Vendredi 24 février 5 24 /02 /Fév 15:59

Sara, la sublime jeune mère dont je m’abreuvais de lait jusqu’à récemment, m’a proposé de rencontrer une de ces amies qui a récemment accouché et qui est célibataire. La garde du bébé est partagée, donc plusieurs jours par semaine elle est seule, les seins gonflés de lait… Elle ne fantasme pas particulièrement sur offrir son lait à un homme, même si elle est curieuse d’essayer, c’est surtout qu’elle est en manque de sexe.


Selon ce que j’ai compris, avant d’être avec le père de son enfant elle n’avait jamais eu de relation sérieuse, elle enchaînait les hommes car elle adorait séduire et baiser. Lorsqu’elle a rencontré le père de son fils, le début de la relation a été difficile car elle continuait à séduire et coucher avec des hommes, tout en étant “officiellement” avec son copain. Finalement elle s’est assagie, et après plus de dix ans ensemble ils ont décidé d’avoir un enfant. Et pendant la grossesse, ils se sont séparés…


Ils sont restés en bon terme, la garde du bébé se passe bien, mais, selon Sara, depuis quelques semaines elle lui dit que le sexe lui manque mais qu’elle ne sent pas capable d’aller draguer et baiser n’importe qui en tant que mère.


Sara lui a alors parlé de moi, elle lui a avoué qu’elle trompait son conjoint depuis plusieurs mois, et a expliqué comment elle en est arrivée à la situation actuelle : une envie initiale d’allaiter un homme, envie qui a “dégénéré” en une relation encore plus intime. Elle a aussi évidemment mentionné que son conjoint baise à l’occasion avec ma chérie (elle n’a pas parlé du fait que j’en ai deux), mais qu’il ne sait pas qu’elle le sait.


Tout ça pour dire que Sara a proposé à son amie de me parler d’elle, et de nous organiser une rencontre si nous étions tous les deux d’accord. Elle lui a dit que si nous nous convenions, ce serait une bonne solution pour assouvir ses envies/besoins de sexe sans avoir à courroyer auprès d’inconnus. Non, il n’y aurait pas nécessairement de jeu de séduction, mais au moins il y aurait du sexe sécuritaire. Son amie a dit oui.


De mon côté, j’ai d’abord dit non, ce qui a surpris autant Sara que mes chéries quand je leur en ai parlé. J’ai expliqué que je trouvais que je commençais à avoir trop de partenaires réguliers (Sara, Ludivine, Cassandra, Crystal, mon boss et sa conjointe) sans parler des partenaires occasionnels (ma belle-mère, notamment), et qu’à trop en avoir, j’avais peur de ne plus satisfaire les deux plus importantes à mon coeur : mes chéries.


Elles m’ont assuré qu’elles n’avaient pour le moment aucune raison de se plaindre, et que je devrais pas dire non à une femme qui me permettrait de savoureux son nectar lacté. Alors que voulez-vous, si mes propres chéries me poussent dans les bras d’une autre femme, je n’ai pas le choix de dire oui! 🙂


Le plus drôle, c’est que rendu là, je n’avais encore aucune idée du physique de la personne en question, je n’avais tout simplement pas pensé à poser de questions à ce sujet! Lorsque j’ai enfin demandé une description de cette amie à Sara, elle m’a répondu que c’est une femme de la même taille qu’elle, avec un joli corps mais aux courbes différentes des siennes, et avec un certain nombre de tatouages, cheveux mi-long bruns, yeux marrons. Je n’ai rien eu de plus comme information.


Peu de temps après l’annonce de ma décision, Sara m’a appelé pour me dire que son amie souhaitait profiter de notre première fois pour réaliser un fantasme. En fait, elle avait deux fantasmes : baiser avec un mec en ayant les yeux bandés, pour ne pas avoir la moindre idée de à quoi ressemblerait son partenaire, et baiser avec un partenaire qui aurait les yeux bandés, et non elle. Les deux fantasmes étaient réalisables car Sara n’a ni montré une photo de moi à son amie ni une photo de son amie à moi, mais elle ne savait pas lequel choisir. C’est Sara qui lui a proposé une solution : nous aurons tous les yeux bandés…


Et c’est ce qui s’est passé. Le jour J, Sara a servi d’entremetteuse. Je me suis présenté chez son amie, et avant même de passer la porte, Sara m’a bandé les yeux. Elle m’a ensuite guidé jusqu’à la chambre où était son amie, qui avait aussi les yeux bandés, puis elle nous a laissés seuls, non sans m’embrasser avec passion avant de partir... 


Quelques règles ou détails avaient été définis au préalable. Il avait été convenu que Sara m’introduirait chez son amie les yeux bandés, qu’elle nous approcherait l’un de l’autre en guidant nos mains pour qu’elles se trouvent, puis quitterait l’appartement. Quand nous aurions fini notre séance de plaisir, son amie me guiderait jusqu’à la porte de son appartement, tous les deux les yeux bandés, et aucun de nous n’enlèverait notre bandeau avant que la porte soit refermée. Sexuellement parlant, il a été convenu que ce serait sans préservatif, et que toutes les zones de nos corps où un sexe ou des doigts peuvent entrer seraient mises à contribution (quand Sara lui a dit que j’aimais que l’on joue en moi, son amie aurait répondu avec un grand sourire : “Intéressant”). Il a aussi été convenu que je pourrais jouir n’importe où, que ce soit en elle ou sur elle, que les pénétrations pourraient se faire dans n’importe quel ordre (elle n’aurait aucun dégoût un lécher un sexe qui est passé en elle, quel que soit la partie de son corps; et l’inverse est vrai : elle pourrait glisser des doigts en moi et me les faire lécher ensuite). Et je pourrais boire à ses seins autant que je voudrais, même si à ses yeux ce n’est pas le but premier de notre rencontre. Et la dernière consigne : nous n’étions pas là pour parler, mais pour baiser. Alors le moins de bla bla possible…


Sara nous a donc laissé alors que nous nous tenions par la main, dans le noir. Nous étions tous les deux gênés. C’est un peu spécial, complètement à l’aveugle… On riait de malaise. Finalement, j’ai levé ma main libre pour la poser quelque part sur son corps. Elle était debout, devant moi, et c’est son ventre que ma main a touché. Son ventre au travers de son linge, car nous n’étions pas nus. Elle ne semblait pas avoir le ventre ferme et plat de Clarisse ou de Cassandra, mais je ne pouvais non plus dire qu’elle avait du ventre. 


J’ai déplacé ma main libre vers sa hanche, puis j’ai lâché sa main pour poser ma seconde sur sa hanche aussi. Je me suis retenu de les remonter directement sur ses seins, pourtant je mourrais d’envie de les toucher, de les évaluer… Je suis remonté le long de son corps en évitant ses seins, donc en passant par ses bras et ses épaules, jusqu’à son cou… J’ai fini avec une main de chaque côté de son visage… 


De son côté, elle n’avait pas perdu beaucoup de temps non plus : ses deux mains s’étaient glissées sous mon t-shirt, directement sur ma peau… Elle me caressait le ventre, le torse, le dos… 


Mes deux mains encadrant son visage, je lui ai murmuré de ne pas être surprise, de ne pas avoir peur, que j’allais l’embrasser. Sans nous voir, j’ai donc approché mon visage du sien, et le guidant de mes mains, il n’a pas été trop difficile d’entrer en contact avec ses lèvres…


Pendant le long baiser qui a suivi, elle a été la plus entreprenante de nous deux : mon pantalon a vite été déboutonné, et ses mains ont plongé dans mon caleçon pour jouer avec mon sexe qui était dur comme du béton… La situation était très, très excitante… Et le fait qu’elle cesse le baiser pour s’agenouiller devant moi et embrasser mon sexe et mes couilles n’a pas contribuer à diminuer l’excitation vécue…


Pendant cette première fellation, j’ai compris deux choses : qu’elle faisait toujours attention à ce que mon sexe n’aille pas trop loin en elle, donc j’ai compris qu’elle n’aimait pas les gorges profondes, et au bruit  que j’entendais j’ai compris qu’elle se déshabillait en même temps. Alors moi aussi, j’ai retiré ce que je portais en haut…


Quand elle s’est relevée, je l’ai faite tourner sur elle-même, collant mon sexe en érection contre ses fesses, fesses qui étaient complètement nues… j’ai placé mes mains sur ses hanches, je les ai déplacées sur son ventre, puis cette fois sans hésitation je les ai remontées pour saisir ses seins… Très agréable surprise… Ils étaient massifs, fermes, et j’estimais que si elle le désirait, c’est sans problème qu’elle pourrait me faire vivre une belle branlette espagnole… 


Pendant que je lui caressais les seins, je sentais déjà du lait couler… Je me suis retenu de ne pas commencer à le boire aussitôt… De son côté, elle se trémoussait, tentait de passer une main entre mon corps et ses fesses pour saisir ma queue… 


Lorsque j’ai cessé de me coller à ses fesses, lui permettant de saisir ma queue à pleine main, elle s’est retournée, et tout en m’embrassant m’a fait reculer un peu… J’ai senti le haut de mes cuisses taper contre quelque chose de souple, son matelas… Comprenant où elle voulait en venir, je suis monté sur le lit, et je me suis allongé sur le dos… Elle a suivi mon mouvement sans que nos lèvres ne se décollent…


Une fois tous les deux bien sur le lit, elle a fait aussitôt demi-tour… Précautionneusement elle a placé un genoux de chaque côté de mon visage, et s’est penchée en avant pour embrasser ma tige… J’ai posé mes mains sur ses deux fesses, et j’ai levé un peu la tête, attiré par l’odeur de son sexe. Sexe qui était complètement trempé avant même que je n’y passe ma langue… La situation en double aveugle semblait l’exciter tout autant que moi…


Comme la plupart des chattes que j’ai léchées, elle était absolument délicieuse… Elle mouillait énormément, un vrai plaisir… J’en avais plein le menton, les lèvres, le nez… Je me régalais, mes mains toujours sur son cul…


De son côté, d’une main elle tenait ma queue dressée, sa bouche la parcourant de haut en bas par l’extérieur, et faisait entrer mon gland et une petite partie de mon membre dans sa cavité buccale pour des fellations. Elle n’hésitait pas à plonger son nez entre mes jambes pour lécher mes couilles, mon anus étant caressé par sa respiration…


J’ai évidemment accompagné ma langue avec ma doigts dans son sexe juteux… Un premier, un second, un troisième… Pour faciliter l'accès, j'ai fini par consacrer ma bouche à sa chatte, et mes doigts lubrifiés à son anus, ne résistant pas à l’envie de passer à l’occasion des petits coups de langue sur son trou dilaté…


C’est lorsque j’ai entamé des va-et-vient avec trois doigts en elle que ses gémissements ont commencé… Elle a cessé de jouer avec sa bouche sur mon sexe, le tenant simplement fermement dans sa main, et a posé sa tête sur une de mes cuisses… J’ai compris qu’elle savourait le moment… 


Pour me permettre de meilleurs mouvements, j’ai délaissé un peu son petit trou, et j’ai repris les mêmes mouvements dans son sexe, en augmentant la cadence… Ce qui me rendait fou, c’est que je sentais des gouttes couler le long de mon avant-bras… Elle mouillait énormément… Et elle a joui… Tout son corps s’est mis à trembler, puis elle s’est laissée tomber sur le côté, roulant sur le dos sur le lit… 


Je n’ai pas perdu de temps… à mon tour, j’ai réalisé un 180°, et en trouvant ses jambes à taton, j’ai embrassé ses genoux, remontant le long de son corps… Ses cuisses… L’intérieur chaud de ses cuisses… son sexe trempé… J’ai confirmé en continuant à remonter qu’elle n’avait pas le moindre poil sur le pubis… son ventre… ses seins, où je ne me suis pas attardé même si j’avais envie d’y boire, surtout que sur son ventre j’ai goûté au lait légèrement séché qui avait coulé lorsque je lui ai sensuellement massé la poitrine… son cou… Et enfin sa bouche… Et au moment où j’ai commencé à l’embrasser sur la bouche, j’étais allongé sur elle, faisant entrer mon sexe là où mes doigts étaient présents quelques instants plus tôt… 


Elle a passé ses bras autour de mon cou, et sensuellement, langue contre langue, nous avons fait l’amour, jusqu’à ce qu’elle jouisse à nouveau…


Lorsque les tremblements de son corps ont disparu, elle nous a fait rouler : je me suis retrouvé allongé sur le dos, elle sur moi. Mais cette fois, pas de 69, elle est restée dans le même sens que moi. Elle a pris mon sexe dans sa main alors qu’elle était accroupie au-dessus de mon corps, le buste en avant (ses seins me frôlaient le visage dans le noir…), puis s’est lentement empalée sur moi. Dès le début de sa descente sur ma queue, j’ai senti que c’est son anus qu’elle cherchait à faire pénétrer… Quel délice… J’aurais adoré voir son visage pendant que mon gland forçait doucement l’entrée… 


Après quelques va-et-vient où je l’ai laissée guider, je me suis enfin attelé à la tâche que j’attendais depuis le début : la traire de ma bouche… 


Je dois avouer que son lait était abondant, chaud, visqueux à souhait, mais il n’était pas aussi bon que celui de Sara. Probablement une alimentation différente ou bien une question de génétique, je n’y connais rien… Mais l’action de la boire était très, très excitante…


Par moment elle se redressait, s’asseyant carrément sur mon bas-ventre/le haut de mes cuisses. Dans cette position, mon gland était au plus profond possible de ses intestins… Puis elle reprenait les va-et-vient, ne tardant pas à se repencher au-dessus de moi, ses seins venant cogner mon visage, ma bouche accueillant ses tétons pour une nouvelle dose de lait…


Après un certain temps, je l’ai faite se dissocier de mon sexe, puis d’une pression insistante de mes mains sur ses fesses elle a compris que je voulais qu’elle remonte le long de mon corps… Je n’ai diminué la pression sur son cul que lorsque son petit trou dilaté s’est retrouvé à la portée de ma langue, et que j’ai pu la lui enfoncer dedans, me régalant de son intérieur… 


Après m’être rassasié, au lieu de continuer à la faire monter le long de mon corps, je me suis glissé vers le bas, ce qui a été rapide : je n’avais que ma tête sous elle. Je me suis retourné, je l’ai tirée un peu arrière par les hanches pour qu’elle se retrouve à quatre pattes, et j’ai glissé mon sexe là où il a bien voulu entrer facilement. C’était dans son cul. 


La tenant toujours par les hanches, nous sommes montés d’un cran dans la vigueur : je la défonçait, alternant entre son cul et sa chatte. Elle gémissait, elle jouissait… Elle a plusieurs orgasmes, je ne sais pas combien exactement.


À un certain moment j’ai senti qu’elle étirait son corps vers la gauche, et j’ai compris pourquoi lorsque j’ai senti qu’elle posait sur une de mes mains qui tenait ses hanches un objet. Ça ne m’a pas pris un quart de seconde à comprendre qu’il s’agissait d’un sex toy. J’ai souri dans le noir, j’ai léché le jouet, sucer voracement en fait, et pendant que mon sexe était dans le sien, j’ai lentement glissé le jouet dans son trou libre. 


Nous avons alors alterné les positions, offrant une variation intéressante de plaisir. Parfois le jouet dans le cul, ma queue dans sa chatte, parfois le jouet dans sa chatte, ma queue dans son cul, et elle a eu droit à la double vaginale, qui s’est terminée sur un nième orgasme, le dernier de cette série… 


Nous étions tous les deux en sueur sur le lit après cet intense round. 


Alors qu’elle était allongée sur le dos, je suis venu m’accroupir au-dessus de sa poitrine. J’ai cherché, trouvé, et pris une de ses mains dans la mienne, lui plaçant le jouet visqueux de son jus dedans. Puis j’ai guidé l'extrémité du jouet vers mon propre anus… 


Quand elle a compris ce que je voulais qu’elle fasse, elle a murmuré un “oh mon dieu”... Mais au lieu de pousser doucement comme je l’espérais, elle s’est dégagée de moi… J’ai cru que je l’avais choqué, mais non : elle m’a demandé de me mettre à quatre pattes, les fesses bien relevées, puis elle s’est mise à me lécher l’anus. C’était très, très plaisant… 


Aux bruits que j’entendais, il était évident que cet acte lui plaisait : j’entendais le son du jouet entrant et sortant de sa chatte trempée… 


Après avoir joué avec sa langue, ce sont ces doigts qui ont pris la place : un premier, puis un second. Doigts que je l’entendais lécher chaque fois qu’elle les sortait de moi…


Puis ça a enfin été au tour du jouet… Une grosseur adéquate, une longueur parfaite, j’ai eu beaucoup de plaisir à le sentir investir mon corps… 


Au début elle s’amusait à le sortir souvent, passant ensuite sa langue sur mon trou dilaté, mais après un certain temps elle s’est allongée sur le dos, passant sa tête entre mes jambes de façon à être juste où il fallait pour prendre ma queue en bouche sans la gêner dans les mouvements de va-et-vient qu’elle imposait au jouet avec ses mains. Mouvements qui ont pris de la vigueur jusqu’à ce que je puisse dire qu’à mon tour, je me faisais défoncer…


J’aurais bien enfoncé ma queue loin dans sa gorge, mais j’avais compris assez tôt qu’elle ne semblait pas apprécier cette pratique. Alors je me suis retenu, juste mon gland dans sa bouche que sa langue caressait à un bon rythme. Et je n’ai pas tenu plus longtemps, je me suis vidé…


J’ai joui dans sa bouche, sans l’avertir même si je suis sûr qu’elle se doutait que ça s’en venait… Elle a aussitôt ralenti le rythme pour s’appliquer à me sucer plus précautionneusement, appuyant fort sur ma tige avec ses lèvres mais surtout avec ses mains, abandonnant le jouet, pour me vider… 


Elle a semblé surprise que je vienne l’embrasser juste après mon éjaculation, surprise, mais pas déçue : le baiser a été long et passionné…


Et elle a semblé encore plus surprise quand mon sexe est à nouveau entré en elle, pendant le baiser. Elle a arrêté de m’embrasser une seconde au moment où elle m’a senti entrer en elle, pour m’embrasser à nouveau encore plus voracement dès que j’étais bien à ma place…


Nous avons baisé dans de multiples positions, mais sans réutiliser le jouet. Elle a joui plusieurs fois, et j’ai fini par jouir en elle, dans son sexe. Une petite éjaculation, mais encore une fois je l’ai surprise, cette fois-ci en allant la lécher après… 


Pour finir, elle m’a demandé si avant de partir ça me tentait de boire à ses seins. Évidemment que oui… Elle s’est assise sur le lit soit contre la tête de lit soit contre le mur, aucune idée à cause des yeux bandés, et j’ai posé ma tête sur mes cuisses. Sans avoir à lever la tête, ses tétons arrivaient à hauteur de ma bouche, et je sentais la lourdeur de ses seins… Elle doit vraiment en avoir de magnifiques…


J’y ai bu longuement. Je n’avais aucune notion du temps, et je m’en fichais… Pendant que je la buvais, ses mains se baladaient sur mon corps, caressaient mon torse, mon sexe qui n’était pas complètement mou, mes couilles, mon petit trou (sans oser y entrer…).


Quand j’ai décollé mes lèvres de ses tétons, elle m’a dit : “avant de partir, est-ce que je peux refaire une dernière chose?”. Je lui ai répondu “Avec plaisir”, sans même savoir de quoi il s’agissait.


Elle m’a demandé de me remettre à quatre pattes, s’est glissée sous moi tête-bêche, et m’a demandé de la lécher pendant qu’elle jouait avec ses doigts dans mon cul… Elle a encore joui deux fois dans cette position, puis je suis parti…


Nous nous sommes revus à plusieurs reprises, même si le terme n’ait pas approprié : nous avons décidé de rester les yeux bandés à chacune de nos rencontres… Donc j’arrive chez elle, il y a un bandeau accroché à la poignée de porte, je le mets, puis elle m’ouvre…




Par Etienne - Publié dans : Lactation
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Mercredi 11 janvier 3 11 /01 /Jan 15:55

Pour les fêtes, nous avons organisé un repas avec des invités particuliers : Ludivine (notre amie en fauteuil roulant,) Cassandra (la belle noire ultra mince), et Sara et Damien (notre couple d’amis dont la femme allaitait récemment et l’homme a vécu sa première sodomie avec mes deux chéries). Nous avons hésité au sujet de notre amie transsexuelle, mais comme nous ne savions pas trop ce qu’en penseraient les autres, nous nous sommes abstenus. Nous avions aussi invité Catherine, mais aucune réponse de sa part… Nous avons aussi pensé à mon boss et à sa conjointe, mais on s’est gardé une petite gêne…


Ludivine ne conduisant pas, nous sommes allés la chercher chez elle. Ou plutôt Clarisse, y est allée. Elle a vraiment un faible pour elle, et elle le reconnait volontiers : elle dit elle-même qu’elle a envie de la prendre dans les bras, de l’embrasser, de lui faire l’amour, de la protéger… Elle reconnait que c’est un peu bizarre puisque ce n’est pas parce qu’elle est handicapée qu’elle est faible, bien au contraire, mais c’est ce qu’elle ressent. Parfois on la taquine en lui demandant si elle ne voudrait pas nous quitter pour elle, ce à quoi elle répond clairement que non, que ce n’est pas de l’amour comme avant nous, mais de l’amour… pas comme avec nous! Et elle rit…


Elles se voient toutes les deux environ une fois par semaine, pour faire des activités sportives ou tout simplement pour discuter, prendre un café, faire les magasins. De mon côté je la vois parfois, soit en allant dormir chez elle, soit quand elle vient chez nous pour une soirée agréable où nous finissons tous les deux dans le même lit. Et bien que ce soit avec moi qu’elle couche, je n’ai aucun doute que Clarisse arrivera aussi à partager son lit prochainement…


Donc bref, Clarisse est allée chercher Ludivine pour ce souper, où les invités étaient prévenus : maillot requis car le spa serait ouvert.


La soirée a été fantastique. Tout le monde était super agréable, super beau (même Damien que j’aurais bien sucé…). Il y a eu quelques allusions coquines durant la soirée, mais rien d’exagéré, rien qui aurait pu laisser croire que certaines personnes présentes baisent régulièrement ensembles. Dans le spa il y avait des regards convoiteurs, il y a eu quelques mains baladeuses, mais c’est resté discret. J’ai caressé Ludivine, Sara et Cassandra (pas en même temps!) lorsque les jets étaient en fonction et que les bulles cachaient tout, et j’ai moi-même été caressé par leurs mains. Je sais aussi que mes deux chéries ont simultanément branlé Damien. Pour réussir tout cela sans risque de se faire prendre, il y a eu pas mal de va-et-vient dans le spa : parfois tous ensembles, parfois en plus petits comités, et à différents moments de la soirée.


Si on parle d’actes sexuels plus complets, il n’y en a eu que deux.


Le premier, c’est Damien qui a sodomisé Magali dans la salle de bain du sous-sol. Comment je le sais? Après l’acte ma chérie m’a donné un verre à shooter qui contenant un liquide blanchâtre en me disant « ça se sort de mon cul », avec un grand sourire. Je l’ai bu d’un trait, et j’ai mis le verre à laver.


Le second, c’est Cassandra et moi. Alors que j’étais dans la cuisine à préparer un plat et que tout le monde était assis à table (et je précise que la table est visible de la cuisine, il y a juste un comptoir qui sépare), Cassandra s’est levée pour venir me rejoindre et m’a demandé à voix basse : “est-ce qu’il y a une personne ici avec qui tu n’as pas baisé?”. J’ai ri et je lui ai répondu : “Oui, une. Damien. Et ce n’est pas parce que je n’en ai pas envie!”. Elle a souri et a dit : “Je le savais! Raconte-moi ta meilleure baise avec Ludivine et Sara”. Et pendant qu’elle m’a demandé cela, elle a glissé sa main dans son pantalon et s’est mise à se caresser doucement.


Au lieu de répondre à sa question, je lui ai suggéré, pour ne pas dire ordonné, de s’asseoir par terre dès que personne ne regarderait dans notre direction. Quelques secondes plus tard, elle était les fesses au sol, “coincée” entre le comptoir et moi, ma queue au fond de sa gorge, pendant que je continuais à préparer le plat suivant.


Je ne faisais pas vraiment de va-et-vient, je m’amusais à rester le plus loin dans sa gorge, pour la dominer comme elle aime, sans tendresse. Et pendant ce temps là, je parlais avec mes chéries et les autres invités, qui étaient toujours à table. Et c’est sans l’aviser que je me suis vidé les couilles… Elle m’a bien évidemment avalé sans rechigner, cette forme de domination l’excitant beaucoup.


Quand je suis sorti de sa bouche, elle a murmuré : “Tu n’as rien de plus? J’ai soif…”. Malheureusement je venais d’uriner peu avant, autrement je l’aurais comblée avec plaisir…


Au moment opportun, elle s’est relevée, comme si de rien n’était, et est retournée s’asseoir à la table. Le tout n’a pas duré longtemps, moins de cinq minutes.


Comme nous avions prévu de proposer pas mal à boire, nous avions avisé nos invités qu’ils pourraient dormir chez nous sans problème, et c’est ce qui a été fait. Damien et Sara ont dormi dans une chambre d’amis avec leur bébé, et alors que nous avions prévu que Cassandra et Ludivine dorment une dans une chambre, l’autre dans le salon du sous-sol, elles ont finalement préféré partager le lit queen de la chambre d’amis. En tout bien tout honneur, il ne s’est rien passé entre elles!


 Avec une telle répartition des invités, il était impossible de s’inviter dans le lit de quiconque, ce qui a été la cause principale de la limitation des ébats sexuels… Cela dit, mes chéries et moi nous nous sommes quand même faits plaisir ensemble, et pas qu’un peu. Tendrement, longuement…


Le lendemain matin, tout le monde s’est réveillé à peu près en même temps, donc encore une fois difficile d’avoir du plaisir sexuel… 


Après le petit déjeuner, Damien et Sara sont repartis chez eux, ainsi que Cassandra. Ludivine est restée un peu plus longtemps, car nous devions la ramener chez elle. Ou plutôt Clarisse, devait la ramener… Mais avant cela, Ludivine et moi avons passé un peu de temps dans le spa, juste elle et moi, où nous avons fait autre chose que discuter… Par contre, pour la douche après le spa, je ne suis pas allé avec elle : Magali m’a demandé de l’aide soit disant urgente dès que j’ai mis le pied hors de l’eau. Notre salle de bain n’étant pas adaptée à la condition de Ludivine, Clarisse l’y a accompagnée. Elles sont suffisamment à l’aise toutes les deux pour être nue l’une devant l’autre, et se toucher le corps (sans connotation sexuelle). C’est une des raisons qui me fait croire que Clarisse finira par réussir à lui faire l’amour… 


Pour résumer, ça a été une soirée super agréable, même s’il y a eu moins de sexe qu’anticipé. Disons que ça a presque été une soirée normale entre amis “normaux”!







Par Etienne - Publié dans : Plaisir simple
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Mercredi 7 décembre 3 07 /12 /Déc 15:51

Dans la salle d’attente de la clinique où on effectue régulièrement des tests de dépistage, un gars était assis à côté de moi. J’étais seul ce jour-là, mes chéries n’ayant pas de rendez-vous, alors le gars et moi on s’est mis à discuter.


Il m’a expliqué qu’il est en couple avec une femme, mais qu’à l’occasion il aime « baiser » avec un mec. Il a insisté sur le mot « baiser », en précisant que c’est purement sexuel, presque animal : il n’embrasse pas, il n’y a pas de tendresse, il « baise ». Sodomie vigoureuse protégée, fellation en profondeur protégée, mais s’il était présent ce jour-là, c’est parce qu’il a eu une expérience où le préservatif de son partenaire s’est déchiré pendant la fellation. Il est peu probable qu’il ait attrapé quoi que ce soit, mais par sécurité, et pour sécuriser sa femme, il a décidé de se faire tester.


 Je lui ai demandé s’il avait déjà eu l’occasion avec un homme, sans préservatif, mais il a dit que non. Il aimerait, mais qu’il a trop peur des maladies. Je n’ai pas hésité une seconde, et je lui ai dit que si nous étions tous les deux négatifs et que ça lui tentait, on pourrait peut-être se voir et vivre cette expérience. Il n’a pas répondu tout de suite, mais a fini par prendre mon numéro de téléphone et m’a dit qu’il réfléchirait à ma proposition avec sa femme.


Un peu plus de deux semaines plus tard, il m’a appelé. Je lui ai dit que j’étais négatif, et il m’a informé que lui aussi. Nous avons convenu de nous voir chez lui, et que j’apporterai mes résultats comme preuve.


Le jour venu, je me suis évidemment fait un lavement anal, puis je suis allé chez lui. Il habite dans un condo, pas grand mais douillet, dans une tour à condos récentes. Après que l’on ait regardé mutuellement nos résultats de tests, j’ai fait le tour des photos sur les murs. Il y en avait beaucoup de lui et de sa femme, une très jolie femme, et je lui ai demandé si elle serait là pour regarder ou participer. Il m’a répondu que non, il n’y aurait que lui et moi. Elle accepte qu’il baise avec des hommes, mais elle ne veut rien savoir de plus.


Lorsqu’il m’a répondu cela, je me suis agenouillé devant lui, défaisant son pantalon, en disant : « En parlant baise, on s’y met? ». Quelques secondes plus tard il tenait ma tête appuyé contre lui, sa queue raide au fond de ma gorge. Intense dès le début…


Tout en suçant sa queue à un rythme effréné, j’ai continué à le déshabiller, lui enlevant son pantalon et son caleçon. Il a lui-même enlevé son haut, puis j’ai déboutonné le haut de ma chemise, j’ai levé les bras, et il me l’a retirée, alors que j’étais toujours à genoux à le sucer. J’ai saisi ses couilles d’une main, les malaxant fermement… 


Je l’ai entendu dire : « Si tu continues comme ça je vais jouir bien trop vite », et il s’est retourné, s’est appuyé contre le mur, écartant les jambes. Étant moi-même toujours dans la même position, j’avais son petit trou juste devant mes yeux. Un cul sans un poil, qui sentait bon. Tout comme j’ai sucé sa queue violemment, je me suis mis à lui lécher le cul sans tendresse… Avant de me relever, de déboutonner mon pantalon et de poser mon gland gonflé sur sa rondelle…


J’ai patienté deux secondes, lui laissant le temps de dire non si ce n’était pas ce qu’il voulait. Devant son silence, j’ai déduis que c’est ce qu’il voulait : j’ai poussé lentement…


Après les premiers va-et-vient relativement doux, j’ai accéléré, lui défonçant le cul… Par moment je me retirais, m’agenouillais et glissais ma langue ou mes doigts dans son trou dilaté, avant de reprendre position en lui, le branlant en même temps…


Quand il m’a redit que si je continuais à toucher sa queue il allait jouir, je me suis retiré de lui, et j’ai reculé de quelques pas… Il m’a pris par la queue et m’a fait le suivre dans le salon. Il m’a poussé sur le divan, et s’est agenouillé entre mes jambes, me suçant à son tour. Tout comme il l’avait fait avec moi, je m’amusais à maintenir sa tête quand j’étais au fond de sa gorge…


Tout en savourant ma bite, j’ai senti que de ses doigts il cherchait à investir mon intestin. Je me suis déplacé un peu sur le divan, pour lui faciliter l’accès, et j’ai attendu avec plaisir que mon anus s’ouvre sous sa pression… Ce qui n’a pas tardé…


Nous avons baisé frénétiquement pendant presque une heure. Quand l’un de nous avait besoin d’une pause, on ajustait notre position pour continuer à avoir du plaisir sans risquer d’éjaculer…


Le point fort a été quand je le prenais en levrette : j’avais l’impression qu’il me prenait facilement dans son cul, alors j’y ai rajouté un doigt, en plus de ma queue. Quand il a senti que je forçais son petit trou, il m’a demandé ce que je faisais. Je n’ai rien répondu… Quand mon doigt est entré en lui, il a compris, et en a demandé un second, ce que j’ai fait… Ce n’était plus des gémissements qu’il poussait, mais presque des cris… J’ai cru qu’il allait jouir sans que je ne touche sa queue…


Quand je lui ai demandé où est-ce qu’il voulait que je jouisse et ou est-ce que lui voulait jouir, et dans quel ordre, il m’a répondu que je devais jouir en premier, dans sa bouche, car il n’avait jamais gouté du sperme autre que le sien… 


Peu après il savourait mon nectar et semblait s’en repaitre avec un grand plaisir… 


Puis il m’a dit qu’il voulait jouir au fond de mon cul : il a l’habitude de jouir dans la bouche de sa femme, mais elle refuse la sodomie, donc c’est là qu’il voulait jouir. Ce qu’il a fait, alors qu’il était allongé sur le lit, moi empalé sur lui.


Quand je me suis désemboîté de lui, j’ai laissé son sperme couler de mon cul sur son ventre, puis je l’ai léché… C’était délicieux…

 

Après cette énorme baise, il m’a demandé si à l’occasion je serais partant pour remettre ça. Évidemment que je le serai…

Par Etienne - Publié dans : Entre hommes
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Mercredi 2 novembre 3 02 /11 /Nov 15:49

Nous nous sommes dirigés vers la salle de bain. Elle s’est accroupie, et a attendu mon jet, qui venu très rapidement… Elle n’avait plus aucune appréhension à en avoir sur le visage et dans la bouche. Au contraire… Elle m’a bu, s’est rincée le visage, bref, a profité à fond de mon urine.


Puis comme souhaité au début, j’ai léché son visage, goûtant mon urine salée… Comme elle n’avait pas joui pendant notre moment à trois, son érection était encore très présente. Remarquez, même si elle avait joui, elle aurait possiblement été dans le même état…


Nous étions rendus en fin d’après-midi, samedi. Nous sommes retournés dans la piscine, en maillot. Elle est sexy nue, mais encore plus en maillot… Nous avons juste joué dans l’eau, rien de vraiment sexuel. De longs et tendres baisers, des caresses, mais rien de plus. On parlait, elle m’interrogeait sur ma vie avec mes deux chéries, on riait…


Le temps est passé extrêmement vite… À tel point que quand j’ai regardé l’heure pour la première fois depuis que Nicolas était parti, il était 19h. J’ai dit à ma conjointe du week-end qu’il était que l’on aille s’habiller car je l’emmenais manger dans un bon resto. Décision prise sur un coup de tête... Elle était super contente… Elle m’a demandé comment elle devait s’habiller. Bonne question… J’ai dit : « Classe, mais sexy ». Ce à quoi elle m’a répondu : « Toi aussi! ». Quand elle s’est dirigée vers la chambre où était ses affaires, je lui ai dit « et sans sous-vêtement! ». Elle a ri en me répétant : « Toi aussi! ».


Quand elle est réapparue, elle portait la robe fourreau moulante et sexy de son arrivée. Sublime… De mon côté, sans être en costar cravate, j’avais mis une tenue très classe mais « jeune » qui a semblé lui plaire.


Nous nous sommes embrassés, et je lui ai dit que sa tenue était parfaite pour la première partie de la soirée, mais que pour la seconde il faudrait quelque chose de tout aussi sexy, mais dans lequel elle serait à l’aise de bouger. Encore une fois, j’ai dit ça sur un coup de tête…


Elle m’a répondu : « Tu m’intrigues… Ça m’excite… » et avec un grand sourire est retourné chercher autre chose. Mais cette fois, je n’ai pas eu le droit de savoir quoi… « Surprise », m’a-t-elle répondu…


On s’est dirigé vers l’auto, puis vers le centre-ville de Montréal. On a traversé le pont Samuel-de-Champlain, et je me suis garé au hasard d’une rue du centre. Nous avons marché, main dans la main, jusqu’à trouver un restaurant nous plaisant. Je ne vous cacherai pas qu’elle se faisait admirer par pas mal d’hommes que l’on croisait en marchant, et quelques femmes…


Le premier restaurant que l’on a choisi était malheureusement plein. Mais ce n’était pas grave, nous n’étions pas pressés. Le second où nous avons tenté notre chance avait une table pour deux, ce qui était parfait pour nous.


Tout en mangeant, elle m’a avoué qu’elle s’attendait à une fin de semaine spéciale, mais pas à ce point là… Elle savait avant de venir que physiquement je lui plaisais, puisqu’elle m’avait vu en photo lors de sa visite « pré-embauche », et elle se doutait que je serais agréable à côtoyer si je ressemblais à mes chéries, mais de là à passer un aussi bon temps, elle ne l’avait pas imaginé…


Lorsque nous sommes ressortis, je lui ai demandé si ça lui plairait d’aller danser, en boite de nuit. Ses yeux ont pétillé, ce qui a rendu son « oui » superflu… Elle a aussitôt percuter en me disant : « c’est pour ça que tu voulais que j’ai une tenue qui me permettrait mieux de bouger... ». 


Nous sommes retournés à l’auto, où elle s’est changée. Elle est rentrée dans la voiture avec une longue robe fourreau, et en est ressortie avec une minijupe, elle aussi fendue sur les côtés, et un haut ultramoulant qui laissait tout voir entre juste en dessous de ses seins et sa jupe, qui était taille basse…


Je vous ai dit qu’elle se faisait reluquer quand on marchait tout à l’heure? Ce n’était rien comparé à avec cette tenue… Même moi, qui commençais pourtant à m’habituer à son corps, elle m’émoustillait terriblement… Tellement qu’avait d’arriver à la boite de nuit, je l’ai emmenée dans une ruelle (Montréal et ses ruelles… c’est très pratique!), je me suis mis à l’embrasser avec passion, lui disant que je ne tenais plus, pendant que je sortais ma queue de mon pantalon… 


J’ai sorti une mini bouteille de lubrifiant de ma poche, j’en ai étalé sur mon gland et le reste de ma verge, j’ai fait faire demi-tour à Crystal, et contre un poteau électrique, je l’ai sodomisée. Une pénétration d’abord lente pour ne pas lui faire mal, puis plus vigoureuse. Mon objectif? Jouir vite, comme ce qu’elle m’avait décrit dans ses fantasmes…


Quand elle a senti que j’étais sur le point d’exploser, elle s’est dégagée, s’est retournée et accroupie, et a pris ma queue en bouche, juste à temps… Je me suis vidé en elle, tout du moins de ce que j’avais eu le temps de produire depuis son facial de l’après-midi…


Quand elle s’est redressée, j’ai rangé mon sexe, elle a passé ses bras autour de mon cou, j’ai posé mes mains sur ses hanches, et nous nous sommes longuement embrassés… Lorsque ses lèvres se sont décollées des miennes, elle m’a dit : « Tu veux me faire vivre tous les fantasmes en une fin de semaine? ». Je lui ai répondu que je voulais juste qu’elle se sente heureuse et qu’elle ait du plaisir… Elle m’a embrassé à nouveau en me disant : « Attention, je pourrais m’habituer à cette vie… » puis elle a ri, et nous sommes allés en boite, bras dessus bras dessous.


Ça se voyait qu’elle aimait danser… Et ça se voyait que certains hommes bavaient en la regardant… N’étant pas moi-même un inconditionnel de danse, parfois je dansais avec elle, mais parfois je m’éloignais, la contemplant… Elle ne restait pas seule longtemps, quand je m’éloignais, mais elle ne regardait pas ses partenaires : elle ne me quittait presque pas des yeux…


Quand nous sommes partis, presque 3h plus tard, elle était aux anges… Elle disait que ça faisait des années qu’elle n’était pas allée en boite, et que jamais elle ne s’y était sentie aussi libre que lors de cette soirée. Elle était trempée de sueur, épuisée, mais heureuse… Elle marchait en me tenant le bras, sa tête appuyée sur mon épaule.


Dans la voiture sur le trajet du retour, elle paraissait rêveuse… Je n’ai pas osé caresser ses cuisses pour remonter jusqu’à son sexe, comme j’aurais aimé le faire, je n’ai pas osé interrompre sa rêverie.


Quand nous sommes arrivés à la maison, elle m’a pris par la main pour m’emmener au bord de la piscine. Elle s’est déshabillée, dévoilant clairement une belle érection, alors j’en ai fait autant. Elle m’a repris la main, et nous sommes entrés dans l’eau. Nous nous sommes collés, nous embrassant à nouveau, puis elle m’a tiré hors de la piscine. J’ai alors compris que c’était juste pour nous rincer, qu’elle a voulu que l’on s’y baigne…


Elle m’a emmené sur une partie gazonnée du terrain, et m’a demandé de m’allonger sur le dos, ce que j’ai bien évidemment fait… Elle s’est allongée sur moi, m’a embrassé, puis est descendue le long de mon corps, léchant mes tétons, mon nombril, mon sexe, mes testicules, mon anus…J’ai écarté les jambes et j’ai arrondi mon dos pour lui en offrir un meilleur accès…


Étant donné l’application dont elle faisait preuve pour cet anulingus, j’avais deviné que c’était pour le lubrifier… Et effectivement, peu après elle est remontée le long de mon corps… j’ai gardé les jambes écartées et pliées, le dos arrondi, et c’est facilement qu’elle a introduit son gland en moi… puis tout le reste de son membre, de l’unique trace montrant hors de toute doute qu’elle n’est pas une femme anatomiquement parlant…


J’ai eu beaucoup, beaucoup de plaisir dans cette pénétration sur l’herbe, en pleine nuit, les yeux dans les yeux avec Crystal… Elle n’a d’ailleurs pas tardé à jouir, à remplir l’anus de son sperme… puis elle est restée en moi, dans la même position, sans bouger… on se regardait… on s’embrassait…


Quand j’ai senti son sexe perde de sa vigueur, et donc que j’allais l’expulser de mon anus, j’ai doucement commencé à rouler sur le côté… Crystal a suivi le mouvement, et s’est retrouvée sous moi… je me suis alors dégagé de sa queue, et je suis allé m’asseoir sur sa bouche… Sa langue a recueilli tout ce qu’elle avait laissé en moi…


Quand je me suis allongé sur l’herbe à côté d’elle, elle  m’a dit : « est-ce que tu vas me prendre pour une folle si je dis que j’aimerais beaucoup que l’on dorme à la belle étoile? ». J’ai ri en disant qu’il s’est passé bien d’autres choses depuis qu’elle a sonné à ma porte qui pourrait lui valoir le qualitatif de ‘folle’, que dormir à la belle étoile fait pâle figure à côté!


Elle a ri doucement, je la sentais fatiguée… Je lui ai proposé de sortir un matelas gonflable deux places, de dormir sur les chaises longues, ou bien carrément parterre, comme on était en ce moment. Elle m’a répondu que le matelas gonflable serait parfait…


Pendant qu’elle est allée prendre une douche pour finir d’enlever la sueur, l’eau de la piscine, et l’herbe collée à son corps, j’ai sorti un matelas autogonflant, j’ai mis un drap dessus, j’ai apporté de quoi nous couvrir au cas (peu probable) où nous aurions froid.


Le temps que je finisse, elle venait me rejoindre, nue et propre. Elle s’est allongée sur le matelas, et à mon tour je suis allé me doucher rapidement.


Quand je suis revenu au matelas, elle s’était déjà endormie. Elle était belle, complètement nue, sous la lumière diffuse de la lune et des ampoules encore allumées de la terrasse... J’ai alors eu une idée. Je suis allé chercher son téléphone, et j’ai commencé à la filmer, nue.


Tout en filmant, je me suis accroupi à côté du matelas, du bord où elle était. J’en tendu ma main libre, j’ai frôlé son sexe. Elle n’a pas réagi. J’ai alors poussé un peu plus loin, jusqu’à la masturber lentement… Elle gémissait un peu, mais sans se réveiller. 


Ce corps de cette superbe transsexuelle, nue, la queue en érection, était très, très excitant… J’ai changé l’angle du téléphone pour filmer mon sexe, lui aussi en érection. Je montrais ma queue se faire masturber par ma main gauche, pendant que ma main droite tenait le téléphone, le corps de Crystal en arrière plan.


Lorsqu’enfin je suis arrivé à l’objectif que je m’étais fixé, j’ai approché mon sexe de bouche, et j’ai éjaculé… Pas grand-chose, encore une fois, mais quelques gouttes sont tombées sur ses lèvres… Gouttes que dans un réflexe inconscient elle a essuyées avec sa langue… 


J’ai arrêté de filmer, et je me suis couché à ses côtés…


Dimanche matin. Nous nous sommes réveillés assez tard, vers 10h30. En fait nous avons été réveillés par mes chéries qui nous ont appelés pour nous demander comme ça allait, mais surtout pour nous informer qu’elles resteraient une nuit de plus au spa, donc elles voulaient demander à Crystal, si ça lui tentait et si elle le pouvait, de rester une nuit de plus avec moi, en ajustant évidemment ses tarifs pour trois nuits au lieu de deux. Avant qu’elle puisse répondre, j’ai dit : « Vous aimez tant le spa que vous ne voulez plus rentrer? ». Réponse de Clarisse : « C’est surtout que c’est offert par le gérant. Merci à Magali qui a donné tellement de plaisir au fils du gérant que ce plaisir a débordé sur ses seins! ». De ce que j’ai compris à ce moment là Magali avait branlé le fils du gérant et il a éjaculé sur ses seins. Et à quelques détails près, j’ai su plus tard que c’est effectivement ce qu’il s’est passé… Bref, mes chéries ont eu droit à une nuit gratuite en « remerciement », donc ont proposé à Crystal de rester une nuit de plus avec moi. Cette dernière a accepté, en disant que ce serait avec plaisir mais gratuitement, sans frais supplémentaire.


Quand on a raccroché, Crystal s’est levé et m’a demandé de rester là, elle voulait juste aller se « rafraichir » un peu, ce qui lui prendrait une quinzaine de minutes. Comme la veille, j’en ai profité pour faire la même chose (lavage de dents, rinçage anal, petite douche…). 


Lorsque nous sommes tous les deux revenus sur le matelas gonflable, nous avons fait ce qu’elle a appelé un « second réveil » : nous avons simulés un réveil, et comme si on venait d’ouvrir les yeux, on s’est embrassé, et bien évidemment les baisers ont dévié vers des caresses plus intimes, et vers des actes encore plus intimes… Il était plus de midi quand nous nous sommes enfin décollés, ayant chacun jouit dans une partie du corps de l’autre…


Le reste de la journée a été assez calme, comparativement à la journée précédente : pas d’exhibitionnisme, pas de partenaire imprévu, juste elle et moi, à la maison. Le seul acte sortant un peu de l’ordinaire a été alors que nous étions dehors, sur le matelas gonflable. Nous avions en effet décidé de le laisser là, draps enlevés, pour profiter d’éventuels ébats au soleil plus confortablement que sur une chaise longue. Et effectivement, après un passage dans la piscine, moi nu, c’est comme ça qu’elle me préférait, et elle en bikini, c’est comme ça que je la préférais, nous sommes allés nous servir un verre à boire, puis nous nous sommes dirigés vers le matelas… Je me suis allongé sur le dos, en érection, des coussins derrière mon dos pour me redresser un peu, et elle est venue s’empaler sur mon sexe, après l’avoir lubrifié avec sa salive. Elle n’a pas enlevé son maillot pour cela, elle l’a juste décalé pour me donner l’accès à son anus…


Nous sommes longtemps restés ainsi, moi en érection entre ses fesses, elle sur moi. Nous buvions et discutions, c’était très agréable. Heureusement, elle avait pensé à amener la bouteille de vin avec nous, pour ne pas que nous ayons à nous lever…


Après m’être retenu pendant un certain temps, pour être sûr d’être vraiment, vraiment plein, je me suis vidé en elle, sans l’aviser. Et quand je parle de me vider, je ne parle d’une éjaculation, mais d’une vidange complète de ma vessie…


Quand elle a senti mon jet en elle, elle m’a d’abord regardé, l’air surprise, puis à fermer les yeux et a entamé des petits mouvements de bassin, j’imagine pour mieux me sentir… Son sexe qui jusqu’à présent n’était pas en érection s’est durci, et sans hésiter je l’ai libéré du maillot pour le caresser… 


Une fois complètement vidé en elle, elle m’a regardé et m’a dit qu’elle ne savait pas quoi faire : « J’ai envie de desserrer mon anus et de me vider sur toi, toi encore en moi… J’ai envie de venir m’accroupir sur ton visage et de me vider… J’ai envie de tout garder en moi le plus longtemps possible… J’ai envie de me vider dans un verre et de te regarder boire… Ou peut-être même dans deux verres pour que l’on trinque ensemble… J’ai envie que tu me fasses l’amour violemment pour que ça sorte de moi au gré de tes va-et-vient… »…


Je me suis redressé le plus possible, toujours en la masturbant, et je lui ai dit : « Embrasse-moi le temps que tu te décides… »


Ma queue dans son anus plein d’urine, nous nous sommes alors longuement embrassés… Puis elle s’est dégagée de moi, s’est mise debout sur le matelas, son petit trou au-dessus de ma bouche (je penchais la tête bien en arrière), et elle s’est vidée… Sans aucun contrôle, toute l’urine qui restait en elle (parce qu’évidemment, pendant que j’étais en elle il a quand même coulé sur mon entre-jambes, et quand elle s’est levée pour se mettre au-dessus de moi il y a eu quelques pertes aussi) à déferler dans ma bouche, giclait aussi sur mon visage, dégoulinait dans mon cou, sur mon torse…


Crystal s’est alors reculée un peu, et toujours en restant debout au-dessus de moi m’a demandé : « Je t’ai parlé de l’importance de la masturbation dans un couple pour moi? ». J’ai répondu que oui. Alors elle a ajouté : « Alors n’interviens pas, s’il te plait… »


Elle a pris son sexe en main et l’a caressé, d’abord lentement, puis de plus en plus rapidement, en me regardant me lécher les lèvres, les doigts que je passais sur mon corps couvert d’urine… 


Je pensais qu’elle allait m’éclabousser à nouveau le visage, mais au lieu de ça c’est vers son ventre qu’elle a dirigé son gland, qu’elle a arrosé de sperme chaud… 


Elle a récupéré les dernières gouttes sur un de ses doigts qu’elle a léché ensuite, puis s’est approchée de moi… elle a plié les genoux pour que son ventre souillé soit à la hauteur de ma bouche, et pendant qu’elle passait ses doigts dans mes cheveux humides, je l’ai nettoyé…


Puis elle a continué à fléchir les genoux, jusqu’à ce qu’à nouveau je sois en elle…


Elle m’a embrassé/léché le visage, puis m’a dit que le goût à petite dose lui plait, que l’idée d’un verre l’excite mais qu’elle n’est pas sûre d’aimer une telle quantité… Je lui ai répondu que si ça lui tente que l’on se revoit, ce qu’elle avait déjà sous-entendu dans une discussion plus tôt, on pourra essayer quand elle en aura envie… Elle m’a souri et m’a embrassé…


Sans l’aviser, je nous ai retournés, mon sexe est sorti d’elle, et je l’ai roulée sur le ventre dans la flaque d’urine sur le matelas gonflable. Lorsque je l’ai remise sur le dos, elle riait, se doutant de ce que j’allais faire. J’ai embrassé, caressé son corps de ma langue de ses orteils jusqu’à sa bouche, m’attardant particulièrement sur les parties couvertes de son bikini qui ont absorbé le plus d’urine… Pendant ce temps, elle me caressait comme elle pouvait, en fonction des parties de mon corps qui étaient accessibles… Mais je crois qu’elle avait surtout beaucoup de plaisir à passer ses doigts dans mes cheveux, en suivant les mouvements de ma tête sur son corps…


Pour finir cette partie de journée sur le matelas, elle m’a demandé de reprendre ma place, allongé sur le dos, dans l’urine… Dans sa main elle récupérait le liquide doré qui était de chaque côté de mon corps, puis le versait sur mon sexe et me caressait…  Avant de remplacer ses mains par sa bouche et me sucer, lentement, sensuellement, pour une fellation complète au goût salé…


Après que j’ai joui dans sa bouche, nous sommes douchés, j’ai nettoyé le matelas au jet d’eau, et nous avons poursuivi la journée sans fait marquant particulier. Chaque fois qu’elle pissait, c’était soit dans un verre qu’elle me permettait de savourer ensuite, soit directement dans la bouche, par petites giclées, sans dégât. Quant à mon tour j’avais besoin, je me laissais aussi aller dans un verre car elle aimait me regarder le remplir, mais elle ne le buvait pas. Après que je les vide dans l’évier, elle s’amusait juste à récupérer la dernière goutte au fond des verres.


Ce soir là, donc le dimanche, nous nous sommes couchés dans la chambre, sans même faire l’amour. Nous nous sommes longuement embrassés, puis elle s’est endormie dans mes bras.


Le lundi matin, je devais travailler. De chez moi, mais travailler quand même. Je me suis levé discrètement, la laissant dormir, et je me suis installé à mon ordinateur. Quand, à son tour, elle s’est réveillée, je l’ai entendue aller dans la salle de bain, puis elle est venue me rejoindre. Elle était époustouflante dans un pantalon de yoga blanc ultramoulant mettant en valeur ses cuisses fines et musclées ainsi que ses fesses, et une brassière sport de la même couleur donnant un effet coup de poing à ses seins… Il était flagrant que mes chéries lui avaient dit dans quelle tenue le trouve les femmes excitantes…


Nous nous sommes embrassés, puis elle m’a demandé si je voulais venir manger avec elle. Je lui ai répondu qu’avec plaisir, mais qu’avant cela, j’avais une rencontre virtuelle prévue dans les minutes qui suivaient, rencontre qui ne serait pas longue. Elle m’a demandé si c’était avec une webcam, ce à quoi j’ai répondu oui. Elle a souri, puis m’a demandé : « Je peux te faire une fellation discrète pendant ta rencontre? ».


Deux minutes plus tard, quand j’ai allumé ma caméra pour parler avec des collègues, Crystal était assise au sol, entre mes jambes, à jouer avec mon sexe…


À la fin de ma rencontre, moins de dix minutes plus tard, elle s’est relevée, m’a embrassé, puis m’a demandé : « On va manger? », tout à fait innocemment, comme si rien ne s’était passé (je précise qu’elle ne m’a pas fait jouir, pendant ce jeu).


Au lieu de me lever de ma chaise, j’ai fait pivoter Crystal pour qu’elle soit debout devant moi, dos à moi, j’ai baissé rapidement son pantalon, et je l’ai fait s’asseoir sur mes genoux. Enfin, disons plutôt sur mon sexe, qui était lubrifié de toute sa salive…


Peu après, alors qu’elle faisait de lents va-et-vient me faisant aller au fond de son anus et pendant que je lui caressais les seins au travers de sa brassière, elle m’a murmuré : « Jouis au fond de moi, pour que je rentre chez moi avez ton sperme et que je le sente couler longtemps… ». J’ai joui dans les secondes qui ont suivi…


Elle est restée assise sur moi mon sexe en elle… Je caressais doucement son ventre et ses seins… Alors que j’allais enfin prendre son sexe en érection en main (j’avais fait exprès de ne pas y toucher jusque là), elle m’a dit : « Non, je le garde pour une dernière chose… », puis elle s’est dégagée de mon sexe. Elle s’est baissée pour le prendre en bouche, savourant le sperme restant dessus, et nous sommes enfin allés manger.


Nous n’avons pas échangé beaucoup de mots, mais nous nous sommes beaucoup regardés, souris, embrassés… Une fois terminé, elle m’a dit qu’elle voulait me regarder travailler un peu avant de partir… 


Elle s’est installée dans un fauteuil, et pendant que je réglais quelques problèmes professionnels, elle s’est mise à se masturber. Au moment où j’allais me lever pour la rejoindre, sa phrase sur la masturbation dans un couple m’est revenue en tête. Du coup je suis resté assis, mais je lui jetais de fréquents coups d’œil, ce qui la ravissait…


Et ce qui devait arriver arriva : une belle éjaculation… C’était sa première éjaculation que je voyais, autre que très peu de temps après une éjaculation précédente. C’était abondant, c’était beau, c’était excitant… Elle avait du sperme sur sa brassière, son ventre et ses doigts… 


Cette fois c’était décidé, j’allais la rejoindre pour la nettoyer. Mais dès que j’ai levé mes fesses de mon siège, elle m’a dit : « Non… Tu dois travailler… ». Et en souriant, elle s’est mise à lécher ses doigts, à récupérer ce qu’elle avait sur elle pour le savourer…


Je n’ai pas pu me contrôler, j’ai à nouveau bandé, même si je m’étais vider en elle moins d’une heure plus tôt. Je ne me suis pas approché d’elle, je me suis juste déplacé pour mieux la contempler, parce qu’elle était époustouflante avec son corps de rêve, et je me suis branlé à mon tour, ne tardant pas à gicler aussi. Beaucoup moins abondamment, évidemment. Et comme elle, je me suis léché les doigts, ne la quittant pas des yeux…


Alors qu’elle était sur le seuil de la porte, elle m’a demandé si mes chéries seraient contre le fait que l’on se revoit, occasionnellement. Pas en tant que client, mais comme partenaires sexuels qui aimons avoir du plaisir. Je lui ai répondu que sûrement pas, et qu’au contraire, au moins l’une des deux seraient sûrement très intéressée à participer aussi. Elle m’a dit ce que je savais déjà, c’est-à-dire qu’elle n’est pas particulièrement attirée par les femmes mais que la présence d’une, ou deux ce qui serait une première, en plus d’un homme ne la dérange pas du tout.

 

Bref, quand elle est partie, il était déjà convenu que nous nous reverrons bientôt…

Par Etienne - Publié dans : Partenaire inattendue
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Mercredi 2 novembre 3 02 /11 /Nov 15:47

Quand le jet a commencé se tarir, j’ai repris sa queue en bouche pour une longue fellation, sans éjaculation. Ses deux mains étaient dans mes cheveux trempés de pisse, et elle savourait le moment, sans imposer de rythme…


Lorsque j’ai cessé la fellation, je lui ai demandé si elle aussi avait envie de se faire tremper… Elle m’a répondu que oui, mais sans viser la bouche pour commencer… Visage et corps seulement…


Je me suis mis debout au-dessus de ses jambes, et j’ai commencé à uriner arrosant ses cuisses, son ventre… Montant progressivement vers ses seins, son visage… Alors que sa poitrine était la cible de mon jet, elle a commencé à se masturber d’une main, et elle a passé les doigts de l’autre sur son corps souillé puis les a portés à sa bouche… Ça a dû lui plaire car peu après, alors que mon jet caressait son visage sa bouche s’est ouverte, attendant que je vise dedans… Ce que bien entendu j’ai fait…


Je ne l’ai pas mentionné dans l’histoire, mais à partir du moment où elle a précisé qu’elle avait dit à mes femmes qu’elle acceptait les jeux d’urine, j’ai bu beaucoup d’eau, en plus des alcools que l’on se servait, dans le but que si par inadvertance elle en recevait en bouche, elle ne soit pas dégoutée. Apparemment, ça a marché, si ce n’est que ce n’est pas par « inadvertance » qu’il y a goûté…


Après l’avoir arrosée et désaltérée, j’ai entrepris de lécher son corps, partant des orteils et remontant jusqu’aux oreilles… Ça a été très long, mais très, très agréable, autant pour elle que moi… Évidemment ce léchage s’accompagnait de toute sorte de pénétration lorsque possible, que soit du sexe du doigtage et vraiment une sodomie…


Suite à cela, nous sommes retournés sous la douche, avant d’aller nous coucher. Il n’y a pas eu d’actes sexuels autres que des baisers en nous douchant, et au lit si nous avons commencé simplement en nous allongeant dans les bras l’un de l’autre, elle a fini assez naturellement par me chevaucher et me faire jouir… Sans nous nettoyer, nous nous sommes ensuite endormis…


Le lendemain matin, j’ai entendu Crystal se lever discrètement, et quitter la chambre pendant qu’elle pensait que je dormais. Je l’ai vue prendre un petit sac et aller dans la salle de bain. Je me doutais bien de ce qu’elle allait faire : se rafraichir pour être parfaite à mon réveil. Et bien j’en ai profité pour aller faire la même chose. Je me suis levé très vite, je suis allé dans une autre salle de bain, je me suis lavé les dents, j’ai pris une douche rapide (juste à l’eau, sans savon, car j’ai compris que c’est ce qu’elle aime), je me suis fait un lavement anal, et je suis retourné au lit. Elle n’était pas encore revenue.


Quand elle a à son tour été de retour dans la chambre, j’étais allongé sur le dos, faisant semblant de dormir. Elle s’est glissée dans le lit, et sans hésiter elle s’est glissée sous les draps, en direction de mon sexe. Quand elle l’a saisi dans sa main, et j’étais déjà dur… Elle a pris le temps de la caresser longuement, la tête posée sur mon ventre. 


Elle a forcément « senti » que je m’étais levé et rincé. J’ai eu la confirmation quand elle s’est tournée pour se placer à quatre pattes au-dessus de mon visage, son anus venant s’appliquer délicatement sur ma bouche… 


Pendant que je le lui ai savouré, je sentais son gland « cogner » par moment sur mon torse. Elle a cessé de me caresser pour sucer ses doigts, avant d’en appliquer deux contre mon petit trou et de pousser lentement, tout en prenant mon sexe en bouche…


Durant les minutes qui ont suivi, souvent ses lèvres délaissaient mon sexe pour s’appliquer à lécher ses doigts, avant de les replonger en moi….


Elle s’est ensuite à nouveau retournée, pour s’asseoir sur mon sexe… Je n’avais que lubrifié son anus, je n’y avais pas introduit de doigts, mais c’est rentré comme si je l’avais sodomisé quelques secondes auparavant…


Nous n’avons joui ni l’un ni l’autre, mais nous nous sommes longuement embrassés, mon sexe en elle, avant que sans avoir échangé un mot je me retrouve derrière elle, qui était à 4 pattes, tenant ses hanches dans mes mains et enfonçant ma queue en elle dans cette levrette matinale très agréable…


Je me suis retenu, difficilement, mais je n’ai pas joui…


Lorsque je me suis retiré d’elle son petit trou était béant, rapidement comblé par ma langue… Elle était délicieuse… J’ai remplacé ma langue par deux doigts, puis, tout en jouant en elle, je lui ai demandé si elle avait envie de prendre le petit déjeuner, et si oui de quoi elle avait envie. Elle m’a répondu : « Outre ton sexe, je mangerais bien un café, du yaourt et quelques fruits ».


Je me suis rapproché de son visage, j’ai caressé ses lèvres des miennes, j’ai retiré mes doigts de son anus, je les ai léchés, puis nous nous sommes habillés. Je lui ai suggéré de ne mettre qu’une minijupe et un haut moulant noir, ce qu’elle fait. Elle était à tomber… De mon côté, elle m’a dit de mettre un jeans, sans rien en haut. J’ai obéi.


Tout en nous tenant par les hanches, en nous embrassant, en nous touchant, j’ai préparé du café, son yaourt et des fruits. Parce que oui, « comme par hasard » tout était en stock, et exactement la marque de yaourt et le type de fruits qu’elle voulait (banane, kiwi et raisin).


Elle prenait son petit-déjeuner assise au comptoir de la cuisine, sur un tabouret haut. Je n’ai pas pu résister… Je me suis placé derrière elle, j’ai tiré un peu ses fesses en arrière, juste pour que son anus soit accessible, puis après l’avoir lubrifié avec ma salive, je suis retourné dedans… Très lentement… Le but n’était pas d’avoir un plaisir intense et fou, mais juste d’avoir un moment de bien-être total… Ce qui a été le cas… Elle a continué à manger, mais encore plus lentement… Je ne touchais pas au reste de son corps, juste ses hanches. Je ne caressais pas ses seins, je ne la branlais pas… 


Je l’ai dit, c’était très lent. Mais c’était très intime, et très excitant… Quand je lui ai susurré à l’oreille que j’allais jouir, elle est doucement descendue du tabouret, s’est agenouillée devant moi, et c’est dans sa bouche que je me suis laissé aller… Elle n’a pas quitté mes yeux des siens de tout le temps où j’ai joui…


Lorsqu’elle s’est relevée, elle a passé ses bras autour de mon cou, et tout en approchant sa bouche de la mienne elle a murmuré : « Le parfait petit déjeuner complet »…


Dans un couple, les moments où l’on ne parle pas, où l’on est chacun de notre côté ne sont pas gênants, c’est normal d’en avoir. Dans le cas présent, c’était bien différent. Il n’était pas question que je la laisse s’ennuyer ou quoi que ce soit comme ça. Je cherchais quoi lui proposer, mais c’est elle qui a pris les devants, juste quand on a fini de ranger le petit déjeuner. Elle m’a demandé : « J’ai l’impression que tu sais être patient, est-ce que je me trompe? ». J’ai répondu que ça dépend à quel sujet, mais qu’en règle générale, oui.


Elle a hésité puis a dit : « Je peux te demander quelque chose? ». Je l’ai prise dans mes bras, j’ai souri en disant : « Tu peux demander tout ce que tu veux, on verra si c’est réaliste après ».


Elle a répondu : « Il y a un fantasme que je ne t’ai pas dit hier… J’adorerais me faire caresser l’anus jusqu’à ce qu’une main rentre dedans… J’ai souvent des clients qui veulent me faire ça, mais je dis maintenant non systématiquement car ils tentent ça quasiment à froid, et ça ne rentre pas, et ça fait mal. Mais je sais qu’à nous deux, tranquillement, en prenant notre temps, c’est faisable. Lentement, par étape, j’en aurais envie… ».


Évidemment, j’ai répondu que ce sera avec plaisir, et je lui ai demandé comment elle avait envie de ça : dehors sur une chaise longue, assise dans le divan, allongée au lit…? Elle a dit qu’au lit serait parfait pour une première fois.


Nous sommes donc retournés dans la chambre, où nous nous sommes déshabillés. Nous n’étions pas restés habillés longtemps! Debout, nu l’un contre l’autre, nous nous sommes embrassés, ses seins en béton contre mon torse… Puis je l’ai doucement poussée vers le lit… Nos lèvres se sont décollées, elle s’est tournée et s’est allongée sur le ventre, jambes écartées… Je lui ai demandé si pour ça aussi elle voulait que de la salive ou du lubrifiant, et elle a dit que pour une première, le lubrifiant serait le bienvenu. J’ai pris la bouteille, j’ai léché son petit trou, puis j’ai versé du lubrifiant dessus, ainsi que sur mes doigts… j’ai me suis allongé, posant ma tête sur une de ses fesses, et j’ai commencé à jouer…


J’ai vraiment pris tout mon temps… deux doigts, trois doigts… j’ai très longtemps joué avec juste trois doigts, avant de passer à quatre… 


Pendant ce temps, elle gémissait, et parfois on parlait… Elle m’a notamment fait remarquer que je ne jouais pas beaucoup avec ses seins… Que généralement ses clients adorent les caresser, les lécher, cracher dessus… Elle m’a demandé s’ils lui plaisaient…


J’ai répondu que ses seins sont visuellement une œuvre d’art que je ne me lasserai pas de contempler, surtout vêtus. Elle a d’abord été surprise de ma réponse, puis je lui ai expliqué mon point du vue sur les seins refaits, et encore plus sur les seins 100% artificiels. Elle a très bien compris. J’ai fini en lui disant que nus, après que deux ou trois hommes aient éjaculé dessus, ils devaient être absolument magnifiques! Elle a ri et a dit que ça pourrait être à essayer. C’est à ce moment que j’ai commencé à insérer le poing au complet… Évidemment ce n’est pas rentré et je n’ai pas forcé, ce n’était que le début…


Nous parlions beaucoup sexe pendant que je lui dilatais le p’tit trou avec ma main… Et c’est toujours à un moment où je sentais que ce que l’on racontait l’excitait que j’en profitais pour faire une « avancée significative » dans mon insertion… 


Plus d’une demi-bouteille de lubrifiant et presque une heure trente plus tard, j’ai vu son anus se resserrer autour de mon poignet. Ça y est, toute ma main était en elle… Bien qu’elle soit restée allongée tout le temps de la pénétration, elle semblait physiquement épuisée… 


Elle m’a demandé si je pouvais prendre une photo. Je lui ai dit que oui, avec son téléphone afin qu’elle soit certaine que, si je prenais la photo avec mon téléphone, je ne risque pas de l’envoyer à n’importe qui.


Petit problème : son téléphone n’était pas à côté de nous. Alors soit elle se déplaçait avec ma main en elle, soit je me retirais, puis j’y revenais une fois le téléphone récupéré. C’est cette 2e solution qui a été choisie.


Le retrait de mon poing ne s’est pas fait en deux secondes… J’ai pris mon temps, pour que ça se passe en douceur… Je n’ai même pas pris le temps de jouer avec son anus une sorti d’elle, je me suis dépêché d’aller chercher son téléphone et de revenir.


J’ai badigeonné à nouveau ma main et son anus de lubrifiant, et j’ai replongé mon poing en elle… Ça ne s’est pas fait instantanément, mais les efforts pour y arriver n’ont pas été longs…


J’ai pris une photo d’elle, telle que le souhaitait : allongée sur le ventre, mon poing en elle.


J’ai ensuite commencé toutes sortes de mouvements… Des petits va-et-vient en elle, sans sortir ma main de son corps, puis petit à petit en la sortant de plus en plus pour la rerentrer… Son trou béant était une œuvre d’art…


Je l’ai faite s’allonger sur le dos… Sa queue aussi dure que ces seins était une invitation appétissante… Je l’ai prise en bouche, lentement, quasi amoureusement, tout en conservant ma main dans ses intestins… j’y écartais mes doigts, les resserrais, sortait ma main, la rentrait à nouveau… 


Et j’ai pris toute une série de photo avec son téléphone… Elle était sublime, la queue dressée, la poitrine en béton, les abdos dessinés… J’ai même fait une petite vidéo d’une pénétration complète et de son anus dilaté quand je ressortais ma main…


La séance de fisting a pris faim lorsque je me suis placé tête-bêche au-dessus d’elle et qu’elle m’a sucé jusqu’à me faire jouir pendant que je jouais avec mon poing en elle…


Je suis alors sorti d’elle, de sa bouche et de son cul, et lentement, en la regardant, j’ai léché tous mes doigts, un par un… Elle se branlait en me regardant, mais je lui ai interdit de jouir, comme depuis le début de la matinée… On s’est embrassé…


Cette longue séance nous a menés à quasiment midi… Nous nous sommes rhabillés comme au levé, puis je lui ai proposé d’aller nous chercher une boisson à Starbucks. Je sais qu’elle en adore certaines, et ce serait rafraichissant, car il faisait encore chaud cette journée là (même si on a l’air climatisé dans la maison).


En allant vers ma voiture, je lui ai demandé si elle avait déjà conduit une électrique. Elle m’a dit que non, donc je lui ai proposé de conduire la mienne, si elle avait envie d’essayer. Et c’est ce que nous avons fait. Évidemment, j’avais une idée en tête en lui proposant cela…


À peine arriver au bout de la rue, j’ai commencé à caresser sa cuisse droite, la plus proche de moi… Je rappelle qu’elle ne portait qu’une minijupe, sans sous-vêtement, et un haut noir moulant… 


J’ai remonté ma main le long de sa cuisse, et toute en la guidant vers le Starbucks, j’ai abouti à caresser ses couilles, et bien sûr son sexe qui était très, très réveillé… il faut dire qu’avec tout ce que l’on n’a fait depuis le matin sans qu’elle ne jouisse, il était facile de l’exciter…


La jupe était tellement courte qu’il y avait très, très peu de tissu, permettait facilement à sa queue bien raide d’être à l’air libre, sans entrave… Je l’ai caressée… J’ai hésité à me tourner vers elle pour pouvoir plonger mon autre main entre ses cuisses et lui glisser un ou deux doigts dans l’anus, mais j’ai choisi une autre option…


Je me suis tourné vers elle, la contemplant. Elle était vraiment sublime, de profil, ses gros seins moulés à la perfection dans ce haut noir, notamment grâce à un ventre extra-plat qui leur permet de bien se démarquer… Son sexe, gonflé à bloc, dont le gland rouge n’est pas tellement éloigné de la poitrine… Ses cuisses musclées non dissimulées par la minijupe… Son visage, très bien dessiné… Et je le lui ai dit… Je lui ai dit à quel point elle était belle… À quel point son corps est une véritable sculpture, une œuvre d’art… À quel point elle serait encore plus sublime complètement nue, dans cette position, avec son sperme jaillissant de son sexe pour venir s’étaler sur sa poitrine… 


J’ai sorti ma queue en érection de mon pantalon, lui prouvant que je n’exagérais pas… Je me caressais de ma main droite, je la branlais de ma main gauche… 


Jusqu’à ce qu’enfin elle jouisse… Le sperme épais giclant de son urètre pendant que je la branlais vigoureusement… Elle a reçu beaucoup sur son haut noir moulant, mais aussi un peu dans le cou et sur le visage. Sans parler des quelques éclaboussures qui sont allées ailleurs que sur elle… 


Je rappelle que nous étions en voiture, et qu’elle roulait… Nous ne faisions pas attention aux gens autour de nous, mais peut-être que quelqu’un a vu ce que l’on faisait, aucune idée…


Tout en roulant j’ai léché mes doigts, puis je me suis penché pour nettoyer son sexe avec ma bouche.


Une fois sur le stationnement du Starbucks, nous nous sommes embrassés alors qu’elle n’arrêtait pas de sourire… Pendant le baiser, je lui ai dit « Hier tu m’as mentionné que de l’imprévu te manquait? J’espère que ça ta plu… ». Elle n’a rien répondu mais m’a embrassé encore plus profondément… 


Après ce long baiser vigoureux, je lui ai dit : « Tu as maintenant le choix entre deux solutions : soit on va au service au volant pour commander, soit on rentre dans le Starbucks, évidemment dans les deux cas avec ton haut plein de sperme… Ma préférence est évidemment le local, que tout le monde te voit… »


Elle a eu un rire gêné… On aurait dit une enfant qui a envie de quelque chose mais qui n’ose pas le faire ou de le demander… 


Finalement, elle a opté pour jouer jusqu’au bout : direction l’intérieur du bâtiment. Nous sommes sortis de l’auto, on riait, main dans la main, marchant vers la porte, quand elle a fait brutalement demi-tour et est retournée vers l’auto.


Je lui ai demandé ce qu’il se passait, et elle m’a répondu, en pointant vers le bas de son corps : « Entrer avec du sperme sur mes habits, d’accord, mais je ne peux pas entrer comme ça… » Elle pointait son sexe qui était à nouveau en érection, faisant une bosse très voyante dans sa minijupe. « L’idée de m’exhiber un peu m’excite, mais là c’est trop… ».


J’ai ri, encore, et je lui ai dit que ce n’était pas grave, on ira au service à l’auto pour cette fois, mais j’ai précisé que c’est encore elle qui doit conduire. 


À la fenêtre où nous a donné nos commandes, je me suis penché au-dessus de Crystal et j’ai dit au gars qui nous servait : « Excuse-moi, est-ce que tu aurais des serviettes? Je ne me suis pas contrôlé et je lui en ai mis partout… », en montrant du doigt les tâches sur son haut noir… J’ai entendu Crystal susurrer « oh mon Dieu » et j’ai vu le gars nous servant rougir… Personnellement, j’étais très satisfait de mon coup! 


Quand nous sommes sortis du service au volant, elle s’est à nouveau garée dans le stationnement en me disant « T’es con, tu es vraiment con », puis en me prenant la tête à deux mains pour m’embrasser…


Lorsque nos lèvres se sont séparées, elle a conduit jusqu’à la maison. J’avais ma main sur son sexe, sans chercher à la faire jouir, et de son côté elle caressait le mien.


La porte de la maison franchie, elle m’a déshabillé en un éclair, a retiré les deux morceaux de tissu qu’elle portait, s’est tournée contre la porte, a écarté ses jambes, indiquant clairement ce qu’elle souhaitait que je fasse. Un instant plus tard, j’étais au fond d’elle, dans son anus malmené à peine une heure plus tôt… Aucun lubrifiant n’a été nécessaire : un peu de salive, et nos récents antécédents ont permis que tout se passe tout seul…


Crystal était déchainée… Elle voulait que je la pilonne, alors c’est ce que j’ai fait… Debout dans l’entrée… Puis la tirant « doucement » par les cheveux, je l’ai emmené vers l’escalier : les jambes tendues, le haut du corps penchée en avant, à l’horizontal, les mains sur les marches, je lui ai détruit le cul en lui faisant pencher la tête en tirant ses cheveux…


Je suis ensuite allé m’asseoir sur la marche la plus proche de son visage, j’ai pris sa tête à deux mains et j’ai forcé une pipe agressive, martelant sa gorge en appuyant de mes deux sur sa tête… Je savais qu’elle appréciait, car quand je relâchais la pression elle prenait elle-même la relève pour ne pas trop réduire le rythme…


Je me suis relevé, la faisant presque tomber en arrière… Je l’ai saisie par le cou, puis je l’ai guidé jusqu’au canapé sur lequel je l’ai jetée sur le dos. Je me suis assis sur son visage, mon trou du cul sur sa bouche, la forçant à me lécher, pendant que je branlais sa queue en érection… Elle me mangeait sauvagement, sa langue forçant mon cul, s’aidant en glissant ses doigts entre sa bouche et mon cul pour l’atteindre et le dilater… 


J’étais sur le bord de jouir… Quand je le lui ai dit, elle s’est calmée, s’est remise à respirer plus calmement, et nous nous sommes blottis l’un contre l’autre… Avant que l’on s’installe confortablement, je lui ai proposé que l’on aille au soleil pour s’allonger, pour faire sécher nos corps en sueur… Elle m’a embrassé puis s’est levée, et nous sommes allés sur la terrasse, sur une chaise longue, elle dans mes bras.


Lorsque nous avons eu faim, nous sommes rentrés dans la maison, pour préparer de quoi manger. Encore une fois, il y avait exactement les aliments que Crystal aime…  Nous nous sommes tous les deux habillés, enfin, mis en maillot, puis nous avons cuisiné et manger.


Alors que je rangeais le tout après le repas tout en jasant avec ma partenaire, quelqu’un a sonné à la porte.


Je suis allé ouvrir, et c’était Nicolas (nom fictif pour cette histoire), qui était là. Qui est Nicolas? Un ami bi. Pourquoi Nicolas était là? Parce qu’après que Crystal m’ait dit qu’un de ses fantasmes, c’était deux hommes, je me suis dit que j’allais l’inviter pour voir si elle aurait envie de l’assouvir…


Évidemment officiellement, j’avais oublié qu’un ami venait à la maison. C’est ce que j’ai dit à Crystal quand je lui ai présenté Nicolas. Je lui ai demandé si ça la dérangeait qu’il reste un peu, car si je l’avais « invité » c’était pour qu’il profite de la piscine un peu, je ne savais pas qu’elle serait là. Elle a dit qu’il n’y avait aucun problème, qu’au contraire, une petite pause nous ferait du bien, avec un clin d’œil.


Je l’ai embrassée pour la remercier, mais là, elle ne savait pas comme réagir devant un invité. Je me suis alors retourné vers Nicolas et je lui ai dit, simulais qu’il ne le savais pas déjà, que Crystal était une « aventure unique pour la fin de semaine ».


Sans perdre de temps, nous nous sommes tous les trois dirigés vers la piscine. Pendant que le nouvel arrivant se mettait en maillot, j’ai servi à boire à tout le monde.


Après quelques minutes dans l’eau à faire semblant de nager et à parler, j’ai murmuré à Crystal : « Nicolas est bi. Est-ce que ça te tenterait d’en profiter pour assouvir un fantasme de plus? ». Elle a ri puis a répondu en m’embrassant : « Quitte à vivre un week-end de folie, autant aller jusqu’au bout. Par contre, avec préservatif pour lui ou si on va en lui ». Je lui ai dit que selon moi le plus simple serait que tout le monde en mette pour tout, ce à quoi elle a acquiescé.


Nous nous sommes tournés vers Nicolas, et avec un grand sourire je lui ai dit, sans détour : « ça te dit une bonne baise une super trans et moi? ». Comme il ne venait que pour ça, il n’évidemment pas dit non…


Nous sommes rentrés à l’intérieur, et dans le salon, nous avons tout fait : de la tendresse manuel avec lents baisers à la double anal pour Crystal (l’entrainement au fist du matin a surement aidé!!), en passant par sodomie et fellation simultanément, elle a eu droit à tout.


Vers la fin, lorsqu’il était rendu évident que Nicolas allait jouir, Crystal m’a demandé, discrètement, si j’avais 100% confiance en lui. J’ai répondu que oui, sans hésitation. Elle nous a alors demandé si on serait d’accord pour finir avec une double fellation avec éjaculation dans sa bouche. Sans répondre, nous avons enlevé nos préservatifs et nous avons approché nos queues de sa bouche. Peu après, elle avait des giclées de sperme sur le visage et dans la bouche. Et elle était sublime… Je lui ai proposé de prendre quelques photos d’elle avec son téléphone, et aussitôt proposé, aussitôt fait. 


Pendant ce temps Nicolas s’est rhabillé et est parti, nous remerciant de ce moment « incroyable ».  Il nous a dit de ne pas hésiter à la réinviter, si la situation se représente!

 

Une fois Nicolas parti, j’ai regardé Crystal et je lui ai dit que j’hésitais entre lui lécher tout le visage ou le lui rincer à l’urine… Sans la moindre hésitation elle s’est exclamée : « À l’urine! Et tu me lècheras le visage ensuite… »

Par Etienne - Publié dans : Partenaire inattendue
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