentait bon et fort le sperme… Et mon nectar s’est ajouté aux autres.

 

Après cela, j’ai remplacé la douche : elle a fait couler de l’eau pour faire croire qu’elle se douchait, elle passait la main sous le jet pour imiter le bruit d’une douche, mais j’ai léché quasiment tout son corps. Elle s’est juste mouillée les cheveux à la fin pour bien simuler la douche, mais elle s’est rhabillée sans se laver, et je vous assure qu’à peine arriver à la maison je l’ai déshabillée pour la lécher à nouveau, l’odeur de son corps constellé de sperme séché étant terriblement excitante… Surtout que je n’avais pas léché à fond, pour qu’il en reste un peu à savourer…

 

Ma belle-mère

 

Rien de nouveau de ce côté! On s’est vu à plusieurs reprises, mais rien de sexuel.

 

Week-end complet avec une transsexuelle

 

Mes deux chéries sont parties en week-end spa, massage et détente, en amoureuses. Elles savent que ce n’est pas du tout le genre d’activités qui me plait, mais elles savaient aussi que si elles me le disaient à l’avance, je me prévoirais autre chose de mon côté, ce qu’elles ne voulaient pas. Parce que non seulement elles se sont prévues un week-end détente, mais elles ont aussi prévu mon week-end : elles m’ont dit que j’avais interdiction de sortir pour les 30 minutes qui allaient suivre leur départ car j’aurai de la visite…

 

En effet, à peine 10 minutes après leur départ, ça a sonné à la porte. Une femme ultra sexy, dans une robe fourreau moulante très décolletée et très fendue sur les cuisses, était devant moi, avec une petite valise. « Bonjour et surprise ! ». m’a-t-elle dit.

 

Il s’agissant d’une femme que je n’avais vue, mais que j’ai rapidement soupçonné de ne pas une femme de naissance. Et je ne me suis pas trompé… La suite fera l’objet d’une histoire dédiée.

 

Femme à laquelle la vie ne fait pas que des cadeaux

 

Nous avons fait la rencontre d’une femme, très jolie, mais qui a eu pas mal d’obstacles dans sa vie. Si je vous en parle ici, c’est qu’évidemment il s’est passé quelque chose sexuellement parlant avec elle, mais ça fera aussi l’objet d’une histoire dédiée.

 

 

 

 

 

Par Etienne
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