Elle m’a ensuite proposé quelque chose à boire, tout en m’emmenant vers son salon. Je précise que son salon est ouvert
sur la cuisine. Donc assis sur le canapé, je la regardais marcher de dos vers le frigo, en me disant dans ma tête : « quel cul incroyable »…
Nous parlions de tout et de rien, jusqu’à ce qu’elle vienne s’asseoir. Elle s’est assise à côté de moi, une jambe pliée
sous ses fesses, tournée vers moi. On a trinqué, on a chacun bu une gorgée, puis il y a eu un petit silence.
Pour le briser je lui ai demandé en souriant : « si tu n’as pas eu de partenaire depuis moi, est-ce que tu as
compensé en te masturbant? ». Toujours direct, quand je sais que la personne aime un tel langage.
Elle m’a répondu que oui, presque tous les jours, et qu’elle a essayé à quelques reprises de glisser un de ses jouets
dans son anus au lieu de son sexe, mais qu’elle n’a pas aimé plus que ça… Je lui ai dit que ce soir le problème ne se présentera pas : elle aura droit à mon sexe bien dur autant de fois
qu’elle en aura envie là où elle en aura envie.
Elle a ri en disant : « j’espère bien, sinon j’aurais préparé un super souper pour rien! ».
On a continué à discuter sur ce ton, léger, humoristique.
Elle m’a aussi dit qu’elle s’était achetée une poire pour lavement anal. Elle avait remarqué qu’elle n’était pas très
propre lors de notre première fois… Et toujours avec son langage direct, elle a dit que voir toute « cette merde » sortir mélangée à de l’eau pour en faire une « purée »,
c’est « très dégueulasse »! Elle a bien insisté sur le fait que ce soir elle est probablement brillante de l’intérieur tellement elle est propre! Je lui ai dit qu’au cas où elle
aurait envie de venir jouer en moi, de mon côté aussi j’ai pris les mesures nécessaires.
On a continué à parler sexe. De nos expériences passées, de nos envies, etc. Je ne lui ai pas dit que je vis avec deux
femmes, mais je lui ai dit qu’on a souvent une amie à la maison pour agrémenter les plaisirs. Je ne voulais pas lui demander si elle avait déjà essayé avec une femme, pour ne pas qu’elle pense
que je voulais l’attirer chez nous, mais elle a elle-même abordé le sujet en disant qu’elle n’a jamais essayé avec une femme, et que si l’idée ne la repousse pas elle ne peut pas dire non plus
que c’est un fantasme.
Toujours en discutant, elle s’est levée pour aller dans la cuisine pour préparer les dernières choses pour le souper.
Je l’ai suivie pour lui proposer mon aide, mais elle m’a dit qu’elle gérait très bien la situation.
Elle était en train de prendre un couteau pour couper des légumes. Je me suis alors placé derrière elle, j’ai posé mes
mains sur ses hanches, et j’ai collé mon sexe en érection contre ses fesses, au travers de son bikini et de mon caleçon. Je lui ai demandé si elle gérait « assez bien la situation pour
pouvoir être dérangée en même temps ». Elle m’a répondu en prenant un air humoristiquement supérieur que si je croyais que j’étais capable de la déconcentrer avec mon sexe je me trompais
lourdement.
Je me suis reculé, sans dire un mot, et 30 secondes plus tard j’étais à nouveau derrière elle, mon boxer baissé, un
préservatif sur mon sexe, et je décalais son bas de maillot pour libérer l’accès à son sexe. Sexe qui était complètement trempé, soit dit au passage…
30 autres secondes plus tard mon ventre cognait doucement contre ses fesses, mon sexe dans le sien.
30 autres secondes plus tard mon ventre cognait contre ses fesses, mon sexe dans son anus.
Elle a alors arrêté ce qu’elle faisait… Il faut dire que couper des légumes en se faisait sodomiser sans retenue, c’est
un peu risqué!
Mais dès qu’elle a posé le couteau je me suis retiré, en disant : « Défi réussi pour moi, j’arrête
là! », un grand sourire innocent sur le visage.
Elle s’est tournée vers moi, m’a répondu « j’ai tout ce qu’il faut pour continuer sans toi » en prenant le
premier truc qui lui est tombé sous la main et en se l’enfonçant dans l’anus. On a tous les deux explosé de rire : ce n’est pas avec le manche d’une cuillère en bas qu’elle allait avoir
beaucoup de sensation!
Je me suis rapproché d’elle à nouveau, face à elle cette fois-ci. Elle a passé ses bras autour de mon cou, je l’ai
soulevée en mettant mes deux mains sous ses fesses (elle est tellement légère!), elle a entourée ses jambes autour de ma taille et je l’ai lentement pénétrée, encore dans l’anus, ne sachant pas
si elle serait d’accord pour qu’un même préservatif passe de son petit trou à son exquise chatte.
Nous avons fait l’amour ainsi, dans la cuisine, lentement, quelques minutes, les yeux dans les yeux, mais sans échanger
un seul baiser…
Lorsque je l’ai redéposée sur le sol, j’ai caressé ses fesses d’une main, glissé un doigt dans son anus dilaté, avant
le porter à ma bouche pour le sentir et le lécher…
Elle a continué à préparer ce qu’elle avait commencé, tout en me parlant, après avoir repris son souffle et avoir dit
« et bien, ça fait du bien! ». Et pendant ce temps-là, pour la déconcentrer encore un peu je me suis assis de façon bien visible face à elle, et je me suis mis à me masturber
lentement, après avoir enlevé le préservatif, bien sûr.
Quand elle a terminé le plat qu’elle préparait, elle s’est approchée, s’est agenouillée devant moi et a pris mon sexe
en bouche, en remplacement de ma masturbation. Je lisais dans son regard rieur qu’elle allait faire une niaiserie… Et en effet, peu après elle m’a montré un de ses doigts, couvert de margarine
avant de le faire disparaitre entre mes jambes… j’ai senti le froid du lubrifiant improvisé contre mon anus… et son doigt entrer en moi, mon gland au fond de sa gorge…
Je ne vous raconterai pas toute la soirée/nuit, ce serait répétitif. En gros, nous avons alterné entre discussion,
sodomie, fellation, cuni, anulingus, doigtage, etc., la grande majorité des pénétrations ayant été des sodomies…
Il y a deux moments que j’ai envie de décrire plus en détails.
Le premier moment, qui en regroupe deux : j’ai à plusieurs reprises fait l’amour/baisé une femme debout alors
qu’elle était face au mur, appuyée dessus, moi derrière elle. J’ai aussi à maintes reprises fait l’amour/baisé une femme que je tenais dans mes bras, comme ce que j’ai décrit tout à l’heure
dans la cuisine. Mais je n’avais jamais fait l’amour/baisé avec une femme que je portais dans mes bras, mais dos à moi, et non face à moi. C’est pourtant ce que j’ai fait, cette soirée. Ça a
commencé alors qu’elle était assise sur moi, moi-même assis sur le divan. Elle était assise sur mon sexe, qui était dans son adorable cul, ses jambes entre les miennes. J’étais donc à moitié
avachi sur le divan, jambes écartées, et elle assise sur mon bas ventre, comme si j’étais une chaise, ma queue au fond de son cul. Au bout d’un certain temps je me suis relevé, portant ma
partenaire, mes mains derrière ses genoux. C’est comme si elle était encore assise, sauf qu’elle ne tenait que parce que je la maintenais contre moi, son dos contre mon torse, les jambes pliées
me permettant de demeurer dans son p’tit cul. Comme elle me disait « plus fort, plus fort », mais que je n’avais pas de moyen d’augmenter le rythme, je l’ai plaquée contre le mur, la
maintenant en tirant ses cuisses en arrière, vers moi, pour que le haut de son corps soit plaqué contre le mur, l’empêchant de tomber, et je lui ai pilonné le cul. Mais c’était assez épuisant
comme position. J’ai remis mes mains sous ses genoux pour me déplacer vers le divan, et arrivé proche de lui je suis tombé en arrière. Je suis tombé le cul sur le divan, elle dans mes
bras. Mais nous n’avons pas été « séparés » dans la chute. Au contraire, elle est tombée sur ma bite qui était encore bien en elle : elle a poussé un cri que je croyais de
douleur, mais qui en fait était un cri de surprise et de peur, qui a aussitôt suivi d’un « encore! ». Elle avait adoré la violence et la profondeur de la pénétration…
Le second moment : l’éjaculation sur ses abdos… J’ai écrit au tout début de ce texte que je comptais éjaculer dans
le sillon des abdos de ma partenaire. C’est ce que j’ai fait lors de la première éjaculation de la soirée (la plus abondante…). J’étais assis sur son visage, sa langue caressant mon anus, mes
doigts jouant sur son clitoris, une de ses mains caressant ma queue. Caressant, et faisant jouir… mon sperme s’est étalé sur son ventre, puis a coulé dans le sillon de ses abdos… c’était
terriblement sexy, selon moi… Et je n’ai pas pu me retenir de passer ma langue dedans, sous le regard excité de ma partenaire… J’ai tout récupéré dans ma bouche avant d’aller partager un baiser
juteux…
Je ne saurais pas vous dire combien de fois on a baisé dans la nuit. Par contre je peux vous dire que l’on n’a pas
beaucoup dormi.
Ce que je peux dire aussi c'est que nous avons convenu de nous faire tester tous les deux afin que la prochaine fois
nous n'ayons pas besoin de préservatif. Il semblerait qu'elle ait très envie de connaître la sensation d'une éjaculation dans les fesses...