Mercredi 11 août 3 11 /08 /Août 23:25

Nous nous sommes lancés un défi stupide. Depuis le 14 juillet et jusqu'au 1er septembre, nous nous sommes fixés une interdiction : il est interdit d'utiliser les toilettes pour quoi que ce soit. Résultat? Nous buvons beaucoup d'urine, et mangeons beaucoup de boudin noir...

 

Clarisse, notre amante, me fait que boire de l'urine. Pour ce qui est du caca, c'est ma chérie et moi qui nous en occupons, avec une plus grande partie pour ma chérie qui est très, très friande de ce produit.

 

On ingère tout ça de toutes les façons possibles : parfois directement à la source, parfois sur le corps de l'un de nous, parfois en faisant une recette, un smoothie, etc. J'ai même ramené une fois du lait de la mère qui allaite pour améliorer une recette... Ma chérie et moi avons aussi manger du boudon accompagné d'une "sauce tomate" maison, produite par deux femmes menstruées (quand on a commencé à habiter les trois ensembles leurs cycles n'étaient pas synchronisés, mais avec le temps il l'est devenu)... 

 

À l'occasion du sperme est aussi utilisé pour épicer le tout.

 

Comme nous ne sommes pas capable de toujours tou boire ou tout manger, il y a deux pots dans notre réfrigérateur : un plein d'urine, et un contenant l'excédent d'excrément non savouré encore...

 

Bref, notre gastronomie ces temps-ci est assez unique... Un dernier exemple pour finir : on a commandé un pizza hier soir. Et bien ma chérie a disséminé sur ses parts des petites boules d'excrément comme s'il s'agissait d'olives... Et elle s'est régalé... 

Par Etienne - Publié dans : Scatologie
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 11 août 3 11 /08 /Août 22:55

Finalement je retrouve une fois par semaine ma jeune mère qui allaite. On fait plusieurs fois le tour du parc en patins, pendant qu'elle pousse la poussette, et on parle, et je bois son lait qu'elle m'apporte systématiquement... Elle porte tout le temps une tenue de sport hypersexy...

 

Il y a souvent du monde dans le parc, mais à quelques reprises nous avons pu, pendant de cours instants, nous toucher mutuellement... Plus ou moins caché derrière un arbre j'ai pu à quelques occasions boire un peu de son lait directement à ses seins tout en lui caressant le sexe, parfois pardessus le tissu, mais j'ai aussi réussi à glisser ma main dessous pour enfoncer brièvement, bien trop brièvement, mes doigts en elle... Doigts qu'évidemment j'ai lèchés sous son regarde excité...

De son côté elle a plongé sa main dans mon short pour saisir ma queue, mais elle n'a jamais osé se baisser pour me sucer. En fait ce n'est pas tout à fait vrai : deux fois elle a souhaité le faire, mais les deux fois du monde approchait donc la manoeuvre a avorté.

 

Cela dit, elle a quand même gouté mon sperme. Elle m'a répété à plusieurs reprise qu'elle en avait envie, donc il m'est arrivé d'aller seul m'isoler entre des arbres, un endroit trop lointain pour y aller en patins avec une poussette, pour me masturber et éjaculer dans ma main. Elle a chaque fois bu avidemment la main que je lui tendais à mon retour...

 

Nous ne nous sommes donc toujours pas rencontrer à nouveau dans un motel/hôtel. J'ai hâte que ça arrive, et elle aussi dit qu'elle en a vraiment envie. Mais de mon côté je suis disponible, ça ne dépend donc que d'elle...

 

En attendant une fois par semaine j'ai ma ration de lait, de sueur et de contemplation d'une sportive ultrasexy.

Par Etienne - Publié dans : Lactation
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 11 août 3 11 /08 /Août 17:20

Avec Cassandra, l’athlétique maigrichonne à la peau noire, nous avions échangé notre courriel, lors de notre rencontre au 5 à 7 qui s'était transformé en 9 et 11. 

 

Cette soirée s'est passée il y a déjà quelques mois, elle n'est pas récente, mais je ne l'avais pas encore raconté. Nous nous sommes revus depuis, mais j'avais envie de raconter cette fois-là avant d'en raconter des plus récentes...


Elle m'a réécrit récemment, en disant qu'elle n'avait pas eu d'autres rapports sexuels depuis notre première rencontre, et qu'elle était "due" pour remettre ça... Elle m'a demandé si j'étais disponible pour une nuit complète de samedi à dimanche. Malheureusement non : ma chérie passait la nuit avec l'un des rares clients qu'elle a conservé de l'époque de prostitution, et du coup j'en profitais pour passer une soirée et une nuit en amoureux avec notre amante, en tête à tête. Comme Cassandra ne voulait pas remettre à plus tard, on a convenu de passer une nuit ensemble dans la semaine, ce que nous avons fait.

Quand je suis arrivé chez elle, il était encore tôt, à peine 18h. J'ai sonné à l'interphone, elle a débloqué la porte, puis je suis monté jusqu'à son étage. J'ai cogné à la porte, et elle a aussitôt ouvert. 
Elle avait un grand sourire, les yeux pétillant de plaisir et de malice, et elle ne portait quasiment aucun vêtement... Lors de notre soirée j'avais dit que j'aimais beaucoup voir les femmes en bikini, que c'était ma tenue préférée, que je trouve cela plus sexy et excitant que nue, et c'est comme ça qu'elle m'a ouvert : en bikini noir, sur sa peau noire...

Et elle était sublime. Évidemment, n'ayant pas de poitrine le haut était beau et agréable à regarder mais sans plus, mais le bas... quel cul... quelles cuisses incroyables... Ça se voyait qu'elle était contente du plaisir que je prenais à la regarder, de la surprise de la voir ainsi...

On ne s'est pas embrassé, ni la bise, ni sur la bouche, mais en passant à côté d'elle j'ai passé ma main sur son ventre... j'ai adoré sentir du bout des doigts le sillon entre ses abdos... Il était évident pour moi qu'au cours de la soirée je jouirai à cet endroit, si elle l'acceptais. Et je ne vois pas pourquoi elle dirait non : elle m'a fait jouir sur son visage la dernière fois, sous la douche... J'imagine donc que ce n'est pas quelque chose qui la dégoute...

J'ai posé mon sac à dos parterre, et aussitôt j'ai dit : "j'égalise la situation", et je me suis déshabillé, pour ne rester qu'en boxer. Une fois dans cette tenue, j'étais en érection... elle a souri et a caressé mon bâton au travers du tissu, et son regard criait "je le veux". Mais nous n'avons rien fait à ce moment-là... juste des caresses presque innocentes...

Elle m’a ensuite proposé quelque chose à boire, tout en m’emmenant vers son salon. Je précise que son salon est ouvert sur la cuisine. Donc assis sur le canapé, je la regardais marcher de dos vers le frigo, en me disant dans ma tête : « quel cul incroyable »…

 

Nous parlions de tout et de rien, jusqu’à ce qu’elle vienne s’asseoir. Elle s’est assise à côté de moi, une jambe pliée sous ses fesses, tournée vers moi. On a trinqué, on a chacun bu une gorgée, puis il y a eu un petit silence.

 

Pour le briser je lui ai demandé en souriant : « si tu n’as pas eu de partenaire depuis moi, est-ce que tu as compensé en te masturbant? ». Toujours direct, quand je sais que la personne aime un tel langage.

 

Elle m’a répondu que oui, presque tous les jours, et qu’elle a essayé à quelques reprises de glisser un de ses jouets dans son anus au lieu de son sexe, mais qu’elle n’a pas aimé plus que ça… Je lui ai dit que ce soir le problème ne se présentera pas : elle aura droit à mon sexe bien dur autant de fois qu’elle en aura envie là où elle en aura envie.

 

Elle a ri en disant : « j’espère bien, sinon j’aurais préparé un super souper pour rien! ».

 

On a continué à discuter sur ce ton, léger, humoristique.

 

Elle m’a aussi dit qu’elle s’était achetée une poire pour lavement anal. Elle avait remarqué qu’elle n’était pas très propre lors de notre première fois… Et toujours avec son langage direct, elle a dit que voir toute « cette merde » sortir mélangée à de l’eau pour en faire une « purée », c’est « très dégueulasse »! Elle a bien insisté sur le fait que ce soir elle est probablement brillante de l’intérieur tellement elle est propre! Je lui ai dit qu’au cas où elle aurait envie de venir jouer en moi, de mon côté aussi j’ai pris les mesures nécessaires.

 

On a continué à parler sexe. De nos expériences passées, de nos envies, etc. Je ne lui ai pas dit que je vis avec deux femmes, mais je lui ai dit qu’on a souvent une amie à la maison pour agrémenter les plaisirs. Je ne voulais pas lui demander si elle avait déjà essayé avec une femme, pour ne pas qu’elle pense que je voulais l’attirer chez nous, mais elle a elle-même abordé le sujet en disant qu’elle n’a jamais essayé avec une femme, et que si l’idée ne la repousse pas elle ne peut pas dire non plus que c’est un fantasme.

 

Toujours en discutant, elle s’est levée pour aller dans la cuisine pour préparer les dernières choses pour le souper. Je l’ai suivie pour lui proposer mon aide, mais elle m’a dit qu’elle gérait très bien la situation.

 

Elle était en train de prendre un couteau pour couper des légumes. Je me suis alors placé derrière elle, j’ai posé mes mains sur ses hanches, et j’ai collé mon sexe en érection contre ses fesses, au travers de son bikini et de mon caleçon. Je lui ai demandé si elle gérait « assez bien la situation pour pouvoir être dérangée en même temps ». Elle m’a répondu en prenant un air humoristiquement supérieur que si je croyais que j’étais capable de la déconcentrer avec mon sexe je me trompais lourdement.

 

Je me suis reculé, sans dire un mot, et 30 secondes plus tard j’étais à nouveau derrière elle, mon boxer baissé, un préservatif sur mon sexe, et je décalais son bas de maillot pour libérer l’accès à son sexe. Sexe qui était complètement trempé, soit dit au passage…

 

30 autres secondes plus tard mon ventre cognait doucement contre ses fesses, mon sexe dans le sien.

 

30 autres secondes plus tard mon ventre cognait contre ses fesses, mon sexe dans son anus.

 

Elle a alors arrêté ce qu’elle faisait… Il faut dire que couper des légumes en se faisait sodomiser sans retenue, c’est un peu risqué!

 

Mais dès qu’elle a posé le couteau je me suis retiré, en disant : « Défi réussi pour moi, j’arrête là! », un grand sourire innocent sur le visage.

 

Elle s’est tournée vers moi, m’a répondu « j’ai tout ce qu’il faut pour continuer sans toi » en prenant le premier truc qui lui est tombé sous la main et en se l’enfonçant dans l’anus. On a tous les deux explosé de rire : ce n’est pas avec le manche d’une cuillère en bas qu’elle allait avoir beaucoup de sensation!

 

Je me suis rapproché d’elle à nouveau, face à elle cette fois-ci. Elle a passé ses bras autour de mon cou, je l’ai soulevée en mettant mes deux mains sous ses fesses (elle est tellement légère!), elle a entourée ses jambes autour de ma taille et je l’ai lentement pénétrée, encore dans l’anus, ne sachant pas si elle serait d’accord pour qu’un même préservatif passe de son petit trou à son exquise chatte.

 

Nous avons fait l’amour ainsi, dans la cuisine, lentement, quelques minutes, les yeux dans les yeux, mais sans échanger un seul baiser…

 

Lorsque je l’ai redéposée sur le sol, j’ai caressé ses fesses d’une main, glissé un doigt dans son anus dilaté, avant le porter à ma bouche pour le sentir et le lécher…

 

Elle a continué à préparer ce qu’elle avait commencé, tout en me parlant, après avoir repris son souffle et avoir dit « et bien, ça fait du bien! ». Et pendant ce temps-là, pour la déconcentrer encore un peu je me suis assis de façon bien visible face à elle, et je me suis mis à me masturber lentement, après avoir enlevé le préservatif, bien sûr.

 

Quand elle a terminé le plat qu’elle préparait, elle s’est approchée, s’est agenouillée devant moi et a pris mon sexe en bouche, en remplacement de ma masturbation. Je lisais dans son regard rieur qu’elle allait faire une niaiserie… Et en effet, peu après elle m’a montré un de ses doigts, couvert de margarine avant de le faire disparaitre entre mes jambes… j’ai senti le froid du lubrifiant improvisé contre mon anus… et son doigt entrer en moi, mon gland au fond de sa gorge…

 

Je ne vous raconterai pas toute la soirée/nuit, ce serait répétitif. En gros, nous avons alterné entre discussion, sodomie, fellation, cuni, anulingus, doigtage, etc., la grande majorité des pénétrations ayant été des sodomies…

 

Il y a deux moments que j’ai envie de décrire plus en détails.

 

Le premier moment, qui en regroupe deux : j’ai à plusieurs reprises fait l’amour/baisé une femme debout alors qu’elle était face au mur, appuyée dessus, moi derrière elle. J’ai aussi à maintes reprises fait l’amour/baisé une femme que je tenais dans mes bras, comme ce que j’ai décrit tout à l’heure dans la cuisine. Mais je n’avais jamais fait l’amour/baisé avec une femme que je portais dans mes bras, mais dos à moi, et non face à moi. C’est pourtant ce que j’ai fait, cette soirée. Ça a commencé alors qu’elle était assise sur moi, moi-même assis sur le divan. Elle était assise sur mon sexe, qui était dans son adorable cul, ses jambes entre les miennes. J’étais donc à moitié avachi sur le divan, jambes écartées, et elle assise sur mon bas ventre, comme si j’étais une chaise, ma queue au fond de son cul. Au bout d’un certain temps je me suis relevé, portant ma partenaire, mes mains derrière ses genoux. C’est comme si elle était encore assise, sauf qu’elle ne tenait que parce que je la maintenais contre moi, son dos contre mon torse, les jambes pliées me permettant de demeurer dans son p’tit cul. Comme elle me disait « plus fort, plus fort », mais que je n’avais pas de moyen d’augmenter le rythme, je l’ai plaquée contre le mur, la maintenant en tirant ses cuisses en arrière, vers moi, pour que le haut de son corps soit plaqué contre le mur, l’empêchant de tomber, et je lui ai pilonné le cul. Mais c’était assez épuisant comme position. J’ai remis mes mains sous ses genoux pour me déplacer vers le divan, et arrivé proche de lui je suis tombé en arrière.  Je suis tombé le cul sur le divan, elle dans mes bras. Mais nous n’avons pas été « séparés » dans la chute. Au contraire, elle est tombée sur ma bite qui était encore bien en elle : elle a poussé un cri que je croyais de douleur, mais qui en fait était un cri de surprise et de peur, qui a aussitôt suivi d’un « encore! ».  Elle avait adoré la violence et la profondeur de la pénétration…

 

Le second moment : l’éjaculation sur ses abdos… J’ai écrit au tout début de ce texte que je comptais éjaculer dans le sillon des abdos de ma partenaire. C’est ce que j’ai fait lors de la première éjaculation de la soirée (la plus abondante…). J’étais assis sur son visage, sa langue caressant mon anus, mes doigts jouant sur son clitoris, une de ses mains caressant ma queue. Caressant, et faisant jouir… mon sperme s’est étalé sur son ventre, puis a coulé dans le sillon de ses abdos… c’était terriblement sexy, selon moi… Et je n’ai pas pu me retenir de passer ma langue dedans, sous le regard excité de ma partenaire… J’ai tout récupéré dans ma bouche avant d’aller partager un baiser juteux…

 

Je ne saurais pas vous dire combien de fois on a baisé dans la nuit. Par contre je peux vous dire que l’on n’a pas beaucoup dormi. 

 

Ce que je peux dire aussi c'est que nous avons convenu de nous faire tester tous les deux afin que la prochaine fois nous n'ayons pas besoin de préservatif. Il semblerait qu'elle ait très envie de connaître la sensation d'une éjaculation dans les fesses...

 

Par Etienne - Publié dans : Cassandra
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 29 juin 2 29 /06 /Juin 01:29

Comme prévu, j'ai rejoint ce midi ma nouvelle amie jeune mère au parc pour l'accompagner à son tour de patin/poussette. Le ciel était menaçant, on a été chanceux!

 

Quand on s'est retrouvés sur place, elle discutait avec deux gars qui étaient trempés de sueur. J'ai très vite deviné qu'il s'agissait de deux joggeurs qui se sont arrêtés pour la draguer. Il faut dire qu'elle portait un short de sport qui moulait son fessier et ses cuisses de rêve, et une brassière de sport qui ne dissimulait rien de son haut de corps parfait.

 

Quand elle m'a vu arriver elle a agité le bras, m'a appelé "je suis là chéri!",  et quand je suis arrivé à proximité, j'ai eu le droit à un tendre baiser sur la bouche. Les deux gars ont alors dit bye et sont partis. Ma nouvelle amie s'est excusée et m'a dit qu'elle ne savait pas comment les faire partir, et qu'elle a pensé à ce petit stratagème. Puis elle a souri et a dit : "et c'était pas désagréable...". J'ai ri, puis je lui ai dit que ça doit lui arriver souvent ce genre de rencontre, avec un tel corps. Elle m'a répondu qu'habituellement elle s'habille moins sportive sexy quand elle sort, mais que là elle avait envie de mettre ses atouts en valeur... Je lui ai répondu que c'était réussi, et que si son bébé n'était pas là on serait déjà nus dans les buissons... On a ri tous les deux, puis on a commencé à patiner.

 

Il faisait extrêmement chaud ce midi... Si vous me suivez depuis le début, vous savez qu'un corps de femme sportive en sueur, je trouve ça magnifique et excitant... Quand après 30 minutes on s'est assis sur un banc pour une pause, j'ai passé ma main dans son dos... Ma main s'est couverte de sa sueur... J'ai repassé mon bras devant nous, elle a ri puis a dit "je suis désolée, j'ai vraiment chaud". Avec un sourire en coin j'ai répondu : "il ne faut pas être désolée, c'est ce que je voulais". Et j'ai léché mes doigts un par un, devant son regard ébahi... Je lui ai alors dit que le corps d'une femme sportive, avec une bonne hygiène, en sueur à cause d'un effort physique, ça m'attire énormément... J'ai précisé qu'une belle femme sportive qui ne ce serait pas douchée depuis plusieurs jours, par contre, je ne boirais pas sa sueur!! Elle a réfléchi deux secondes et a dit : "il faudra qu'on aille dans un hôtel où il y a une salle de fitness alors... Je me doucherai, j'irai courir 30 minutes sur un tapis roulant, et tu passeras ta langue où tu voudras quand je serai de retour dans la chambre...". Je me suis penché en avant, j'ai regardé si des gens nous regardaient, ce n'était pas le cas, alors j'ai rapidement posé ma main contre son sexe et j'ai dit : "avec une attention particulière ici...". Elle m'a laissé frotter son clitoris, du moins l'endroit où j'estimais qu'il était, au travers du tissu quelques secondes, puis j'ai retiré ma main... Elle a alors dit : "réflexion faite, toi aussi tu prendras une douche et tu viendras courir avec moi. Et je passerai ma langue où je voudrais". J'ai ri en disant : "avec mon corps poilu ce sera moins agréable'!". Réponse : "Ne t'inquiète pas, ce n'est pas tout ton corps qui m'intéresse : juste d'en dessous ton nombril jusqu'au milieu de tes cuisses". J'ai conclu en disant : "dès que tu as une bonne excuse, fais-moi signe qu'on se fasse cette soirée/nuit/fin de semaine". Sa réponse : "c'est mon objectif numéro un".

 

On a arrêté de parler quelques instants, puis elle a sorti d'une pochette de la poussette une bouteille non transparente. Elle m'a dit qu'il fallait qu'on continue a rouler sinon son bébé allait se réveiller, mais qu'elle voulait me voir le boire en patinant. Pas de problème...

 

J'ai dévissé la bouteille, et j'ai commencé à boire... J'ai encore été surpris du goût agréable... Même hors d'un contexte sexuel c'était délicieux... 

 

Elle ne me quittait pas des yeux pendant que je buvais (sauf le temps d'être sécuritaire en patinant, évidemment). Je lui au carrément dit que j'adorerais glisser ma main dans son short pour la caresser en même temps. Elle a poussé un soupir d'envie... Je lui ai dit que si on continue à se voir, à l'automne, avant qu'il fasse trop froid, quand il fait nuit plus tôt ce devrait être faisable. Elle a réfléchi quelques instants et a dit que oui, en effet, avec un grand sourire...

 

Je lui ai tendu la bouteille et je lui au demandé : tu en veux une gorgée? Elle a souri, a pris la bouteille, et tout en roulant en a bu un peu, a écarté la bouteille de sa bouche, puis en a repris quelques gorgées avant de me l'a rendre. En me la rendant, elle a freiné, s'est arrêtée, a regardé partout autour de nous s'il y avait du monde. Personne n'était là. Elle s'est approchée de moi, a tendu son cou vers moi. Comprenant qu'elle voulait m'embrasser, je me suis penché aussi vers elle, et quand nos lèvres se sont touchées puis ouvertes, elle a fait couler dans ma bouche un peu de lait. J'ai adoré, et je le lui ai dit... Je me suis collé à elle pour qu'elle sente mon érection, mais on s'est rapidement décollés car on entendait des gens arriver.

 

On n'avait encore pas dit un mot depuis cet échange de lait, j'avais juste continué à vider la bouteille, quand j'ai dit : "Ce que tu m'as fait tout à l'heure, j'adore ça aussi après une fellation". Elle s'est arrêtée brusquement. Comme j'étais un peu derrière elle, je lui suis un peu rentré dedans. J'étais encore en érection, ma queue contre le haut de ses fesses. Elle s'est retournée, en restant collée à moi. Elle m'a regardé droit dans les yeux et m'a dit : "il est presque l'heure que je rentre. Je sais déjà que je vais arriver chez moi, je vais mettre mon bébé dans son parc, je vais aller sous la douche, et je vais me masturber comme une folle en imaginant ma langue faire le tour de ton gland, l'imaginant se déplacer dans ma bouche jusqu'à ce que tu jouisses et que je me retienne d'avaler pour aller t'embrasser la bouche pleine". 

 

Je lui ai simplement dit : "tu veux que je t'accompagne?". Réponse : "j'adorerais, mais mon conjoint est là en télétravail". 

 

Il n'y avait rien d'autre à dire... Il y avait bien trop de monde dans le parc pour une fellation express, même si j'aurais été capable de jouir en 10 secondes...

 

On a fini le tour en patin, en ne disant pas un mot mais en ayant clairement envie l'un de l'autre... Je nous sentais prêt à nous jeter l'un sur l'autre pour baiser fougueusement...

 

Avant que l'on se quitte je lui ai rendu sa bouteille, vide. Elle a demandé si je comptais revenir l'accompagner sous peu. Je lui au dit que demain je ne pouvais pas, le surlendemain non plus, probablement vendredi. Elle m'a répondu : "Je compte sur toi alors vendredi". 

 

On s'est séparé ensuite sans un mot de plus...

Par Etienne - Publié dans : Lactation
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 29 juin 2 29 /06 /Juin 00:07

Comme je disais dans mon dernier message, j'ai reçu un courriel de la sublime mère qui allaite, après notre heure passée au motel. Si vous avez lu le résumé de notre rencontre, vous savez que son rêve était qu'un homme boive son lait directement à ses seins,sans autre acte sexuel. Elle ne voulait que faire avec un "inconnu" ce que son conjoint refuse de faire. Au final, en plus de savourer son lait, et je dis bien savourer, c'était la première fois que j'appréciais le goût de ce breuvage, je l'ai quand même faite jouir à l'aide de deux de mes doigts, j'ai à mon tour éclaboussé son ventre du produit de ma jouissance, et j'ai nettoyé son corps avec ma bouche, sans m'approcher de son sexe, et pourtant ce netait pas l'envie qui manquait!

 

Deux jours après notre rencontre, elle m'a écrit pour me dire qu'elle avait de nouvelles envies...

 

Elle avait toujours autant envie de se faire boire son lait par un homme. Elle a tenté de convaincre son conjoint, il refuse obstinément. Même pas par dégoût, juste par principe, mais comme je disais dans un message précédent son principe ne tient pas la route. Elle m'a écrit qu'elle a tenté le chantage : régulièrement son conjoint demande à la sodomiser, mais elle dit toujours non. Là elle lui a proposé d'essayer pour la première fois la sodomie en échange d'un buvage de lait aux seins, et il a refusé... Elle m'a écrit qu'elle a réfléchi à l'idée de lui proposer un plan à 3 en échange, qu'elle a hésité. Elle a hésité parce que si c'est du un pour un, un plan à 3 contre une fois boire son lait, ça ne l'intéresse pas plus que ça... Elle sait qu'elle n'allaitera pas pendant des années, et elle voudrait que ce soit naturel que son conjoint boive à ses seins, à n'importe quel moment : pour la réveiller le matin, pendant qu'ils regardent un film, pendant qu'elle lit un livre, n'importe quand... Pas forcément pour boire beaucoup, juste pour l'acte, pour le plaisir sur le coup...

 

Pour tout ce qui est lait, elle a fini par écrire qu'elle abandonne l'idée de convaincre son homme, ça ferait probablement plus de mal que de bien. Par contre elle a écrit qu'elle garde espoir de pouvoir vivre quand même des moments agréables de jeux lactés, avec moi.

 

Elle a ensuite écrit certaines envies que je lui au données, ou tout du moins que notre heure lui a inspirées. Et quelques constats qu'elle a fait.

 

Premier constat : elle ne voulait pas faire autre chose que me faire boire son lait parce qu'elle ne voulait pas culpabiliser de faire avec moi des choses qu'elle fait avec son conjoint. Et bien finalement non seulement elle n'a pas culpabilisé que je l'ai doigtée, mais elle n'a pas culpabilisé de m'avoir branlé, elle n'a pas culpabilisé davoir reçu mon sperme sur son corps, et en plus, le soir même elle a fait l'amour à son homme, et après lui avoir fait l'amour elle s'est masturbée en repensant à notre rencontre, et en imaginant que l'on était allé jusqu'au bout de nos envies. Parce que oui, elle m'a écrit que pendant que je l'amenais à l'orgasme elle aurait adoré que mon sexe remplace mes doigts. Bref, à la prochaine rencontre, si j'accepte qu'il y en ait une (et évidemment que j'accepte!!), il faudra des préservatifs...

 

Deuxième constat : elle a adoré non seulement que je boive à ses tétons, mais aussi que je lèche le lait sur son corps... Dans son courriel elle a écrit qu'elle aimerait beaucoup se caresser les seins à se faire gicler du lait sur le corps pendant que je me caresse en la regardant faire, que ça lui coule sur le ventre, sur les cuisses, sur son sexe, et que je m'applique à bien la nettoyer avec ma langue, en insistant longuement sur les zones les plus érogènes...

 

Troisième constat : elle a adoré que je ramasse mon sperme sur elle avec ma bouche... Elle voudrait que je le refasse sur ses seins, sur son ventre, sur son clitoris (oui, oui, précisément là), sur ses fesses, sur l'intérieur de ses cuisses... Ça ça veut dire qu'on va devoir se revoir bien plus qu'une fois... Elle aussi écrit que si on en arrive à avoir une vraie relation, elle aimerait que je jouisse en elle sans préservatif et que je la fasse jouir d'un cuni ensuite... Ça veut vraiment dire que l'on va devoir se voir à de nombreuses reprises!

 

Quatrième constat : son homme la fait jouir régulièrement avec des cunis, mais jamais il n'avait léché devant elle ses doigts plein de jus vaginal. Quand elle m'a vu faire ça si naturellement, ça l'a émoustillée... Elle voudrait me voir le faire encore et encore...

 

Autre envie : elle est prête à passer une nuit complète avec moi. Elle ne sait pas comment elle se débrouillerait pour justifier de découcher, mais non seulement elle est prête mais en plus elle le veut. Elle m'imagine buvant quelques gouttes à sa poitrine en après-midi avant daller à la piscine d'un hôtel, d'en reboire en enlevant le maillot dans la chambre, d'en reboire encore en apéro, avant d'aller manger le soir, etc. Elle a vraiment un fétichisme de l'allaitement, et que dire d'autre que : ça me plaît! Personnellement j'aurais agrémenté sa description de quelques pénétrations, mais j'imagine que c'était implicite vu qu'elle disait au début de courriel vouloir des pénétrations.

 

Autre envie : elle imagine apportant à l'hôtel du lait qu'elle aurait tiré plus tôt. Elle s'imagine se masturber en me regardant en boire un verre pur, dans une flûte de champagne... Elle imagine me préparant un cocktail alcoolisé à base de son lait... Quand je vous dis qu'elle a un fétichisme...

 

Dernière envie, mais pas la moindre : elle a écrit que jamais elle n'a essayé la sodomie, elle s'y est toujours refusée. Mais elle a expliqué que lorsqu'elle a proposé à son conjoint de faire un pacte "sodomie contre boire du lait à ses seins", l'idée de la sodomie l'a excitée. Pour la première fois de sa vie. Au point que même quand son conjoint a dit non à cet "échange", elle a failli lui proposer de la sodomiser quand même, parce qu'elle en avait tout simplement envie. Elle m'a tout décrit dans le courriel : il était sur le dos, elle accroupie sur lui, juste au-dessus de son sexe. Elle tenait son sexe dans sa main, elle le dirigeait vers son anus... Elle a "frémi de désir" quand elle a placé le gland contre son anus, prête à descendre dessus... Finalement au dernier moment elle s'est dit que ce n'est pas avec lui qu'elle voulait l'essayer, mais avec moi... Pourquoi? Parce qu'elle avait envie "d'offrir la virginité de ses fesses" à quelqu'un qui était plus à l'écoute de ses envies que l'homme allongé sous elle. Je ne connais pas leur vie privé, mais il me semble que c'est normal que parfois certaines choses puissent tenter l'un mais pas l'autre... Mais bon, si elle veut, comme elle dit, "m'offrir la virginité de ses fesses", il est clair que je ne dirais pas non! Elle y met cependant une condition : elle veut que ça se passe sans préservatif et que je jouisse dans ses fesses. Ce sera donc pour le jour où nous en serons rendus là de notre relation, si nous allons jusque là.

 

Ce que j'ai trouvé intéressant, c'est qu'elle parlait dans son courriel de lait à boire, de sperme que je nettoie, de son jus que je lèche, mais jamais elle ne mentionne qu'elle même pourrait boire quoi que ce soit : son propre lait ou mon sperme. Son lait, je l'ai déjà vu en boire en webcam, donc je sais qu'elle le ferait si je lui demandais. Mais mon sperme? Aucune idée...

 

Évidemment, je lui au répondu que tout ce qu'elle a décrit, c'est avec plaisir que je le partagerais avec elle : de boire son lait pur à jouir dans son anus, de lécher son corps souillé ou sa chatte dégoulinante de sperme à savourer mes doigts plein de jus un par un devant ses yeux, je suis prêt à tout ça quand elle veut. Elle sait que je suis marié et que je vis avec deux femmes, donc je lui ai proposé de venir à la maison : elle pourra dire qu'elle passe une soirée avec des amies, ce qui ne serait pas faux... Ou alors mes chéries pourront être absentes ce soir là. Je lui ai aussi dit que je n'avais aucun problème à passer une ou même deux nuits à l'hôtel avec elle. Bref, c'est où elle veut, quand elle veut.

 

En attendant quelle arrive à se libérer pour une nuit, je lui ai proposé de repasser d'autres moments comme celui au motel, que ce soit à nouveau au motel ou ailleurs (autrement dit chez nous). Je lui aussi proposé que, si elle a des activités régulières, je pourrais l'y rejoindre pour soit juste parler, soit juste des trucs simples. L'exemple que j'ai donné : elle rêve de me voir boire de son lait? On peut se retrouver n'importe où, juste 5 minutes, le temps qu'elle me donne un contenant rempli de lait que je boirais devant elle, en public, comme si c'était du cappuccino...

 

Dans la demi-heure qui a suivi elle m'a répondu que tous les midis, quand il ne pleut pas, elle va promener son bébé en poussette, elle en patins à roulettes, dans un parc proche de chez elle. Elle m'a proposé de l'y retrouver dès le lendemain pour me faire boire de son nectar. Elle m'a proposé soit de la retrouver quelques minutes si je n'ai pas de patins, soit de carrément faire le tour du parc avec elle si j'en ai. Je ne pouvais pas laisser passer l'occasion de la voir en tenue sportive à nouveau... Le lendemain je suis allé m'acheter des patins (j'en ai fait beaucoup plus jeune, mais je ne les avais pas gardé), je me suis pratiquer plusieurs fois pour retrouver mon aisance, et demain midi, s'il fait beau, je la rejoins pour une balade avec collation... 

 

Par Etienne - Publié dans : Lactation
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog de ma vie sexuelle, passée et présente...
  • Le blog de ma vie sexuelle, passée et présente...
  • : Amateur Histoires érotiques Journal Intime
  • : Vivant de frustration sexuelle en frustration sexuelle, j'ai développé de nombreux, très nombreux et très variés fantasmes... Puis j'ai rencontré ma chérie actuelle : elle me comble sexuellement... Ce blog parlera donc des mes fantasmes passés, et des anecdotes croustillantes de ma vie sexuelle actuelle...
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Créer un Blog

Recherche

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés