Mardi 31 mai 2 31 /05 /Mai 19:57

Comme « convenu » lors de la dernière rencontre au motel, la jeune mère qui allaite  a mangé au restaurant un midi avec mes chéries et moi. La rencontre s’est super bien passée, le courant est vraiment, vraiment bien passé entre mes chéries et elle. Pas d’un point de vue sexuel, car elle n’est pas attirée par les femmes, mais d’un point de vue amical.

 

À l’occasion notre amante nous surprend, ma chérie et moi. Et là, ça a été le cas : elle a proposé à la jeune mère de venir chez nous un soir, avec le bébé et son conjoint, pour un repas de couples. Notre amante n’ayant pas une vie sociale très développée, on a deviné qu’elle avait envie de se faire une amie de ma partenaire au sein laiteux. Quand je vous disais que le courant passait bien!

 

On a donc convenu, si son conjoint était d’accord, de les inviter chez nous. Nous avons aussi convenu que tout serait dit honnêtement. Enfin, tout… Pas le fait que la mère et moi baisons régulièrement, mais le fait que nous vivons dans un ménage à trois très heureux. Ça fera une vérité de moins à cacher.

 

Le soir même notre nouvelle amie, que je vais appeler Sara, nous a confirmé que son conjoint était d’accord pour une soirée chez nous. Selon ce qu’elle nous a répondu, le fait que nous vivions à trois a beaucoup intrigué son conjoint! Nous avons convenu d’une date, qui était trois semaines plus tard, et Sara et moi nous nous sommes revus entre temps, juste pour aller courir, pas au motel.

 

Je vous l’avais mentionné, ces midis où l’on se retrouvait pour patiner et maintenant pour courir était donné que c’est l’hiver, ce ne sont plus des midis « sexuels » comme au début. Oui, elle m’apporte du lait, oui, parfois elle récolte mon sperme, mais ce sont surtout des moments agréables, comme entre deux amis « normaux ».

 

Un des midis j’ai eu un empêchement de dernière minute, et étant donné que le sexe est devenu secondaire dans ces rencontres, Clarisse a proposé d’y aller à ma place, pour ne pas que Sara soit seule à courir. Elles se sont donc retrouvées, et outre le fait d’avoir couru, elles ont parlé très longuement. Clarisse est rentrée bien plus tard que quand c’est moi qui y vais. Il faut dire que ça n’a pas gêné Sara de faire entrer notre amante chez elle après le jogging : c’est une femme. Quand c’est moi, elle est mal à l’aise de faire entrer un homme chez elle en l’absence de son conjoint, mais le problème ne se posait pas ce midi là. Je vous le disais plus tôt : le courant passe très bien!

 

La date prévue de notre soirée de couples est arrivée. Lorsqu’ils se sont présentés à notre porte, ils étaient tous les deux très, très élégants. Après les avoir débarrassé de leurs manteaux, Sara portait un jeans moulant ses jambes et ses fesses à la perfection, et un haut qui laissait une épaule nue et qui ne dissimulait rien de se poitrine généreuse. Elle était très légèrement maquillée et était coiffée d’un genre de double tresses : elle était superbe. Superbe, sans être trop sexy pour autant. Lui, que l’on va appeler Damien, portait aussi un jeans parfaitement taillé et une chemise décontractée. Je ne peux pas le nier : ils allaient, physiquement, parfaitement ensembles : tous les deux ont un corps athlétique, deux très beaux visages, et l’air vraiment agréable.

 

Leur fils était présent aussi. Ils avaient emmené son parc et des jouets pour l’occuper jusqu’à ce qu’il s’endorme.

 

La soirée a très bien commencé, dans le salon, autour d’un verre et de petits fours. La glace a vite été brisée, et tout le monde était très à l’aise. Il aurait été difficile pour quelqu’un de l’extérieur de croire que c’était la première fois que l’on se rencontrait tous!

 

En tout début de soirée, alors que j’étais dans la cuisine à finir des détails relatifs au repas qui nous attendait, ma chérie était là aussi et m’a glissé à l’oreille : « je me ferais bien prendre en levrette par Damien pendant que je savourerais les seins de Sara ». J’ai répondu en souriant : « je me ferais bien prendre à quatre pattes par Damien pendant que je savourerais les seins de Sara. Ou même l’inverse, me faire prendre à quatre pattes par Sara pendant que je savourerais la queue de Damien ». On a ri tous les deux, on s’est embrassé, puis on est retourné dans le salon.

 

Évidemment au cours de la soirée les questions sur comment nous nous sommes rencontrés, comment nous avons eu l’idée de vivre à trois, est-ce que l’un de nous s’est déjà senti délaissé dans le trio, est-ce qu’on veut des enfants, etc. ont été posées. Sara ayant déjà posé un certain nombre de ces questions par le passé, c’est surtout Damien qui étaient curieux. Nous avons répondu à tout. Y compris quand certaines questions sont devenues un peu plus sexuel…

 

Outre les questions que l’on considère basiques (est-ce que vous faites toujours l’amour à trois ou bien parfois juste à deux? Est-ce que ça arrive que l’une ait envie de faire l’amour alors que les deux autres viennent de le faire et qu’ils n’ont plus la même envie? Quand vous faites l’amour à trois, comment vous choisissez avec qui Étienne va jouir? Etc.), il y en a eu une plus intéressante (mais je ne dis pas qu’elle est plus intelligente!), tout du moins à nos yeux : il a demandé si on trouvait équitable que j’ai le droit à deux femmes pour moi, alors qu’elles n’ont le droit qu’à un homme.

 

J’ai répondu à cette question de la façon suivante : « Il ne faut pas que tu nous considères comme un homme qui a deux femmes pour lui. Nous sommes trois personnes, quel que soit notre sexe, nous nous aimons tous les trois, nous aimons nous faire l’amour tous les trois. Prenons un exemple : je ne sais pas à quoi ressemble votre vie sexuelle, mais imaginons qu’un soir tu aies envie d’une fellation, juste de ça. Sara prend ton sexe en bouche avec plaisir, tu vis la fellation avec plaisir, et tu éjacules. Vous n’avez rien fait d’autre. Ça ne veut pas dire que le lendemain tu n’auras pas envie de jouir en elle, dans son sexe, après une baise d’une heure pendant laquelle de multiples positions ont été utilisées. Et bien c’est pareil : ce n’est pas parce que Magali a envie du goût du sexe de Clarisse en bouche qu’elle n’aura pas envie de mon sexe en elle en même temps ou après. Ce n’est pas parce qu’elle aura envie de se faire défoncer par mon sexe et un gode ceinture autour de la taille de Clarisse qu’elle n’aura pas envie pour finir d’un 69 juste toutes les deux, en toute simplicité. Ne pense pas à deux femmes et un homme, mais à trois personnes et toutes les possibilités que ça ajoute. »

 

J’ai laissé un blanc, puis j’ai ajouté : « Cependant, dans ‘l’entente’ que nous avons, elles ont le ‘droit’ d’avoir des partenaires masculins autres que moi. Pas féminins, mais masculins, oui. »

 

Pourquoi j’ai ajouté ce détail qui contient une part de vérité mais aussi un mensonge? Parce que Sara nous a dit, un peu plus tôt dans la soirée, que par moment elle culpabilise un peu de ce que l’on fait, elle et moi, et elle a demandé à Clarisse et Magali si l’une des deux accepterait de tenter de séduire son conjoint. Selon elle ça la déculpabiliserait au moins un peu, et quitte à provoquer une relation extra-conjugale pour son conjoint, elle préfère que ce soit avec une personne qui ne sera pas intéressée à plus que du sexe, qui a « le cœur définitivement pris ». Mes deux chéries se sont portées volontaires pour l’expérience!

 

Revenons au fil de la discussion. Suite à ce que j’ai annoncé, Damien a évidemment eu d’autres questions :

-        Avez-vous beaucoup de partenaires autres qu’Étienne? Réponse : régulièrement;

-        Est-ce qu’Étienne est au courant quand vous le trompez? Réponse : on ne le trompe pas puisqu’il est d’accord. Et oui, parfois il le sait avant, parfois après si c’était non planifié. Et parfois pendant, parce qu’il m’arrive (c’est Magali qui parlait) de l’appeler en visio pendant que je suis en train de me faire baiser;

-        Est-ce que tu connais les hommes avec qui elles font ça? Réponse : généralement non, mais ça arrive qu’elles me les fassent rencontrer, par exemple si ça passe à la maison;

-        Est-ce que vous faites ses rencontres ensembles, ou chacune de votre côté? Réponse : ça varie;

-        Étienne, ça ne te dérange pas? Même quand ça se passe ici et que tu es présent? Réponse : non, pas du tout. C’est du sexe, pas de l’amour. Et parfois je m’y joins.

-        Du coup elles ont droit à des relations extra-conjugales, mais pas toi, c’est injuste, non? Réponse : je n’ai jamais dit que je n’avais pas le droit. L’entente est valable pour elles, comme pour moi : on a le droit d’aller voir ailleurs, pour des partenaires masculins.

 

Là il y a eu un autre blanc… « Tu couches avec des hommes? ». J’ai répondu que oui, ça m’arrive. « Fellation, sodomie… tout? ». Oui, tout. « Tu donnes ou tu reçois? ». J’aime les deux.

 

Il y a eu un autre blanc. Puis il a demandé à mes chéries : « Ça ne vous dérange pas qu’il baise des hommes? ». Réponse de Clarisse : « Pourquoi ça nous dérangerait?  Parce qu’ils sont du même sexe? Dans ce cas, ça devrait déranger Étienne que Magali et moi couchions ensembles ».

 

Damien a répondu que non, ce n’est pas de ce point de vue là qu’il pose la question, mais du point de vue maladie. Il y a beaucoup d’infections sexuellement transmissibles dans le milieu gay, donc il se demandait si ça inquiétait mes chéries. Nous avons répondu que non, toutes nos relations sont protégées, tout du moins jusqu’à ce que, si c’est un partenaire régulier, on ait un test de dépistage prouvant qu’ils sont clean. Ok, ce n’est pas 100% vrai, pour les fellations parfois, souvent, c’est sans protection dès le début… Nous avons aussi dit que nous nous faisons régulièrement dépister tous les trois, par sécurité.

 

Sara a posé la question suivante. Elle a demandé si le fait que je baise avec des hommes les excite, comme le fait que souvent deux femmes ensembles excitent un homme. Réponse de ma chérie : un « Oui » franc et massif! Elle a décrit notamment une fois, un peu comme ceci : « On a un couple d’amis homosexuels de confiance qui aime bien qu’Étienne se joigne à eux. Et Étienne adore ce joindre à eux! Parfois, ils se font plaisir devant nous, comme un spectacle. C’est peu dire que de dire que de voir Étienne à 4 pattes, un sexe dans la bouche et l’autre dans l’anus m’excite… C’est vrai aussi pour Clarisse, mais surtout pour moi. Il faut savoir que généralement quand ils font un show comme ça, Étienne n’éjacule pas, il se garde pour nous plus tard. Par contre nos deux amis s’en donnent à cœur joie. Et une fois en particulier, ça m’a rendu folle. Souvent ils jouissent chacun leur tour, parfois à quelques secondes d’écart, mais chacun leur tour quand même. Mais la fois en question, j’ai la scène en tête comme si c’était hier : on était dans le sous-sol, Étienne à quatre pattes sur le divan, un sexe dans la bouche, l’autre dans l’anus. J’étais assise dans le divan d’en face, à les regarder, Clarisse contre moi. On était toutes les deux habillées, mais j’avais la main dans mon pantalon et je me caressais. Soudain Étienne s’est assis parterre, ce qui n’est pas inhabituel quand il a envie de sucer les deux partenaires. Mais alors qu’il allait tourner la tête pour commencer la double fellation, un partenaire debout à sa gauche, l’autre à sa droite,  l’un des deux lui a maintenu la tête droite et a placé son sexe contre une des joues d’Étienne, juste sous son œil. Le second a fait la même chose, et ils se sont mis à se masturber frénétiquement. Mon chéri était juste face à nous, j’avais mes yeux rivés dans les siens. Enfin, rivés… Je n’arrivais pas à me décider entre rester mes yeux scotchés aux siens ou regarder les deux glands qui allaient éjaculer d’un moment à l’autre… Je me caressais comme une folle, et les deux partenaires ont joui exactement en même temps tous les deux. Pas avec une seconde d’écart, vraiment exactement en même temps. Après les plus grosses éjaculations, il s’est tourné vers l’un, puis vers l’autre pour récupérer les dernières gouttes dans sa bouche, puis il s’est tourné vers nous. Et que vous voulez-vous que je vous dise… De voir mon chéri, parterre, en train de se masturber doucement, du sperme coulant sur ses deux joues mal rasées… »

 

Là Damien a crié « Stooooop !!! » en riant. Il a dit « C’est trop de détails pour moi!! »

 

On a tous ri, mais j’ai bien vu que l’histoire plaisait à Sara…

 

C’est cette dernière qui a enchainé, et clairement avec une idée derrière la tête. Elle a demandé : « J’imagine que pour tous les trois la sodomie, c’est oui? ». Cette question était, à mes yeux, tout sauf innocente. Elle m’a déjà dit que son conjoint rêve de sodomie, mais qu’elle a toujours refusé (soit dit en passant, maintenant qu’elle a eu sa première sodomie avec moi, je ne comprends pas trop pourquoi elle s’y refuse encore avec son conjoint…). Le fait de demander si mes chéries aiment la sodomie, tout en ayant dit au début qu’elles ont le droit de baiser avec d’autres partenaires masculins, pour moi c’était évidemment pour exciter son conjoint, pour qu’il se laisse plus facilement séduire par l’une de mes chéries.

 

Mes deux chéries ont évidemment dit que oui, et plusieurs questions basiques ont été posées : est-ce que ça a fait mal, est-ce que ça a fait mal la première fois, est-ce que parfois il y a des « accidents », est-ce qu’elles se font des lavements, etc. Personnellement, j’aime beaucoup ce genre de moment, où on répond à des questions sur des actes sexuels.

 

Nous avons ensuite proposé d’aller dans le spa. Nous les avions avertis que nous en avions un, que nous laissons ouvert même en hiver, et donc qu’ils pouvaient apporter leurs maillots si ça les tentait. Tout le monde s’est donc changé (chaque couple/trio dans une pièce différente), puis on s’est retrouvé dans le salon pour aller vers le spa. Je dois avouer : les deux étaient magnifiques. Autant lui avec son corps bien dessiné, et elle, dont je connaissais déjà le corps. Et j’ai bien remarqué que lui aussi appréciait beaucoup les deux corps en bikini assez sexy qu’il n’avait jamais vu auparavant.

 

Alors que l’on se dirigeait pour sortir, Sara a mentionné qu’elle voulait mettre le babyphone pour entendre leur fils au cas où il se réveillerait. Damien et mes chéries sont partis vers le spa pendant que je restais avec Sara le temps qu’elle cherche dans son sac le babyphone.

 

Comme nous n’étions que tous les deux je lui ai dit que je la trouvais sublime ce soir. Comme toutes les autres fois, en fait. Quelle que soit la tenue qu’elle porte, elle est sublime. Et même quand elle n’en porte pas du tout!

 

Elle m’a regardé dans les yeux et m’a répondu, en souriant : « La réciproque est vraie ». Elle s’est redressée, je l’ai prise dans mes bras, et je lui ai dit que j’avais très envie de lui faire l’amour ce soir. Elle m’a répondu, en riant : « La réciproque est vrai ». Puis plus sérieusement, elle a complété en disant qu’elle espérait vraiment que son conjoint allait se laisser séduire par l’une de mes chéries, parce que pendant qu’il serait occupé, elle en profiterait elle aussi pour être occupée, avec moi.

 

On s’est embrassé langoureusement, puis elle a éclaté de rire en donnant une petite tape sur mon sexe qui durcissait dans mon caleçon de bain, en disant : « Garde ça pour tout à l’heure! ».

 

On s’est désenlacé en riant, elle est allée poser le babyphone à côté du lit, elle a pris l’autre morceau avec elle, puis on est allé dans le spa.

 

Mes deux chéries et Damien étaient tranquillement assis dans l’eau chaude, Damien d’un côté, Clarisse dans les bras de Magali de l’autre. Avant d’entrer dans l’eau, et pourtant j’en avais très envie : ici c’est l’hiver, il devait faire -20°C, j’avais froid!, j’ai demandé si quelqu’un voulait quelque chose à boire.

 

La réponse a été unanime, et j’ai apporté une bouteille de vin blanc pétillant ainsi qu’une bouteille de vin rouge. Avec 5 verres, évidemment.

 

J’ai sauté dans l’eau, j’ai rempli les verres pour chacun, puis j’ai tendu la bouteille de mousseux à Magali pour qu’elle se penche par-dessus le spa pour la poser dans la neige au sol. Pourquoi je ne l’ai pas fait moi-même? Pas par manque de galanterie : j’avais juste envie de voir si Damien allait se rincer l’œil en voyant ma chérie se lever en bikini, dégoulinante d’eau, puis en la regardant se pencher. Ça n’a pas loupé…

 

Pendant que nous discutions, les jets coupés sinon on ne s’entend pas (en plus sans les tourbillons générés par les jets on peut allègrement contempler les parties des corps qui sont sous l’eau…), j’ai demandé à Clarisse si elle pouvait récupérer la bouteille qui était dans la neige.

 

Mes chéries ne sont pas naïves, elles me connaissent. Jamais je ne demande quelque chose comme ça, je me lève toujours pour m’en occuper moi-même. Elles savaient donc que j’avais un but derrière cette question, tout comme lorsque j’ai demandé à Magali de la déposer dans la neige, et elles savaient très bien quel était ce but. Pour atteindre ce but, au lieu de simplement se pencher Clarisse s’est mise debout dans le spa, a réajusté son maillot qui n’avait pas du tout besoin de l’être, pour que tout le monde, Damien y compris, la regarde faire, puis a enjambé le bord du spa en riant, en prenant tout son temps. En prenant la bouteille, elle s’est aussi mise de la neige sur le corps, toujours pour donner une raison de la regarder, puis est revenue dans l’eau chaude, où elle nous a dit qu’elle voulait voir en combien de temps la neige (qui comme par hasard était sur ses seins) allait fondre. Raison complètement bidon!

 

Peu après Sara a dit qu’elle allait retourner à l’intérieur : dans l’eau elle avait trop chaud, mais si elle sortait son corps de l’eau elle avait trop froid. Bref, elle a décidé de rentrer en précisant bien que l’on pouvait rester dans le spa, elle ne voulait pas gâcher le moment.

 

Elle a embrassé Damien, s’est levée, et ça a été à son tour de faire admirer son corps pendant qu’elle quittait le spa.

 

Mes chéries ont dit à Damien qu’il avait une conjointe absolument superbe, avec une poitrine incroyable. Il a répondu que physiquement il adore effectivement le corps de sa Sara et ses seins gonflés au lait, mais qu’il les préférait avant : il adorait jouer avec, passer du temps à les caresses, les lécher, les titiller, mais que maintenant dès qu’il les touche du lait coule involontairement. Et ce lait le dégoûte un peu, donc il n’y touche plus vraiment.

 

De but en blanc, je lui ai demandé s’il avait déjà trompé Sara. Il a eu l’air surpris de la question, puis a répondu « Non », mais ça ne semblait absolument pas sincère… C’est Clarisse qui a répondu en riant ce que je pensais aussi : « Ce n’est pas convainquant comme réponse! Ne t’inquiète pas, on ne dira rien à Sara. ».

 

J’imagine que l’alcool qu’il avait dans le corps l’a poussé à nous l’avouer : oui, une fois, il a payé une prostituée pour essayer la sodomie car Sara ne veut pas de cette pénétration (sic!). Et ça s’était vraiment mal passé. Il ne culpabilise pas d’avoir pris cette décision, mais il aurait préféré que ça se passe mieux. Évidemment, on lui a demandé des détails sur pourquoi ça c’est mal passé. La réponse a été décevante : c’est juste qu’il s’est senti comme un numéro. Il est allé chez l’escorte, ils se sont aussitôt attelé à la tâche, elle à quatre pattes, lui derrière elle. Elle n’a eu aucune réaction, a simulé un orgasme à la fin quand elle a senti qu’il allait jouir, puis c’est tout, merci, bye. Il n’a jamais réessayé. Pas par manque d’envie, pas par culpabilité, mais parce qu’il a été choqué par la façon dont il a été traité.

 

Je me suis mis debout dans le spa, puis j’en suis sorti. J’ai pris une serviette que j’ai mise autour de mon corps pour me sécher et éviter d’avoir trop froid, puis j’ai dit à Damien : « Si les seins te manquent, Magali et Clarisse en ont chacune des magnifiques, et des fesses prêtes à te recevoir avec le comportement tu voudras. Sur ce, si tu as envie de t’amuser avec l’une des deux, ou les deux, je vous laisse. Je vous attendrai à l’intérieur. Je vais aller avec Sara dans le salon du sous-sol, d’où on ne peut pas voir le spa ».

 

Mes deux chéries m’ont embrassé, et à leurs sourires et regards, c’était évident qu’elles espéraient qu’il se laisserait aller… J’ai tourné le dos au spa et je me suis dirigé vers la maison. J’ai fait quelques pas puis je me suis retourné : « oh, j’ai oublié de préciser : elles sont parfaitement propres, alors aucun risque d’accident ».

 

À l’intérieur, j’ai rejoint Sara qui s’était séchée, mais qui était restée en bikini. En me voyant arriver, elle m’a souri et m’a fait savoir qu’elle espérait que je revienne tout seul, pour que l’on ait un peu de temps.

 

Je l’ai prise dans mes bras, je l’ai embrassée, puis je lui ai raconté comment je suis sorti du spa. Son corps tremblait dans mes bras. Elle était à la fois heureuse et anxieuse de la situation. Ça se voyait qu’elle se demandait si elle avait pris la bonne décision en nous proposant de séduire son homme.

 

Elle a posé sa tête sur mon épaule, debout, enlacés, puis elle a fini par se calmer.

 

En entendant quelqu’un marcher vers la porte-patio, nous nous sommes séparés, comme si de rien n’était. Finalement ce n’était « que » ma chérie, qui avec un grand sourire nous a dit : « Je viens chercher un préservatif! A priori, il va s’amuser avec nous deux… »

 

J’ai vu Sara trembler un peu en entendant cela. Elle venait de s’apaiser, j’espérais qu’elle n’allait pas se remettre à angoisser… Finalement elle s’est ressaisie aussitôt. Elle souriait comme si elle était ravie.

 

Ma chérie est repartie avec la protection, et Sara et moi nous sommes dirigés au sous-sol. On a commencé par parler un peu. Pas longtemps, mais je voulais m’assurer qu’elle allait bien. Elle m’a dit qu’elle se doutait que ça lui ferait quelque chose de savoir que son homme la tromperait (même si elle était d’accord, il ne lui en a pas parlé, donc c’est vraiment tromper), et en plus dans un plan à 3. Je lui ai rappelé ce qu’elle nous avait dit en début de soirée : elle préférait que son conjoint baise avec quelqu’un dont le cœur est pris. Dans le cas présent, c’est évident que non seulement les cœurs sont pris, mais qu’en plus c’est un plan à 3, c’est pour baiser, sans sentiment autre que le plaisir de la baise. Et je lui ai aussi rappelé qu’elle fait la même chose : elle le trompe aussi…

 

Finalement elle m’a dit : « On arrête de parler de ça, et on s’occupe de nous ». Elle a enlevé son haut de bikini, gardant le bas, puis est venue s’agenouiller devant moi sur le divan, ses seins à la hauteur de ma bouche. J’ai commencé à la boire, toujours délicieuse…

 

Tout en la tétant, je caressais son dos, ses cuisses, ses fesses… puis j’ai décalé son maillot pour commencer à jouer avec mes doigts sur son clitoris, dans son sexe… Elle était déjà très humide…

 

J’ai sorti ma verge aussi raide que chaque fois, et elle a remplacé mes doigts… Sara a alors pris le contrôle des mouvements, pour que ce soit exactement à son goût…

 

Pendant de longue mais très agréables minutes, nous n’avons rien dit… on entendait que le bruit (très discret) de la succion de mes lèvres sur ses tétons et celui de son entre-jambes qui frottait un peu contre mon caleçon de bain…

 

Pendant ce moment magique, elle m’a demandé si on ne risquait pas de se faire surprendre. Je lui ai répondu que non, qu’une des me chéries rentrera avant Damien pour nous prévenir.

 

Elle a alors reposé sa tête sur la mienne, et on a continué longuement…

 

Rien de plus : pas de sodomie, pas de fellation, pas de cunnilingus, pas de changement de position… Juste ses seins se déversant dans ma bouche, et mon sexe jouant dans le sien.

 

Puis elle a repris la parole, sans lever sa tête, qui était toujours posée sur la mienne : « Tu sais, je serais censée arrêter d’allaiter… Ou tout du moins baisser la fréquence. Mais je n’y arrive pas. Je ne veux pas que les moments comme celui cessent. Je veux que tu continues à me boire en me faisant l’amour. C’est un moment qui dépasse tout ce que j’avais connu en termes de bien-être. Pour moi, ce n’est même plus sexuel, c’est du bien-être pur. Je ne veux pas que ça s’arrête. Si je n’ai plus de lait, tu vas me dire qu’on peut continuer quand même, et même que mon conjoint pourra le faire, mais c’est vraiment différent avec le lait. Je ne sais même pas quel mot utiliser. J’allaite moins mon fils, mais je tire mon lait plus souvent pour garder un bon volume… Damien va forcément finir par se rendre compte qu’il se passe quelque chose d’anormal. Il ne devinera pas la réalité, mais il devinera que ce n’est pas normal ».

 

Elle s’est tue, puis elle a repris : « La solution que je vois, c’est de retomber enceinte plus tôt que ce qu’on planifiait. On aimerait que je sois à nouveau enceinte dans 2 ans. Si j’arrive à le convaincre d’avoir un autre enfant plus tôt, peut-être que j’arriverais à étendre la lactation jusqu’au prochain… »

 

Là je me suis arrêté de la boire, elle s’est redressée, et en la regardant droit dans les yeux je lui ai dit : « Avoir un enfant, ce n’est pas rien. Je ne pense pas que ce soit judicieux de changer votre vision de l’avenir pour un plaisir charnel. Et puis si vous avez un autre enfant plus tard, et que tu as toujours envie de ce que l’on fait aujourd’hui, ce n’est que partie remise : je serais là à ce moment-là aussi, parce que j’espère bien qu’on continuera à se voir, même si c’est juste en tant qu’amis, que ce soit tous les deux ou pour des rencontres de ‘couples’ ».

 

Elle a soupiré puis m’a dit que j’ai raison (toujours agréable d’entendre se faire dire ça!!). Elle s’est replacée comme précédemment, et j’ai recommencé à la boire, mon sexe en elle…

 

Un peu plus tard, on a entendu une de mes chéries rentrer dans la maison. Elle est directement descendue au sous-sol, c’était Magali. Sara s’est redressée, mais est restée assise sur moi, sur mon sexe. Ma chérie nous a regardé, et a demandé si on préférait qu’elle remonte. Sara a dit que non. Elle a tenté de se dégager, mais j’ai appuyé un peu sur ses cuisses, pour lui faire comprendre que si elle le voulait, elle pouvait rester là. Elle n’a pas insisté, et n’a finalement pas bougé.

 

Magali s’est assise à côté de nous en nous expliquant que Clarisse et Damien restait un peu dans le spa pour finir leurs verres, qu’ils allaient rentrer après. Puis, tout en sachant que Sara n’est pas du porté sur les femmes, elle lui a demandé si elle pouvait goûter aussi son lait, directement au sein…

 

Sans un mot Sara s’est un peu tournée, rendant son sein facilement accessible, et ma chérie s’en est approchée pour boire un peu…

 

Après quelques gorgées, elle s’est décollée du sein en disant : « Je comprends qu’Étienne désire ton lait à ce point. Il est effectivement délicieux ».

 

Puis elle a demandé à Sara : « Veux-tu savoir ce qu’il s’est passé dans le spa, ou tu préfères que l’on n’en parle pas? ».

 

Sara a hésité. Puis elle dit : « Je ne veux pas tout savoir, j’ai juste une question. Est-ce qu’il est allé partout en vous? ».

 

Ma chérie a répondu : « Non, on l’a juste laissé faire ce qu’il a dit ne pas avoir le droit de faire ou ne plus faire avec toi, c’est-à-dire la sodomie et jouer avec nos seins. On lui a dit que l’on t’appréciait énormément, et qu’on était d’accord pour lui faire vivre ce qu’il ne connaissait pas, mais qu’on ne voulait pas faire des choses qu’il peut faire avec toi. ».

 

Je pensais que Sara allait subir à nouveau un choc en entendant ce qui s’est passé, mais au contraire, elle a poussé un soupir de soulagement. Elle a ri, s’est mise à pleurer, et a dit « Merci Magali. Merci à toutes les deux. Et à toi Étienne. Je n’osais pas demander à ce que vous vous limitez à ça, mais c’est ce que je souhaitais du fond du cœur. ».

 

C’était « fais ce que je dis fais pas ce que je fais », parce que oui, la première fois que j’ai rencontré Sara c’était juste pour goûter son lait, mais très vite on est passé à faire absolument tout, incluant ce qu’elle faisait avec son conjoint. Cela dit, c’est peut-être pour ça qu’elle n’avait pas osé mettre de limite, parce qu’elle savait qu’elle était mal placée pour en poser…

 

Magali s’est approchée, l’a prise dans ses bras et lui a dit qu’il ne faut pas qu’elle se sente gênée de quoi que ce soit, sur aucun sujet. Sara a séché ses larmes, puis lui a proposé de reboire en remerciement.

 

Elle s’est alors désengagée de moi pour aller s’assoir de la même façon sur ma chérie, mais évidemment sans se faire pénétrer du coup… Ma chérie a bu à ses seins pendant que je surveillais que Damien et Clarisse n’arrivent pas. J’ai hésité à aller me placer derrière Sara pour la pénétrer, que ce soit dans le sexe ou dans l’anus… Ou alors à me placer debout à côté d’elle pour qu’elle savoure mon sexe en même temps. Finalement, je n’ai pas bougé, je les ai juste regardées. C’était un magnifique tableau.

 

Je savais très bien que Sara n’a proposé cela que pour faire plaisir, par pour son plaisir. Mais elle a été très généreuse : elle a laissé ma chérie boire longtemps. Je ne sais pas combien de temps exactement, car je suis allé rejoindre Damien et Clarisse dans le spa : c’était la meilleure façon de surveiller leur retour, parce que je ne sais pas si Damien aurait aimé voir sa conjointe avec une femme. Probablement que oui, surtout que c’était juste pour de la dégustation lactée, mais on ne sait jamais. Et puis soyons honnête : j’avais une envie précise aussi en tête…

 

Une fois dans le spa, où les deux amants rigolaient bien mais sans se toucher, j’ai murmuré à Clarisse ce dont j’ai envie. Sans hésiter, elle a acquiescé. J’ai regardé Damien, et je lui proposé : « S’il te reste un peu d’énergie pour une nouvelle érection, est-ce que ça t’intéresse un plan à trois, mais cette fois avec moi comme troisième partenaire? Clarisse sur mes genoux, tournée vers moi, mon sexe dans le sien, et toi qui joue à nouveau dans son petit trou… »

 

La réponse a été instantanée : « Je suis prêt! ». Puis il a dit : « Par contre il faudrait aller chercher un autre préservatif, et il faudrait s’assurer que Sara ne vienne pas sans que l’on s’en rende compte ».

 

Dans ma tête, il était évident que je me disais que l’on n’avait pas besoin de préservatif. Effectivement, je baise sans protection avec sa conjointe qui s’est faite tester peu avant. Il est donc peu probable qu’il est une maladie. Cependant, pour faire bonne figure, je lui ai demandé s’il avait utilisé un préservatif quand il était allé voir l’escorte. La réponse était positive. J’ai répondu que de notre côté, s’il n’a trompé sa chérie avec personne d’autre on lui fait assez confiance pour ne pas en utiliser. Ensuite c’était à lui de décider s’il avait la même confiance, et il a décidé que oui.

 

Quant au problème de la venue de Sara, je lui ai assuré que Magali s’arrangera pour ne pas que ça arrive.

 

Quelques instants plus tard, Clarisse prenait son pied avec deux queues en elle, en m’embrassant amoureusement. Ça faisait très longtemps qu’elle n’avait pas eu un moment de plaisir avec deux hommes en même temps.

 

Quand Damien a commencé à gémir plus fort, ma chérie m’a demandé de jouir en même temps que lui. Alors lorsque je l’ai entendu jouir, je me suis vidé à mon tour quelques secondes plus tard, pour le plus grand plaisir de ma chérie. Qui de son côté avait déjà joui deux fois depuis le début…

 

Quand il s’est retiré de l’anus accueillant de Clarisse, elle l’a sucé pour le nettoyer puis elle lui a demandé s’il aimerait un plaisir visuel : regarder le sperme couler du trou qu’il venait de remplir. Encore une fois, il a acquiescé. Elle s’est alors dégagée de moi, s’est accoudée sur le bord du spa, les fesses hors de l’eau, dans le froid, et Damien et moi avons pu contempler son anus dilaté pousser le sperme hors du corps, avec des petites contractions…

 

J’ai proposé à notre ami de remettre le sperme à l’intérieur avec ses doigts, s’il le désirait. Il l’a fait lentement, délicatement, d’abord en introduisant un doigt, puis deux dans l’anus de ma chérie. Elle gémissait doucement…

 

Je lui ai ensuite suggéré, s’il en avait envie, de carrément lécher l’anus encore dilaté, plein de sperme. Là il a dit non, il n’était pas fan de goûter à du sperme. Jouer avec ses doigts dedans, oui, en avoir en bouche, non…

 

Loin d’être déçu, c’est même la réponse que j’espérais, ma question suivante étant toute prête : « Ça te dérange si moi je vais lécher tout ça? ». Il m’a répondu « Non non », et quelques secondes après ma chérie était toute propre, ma langue ayant nettoyée son anus, son sexe et ses cuisses où ça avait commencé à couler… Le goût dans le spa n’est pas le meilleur à cause de l’eau traitée, mais c’était plaisant… En fait le principal obstacle était que je devais faire vite pour ne pas qu’il se dise qu’il allait rentrer dans la maison sans nous. Il fallait que je m’assure avant qu’il entre que Sara ne servait plus à boire à Magali…

 

Ça donc été un nettoyage express, puis on s’est tous rhabillés, et je suis parti en premier en courant vers la maison, en simulant que j’étais gelé. Quand j’ai franchi la porte patio, Sara et Magali étaient assises dans le salon du rez-de-chaussée, habillées, à regarder des photos. Damien pouvait donc entrer sans problème…

 

 

Si ce dernier était mal à l’aise, il ne l’a pas montré un instant. D’un autre côté, Sara non plus. Ils se sont assis ensembles, mais dans la main, pour finir la soirée autour d’un dernier verre, non alcoolisé cette fois-ci. Sara, qui a très peu bu, était la conductrice pour le retour.

 

Nous avons donc terminé la soirée en discutant, c’était bien sympa et détendu, contrairement à ce que je craignais. Finalement nos invités sont rentrés chez eux, vers 1h du matin.

 

Cette soirée s’est passée il y a déjà plusieurs semaines, j’ai un peu de retard… Depuis, nous avons eu une autre soirée qui s’est déroulée un peu comme la première, avec du sexe à profusion Damien et mes chéries d’un côté, Sara et moi d’un autre. Damien est aussi venu tout seul chez nous, où il a passé plusieurs heures avec mes chéries; je les ai laissés seuls, et où est-ce que j’en ai profité pour aller? Chez Sara… Elle savait qu’il était chez nous, mais lui ne savait pas que j’étais chez eux avec sa conjointe. Leur fils était chez ses grands-parents, donc Sara et moi avons pleinement profité des quelques heures que nous avons partagées. Pour une rare fois, nous avons vraiment pris notre temps pour tout faire, et non juste boire son lait. Évidemment dès que ses seins passaient à proximité de ma bouche j’en buvais un peu, mais ça n’a pas été l’acte principal. Cela étant dit, sans que ce soit sexuel, elle m’a aussi réchauffé, après que l’on ait longuement fait l’amour, l’équivalent d’un litre de son lait qu’elle avait au frigo, que j’ai bu dans un grand verre pendant que l’on discutait.

 

 

Bref, on se dirige vers un couple d’amis, qui sont plus que des amis…

Par Etienne - Publié dans : Lactation
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Mardi 31 mai 2 31 /05 /Mai 19:56

Pour une seconde fois, Cassandra m’a écrit pour savoir si on pouvait aller se balader tous les deux, le soir même. N’ayant rien de particulier de prévu, je lui ai répondu que oui. Cette fois-ci, au lieu d’aller dans le Vieux-Port de Montréal elle a choisi un coin un peu plus boisé, le parc Angrignon.

 

On s’y est donc retrouvé vers 20h, toujours de nuit. Cette fois-ci elle ne portait pas son manteau très laid aux poches percées. En fait elle m’a dit qu’elle avait récupéré exprès ce vieux manteau pour notre soirée au Vieux-Port, après avoir été inspiré par un film (et pas un film porno, elle a précisé!). Elle ne l’a pas jeté, car elle pense le réutiliser… Mais pas ce soir. Elle portait une jupe assez courte, avec un collant, et son vrai manteau d’hiver, qui lui allait beaucoup mieux que l’autre!

 

Comme lors de notre dernière balade en amoureux, on s’est embrassé, puis on a marché main dans la main en parlant de tout et de rien.

 

À un endroit qu’elle a jugé propice, elle m’a emmené dernière des arbres. Elle a soulevé sa jupe, dévoilant que son collant était fendu sur tout l’entre-jambes. J’ai ouvert ma braguette, sorti mon sexe déjà dur… Je m’approchais d’elle pour un moment de plaisir à deux, lorsqu’elle m’a regardé en souriant, sortant de sa poche une petite bouteille thermos. Elle l’a débouchée, puis s’est penchée en avant, contre l’arbre. Avec sa minijupe relevée, j’avais une vue très excitante sur les deux endroits que je mourais d’envie de visiter…

 

Elle a placé la thermos contre son anus, et je l’ai entendu la remplir… Ça résonnait comme un liquide, pas du tout comme de la merde solide ou même crémeuse…

 

Quand elle s’est vidée, elle m’a tendu la thermos en disant : « De la pisse gardée au chaud dans mon cul! ».

 

Pendant que je goûtais une première gorgée pour vérifier ses dires, elle s’est accroupie devant moi et a commencé une fellation.

 

Pendant qu’elle me suçait, et après quelques gorgées de son cadeau, je lui ai demandé qui est le chanceux qui a eu le droit de remplir son petit trou. Réponse : « Personne, c’est ma pisse, injectée avec une poire ».

 

Elle a arrêté de me sucer, à sembler réfléchir, puis m’a demandé, en se remettant debout, l’air soucieux : « Tu aurais préféré que ce soit celle de quelqu’un d’autre? ». J’ai répondu que non, j’étais juste curieux. Elle a insisté : « Mais tu préfèrerais que ce soit celle de quelqu’un d’autre? »

 

Avant de lui répondre, je l’ai portée (elle est tellement légère!), je l’ai empalée sur ma queue tout en la plaquant contre un arbre. Puis je lui ai répondu : « J’adore tout ce qui sort de ton corps, comme j’adore tout ce qui sort du corps de mes chéries. Est-ce que j’aurais préféré que ce soit la pisse de quelqu’un d’autre? Non, pas pour la pisse en elle-même. Par contre, que tu fasses baiser par quelqu’un d’autre en pensant à moi, ça c’est excitant… Si tu te fais remplir le cul par quelqu’un d’autre tout en pensant que c’est pour te vider sur moi après, oui, psychologiquement, c’est excitant. Mais rien à voir avec le goût. »

 

Tout en disant ça, je la pénétrais violemment, lui écrasant les fesses contre l’écorce de l’arbre, en ayant pour objectif que ça la griffe jusqu’au sang, puisqu’elle aime la douleur…

 

Alors que j’allais jouir, et elle l’a senti, elle m’a dit précipitamment « Dans mon cul! Dans mon cul! ».

 

Sans perdre un instant je suis sorti d’elle, je l’ai posée au sol, elle s’est tournée visage vers l’arbre, en se penchant en avant, et j’ai enfoncé d’un coup ma bite dans son cul, lui arrachant une plainte étouffée. Il était grand temps, car tout mon sperme s’est déversé à cette première pénétration…

 

Avant de sortir de ses fesses je lui ai demandé si elle voulait que je la nettoie. Elle m’a dit que non, qu’elle avait envie de sentir le sperme couler le long de ses cuisses le temps de rentrer chez elle…

 

J’ai donc sorti mon sexe de son corps pour le replacer dans mon caleçon. Elle a rajusté sa robe, et nous sommes retournés vers nos autos. On s’est embrassé longuement, puis nous sommes partis chacun de notre côté. Et après coup je me suis rappelé que je n’ai même pas pensé à regarder l’état de ses fesses après le passage contre l’écorce de l’arbre!!

Par Etienne - Publié dans : Cassandra
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Mardi 31 mai 2 31 /05 /Mai 19:56

Cassandra, cette belle noire au corps mince avec les muscles très dessinés, sans la moindre poitrine, m’a écrit un après-midi pour me dire que le soir elle aimerait que l’on fasse une balade en « amoureux » au Vieux-Port de Montréal. J’ai répondu que sans problème, on pourrait s’y retrouver. Et c’est ce que nous avons fait.

 

Vers 20h, nous nous sommes rejoints dans le Vieux-Port, proche de la tyrolienne. Elle avait demandé une balade en amoureux, donc comme un couple, nous nous sommes embrassés en nous retrouvant, et nous avons marché main dans la main.

 

C’est dommage, c’est l’hiver, il fait froid, donc on s’habille avec des manteaux chauds et malheureusement souvent un peu trop long pour profiter visuellement de belles fesses. Et dans son cas, son manteau était en effet trop long pour que je puisse la complimenter sur son petit cul musclé… Et en plus, disons-le franchement, son manteau était très, très laid…

 

Bref, nous avons marché, discuté, on s’est embrassé « amoureusement » à de multiples reprises. C’était une promenade bien agréable.

 

Cassandra est toute petite, donc pour avoir nos deux visages à la même hauteur, à un certain moment elle marchait sur un petit muret, et moi au pied du même muret.

 

Alors que l’on faisait une pause pour nous embrasser, elle m’a dit : « plonge une de tes mains dans les poches de mon manteaux ». M’attendant à y trouver un truc surprenant, j’ai lentement enfoncé ma main droite dans la poche gauche de son manteau. Mais il n’y avait rien. Rien, sauf un trou. La poche n’avait pas de fond…

 

Elle m’a alors demandé de glisser ma main par cette poche dans son pantalon, pour que je lui caresse les fesses. Comme elle était sur le muret, c’était facile, elle était à la bonne hauteur. Autrement, j’aurais eu le bras trop court…

 

Je m’attendais à ce qu’elle ne porte pas de slip, mais si, il y en avait un. Sans hésiter, j’ai plongé ma main dedans, et j’ai commencé à caresser sa chatte qui était déjà toute humide…

 

Et pendant que je la caressais, j’ai senti un truc chaud venir s’aplatir dans ma main : pendant que l’on s’embrassait, pendant que je la caressais, elle m’a chié dans la main… Et je la sentais sourire…

 

Quand elle a coupé la vanne anale, bien avant que tout soit sorti, elle m’a demandé de manger ce qui était dans ma main…On était en public, dans le Vieux-Port de Montréal…  Je l’ai donc retirée délicatement pour ne pas lui en mettre partout, j’ai traversé son manteau, et une merde fumante était dans ma main… Et je ne dis pas « fumante » par hasard : il y a avait vraiment un peu de vapeur qui s’en échappait, due à la différence de température entre l’excrément chaud et l’air extérieur froid…

 

J’ai porté ma main à ma bouche pour y faire tomber son cadeau, puis avant d’avaler j’ai léché ma paume, pour enlever les traces… Alors que j’allais tout avaler, elle m’a embrassé fougueusement, sa langue se frayant un passage au travers de mes lèvres pour entrer en moi. Sa merde est passé de ma bouche à la sienne, de la sienne à la mienne, et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus, dilué ou avalé avec la salive…

 

Sans qu’elle me le demande, j’ai replongé ma main dans la poche de son manteau, puis dans son pantalon puis dans son slip, pour recevoir la dose suivante…

 

Et nous avons procédé ainsi, à 5 reprises, en plein milieu d’un lieu public, à la vue de tous, mais sans que personne ne se doute de quoi que ce soit…

 

Une fois son anus vide, elle m’a dit que si on était un couple, on rentrerait chez nous et qu’elle me forcerait à lui lécher la raie des fesses souillées pour bien la nettoyer, avant de me forcer à lui plonger ma queue dans le cul. Je lui ai répondu que ce ne serait pas possible : il n’y aurait rien à forcer, je le ferais avec plaisir…

 

On a repris notre marche, direction nos autos respectives. Elle m’a dit que ça faisait très bizarre de marcher avec de la merde entre les fesses… Personnellement, ça m’a donné des idées de domination… À voir à l’avenir…

Par Etienne - Publié dans : Scatologie
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Mardi 29 mars 2 29 /03 /Mars 18:23

Nous étions à la maison, notre amante (Clarisse) et moi-même, à ne rien faire de particulier. Ma chérie (Magali) était absente, occupée ailleurs.

 

En début d'après-midi, Clarisse me dit qu'elle a réservé une chambre de motel pour que l'on aille y faire des folies « sans limite ». Elle me dit que depuis quelques jours elle a envie d’une « bonne baise » dans un cadre autre que la maison, dans un cadre un peu « glauque ». Étant toujours partant pour quelque chose qui sort de l’ordinaire, j’ai évidemment dit oui…

 

En route vers le motel, qui n’est pas loin de la maison, elle m’avoue que ce sont mes rencontres dans un autre motel avec la jeune mère qui allaite qui lui a donné cette envie…

 

Une fois sur le stationnement, elle me dit, avec un regard très cochon : « On est un peu en avance sur l’heure, tu me commences dans la voiture…? ». Trente secondes après j’étais assis sur la banquette arrière, elle accroupie au-dessus de ma queue visitant sa chatte... Elle était en feu, les va-et-vient étant très énergiques…

 

Son pantalon n’étant que partiellement enlevé, elle l’avait juste baissé de quoi libérer l’accès à son entre-jambes, les positions étaient limitées… Je l’ai quand même renversée sur la banquette pour la baiser à mon tour en lui imprimant un rythme de fou… Mon ventre et mes cuisses claquaient contre son corps dans un bruit tout sauf discret…

 

Nous ne sommes pas allés beaucoup plus loin… On baisait depuis quelques minutes quand elle m’a dit « On y va? ». Alors nous nous sommes rajustés, et nous sommes sortis de l’auto. Je pensais que nous allions d’abord aller à l’accueil, mais elle m’a dit que ce n’était pas nécessaire, que l’on pouvait aller directement à la chambre.

 

Une fois la porte ouverte, ce n’est effectivement pas une super chambre, après tout, c’est un motel, mais ce n’est pas non « glauque » comme Clarisse le souhaitait. Du moins selon moi…

 

Elle m’a dit de me déshabiller et d’aller dans la salle de bain car elle avait très envie de m’arroser… Ce plaisir étant partagé, je n’ai pas discuté et j’ai obéi…

 

Et en ouvrant la porte de la salle de bain, j’ai vu que Magali était présente… Elle était assise dans le bain, habillée avec un haut très très moulant blanc, qui ne cachait aucunement ses tétons durcies, et un tanga de la même couleur. Et surtout, elle était complètement trempée. D’eau? Non… Ça sentait l’urine… Elle en avait partout sur elle, et était assise dans un fond de baignoire contenant de l’urine aussi (la bonde était fermée). Et par-dessus l’urine, une quantité non négligeable de sperme, sur le visage, dans le décolleté, sur le chandail blanc, sur les cuisses…

 

Elle souriait, une main entre ses cuisses à se caresser, et m’a dit « Tu viens me nettoyer? ».

 

Sans perdre un instant j’ai franchi le bord de la baignoire, et je me suis accroupi… J’ai commencé par l’embrasser, embrasser ses lèvres au goût salé d’urine… puis j’ai dévié un peu, et j’ai récupéré avec ma langue du sperme qui s’étalait sur son visage… J’en ai partagé un peu avec elle, j’en ai avalé d’autre…

 

Lorsqu’elle s’est mise debout, de l’urine coulant de son tanga, de ses cuisses, de ses fesses… J’étais encore accroupi, alors elle s’est mise au-dessus de moi, me dégoulinant dessus… je me suis mis à lécher son clito, son sexe, son anus au travers du tanga, aspirant, buvant toute l’urine qui en coulait…

 

Voulant savourer son sexe salé par toute cette urine sans l’intermédiaire d’un tissu, j’ai écarté son tanga… à peine ai-je placé ma langue dans sa petite chatte qu’un puissant jet est venu s’écraser sur mon visage… Je me suis décalé de quelques centimètres pour le recevoir en bouche, pour essayer de tout boire…

 

Ma chérie avait une très grosse envie, car ça a vraiment été un long, et délicieux, jet chaud…

 

Je me suis ensuite levé moi aussi, je l’ai faite se tourner sur elle-même, et j’ai planté ma verge dans sa chatte… Lentement, mais profondément, la tenant par mes mains sur ses hanches…

 

Elle a rapidement joui, et je n’en étais pas surpris : la connaissant, elle avait déjà dû jouir plusieurs fois en se caressant pendant qu’elle se faisant souiller par je-ne-sais-pas-combien d’hommes, la rendant sensible à toute nouvelle excitation…

 

Après deux orgasmes, elle s’est dégagée de moi et s’est accroupie à nouveau, prenant ma queue dans sa bouche… Après une courte fellation, elle a pris un verre qui était sur le bord de la baignoire, puis l’a raclé dans le fond du bain pour le remplir de pisse… Et sans me quitter des yeux, elle l’a bu…

 

Une fois vide, elle l’a plongée à nouveau dans le fond d’urine, mais cette fois elle l’a vidé au complet dans sa bouche, et sans avaler s’est mise à me sucer sauvagement… La pisse giclait partout de sa bouche pendant que je lui enfonçais ma queue dans la gorge… Jusqu’à ce que je jouisse…

 

On s’est alors douchés tous les deux, nous nettoyant de tout ce liquide savoureux, et nous sommes allés dans la chambre, ou notre amante nous attendait, avec une surprise : sur chaque cuisse, elle avait un sextoy fixé par une sangle. Les deux étaient couverts de lubrifiant, et c’est en se caressant qu’elle nous a dit : « chacun le vôtre, pas de jaloux. Je vous attends… ».

 

En riant on s’est chacun empalé sur un jouet, et peu après nous étions tous les trois dans une baise torride, qui s’est finie dans un câlin amoureux calme et sensuel…

 

Une fois tous les trois allongés les uns contre les autres sur le lit, mes chéries m’ont raconté comment ça a été organisé. Elles avaient trouvé 9 hommes prêt à lui pisser dessus puis à se branler jusqu’à jouir sur elle. Il n’y a eu aucune pénétration, aucun contact autre que l’urine et le sperme. Le timing était important puisqu’il ne fallait pas que l’urine refroidisse avant que j’arrive; c’est pour ça qu’on est arrivé un peu plus tôt, et que Clarisse a demandé à ce que je la baise dans l’auto : elle surveillait la porte de la chambre : quand elle a vu les gens sortir, elle savait qu’il était temps dit y aller.

 

J’ai demandé si elle les avait payés ou quoi que ce soit dans le genre. Elle m’a répondu qu’il n’y a pas eu d’argent en jeu, mais qu’elle a promis à chacun de réaliser un de leur fantasme. Elle a donc 9 rencontres qui l’attendent dans les semaines à venir, et elle en est très excitée… Les fantasmes vont de la simple sodomie à des scénarios plus osés. Parmi tous, il n'y a rien d'inédit pour elle, mais il y en a qui l'intéresse quand même plus les autres : un des gars veut la baiser pendant une soirée entre amis, sans que les personnes présents ne s'en rendent compte. Ce sera probablement seulement cet été...

Par Etienne - Publié dans : Vie à quatre
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Lundi 21 février 1 21 /02 /Fév 21:37

Cassandra n'a pas un cercle d'ami(e)s très développé. D'ailleurs c'est spécial, on dirait que c'est une constante avec mes amies/partenaires sexuelles... Mais revenons au sujet. Elle a une amie, sa plus proche amie, qui est célibataire depuis des années. Depuis presque toujours en fait. Cassandra m'a montré des photos de cette amie, et disons que contrairement à Cassandra, ce n'est pas nécessairement par choix qu'elle est célibataire : c'est vraiment une femme qui, physiquement, n'a pas le moindre atout que l'on cherche dans les "standards" d'une jolie femme. Elle est vraiment, vraiment grosse, le corps flasque, ce que l'on appelle ici le "tablier" (le ventre qui pend), etc. Son visage n'a absolument rien d'agréable non plus.

 

Cassandra m'a expliqué qu'elle n'est pas vierge, mais qu'elle n'a pas eu de rapport sexuel depuis des années. Elle n'était déjà pas "sexy" lors de sa dernière aventure d'un soir, mais il semblerait que depuis elle n'ait fait que grossir encore plus, avec son estime d'elle qui ne cessait de diminuer.

 

Je ne vais pas plus dans le détail car je n'en avais plus le jour lorsqu'elle m'a demandé : est-ce que tu serais capable et accepterais de coucher avec elle, si je te le demandais?

 

Elle connaissait la réponse : je lui ai déjà dit qu'il y a déjà un certain temps c'était un jeu entre ma chérie et moi de nous défier à baiser avec des partenaires qui ne nous plaisaient pas, et elle m'a déjà vu baiser sous ses yeux une prostituée vraiment pas visuellement agréable... Bref, j'ai dit que si c'était pour faire plaisir à Cassandra, oui. Elle m'a dit que oui, elle aimerait "m'offrir en cadeau" pour l'anniversaire de son amie.

 

Elle a insisté sur un point : cette amie a une hygiène irrréprochable. À cause de sa condition physique elle sue beaucoup, mais se douche deux, parfois trois fois par jour pour rester le plus propre possible.

 

Je lui ai demandé si elle connait des fantasmes ou des choses que son amie ne veut pas faire. Elle m'a répondu qu'en solo elle se masturbe beaucoup, et glisse des jouets en elle autant dans le sexe que dans l'anus. Elle a précisé en revanche que si elle pense que je pourrais aller partout, je devrai être doux, pas brusque, sans violence. Ce qui m'allait très bien.

 

Le jour de l'anniversaire de son amie, je l'ai donc accompagnée pour la soirée. Son amie ne savait pas que j'étais le cadeau, Cassandra ayant averti simplement qu'elle venait avec un ami très proche.

 

Durant la soirée, qui se résumait à un repas un peu arrosé, nous avons parlé de tout et de rien. En fait, ce sont surtout Cassandra et son amie qui parlaient, j'étais presque un spectateur. J'intervenais quand je pouvais, mais beaucoup de leurs sujets de conversation m'étaient inconnus. Cependant, quand elle le pouvait Cassandra essayait de dévier la discussion vers le sexe, et je dois dire qu'on s'est bien fait plaisir à relater toute sorte d'anecdotes. En ce qui concerne son amie, c'était surtout des anecdotes en solo, plutôt des descriptions de faits. Par exemple, elle a dit se masturber au moins tous les deux jours, parfois tous les jours, et a confirmé ce que Cassandra m'avait dit : quand elle se masturbe, ce sont tous ses orifices qui peuvent être mis à contribution. Nous avons aussi appris qu'elle regarde pas mal de porno, mais juste de deux catégories : un homme seul qui se fait plaisir, ou alors de la porno gays (entre hommes). Elle ne regarde pas de porno avec des femmes car ça la rend jalouse de contempler des corps parfaits. J'ai mentionné le fait qu'il existe de la porno avec femmes "en forme", mais elle a répondu que les corps comme le sien ne l'excitent pas à regarder.

 

Lorsque l'on parlait sexe, c'était des discussions qui me plaisaient beaucoup. On riait en en apprenant sur autrui, j'adorais ça...

 

Arrivé au dessert, nous avions apporté un gateau, Cassandra a dit : "Cette année mon cadeau pour toi ne me coûte rien, mais je suis sûre que tu vas l'aimer bien plus que la plupart de ceux que je t'ai offerts." Elle avait les yeux qui pétillaient de plaisir coquin en disant cela... "Cette année je t'offre un soirée de sexe avec Étienne. Il est tout à toi pour tout le reste de la soirée. Je te garantie qu'il est clean, et je sais que toi aussi, donc vous pouvez vous amuser sans préservatif. Tu as sûrement compris au cours de la soirée qu'il n'a pas de de tabou, donc tu peux lui demander de te faire tout ce qui te fait envie. La seule limite qu'il y a, c'est que c'est un cadeau unique : vous baisez autant que vous voulez ce soir, toute la nuit si ça vous chante, mais ce sera l'unique fois. Si non ce n'est plus un cadeau particulier!"

 

Le visage de son amie exprimait un mélange de stupéfaction, de timidité, d'envie, d'hilarité, d'incrédulité, d'excitation... Elle ne croyait pas vraiment ce qui disait Cassandra. Alors j'ai renchéris : "Mes doigts, mon sexe, ma langue iront dans chaque partie de ton corps que tu souhaites que je visite, autant de fois que tu le voudras... Je te lécherai, je te doigerai, je te pénétrerai jusqu'à ce que tu dises stop..."

 

Elle ne savait pas quoi dire... Finalement elle a juste demandé à Cassandra : "Tu es sure qu'on peut sans préservatif? S'il accepte avec une femme comme moi, il doit avoir beaucoup d'autres partenaires...". Cassandra a réassuré que oui, mais son amie semblait dubitative. Est-ce qu'elle était dubitative par rapport à ma santé sexuelle ou par rapport au fait que je sois le cadeau, je ne sais pas. Cassandra a pensé que la première option était la bonne, car après un instant de réflexion elle a dit : "Tu sais à quel point je fais attention... Et bien crois-tu que je ferais ça si je n'étais pas absolument certaine de ce que je dis?" Elle s'est mise debout, a enlevé son pantalon sans enlever sa culotte, a sorti mon sexe de mon pantalon, a décalé sa culotte et s'est empalée sur moi... "Penses-tu que je ferais ça si je n'étais pas absolument certaine de lui?"

 

Son amie en a été encore plus médusée... Elle a demandé si on n'était vraiment que des amis. Cassandra a répondu que oui, mais des amis très, très proches qui avons beaucoup de plaisir.

 

Peu après, son amie est allé prendre une douche, se raser/s'épiler, et, elle l'a dit implicitement, se faire un lavement anal. Pendant ce temps, Cassandra m'a dit qu'elle était terriblement excitée à l'idée que je baise une femme comme son amie. Tellement excitée que trente secondes plus tard, je la baisais sans retenue dans la cuisine de son amie... Quoi que si, avec retenue : je ne voulais pas jouir... Comme à notre habitude, ça été fort, intense, presque violent. J'ai rempli tout ses trous, elle ne s'est pas gênée pour venir fouiller dans le mien...

 

Quand on a entendu son amie sortir de la salle de bain, on s'est vite rajustés. Son amie nous a rejoint en peignoir, et à mon tour je suis allé prendre une douche rapidement. J'ai trouvé sa poire anale sous le lavabo de la salle de bain, et je l'ai utilisée pour moi aussi, on ne sait jamais...

 

Je ne voulais pas me rhabiller, mais il n'y avait pas d'autres peignoirs dans la salle de bain. Je me suis concentré avec plein de belles images érotiques, et je suis sorti, nu, la queue dressée...

 

Cassandra a explosé de rire, son amie était gênée mais ses yeux ne quittait pas mon corps... Cassandra a décidé que c'était le bon moment pour nous laisser, et effectivement, c'était le bon moment... Elle a caressé mon sexe, a déposé un baiser sur le gland en riant, puis lui a dit de "bien performer"... En quittant le logement, elle s'est retournée et a dit : "J'oubliais, une dernière règle : pas de baiser. Vous vous léchez le corps partout où vous voulez, mais de baiser. Bonne soirée!!"

 

Je lui suis reconnaissante d'avoir ajouter cette règle. Elle sait que je n'ai pas de problème à baiser n'importe qui, mais que j'aime beaucoup moins embrasser quelqu'un qui ne me plait pas...

 

À peine Cassandra partie et la porte fermée, elle a tendu la main vers mon sexe, sans le toucher, et a demandé si elle pouvait. Je lui ai répondu qu'elle n'avait pas à demander l'autorisation : j'étais là pour accomplir tout ce qu'elle a envie de faire... 

 

Elle s'est agenouillée devant moi, a pris mon sexe dans ses mains, le regardant, puis l'a fait disparaitre dans sa bouche... Parlons un peu de sa bouche. Tout d'abord, cette femme a la peau noire, de belles lèvres pulpeuses (à ce stade-ci de la soirée, avec son sourire c'est la seule chose que je trouvais belle chez elle...), et une langue assez imposante, à l'image de sa bouche qui est très grande...

 

Elle l'a fait lentement, mais elle a englouti toute ma queue... Les va-et-vient étaitent lents, doux, avec une profondeur parfaite... Elle salivait à la perfection pour me lubrifier au point de rendre sa bouche douce comme du velour... Fait assez rare, elle a même englouti mes testicules avec mon sexe dans sa bouche. La sensation était incroyable...

 

Lorsqu'elle a pris une pause de la fellation, elle m'a dit que ça faisait plusieurs année qu'elle n'en avait pas faites, et qu'elle se retenait de me demander de jouir tout de suite... J'ai répondu en souriant qu'en effet, ce serait dommage de ne pas visiter chaque partie de son corps... Normalement je suis capable de rester dur après avoir joui, mais dans le cas présent, les éléments de son coprs qui m'excitaient étant inexistants, je ne pense pas que j'aurais pu...

 

Pour en revenir à la fellation, je lui ai dit que c'était une des plus incroyables que j'ai connues. Et je n'exagèrais pas! Elle m'aurait dit qu'elle s'entrainait à sucer des queues tous les soirs, étant donné la qualité de ce que je venais de vivre j'aurais trouvé ça tout aussi crédible que le fait que j'ai été sa première queue depuis plusieurs années!

 

Mon commentaire lui a plu, et j'ai eu droit à une 2e séance de pipe, tout aussi sensationnelle que la première. Je la laissais faire, à genoux au sol devant moi, je ne la touchais pas, je ne donnais aucun rythme, elle faisait tout à la perfection...

 

Ça a commencé à être un peu plus dur quand elle s'est reculée, qu'elle s'est remise debout, péniblement, puis qu'elle a ouvert son peignoir, avant de le faire tomber de ses épaules sur le sol... Son corps était comme je l'imaginais : gros, flasque, les seins pendants, le ventre pendant, énormément de cellulite, des fesses d'une forme indescriptible, des cuisses d'un diamètre incroyable...

 

Elle n'était pas naïve. Elle m'a dit, timidement : "je sais que je n'ai pas un beau corps... Si tu ne veux pas aller plus loin, je continue la fellation et on s'arrête là...". Je lui ai répondu honnêtement qu'effectivement, son corps n'était pas un de mes corps préférés, mais que ça n'allait pas m'empêcher de la faire jouir de toutes les façons possibles...

 

Tout en répondant, je suis passé derrière elle, je me suis plaqué dans son dos, ma queue encore en érection contre ses fesses, et je l'ai poussée vers le salon... Je l'ai faite s'asseoir sur un le divan, je lui ai écarté les jambes, et je me suis assis parterre... J'adore regarder le sexe rose d'une femme à la peau foncée... Sans être la plus noire des peaux qui existe, elle était assez foncée pour le rose de son sexe ressorte bien... une fois ses cuisses assez écartées pour l'atteindre, et son ventre tombant relevé...

 

Comme je fais souvent souvent, j'embrassais l'intérieur de ses cuisses en remontant vers son sexe... J'ai été agréablement surpris par l'odeur... C'était extrêmement aphrodisiaque... Un mélange de l'odeur de son savon et de son sexe, c'était vraiment, vraiment délicieux. Je n'ai pas hésité à glisser directement ma langue entre ses lèvres qui luisaient d'excitation... Je ne sais pas combien de temps j'y ai passé, sans rien faire d'autre que la lécher, mais je me suis régalé, et elle a joui... Son premier orgasme a mis du temps à arriver, mais les suivants s'enchainaient rapidement... Elle n'était pas fontaine, mais à chaque fois je sentais une poussée plus importante de son jus vaginal, dont je me délectais...

 

Quand enfin elle m'a demandé d'arrêté, haletante, je me suis reculé un peu, et mes doigts sont allés remplacer ma langue... Un premier, puis un second, puis un troisième... Trois doigts en elle sont devenus ma vitesse de croisière... Je pense que j'aurais pu facilement en ajouter un autre, sans que ça foce, mais je me suis retenu... Et pendant ce temps-là, on parlait. Je lui ai clairement dit que sa chatte était un délice, que je pourrais la lécher toute la nuit. Elle m'a répondu qu'elle partage mon avis : il lui arrive de lécher ses jouets après s'être faite plaisir... En riant j'ai dit qu'on n'allait pas s'entendre, parce que si je glisse un jouet en elle, je voudrais moi-même le nettoyer avec ma bouche par la suite! Elle a ri et a mentionné qu'on n'aura qu'à partager le nettoyage, mais qu'en attendant elle aimerait avoir mon sexe en elle... J'ai acquiescé en lui demandant si elle avait une préférence, et sa réponse a tenu en un mot : levrette.

 

On est allé dans sa chambre, sur son lit. Elle s'est mise à 4 pattes, et je dois vous dire que la vue de son corps dans cette position était assez incroyable. Pas du tout à mon goût, mais remarquable à sa façon. C'est devenu un peu plus à mon gout quand elle a elle-même écartée ses fesses avec ses mains pour faciliter l'accès à son entre-jambes. Et je ne me suis pas gêné. Pas avec ma queue, qu'elle attendait avec impatience, mais avec ma langue. Et pas dans sa chatte, mais sur son petit trou dont l'accès était parfaitement dégagé. Si vous me suivez, vous savez que je suis un adorateur des anus féminins. Et bien le sien était tout aussi délicieux que n'importe lequel autre... Sa texture au passage de ma langue, son odeur, son goût... Ce n'est pas compliqué : avant d'aller visiter son sexe avec le mien, je suis allé visiter son intestin avec mes doigts. Doigts que je sortais pour les lubrifier dans ma bouche avant de les replonger en elle... Et je lui disais que je les léchais, ça semblait lui plaire... Et exactement comme pour son sexe, trois doigts sont rentrés tout seuls...

 

Finalement j'ai acquiescé à sa demande initiale, et j'ai enfoncé doucement, lentement, mon sexe dans le sien, la tenant par ses hanches démesurées... Je l'ai pénétré longuement, toujours dans la même position mais en variant un peu la place de mes jambes pour varier l'angle de pénétration... Lorsqu'elle m'a demandé si ça me dérangeait si elle se caressait le clito en même temps, je lui ai dit de se faire plaisir... Comme je maintenais maintenant moi-même ses fesses écartées, elle avait les mains libres...

 

Et elle a joui, intensément... Malgré son orgasme je continuais mes va-et-vient, mais elle m'a demandé me retirer, ce que j'ai fait. Tout du moins partiellement, parce que oui, mon sexe est sorti du sien, mais je me suis remis à jouer avec son anus... Juste à le caresser, sans le pénétrer... Puis quand elle a commencé à gémir, s'étant remise de l'orgasme de la pénétration, j'ai remplacé mes doigts par mon sexe... J'ai posé mon gland contre son petit trou trempé de salive et de jus féminin, et j'ai poussé doucement... ma queue a disparu dans son petit trou, qui paraissait vraiment petit entre ses grosses fesses... 

 

Comme pour le levrette, j'ai beaucoup joué en elle avec mon sexe, avant qu'elle se mette à se caresser le clito et à jouir quasi-instantanément... Je me suis alors retiré, mais j'ai tenté d'aller glisser ma langue dans son trou dilatté, pour la sentir et la savourer... Ça n'a pas été évident, mais j'y suis arrivé : ma langue un peu elle... J'ai adoré, comme toujours...

 

Après l'orgasme anal, elle s'est laissée tomber sur le ventre sur le lit, pour se reposer... Puis en se tournant sur le ventre, elle m'a demandé si je pouvais me masturber devant elle, pour le plaisir des yeux. J'ai alors pris mon sexe dans ma main, et je me suis caressé, lentement... Je jouais avec ma verge, avec me couilles, debout à côté du lit... Par moment je me rapprochais, et elle prenait mon sexe en bouche... La première fois je lui ai rappelé que j'avais visité ses fesses, mais elle m'a dit que ça ne la dérangeait pas, qu'elle savait qu'elle était propre...

 

Avec ma main libre, je caressais un peu son corps, tout dépendant où j'étais placé : son sexe, ses seins... Très particuliers, ses seins... Extrêmement flasques... En exagérant un peu, je pourrais dire que j'avais l'impression qu'ils allaient me glisser entre les doigts! Mais au moins, ses tétons étaient bien durs, et ça, c'était plaisant...

 

Pendant ce moment "contemplation de masturbation", je lui ai demandé si c'est ce genre de vidéo qu'elle regarde sur Internet. Elle a acquiescé. Je lui ai demandé ce qu'elle fait habituellement en les regardant : masturbation, jouet, autre? Elle m'a dit que soit elle se caresse manuellement, soit elle utilise des jouets. Je lui ai demandé où est-ce qu'ils étaient, et lorsqu'elle ma désigné le deuxième tirroir de sa table de chevet, je l'ai ouvert...

 

Il y avait différents jouets, pour la plupart relativement longs et souples. J'imagine que c'est plus facile pour elle de les manier. Leurs diamètres variaient un peu, mais rien d'extrême : de la taille d'une bite normale à celle d'une belle grosse bite d'acteur porno, mais rien simulant par exemple un poing ou une bite de cheval!

 

J'en ai sortis trois, et je lui ai demandé lequel elle voulait utiliser en me regardant... Elle a ri, en a pris de ma main, et a commencé à jouer avec... Je ne l'ai pas aidé, mon but étant qu'elle fasse exactement comme lorsqu'elle regarde des vidéos, seules...

 

Toujorus debout à côté du lit, je me caressais... Quand elle a pris à nouveau ma queue en bouche, elle l'a ressortie après un instant pour dire : "première fois que je fais une fellation avec un jouet en moi... J'adore..." Et elle a repris ma queue... Étant donnée la position la fellation était loin d'être aussi profonde qu'à genoux devant moi, mais c'était plaisant quand même...

 

Par moment je lui demandais de sortir le jouet d'elle, et je le nettoyais avec ma langue... c'était exquis. Parfois elle le retirait, mais le léchait elle-même en riant!

 

La dernière fois qu'elle l'a retiré de son corps, je l'ai arrêté avant qu'elle le lèche. Je lui ai dit de le tenir bien droit au-dessus de son ventre. Elle l'avait donc dans les mains, ses mains posées sur son ventre, le jouet dirigé vers le plafond. Je suis monté sur le lit, et sans cesse de me masturber j'ai placé une jambe de chaque côté de son corps imposant, et je me suis laissé descendre sur le jouet, jusqu'à ce qu'il disparaisse dans mon cul...

 

Elle avait les yeux écarquillés... Elle n'en revenait pas... Je faisais des va-et-vient... Elle a lâché le jouet d'une main pour se caresser activement... Puis elle m'a demandé si je pouvais me mettre plus proche de son visage, pour mieux voir... Alors j'ai continué, en me décalant... Je me suis carrément mis debout au-dessus sa poitrine, je me suis tourné pour qu'elle voit mieux l'objet entrer en moi, et alors que j'allais recommencer les va-et-vient, c'est elle qui s'est mise à faire faire les mouvements au jouet... Si au début elle était douce, après quelques instants elle s'est mise à accélérer... Jusqu'à le retirer d'un coup de mon corps, de le regarder en détail, j'imagine pour vérifier s'il était propre, puis de l'enfoncer dans sa bouche...

 

Après qu'elle l'ait bien nettoyé, j'ai pris l'initiative de carrément aller m'asseoir sur son visage pour qu'elle me lèche le petit trou encore dilatté, ce qu'elle semble avoir grandement apprécié...

 

La glace ayant été rompue, si je puis dire, on s'est mis à baiser dans toute position, avec les doigts, les langues, les jouets... Rien n'a été oublié, y compris un jouet dans chacun de ses trous et mon sexe dans sa bouche.

 

Elle a joui à de nombreuses reprises, et j'ai très vite compris qu'après un orgasme, il faut retirer ce qui est dans son corps (doigts, sexe, jouet), le temps qu'elle récupère. Ce n'est pas long, mais elle a besoin de quelques instants, sinon ça semble être douloureux.

 

Lors d'une de ses pauses, elle m'a dit qu'elle avait besoin d'aller aux toilettes. Qu'elle ne voulait pas nous interrompre, mais qu'elle n'avait plus le choix. Je lui dit que si ça lui tente, je peux aller avec elle sous la douche pour qu'elle se vide sur moi. Elle a explosé de rire, puis quand elle a vu que j'étais sérieux, elle m'a dit : "Vraiment?". J'ai répondu que si elle le souhaite, oui.

 

Elle y a pensé quelques instants, tout en me caressant le sexe, puis a répondu : "on n'a qu'une soirée, pourquoi ne pas tout tenter!" On s'est alors dorogé vers la salle de bain, et on a fait face à la réalité : étant donné le volume de son corps, jamais on ne rentrerait tous les deux dans la douche... Du coup on est revenu au classique : elle s'est assise sur la toilette pour pisser... 

 

Alors qu'elle venait de s'asseoir, je lui ai demandé si je pouvais rester. Elle a semblé surprise, puis a dit oui. Je me suis placé devant elle, et j'ai attiré son visage vers mon sexe et j'ai dit : "pisser ne t'empêche de sucer, j'imagine?" Elle a ri, et a pris mon sexe en bouche, avant de le retirer très vite et de me demaner : "tu ne vas pas me pisser dans la bouche, hein?" J'ai ri à mon tour et j'ai dit que non, je voulais juste profiter d'un moment de fellation qui sort un peu de l'ordinaire, si ça lui tentait... Elle a souri, et pendant que sa langue allait et venait le long de ma tige, j'entendais son jet d'urine aboutir au fond des toilettes...

 

Alors qu'elle allait s'essuyer, à la fin, je lui ai dit que je pouvais le faire avec mes doigts et la finir à la bouche sur le lit par la suite. Ce qu'on a fait : j'ai plongé ma main entre ses cuisses, récupérant quelques gouttes que j'ai léchées sur mes doigts, puis elle s'est accroupi au-dessus de mon visage, alors que j'étais allongé sur le plancher de la salle de bain.

 

Il n'y a rien eu d'autre de particulier. Nous avons baisé, léché, joué, elle a joui à plusieurs reprises, et pour finir, elle a décidé d'avoir mon éjaculation en bouche... Je lui ai proposé de jouir sur elle puis de récupérer le sperme pour y gouter, en elle et de le récupérer aussi, mais elle a voulu que ce soit "simplement" pendant une fellation. Alors elle a eu droit à son cadeau final : ma jet en bouche...

 

Quand j'ai regardé l'heure, il était 4h du matin. On a baisé pendant plus de 6h!! Elle m'a demandé si on pourrait se revoir, mais j'ai répondu que non, que c'était une des conditions de Cassandra (en fait c'est moi qui lui avait dit de donner cette condition, mais elle n'avait pas besoin de le savoir!).

 

Quand je suis parti, j'ai regardé mon téléphone, j'avais plusieurs messages : mes chéries m'avertissant qu'elles se couchaient, mais surtout Cassandra qui en a laissé plusieurs, et notamment qui me demandait de passer chez elle quelle que soit l'heure. Je ne lui ai pas répondu, mais avant de rentrer je suis allé la voir. Quand j'ai sonné, elle m'a ouvert, pas du tout endormie. Elle a eu l'air soulagé en me voyant, m'a serré dans ses bras, puis elle m'a dit : "Tu vas dire que je suis folle, mais j'étais jalouse... Je ne suis pas ta conjointe, c'est moi qui t'offre à mon amie, et je suis jalouse...". Il y a eu un blanc puis elle m'a dit : "Tu veux bien me faire l'amour?" 

 

Et c'est ce qu'on a fait, avant que je rentre chez moi. Ça été très tendre, les yeux dans les yeux, en missionnaire, très agréable, mais il va sûrement falloir que l'on ait une discussion parce que si elle devient jalouse alors qu'elle n'est pas une de mes chéries, et qu'elle le sait, ça risque de créer une situation agréable pour personne... À suivre...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Etienne - Publié dans : Pour le plaisir d'autrui...
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